Coucou à tous ! C'est qui qui ? Ben vous l'aurez compris, c'est bibi.
Alors après avoir reçu plusieurs reviews sur mes différentes histoires des Kolorine (c'est peut être toujours le/la même du reste ! ptdr) et ayant constaté la pénurie de fictions sur ce couple qui frôle la misère sexuelle de l'ours en captivité soyons clairs, qui plus est en rating "M" je me suis décidée, fan de Kol, à lui rendre hommage en écrivant sur lui dans un premier temps et en tentant de satisfaire les fans de ce couple en leur présentant ma version de ce duo explosif version "lemon". Ça en fera un ! J'espère avoir réussi l'exercice et que vous prendrez autant de plaisir à le lire que j'en ai eu à l'écrire.
S'il y a des reviews anonymes, j'y répondrai tout en bas de cette page au fur et à mesure.
C'est parti...
Bibi demi-auteur
Cette histoire tient compte de tous les épisodes jusqu'au 4x15 et se passe donc après.
Un Noël à Chicago
Chicago, 24 décembre 2015
13h00 – Caroline s'étira dans son lit. Elle se réveillait seulement. Elle alluma la télé, tapa ses oreillers qu'elle cala dans son dos et s'informa des dernières nouvelles du journal télévisé. Elle avait emménagé six mois auparavant dans la troisième plus grande ville des Etats-Unis. Presque deux ans déjà qu'elle avait fui Mystic Falls. Trop de désillusions ! Elle se souvenait que juste avant d'en partir, Bonnie flirtait avec des forces obscures, à moitié folle, cherchant à tuer des innocents pour ramener Jeremy à la vie. Elena ayant éteint son humanité était devenue ingérable. Caroline avait bien tenté de les aider mais elle avait compris qu'elle n'y pourrait rien. Chacun choisit son destin. Et puis, il y avait aussi Tyler dont elle n'avait plus jamais eu de nouvelles malgré ses nombreuses tentatives de le joindre sans jamais aucun retour. Elle pensa que Klaus avait fini par le rattraper et le tuer comme il le lui avait promis. En tout cas, elle en fut convaincue et se refusa dès lors, ne serait-ce à lui adresser la parole bien qu'il lui ait dit ne pas l'avoir touché. Mais plus grave encore et c'est l'élément qui déclencha son départ, fut l'accident mortel de Liz Forbes, sa mère. Finalement cette fuite n'était qu'une façon de se sauver d'elle-même, ne trouvant plus dans cette petite bourgade que des souvenirs douloureux. Ca faisait presque deux ans à présent et elle avait mené sa petite vie bien sagement, quelques mois par-ci quelques autres par-là et ne s'en sortait pas si mal à présent. A chaque fois qu'elle arrivait dans une ville, elle se déplaçait à l'hôpital le premier jour, hypnotisait un employé et se faisait livrer régulièrement des poches. Elle avait choisi Chicago d'un coup de tête dans le hall d'une gare alors que les destinations des trains au départ s'affichaient. Le seul avec qui elle avait encore quelques contacts était Matt mais le temps passant les coups de fil s'espaçaient. Il semblait que Mystic Falls était resté figé dans le temps et que rien n'évoluait pour ses amis. Alors elle préférait ne plus en entendre parler. Au départ ce fut difficile mais le temps oeuvrant elle s'était habituée à sa vie solitaire. Même les fêtes qu'elle organisait ne lui manquaient pas. Le départ de sa mère l'avait vraiment chamboulée et elle avait sans doute fait une forme de dépression, n'ayant plus goût à rien.
