Moi : Bonjour, personnages de Get Backers !
Natsumi : Bonjour ! Qu'est-ce que je vous sers ?
Moi : Pour moi, ce sera un conte de fées à la noix.
Natsumi /un peu désorientée/ Un quoi ?
Moi : Il s'agit d'une sorte de pièce de théâtre, qui transmet l'histoire d'un conte de fées, avec comme acteurs des personnages de shônen manga - en l'occurence, vous.
Personnages de Get Backers /bas/ Arglh...
Moi : J'en ai déjà fait un certain nombre, dans des fandoms divers, et aujourd'hui je viens chez vous ! Aussi, approchez, approchez !
Personnages de Get Backers /reculent/
Moi : Le conte d'aujourd'hui sera "Rapunzel", qui a parfois été traduit par "Raiponce" ou "Doucette". Enfin, vous voyez, non ?
Ban /nonchalant/ Absolument pas.
Natsumi : Ce n'est pas ce conte avec une héroïne aux cheveux très longs prisonnière dans une tour ?
Moi : Bravo, exactement ! Parfait, il y en a au moins une qui suit ! L'héroïne en question, pour des raisons (incontestables) principalement liées à des questions de longueur de cheveux, sera jouée par Kazuki !
Kazuki /soupir/ Je devine qu'il ne sert à rien de protester et de rappeler que je suis un homme...
Moi : Exactement ! C'est bien, les personnages intelligents, on n'a pas besoin de leur expliquer les choses ! Les parents de l'héroïne seront joués par Makubex et Sakura !
Sakura /rougit/
Makubex /soupir/ Je devine qu'il ne sert à rien de protester et de rappeler que je suis plus jeune que Kazuki.
Moi : Encore gagné ! Sakura et toi, vous êtes trop choupi ensemble pour que je prenne quelqu'un d'autre ! (Et puis un couple hétéro, c'est mieux pour des parents, quand même).
Ban et Ginji /soupir de soulagement/
Moi : La sorcière sera jouée par Akabane !
Akabane /très calme/ He bien, je pense que ça peut être un rôle intéressant. Avec un peu de chance, je pourrai découper les gens à coup de scalpel ? C'est bien le moins, pour une sorcière médiévale qui est censé servir Satan...
Moi : Gloups... /élude la question/ On verra. Et enfin, le prince sera joué par Jubei !
Jubei /s'incline/rougit juste un petit peu/ Je serai heureux de pouvoir être aux côtés de Kazuki, s'il l'accepte.
Kazuki /rougit aussi/ Ce sera avec plaisir.
Moi : Eh bien, je ne peux que sourire de satisfaction devant ces personnages merveilleusement coopératifs (comme j'ai bien fait de ne pas vouloir faire jouer Ban ou Shido !)
Ban, Shido /hochent la tête d'un air lourd de menaces/
Moi : Et je vais donc commencer le conte sans plus attendre !
Moi : Il était une fois deux époux qui désiraient depuis longtemps avoir un enfant.
Makubex : Depuis longtemps ? Rappel : j'ai seize ans !
Moi : Oops... ben on va dire que le temps leur avait semblé long. Ou alors tu as commencé bien jeune, qu'est-ce que j'en sais ?
Makubex /suggestion posée/ On peut aussi supprimer cette phrase qui n'est là que pour le cliché et n'ajoute rien à l'histoire...
Moi : Groumph grrr...
Makubex /air impitoyable/ Si tu veux m'avoir comme personnage, il faudra bien t'y habituer. Je traquerai chaque erreur de logique dans ton conte jusqu'à ce qu'il n'y ait plus le moindre bug !
Moi : Mais c'est un conte de fées ! Comment tu veux trouver de la logique dedans ?
Makubex : Je n'ai pas dit que je m'attendais à en trouver, juste que j'en mettrais moi-même.
Moi : Au secours ! Enfin bref, un jour, la femme se retrouva enceinte.
Sakura : Quelle bonne nouvelle !
Moi : Mais près de chez eux vivait un sorcier puissant et redouté, dans une forteresse entourée de hauts murs. Par contre, son jardin était le plus magnifique du monde, et la femme aimait le contempler.
