Titre : A La Faveur De L'Automne.
Auteur : Moua.
Genre : Song-Fic
Disclamer : Tous les persos sont à moi, ainsi que la chanson, et en plus je me fais un max. de tune dessus ! lol ! (c'est évidemment une pure utopie, les persos ne sont pas à moi, et la magnifique chanson qui illustre cette fic est de Tété)
Note : One-Shot qui pourrais éventuellement devenir un Two-Shot selon mon humeur et vos réclamations.
A la faveur de l'automne.
Chapitre 1 : « A La Faveur De L'Automne. »
Posté
devant la fenêtre
Je guette
Les âmes esseulées
A
la faveur de l'automne
Je ne sais plus exactement quel jour nous sommes, j'ai perdu le fil du temps depuis qu'elle est partie. Les douces soirées d'été en sa compagnie on laissé place à ma solitude.
« Le temps passe si lentement maintenant que tu n'es plus là mon ange. »
Posté devant la fenêtreJe regrette
De n'y avoir songé
Maintenant que tu m'abandonnes
Le temps passe mais mon humeur ne change pas. Je suis si seul auprès de ma fenêtre. J'observe le monde extérieur sans jamais m'y aventurer. J'ai tellement peur de te croiser, de sentir ton regard lourd de reproches se poser sur moi.
Si elle savait à quel point je regrette mes actes. J'ai joué à un jeu dont je n'ai jamais eu le contrôle. Je n'ai été qu'un idiot.
« Si tu savais mon amour...si tu savais à quel point je regrette de t'avoir blessé. »
A la faveur de l'automneRevient cette douce mélancolie
Un, deux, trois, quatre
Un peu comme on fredonne
De vieilles mélodies
L'été et son doux rayonnement n'est plus, il a laissé place à l'automne et son paysage désolé et mélancolique. Les feuilles tournoient doucement, glissant à terre tel un rapace guettant sa proie, son corps agile fendant l'air dans un doux murmure, une mélodie silencieuse.
Rivé devant le téléphoneJ'attends
Que tu daignes m'appeler
Que tu te décides enfin
Dieu qu'elle me manque, je tremble d'appréhension chaque fois que le téléphone sonne, priant pour qu'elle daigne m'adresser de nouveau la parole. Elle me manque, sa voix vive et douce me manque, ses magnifiques yeux vert et brillant de curiosité me manquent, son rire pétillant et spontané, son allure si particulière, tout chez elle me manque horriblement.
« Dieu mais qu'ai-je fais ?... »
Toi, tes allures de garçonneRompiez un peu la monotonie
De mes journée de mes nuits
Ma vie a changé du tout au tout lorsque je l'ai rencontré. Sa curiosité maladive égaillait mes journée et son regard hantait mes nuit.
A la faveur de l'automneRevient cette douce mélancolie
Un, deux, trois, quatre
Un peu comme on fredonne
De vieilles mélodies
Tu m'aimais, je t'ai trahis, je t'ai fais souffrir sans m'en rendre compte, et maintenant tu me déteste.
A la faveur de l'automneTu redonnes
A ma mélancolie
Ses couleurs de super-scopitone
A la faveur de l'automne
J'ai toujours été fort, impitoyable face à l'ennemi. Mon père m'a éduqué de façon à se que je sois le meilleur. Mais face à l'amour, je suis comme tout les autre, je ne suis plus rien, effrayé, indécis et stupide.
A la faveur de l'automne...Je n'aurai jamais dû jouer avec tes sentiments.
Comment ai-je pu seulementÊtre aussi bête ?
On m'avait prévenu
Voici la vérité nue
Tes amis m'avait prévenus. A la moindre incartade, je risquai de te perdre.
J'ai joué.
J'ai perdu.
Et maintenant que je t'ai perdu, je me rend compte de tout ce que tu représentes à mes yeux
Manquerait
Plus
que le mauvais temps
S'y mette,
Une goutte de pluie et
J'aurais
vraiment tout perdu
Dehors la pluie commence à tomber. L'atmosphère de cette pièce commence à m'étouffer. Tant de mauvais souvenir en un si petit endroit. Il faut que je sorte.
« Je dois sortir. »
A la faveur de
l'automne
Tu redonnes
A ma mélancolie
Ses couleurs de
super-scopitone
A la faveur de l'automne
J'aimai tant me ressourcer dans ce parc. La pluie tombe maintenant averse, me trempant jusqu'aux os. Mes larmes ne cessent elles aussi de tomber.
Une main se pose sur mon bras, me forçant à me retourner.
A la faveur de l'automne...« Lex ! »
A la faveur de l'automne... Mon regard reste fixé sur cette main. Son contact me fais frissonner, à moins que ce ne soit la pluie et le vent glacial...je ne sais plus vraiment...Mon regard est si flou...ma tête tourne tellement, je crois que je vacille.« Lex tu te sens bien ? Lex, répond-moi s'il te plaît... »
Cette voix, que dit-elle, je ne comprend pas...je ne comprend plus...ma tête, elle me fait si mal...mon corps s'engourdi, je vacille de plus en plus...je me sens tomber...
« Chlo... »
Je sens ma tête heurter quelque chose. Tout s'assombri...Dieu que j'ai mal, pourquoi fait-il aussi noir ? Mon amour, aides-moi, ne me laisse pas dans le noir, je t'en pris, je suis tellement désolé...
A suivre.