Elle sentit une douleur dans son ventre qui lui rappela qu'elle n'avait pas reçu sa dernière commande d'hémoglobines. Elle réalisa qu'elle aurait dû l'avoir deux jours auparavant et décida de joindre son contact sans succès. Elle se dit qu'elle pourrait bien tenir un jour de plus, décida d'aller prendre une douche et de passer son Noël 2015 à flemmarder dans son appartement. Alors que la plupart des gens seraient en famille, elle au contraire, comme une contestataire rêvasserait sous sa couette. Elle aimait aller à contre courant ! Pour cette année ce serait comme ça. Elle l'avait décidé. Flâneuse soit mais propre. Caroline était une fille tout de même. En sortant de la douche elle enfila sa petite nuisette préférée, celle qui mettait sa poitrine en avant, lui faisant l'effet d'une seconde peau et se remit au lit. Elle commença à zapper sur différentes chaînes et une émission de cuisine spécialisée sur les pâtisseries lui rappela les petites douceurs que la boulangerie en face de l'immeuble vendait. Elle hésita un moment, il lui fallait s'habiller, se coiffer et elle était si bien sous ses draps. Mais l'appel du sang augmentant ses sensations de faim, elle prit un élastique, ramena ses cheveux en arrière pour se faire une queue de cheval en s'aidant de ses doigts et enfila rapidement son manteau sans même s'habiller. Elle en avait pour quoi ? Cinq minutes tout au plus, elle pouvait bien jouer la fainéante cette fois-ci et puis personne ne pourrait soupçonner ce qu'elle cachait sous son manteau. Elle claqua la porte et appela l'ascenseur. Elle sortit de l'immeuble, se dirigea vers la boulangerie et trouva porte close. Elle pesta ! Ils avaient dû fermer plus tôt en raison des fêtes. Si elle avait su, elle serait restée bien au chaud. Un jeune homme passa, plutôt attrayant et lui adressa un regard charmeur. Elle sourit intérieurement d'imaginer sa tête s'il savait de quoi elle était vêtue en dessous. Elle ne s'en sentit que plus sûre d'elle et trouva même cette situation cocasse et à son goût. A ce moment là, elle vit dans le reflet de la vitrine de la boulangerie une enseigne clignotante. Elle tenta de lire ce qu'il y avait écrit dessus. La… Grotte… aux… mille… délices ! Quoi ? Elle se retourna et réalisa qu'il s'agissait d'un de ces magasins spécialisé en gadgets intimes et autres combinaisons de cuir pour nuits torrides. Deux ans ! Elle réalisa que ça faisait deux ans qu'elle n'avait pas eu un seul rapport, elle qui aimait tant ça pourtant. Comment était-ce possible ? Ah oui c'est vrai ! Elle ne s'était jamais fixée à un endroit et arrivait à se débrouiller toute seule. Ca lui donnait aussi une forme de puissance et de jouissance personnelles que de pouvoir, comme pour la nourriture si bien se gérer. Ca faisait d'elle un vampire à part. Et Caroline adorait se sentir unique. Et puis sans doute avait-elle gardé jusqu'à récemment l'espoir que son portable sonnerait et qu'elle entendrait la voix familière de Tyler. Mais elle n'y croyait plus à présent et voulait justement aller de l'avant en laissant ça aussi derrière elle.
Lui vint alors une idée saugrenue. C'était Noël et elle ne s'était même pas fait de petits cadeaux. Une idée germa dans sa tête et elle se dirigea vers le magasin et entra. Un homme s'adressa à elle.
- Nous fermons dans dix minutes Madame. Elle savait ce qu'elle voulait. Elle avait toujours eu envie de tester ces petits canards jaunes au bec vibrant et venait de décider que ce serait ce qu'elle déballerait pour 2015. Ca tombait parfaitement bien puisqu'elle comptait passer sa soirée au lit. Elle serait donc aussi un peu coquine. Après tout, il n'y a pas de mal à se faire du bien, non ? Alors qu'elle s'engageait dans une allée, le vendeur lui dit.
- Vous avez des petits paniers si vous voulez. Elle pensa « Pourquoi pas un caddy aussi ? ». Non ! Elle n'en n'avait pas besoin. Elle chercha sur quel présentoir ils étaient disposés. Elle s'arrêta devant un stock de boites de différentes tailles qui renfermait à l'évidence des phallus en plastique. Elle se mordit l'intérieur de la bouche ! Deux ans quand même… Et pas un homme. Elle attrapa la plus grande pensant qu'elle renfermerait plus d'accessoires et se dit que puisqu'elle n'avait personne dans sa vie, elle venait officiellement de trouver un compagnon. Il s'appellerait Polo. Ses yeux brillèrent de ses lascives pensées. Elle sentit une présence près d'elle et se retourna.
- Madame ! Nous fermons. Elle plongea dans ses yeux.
- Indique que la boutique est fermée et va au piquet tout de suite. Elle se réjouissait qu'on ne la dérange plus, aucun client ne pouvant entrer. Il se retourna et partit. Se sentant plus libre encore, elle commença à inspecter chaque objet minutieusement. Elle découvrait des trucs qu'elle n'avait même jamais imaginé et pour certains, elle eût beau les tourner et les retourner qu'elle ne trouva pas dans quel sens les prendre, ni même à quoi ils pouvaient bien servir. Les bras chargés, elle se décida à aller chercher un panier. Toutes ces images, toutes ces suggestions l'éveillaient aux plaisirs charnels. Elle allait passer un Noël décidément très différent des autres. Du coup elle donna à Polo des copains prétextant dans sa tête bien évidemment, qu'elle ne pouvait pas le laisser sans compagnie dans un placard. C'était trop cruel ! C'est ainsi que Tino, Alban, Nico, Allan, Fredo et Tristan, ses coquins comme elle les appelait, un pour chaque jour de la semaine firent irruption dans sa vie. Elle ajouta, un canard bleu azur, assorti à sa salle de bains et quelques babioles. Elle rigolait toute seule de ses bêtises. Mais après tout, ses fantasmes lui appartenaient et comme elle n'avait à les partager avec personne, elle pouvait bien faire ce qu'elle voulait. Elle croisa une horloge sur un mur qui affichait 19h00. Elle y avait passé toute l'après midi. Elle s'excusa en se disant qu'il fallait bien tout ce temps pour en faire correctement le tour et rigola. Elle prit un sac derrière la caisse, y enfouit ses cadeaux et partit, non sans adresser un dernier mot au garçon figé au coin de la boutique.