Mabubex : Par-dessus les hauts murs ? Enceinte ?
Moi : On n'a qu'à dire que tu y as lancé une webcam par-dessus le mur, n'est-ce pas ? Un jour, en regardant le beau jardin (par la webcam), elle y vit un plant de la raiponce la plus magnifique, et elle eut violemment envie d'en manger, tellement qu'elle perdit l'appétit.
Sakura : Je ne suis pas si capricieuse, quand même !
Moi : Tu sais, les envies de femme enceinte...
Sakura /soupir blasé/
Makubex : Que se passe-t-il, ma chère femme ? Tu es si pâle...
Sakura : Helas, j'ai tellement envie de manger de cette raiponce qui pousse de l'autre côté du mur ! Je ne peux plus rien manger d'autre...
Moi : Le mari, qui aimait sa femme, se prépara un équipement d'escalade et alla voler nuitamment la salade du sorcier.
Sakura /le voit revenir/ Oh, merci, merci /gnape la raiponce/ Non seulement ça a l'air délicieux, mais c'est délicieux !
Moi : Mais c'était si délicieux que le jour d'après, elle en avait encore trois fois plus envie qu'avant.
Makubex : Il vaut mieux que je ne retourne pas en chercher alors, ce serait encore pire ! Genre, neuf fois plus qu'avant.
Moi : Mais euh !
Makubex /serviable/ Croissance exponentielle pour une suite géométrique. On ne peut pas continuer comme ça jusqu'à la fin des temps.
Moi : Mais euh ! (le retour) D'abord, ce n'est pas jusqu'à la fin des temps, c'est jusqu'à la fin de sa grossesse ! De plus /air larmoyant/ que sont des raisonnements logiques devant la peine de Sakura-chan ?
Sakura : Sakura-chan, maintenant. Je ne suis plus une gamine, tu sais ?
Moi : Et pour conclure, c'est dans le script ! Alors Makubex, tu y retournes ! Maintenant !
Makubex /hausse les épaules/ Je disais ça pour aider, hein ? C'est ton histoire qui prend l'eau, après tout.
Moi : Et quelques soirs plus tard, à la faveur de la nuit, il pénétra à nouveau dans le jardin. Mais alors qu'il allait cueillir encore un plant de raiponce, le sorcier apparut devant lui, comme par magie !
Akabane /bas/ C'est juste que les gens ne savent pas nous suivre des yeux dès qu'on va un peu vite... /très calme, et juste un peu ironique/ Tiens, voilà notre voleur...
Makubex /gloups/
Akabane /ricane doucement/ Et en plus, récidiviste. Je me demande s'il peut bien avoir des excuses qui l'empêcheront de goûter à mon scalpel. /à Makubex/ C'est maintenant ou jamais, vous savez ?
Makubex : Ma femme est enceinte, et elle avait tellement envie de des raiponces qu'elle serait morte si je n'étais pas allé en chercher.
Akabane : Oh, c'est donc ça /réfléchit/ Je crois que nous pouvons arriver à un arrangement. Je vous donnerai autant de raiponce que nécessaire, et votre femme ne mourra pas. Mais...
Makubex : Mais quoi ?
Akabane : Mais en échange, vous devrez me donner l'enfant quand il sera né. /grand sourire pervers/ Je vous rassure, je m'en occuperai très bien.
Makubex : C'est quoi ce chantage !
Akabane : Du chantage, comme c'est si joliment dit. d'un autre côté, la loi est de mon côté. Je ne crois pas qu'on me reproche quoi que ce soit s'il arrive quelque chose à un vulgaire voleur dans mon jardin. Et ça ne sauverait pas votre femme, n'est-ce pas /sourire moqueur/
Moi : Le père fut contraint d'accepter. Quand son épouse accoucha, le sorcier vint prendre l'enfant.
Sakura /serre dans ses bras un chibi-Kazuki/ Non ! Ne me prenez pas mon beau-frère... euh, pardon, mon fils ! Je ne le laisserai pas à un pervers comme vous !
