Voici ma toute première histoire que j'ai écrite! Tout les personnages sortes de ma tête, même si je me suis un peu inspiré
du film The Mommy. Envoyez-moi vos commantaire (Review) svp!!
Le médaillon
Chapitre 1
Il y a très longtemps, un dénommé Hérodote avait écrit la première histoire complète d'Égypte. Cet ouvrage contenait de très précieux renseignements sur les dieux égyptiens, de leurs coutumes, de leurs faiblesses et sur l'Égypte ancienne en général. Quand Hérodote eut fini son travail, Thot, le messager du dieu solaire, lui dit de détruire ces documents pour la survie du monde. Hérodote qui ne voulait pas brûler les textes sur lesquels il avait passé toute sa vie, n'écouta pas les dieux. Il prit son travail et le mit dans un grand coffret. Il le barra avec une clef spéciale qui était aussi un médaillon. Il cassa le bijou sacré en deux en disant à Ouadjet, la déesse-cobra, qui était aussi protectrice, de veiller sur ce bijou ainsi que sur le coffre. Les morceaux, Hérodote donna un de ceux-ci à sa fille et l'autre à sa petite-fille en leurs disant de donner leurs colliers à leurs descendantes.
Quelques temps plus tard, Hérodote rejoignait le monde des morts en apportant le secret de ses textes avec lui. On plaça son tombeau dans une place que personne ne viendrait s'aventurer là. Sa fille, qui était inconsolable de cette perte, écrivit un ouvrage sur son père en disant où son corps reposait à jamais. Mais sa maison passa aux flammes et tout fut détruit, enfin presque tout…
-Monsieur Carter!, monsieur Carter!, nous avons trouvé quelque chose!, dit un jeune homme.
James Carter, un homme blond aux yeux bruns et célèbre archéologue, suivi en vitesse ce dernier. En arrivant sur le chantier, il rejoignit son épouse, Miriame Carter.
-J'ai trouvé l'entrée du tombeau, dit-elle a son mari. Cela doit être un noble, regarde!
James vit alors l'effigie du dieu Thot, le dieu de l'écriture et de la science. Il faut savoir que seul les personnes haut-placées avaient droit à l'éducation. Après avoir examiné la porte, il demanda aux hommes qui étaient là de l'ouvrir. Deux minutes plus tard, James et Miriame entraient dans la tombe.
-C'était sûrement une jeune femme dans la trentaine, dit Miriame. En regardant les parois des murs et les objets, regarde tous ces flacons de parfums!
James la regarda avec un sourire aux lèvres. Il avait épousé une merveilleuse femme. Il faut dire que Miriame était très belle : elle avait de beaux yeux verts émeraude et des cheveux bruns qu'elle portait en bas des épaules. Elle avait aussi du sang égyptien dans les veines, se qui lui donnait un charme de plus.
-Oui, elle était sûrement riche puisqu'il y a des livres ici, dit monsieur Carter. Cette personne savait assurément écrire.
Miriame s'approcha pour voir ce que lui disait son mari et vit un gros bouquin remplit d'hiéroglyphes.
-On devrait l'apporter et le faire examiner, dit-elle, Françoise serait contente.
-Oui, nous lui ferons livrer à Londres, dit James.
Le soir venu, ils firent envoyer le livre par avion et reprirent, le lendemain, la suite de la fouille du tombeau, mais en ne sachant pas qu'ils étaient épiés du haut des dunes de sable…
Deux semaines plus tard, le colis arriva à la demeure des Carters. C'est une jeune personne qui ouvrit la porte au facteur et qui ouvrit la caisse. Je vous parle bien sûr de Françoise Carter.
Françoise était la fille unique de Miriame et de James. Elle avait des yeux verts et des cheveux bruns qu'elle portait en bas des épaules. Comme vous l'avez sûrement remarqué Françoise ressemblait beaucoup à sa mère. C'était la fierté de ces derniers. Ses parents lui avaient enseigné beaucoup de choses : sa mère lui avait enseigné à lire et écrire les hiéroglyphes et son père à tirer avec toutes sortes d'armes à feu. Bien que ce ne fût pas très important pour une jeune fille de quatorze ans, ce l'était pour Françoise puisque ses parents étaient des archéologues. Depuis qu'elle était jeune, elle les suivait; elle était allée plus souvent en Égypte que son âge. C'est pour cela que Françoise prenait des cours par correspondance plutôt que d'aller à l'école avec les autres filles.
Donc, c'est elle qui découvrit le livre. Après avoir examiné celui-ci elle essaya de l'ouvrir mais n'y parvint pas. Elle vit alors qu'il fallait une clée pour ouvrir le livre. Elle ne pouvait rien faire même si on essayait de forcer la serrure. C'est alors que le téléphone sonna et qui sortit Françoise de son désespoir.
-Allo?,dit-elle.
-Bonjour ma chérie, comment vas-tu? As-tu reçu le paquet?, dit Miriame.
-Salut maman!, je vais bien et oui j'ai reçu le livre, dit sa fille.
-Alors?, dit sa mère.
-Il faut une certaine clée pour l'ouvrir et j'ai essayé de forcer l'ouverture mais cela n'a rien donné, dit Françoise.
-C'est vraiment dommage…commença Miriame.
-BANG!!
-Maman!?,dit Françoise, MAMAN!?
Elle entendit des bruits puis on racrocha au bout du fil. Elle déposa le combiner à son tour. «Il s'est passé quelque chose, pensa-t-elle, il faut que j'en parle à oncle John.» Elle s'élança alors vers la chambre de celui-ci.
Et puis, comment c'était??