- Punition levée, tu peux rentrer chez toi. Bien entendu, tu ne te souviendras de rien. Et Elle conclut d'un… Joyeux Noël ! Elle se dirigea vers son immeuble. Elle fut contente que le sachet soit neutre, ne s'imaginant pas se promener dans la rue, même pour quelques mètres avec une publicité du magasin qu'elle venait de quitter. Surtout qu'il était conséquent. Elle s'avança dans le hall et attendit sagement devant l'ascenseur, en étant déjà dans des scénarios inavouables qui la conduiraient au 7ème ciel. Elle appuya à nouveau sur le bouton, pressée de rentrer chez elle pour s'offrir de nouvelles expériences. Les portes s'ouvrirent et elle appuya sur le 30. Alors qu'elles se refermaient, une main apparut et elles se rouvrirent. Quelle ne fut pas sa surprise quand elle vit Kol Mikaelson en personne entrer. Elle savait que Silas, en mourant, l'avait ramené à la vie, Matt le lui avait expliqué mais le croiser ici, c'était tout simplement incroyable. Elle se figea et baissa la tête, espérant qu'il ne la reconnaîtrait pas. Les portes coulissèrent et l'élévateur commença son ascension.
- Bonsoir Caroline ! Elle se tourna vers lui et lui fit un rapide signe de tête, un sourire très pincé en guise de bonjour. Qu'est ce que tu fais à Chicago ?
- Comme tu vois, je prends l'ascenseur.
- Ça fait longtemps que tu es là ?
- Environ deux minutes. Elle appuya machinalement plusieurs fois sur le bouton de son étage, comme s'il allait par magie monter plus vite. Il ne manqua pas de le relever
- C'est cool on vient de passer le deuxième, on va pouvoir converser un peu tous les deux, on n'a jamais vraiment eu l'occasion de faire connaissance. Elle se rendit compte qu'il n'avait pas indiqué d'étage, elle sourit et lui demanda charmante pour le coup.
- Quel numéro je te prie ? En lui montrant le tableau et en priant que ce soit le suivant. Il s'avança et elle vit sa main se diriger vers le panneau très lentement pour faire durer le plaisir de la voir espérer et en la dévisageant. Il passa le premier, puis le deuxième et remonta au ralenti, au 33ème étage pour enfin appuyer. Elle le regarda et il lui adressa un sourire. Elle souffla d'exaspération. Il pencha la tête, ramena ses mains devant lui pour lui dire « désolé !». Elle leva les yeux au ciel en se redressant.
Alors qu'ils arrivaient au 22ème étage, une secousse importante immobilisa l'élévateur. Caroline invoqua tous les dieux qu'elle connaissait suppliant pour qu'elle ne reste pas coincée avec lui. D'autant que la dernière fois qu'il y avait eu une panne, soit moins d'une semaine, les occupants avaient été bloqués plus de cinq heures. Elle s'approcha du panneau et appuya plusieurs fois. Mais rien ne se passa. Elle se décida à appeler les secours, pressa la touche et entendit la sonnerie. Elle attendit qu'on lui réponde en vain. Kol s'amusait de la voir tenter de trouver une solution. Elle chercha son portable mais se souvint l'avoir oublié sur la table basse. Elle se maudit. Puis elle se tourna vers lui, espérant qu'il en ait un.
- Se pourrait-il que tu aies ton téléphone sur toi ?
- Tu veux mon numéro ?
- Ah ! ah ! ah ! Il haussa les épaules comme s'il ne comprenait pas. Elle se demanda s'il était bête ou s'il se fichait d'elle.
- Pour appeler le numéro qui est en gros là sur le panneau, ça pourrait nous aider. Tu as compris ou je dois te mimer la situation ?
- Celui qui a douze chiffres c'est ça ?
- Ben oui voilà, celui là même.