Akabane : Vous savez, de ce point de vue-là, il n'a pas grand chose à craindre, il ressemble trop à une fille.
Sakura /méfiante/ Ca change quoi ?
Akabane : Vous n'avez qu'à demander à Himiko : j'ai fait équipe avec elle pendant longtemps, et jamais je ne lui ai fait de propositions inconvenantes impliquant des scalpels ou autre chose.
Sakura : Mais... ça ne justifie rien du tout ! Rendez-moi Kazuki !
Moi : Mais le sorcier n'eut cure de ses protestations, emmena l'enfant, et lui donna le nom de Rapunzel, qui veut dire Raiponce en allemand - car ce conte est un conte allemand, vous saurez tout.
Sakura et Makubex : Hélas !
Moi : Et tout cela ne serait pas arrivé s'ils n'avaient pas mis une webcam dans le jardin de leur voisin. Comme quoi information mal acquise et surveillance policière ne profitent jamais. Enfin, ce serait la morale de cette histoire si elle était finie.
Makubex : Rarement vu morale plus ridicule.
Moi /ignore/ Mais là, nous allons oublier les parents (qui après tout n'ont plus aucun rôle dans ce conte, na ) et partir sur tout à fait autre chose. L'enfant élevé par le sorcier grandit, et devint la plus belle créature sous le soleil. Qu'on le prenne pour un garçon ou une fille, on l'aurait de toute façon trouvé beau.
Kazuki : J'aimerais qu'on précise de façon un peu plus active que je suis un garçon.
Moi /bas/ Mais oui, on y croit. /haut/ Rapunzel avait de magnifiques cheveux noirs et très longs. Quand il eut douze ans, le sorcier l'enferma en haut d'une tour sans porte ni escaliers, avec juste une petite fenêtre en haut. Quand le sorcier voulait monter...
Akabane : Rapunzel, laisse descendre tes cheveux.
Moi : Alors l'enfant laissait pendre ses cheveux par la fenêtre. Ils étaient si longs qu'ils arrivaient jusqu'à terre, et le sorcier y montait comme on monte à la corde lisse. Des années passèrent ainsi. Mais un jour, un prince errant passa à proximité, et entedit Kazuki chanter.
Jubei : Quelle est cette jolie voix ?
Moi : Il chercha une porte, mais n'en trouva point. Il était en train de pester contre l'incompétence de l'architecte, quand le sorcier arriva. Il se cacha, et vit comment il montait. Il attendit qu'il redescende et soit parti...
Jubei : Rapunzel, laisse descendre tes cheveux !
Kazuki : Est-ce que le sorcier a encore oublié son chapeau ?
Moi : Le prince n'avait aucune idée de ce qui pouvait se trouver en haut de la tour, mais c'était un prince aventurier, et par là-même prêt à prendre ce qu'il trouverait, à occire les monstres et secourir les princesses (et non pas le contraire), prendre les trésors même quand il était un peu perturbé par l'absence de monstre et de porte, tout ça.
Jubei : Je me sens légèrement déprécié.
Moi : T'inquiète pas, c'est pas toi, c'est ton perso /reprend/ Ceci dit, toute son expérience ne l'avait pas préparé à ce qu'il fallait faire quand on rencontre un beau jeune homme, roturier de surcroit, au sourire lumineux.
Jubei : Gloups... /très intimidé/ Bonjour.
Moi : Rapunzel n'avait jamais vu personne d'autre que le sorcier, mais le respect que le prince lui témoignait le rassura.
Kazuki /sourit/ Bonjour.
Moi : A partir de ce soir-là, le prince revint tous les soirs. Les premiers jours ils parlèrent longuement, les jours suivants ils firent plus que parler, et finalement...
Jubei : Rapunzel, je voudrais que vous veniez avec moi. Je ne peux pas vivre sans vous. Soyez mon compagnon, pour toutes nos vies.
Kazuki /met sa main dans la sienne en rougissant quand même un tout petit peu/ Ce serait avec joie, mais je ne peux pas sortir de la tour.
Moi : Le prince et Rapunzel, affligés, cherchèrent un moyen, quand ce dernier eut une idée.
Kazuki : Si vous le voulez bien, laissez-moi votre cape.
Moi /interrompt/ Car le prince, comme tout bon prince de conte de fées, portait une grande cape classe.
Kazuki /poursuit/ J'en déferai la trame, et avec les fils je tisserai une échelle de corde. Je suis assez bon avec ça.
Moi : Et Jubei dut l'admettre, car même s'il pouvait à peu près envisager l'idée de faire une échelle avec des fils, l'idée de retrouver des fils avec du tissu lui passait par-dessus la tête. Ceci dit, c'est avec joie qu'il laissa sa cape, même s'il avait l'air un peu moins classe.
Jubei : J'espère que nous pourrons bientôt nous enfuir ensemble...
Kazuki : Moi aussi, mon ami !
Moi : Mais le sorcier continuait à venir tous les jours - le prince, lui, venait la nuit. Un jour, par hasard, il remarqua quelque chose sous le lit.
Akabane : Quelle est cette chose ?
Kazuki : Rien de spécial. Je ne dois pas avoir nettoyé depuis longtemps.
Akabane : He bien, montre-moi ce "rien de spécial"
Moi : Quand le sorcier aperçut cette cape d'homme, à moitié transformée en une échelle de corde, il n'eut absolument aucun mal à reconstituer ce qui s'était passé.
Akabane : He bien, mon cher, on dirait que vous êtes tellement débauché que vous isoler du monde ne suffit pas à maintenir votre pureté intacte. /réfléchit en jouant avec un de ses scalpels/ Que vais-je faire de vous ?
Moi : Kazuki tremblait de peur.
Kazuki : J'ai le droit aussi de faire remarquer qu'Akabane parlant de pureté perdue, c'est l'hôpital qui se moque de la charité ?
Moi : Seulement entre deux claquements de dents. Il fait peur, Akabane, hein ?
Akabane : Ca y est, je sais. /lui coupe ses longs cheveux à coups de scalpel/
Moi : Et le sorcier impitoyable l'emmena dans un endroit désert, où Rapunzel vécut misérablement...
Akabane : C'était la vengeance du sorcier, premier chapitre. Voyons maintenant le second. Il peut être intéressant...
Moi : Il noua les cheveux coupés de Rapunzel. Quand le prince s'en revint...
Jubei : Rapunzel, laisse descendre tes cheveux !
Moi : Le sorcier avait accroché les cheveux à un crochet, et le prince monta sans défiance. Mais, quand l arriva en haut...
Akabane /mortellement calme/ Surprise !
Moi : Le sorcier regardait le prince avec un regard mauvais.
Akabane : Oh, vous êtes venu chercher votre cher et tendre ! Quel dommage, le mignon petit oiseau n'est plus au nid. Le chat l'a mangé, et /sort son scalpel/ il pourrait bien vous arracher les yeux aussi.
Jubei : Où est Rapunzel ?
Akabane : Rapunzel est perdu pour vous, vous ne le reverrez jamais plus. En attendant, vous pouvez toujours vous venger sur moi, si vous le pouvez. Cela fait longtemps que j'a n'ai pas profité d'un bon combat. Nous allons nous battre. Indice : je gagne toujours.
Moi : Mais le prince accablé, plutôt que de se battre, sauta par la fenêtre de désespoir.
Akabane /soupir/ Quitte à se suicider, il aurait au moins pu essayer de se battre. Aucun sens de ce qui est excitant...
Moi : Mais le prince ne mourut pas. Au pied de la tour poussaient d'épaisses ronces. Elles amortirent sa chute, mais lui crevèrent les yeux.
Jubei /soupir/ Ca fait longtemps que personne ne m'avait vanné sur le fait que j'étais aveugle, tiens...
Moi : Mais c'est dans le script ! (Bon, d'accord, peut-être que cette part du scénario a légèrement influé sur le casting, lalala) /reprend/ Au lieu de rentrer intelligemment dans son royaume se faire soigner, il se mit à errer dans la forêt, ne se nourrissant que de racines et de baies, et se lamentant sans cesse.
Jubei : Mon cher époux, qu'ai-je fait ?
Moi /bas/ Il est bien prompt à officialiser leur relation.
Jubei : Hélas, que n'ai-je pu être auprès de toi pour te protéger ?
Moi /bas/ Je persiste à dire que ce rôle lui va bien. /haut/ Pendant des années, il vécut une vie de misère. Mais à force d'errer, il finit par arriver jusqu'au désert où la sorcier avait abandonné Rapunzel. Il y vivait, dans la misère lui aussi, avec l'enfant qu'il avait mis au monde.
Jubei, Kazuki, Makubex, Sakura : STOP ! Arrête ça tout de suite !
Moi /air innocent/ Quoi, ça ?
Jubei : Le mpreg, ce genre maudit !
Kazuki : Je suis un homme !
Sakura /gentiment condescendante/ Il n'y a que les femmes qui peuvent avoir des enfants.
Makubex /approuve/ C'est scientifique.
Moi : Vous êtes sûrs ?
Jubei, Kazuki, Makubex, Sakura : OUI !
Moi /à Jubei et Kazuki/ Dans Naruto, il y a un petite avec de longs cheveux noirs qui se bat avec des clochettes et des fils et des aiguilles, c'est pas votre fille ? J'aurais cru...
Jubei, Kazuki : NON ! C'est juste une coïncidence !
Moi /boude/ J'aimais bien l'idée, pourtant...
Akabane /arrive/ Que se passe-t-il ? J'ai l'impression d'être exclu...
Jubei, Kazuki, Makubex, Sakura /bas/ Ce n'est pas qu'une impression.
Moi : He bien, nous étions en train de discuter à propos de l'enfant de Jubei et Kazuki.
Akabane /tout doucement/ Oooooh, c'est ton idée ?
Moi : Voui.
Akabane /grand sourire/ A mon avis, un cerveau capable d'idées aussi tordues devrait être examiné de plus près, pour le bien de la science.
Moi : Gloups... /poursuit/ Enfin bref, Kazuki n'avait pas eu d'enfant.
Jubei, Kazuki, Makubex, Sakura /bas, à Akabane/ Au fond, on t'a peut-être mal jugé.
Akabane /grand sourire psychopathe/
Jubei, Kazuki, Makubex, Sakura /frissonnent/ Ou peut-être pas.
Moi : Dans le désert, Jubei entendit une voix qu'il reconnut, et se dirigea vers elle. Quand il le vit, Rapunzel lui sauta au cou en pleurant.
Kazuki : Comme je suis heureux ! Le sorcier ne t'a pas tué !
Jubei /gêné/ Argh, c'est justement ce que j'allais dire. /haut/ pardonnez-moi de ne pas avoir été là pour vous...
Kazuki : Ce n'est pas grave. Plus maintenant. Vraiment.
Moi : Les larmes de Kazuki lui coulèrent dans les yeux, et il recouvra la vue.
Makubex : Puis-je me permettre d'émettre encore une objection scientifique quant à ce moyen de guérison ?
Moi : Meuh non ! C'est juste que... /pipote/ sa cécité n'était que psychosomatique, et due à son sentiment de perte et de culpabilité, alors quand il retrouve son chéri, il guérit, c'est plus plus compliqué que ça !
Makubex : Mouais...
Moi : En tout cas, ils rentrèrent dans le royaume du prince, où ils furent accueillis avec beaucoup de joie (et quelques reproches pour ne même pas avoir envoyé une carte postale).
Kazuki /ferme/ Mais comme nous sommes dans un conte de fées, on passera ce genre de détails.
Moi : Exactement ! En tout cas, ils se marièrent enfin officiellement, et /voit briller le scalpel d'Akabane/ ils n'eurent pas d'enfants. Du tout. Et ils vécurent heureux pour toujours.
FIN
Note : pour ceux qui lisent Naruto et n'avaient pas identifié le perso dont je parle : c'est Kin, du village du son. (Plusieurs personnes me demandaient si c'était Haku, la vérité est rétablie. :-)