- C'est le numéro de série de l'ascenseur, pas du poste de garde. En lui faisant « hun » de la tête. Elle reprit sa position fixant les numéros, en se demandant comment ça avait bien pu lui échapper. Il fallait vraiment qu'il la rende nerveuse. Ils attendirent vingt minutes supplémentaires et elle se décida.
- Tu le fais exprès ou quoi ? Tu ne pourrais pas prendre ton téléphone, je ne sais pas moi, des fois que tu aies l'idée géniale d'appeler les pompiers ? Il glissa la main dans sa poche et le lui tendit.
- Eurêka ! Il a compris. Elle prit l'appareil et commença à tapoter. Elle roula des yeux.
- Serait-il possible de l'allumer… Éventuellement ?
- Plus de batterie ! Elle se demanda simplement comment on pouvait être assez stupide pour se déplacer avec un portable déchargé.
- J'espérais que tu aurais le tien en fait. Elle le fusilla du regard.
- Tu devrais te détendre. 20h00 un soir de Noël, j'ai bien peur qu'on n'en ait pour un moment avant qu'on s'aperçoive que nous sommes coincés.
- C'est pas possible, c'est un cauchemar !
Déjà une heure qu'ils étaient enfermés ! Elle s'impatientait. En tendant son bras pour appuyer à nouveau sur le bouton des secours, une anse lui échappa, ce qui ouvrit son cabas, faisant tomber une boite au sol. Celle qui contenait ce qui devait être son 3ème rendez-vous, Alban ! La transparence de l'emballage et l'image publicitaire qui étaient dessus ne laissaient aucun doute sur la nature de l'objet. Elle passa naturellement immédiatement d'un teint laiteux au rouge écarlate et s'abaissa pour ramasser le fuyard et le ranger avec ses camarades en toute hâte.
- C'est pour l'anniversaire d'une copine. Se justifia-t-elle.
- Hum hum ! Gros anniversaire alors ! En regardant l'imposant sac.
- Gna gna gna. En balançant la tête de chaque côté. Pour toute réponse, il lui déroba son trésor et y jeta un œil. Alors qu'elle voulait le récupérer, furieuse, il sortit une boîte en écarquillant les yeux de surprise. Ce qui eut le mérite de lui faire baisser les bras et elle recula en implorant le ciel d'arrêter le temps.
- Quoiiiiii un T28E5 ! Il comprit au « et alors ? » qu'elle lui adressa avec les mains, qu'elle ne connaissait pas les codes.
- T c'est pour la taille en centimètre, donc 28 cm et E pour l'épaisseur sachant que l'échelle va de 1 à 5. Cinq étant le plus gros volume. Tu es sûre que c'est pour une copine, c'est pas plutôt pour une jument. Et il explosa de rire.
- Rends-moi ça tout de suite.
- Tsssssssss ! Pas touche. Je n'ai pas fini mon inspection. Il fouilla le sac. Elle ne savait plus où se mettre et à chaque fois qu'il attrapait un de ses compagnons il lui adressait un sourire en coin. Alors qu'avons-nous là ? Huile de massage kiwi-vodka aux billes explosives... Vous m'en direz tant… Là il faut absolument le tester sur le champs, c'est prometteur. Il ouvrit la bouteille et versa une petite quantité sur le dessus de sa main. Il l'étala et la fit pénétrer. Il attendit quelques dizaines de secondes et commença à se tortiller dans tous les sens. Ohhhhhhh oui explosez en moi petites bulles magiques ! Je n'en peux plus. Quand il eut fini sa démonstration, il se figea et reprit son air moqueur.
- Bon alors récapitulons, nous avons une trompe, un attrape-couillon et plusieurs phallus ! Rassure-moi, tu n'as pas payé pour ça quand même ? Elle réussit à lui arracher son butin des mains.
- La ferme ! Il attendit quelques minutes et reprit.
- Je n'aime que les brunes de toute façon ! Elle ont du chien au moins. Elle le regarda droit dans les yeux, provocatrice, le pouce en l'air, en mimant un « wahou la vanne du siècle ! Ça fait trop mal, ouille !» Il ne releva pas, attendit un peu et reprit :
- Et toi ? Elle roula les yeux.
- Moi quoi ? Sans cacher son profond agacement.
- C'est quoi ton type d'hommes ?
- Les muets pour ne pas avoir à entendre leurs conneries. Il fit un « yesssssss » de la main en fermant le poing. Elle le regarda surprise !
- Ben oui, je suis chanceux, j'ai une VOIX, je PARLE ! Et il jeta un œil à sa montre pour montrer lui aussi qu'il en avait assez d'attendre. Elle se cala contre une paroi, croisa ses bras en position d'attente dans un silence religieux. Après quelques minutes encore, il commença à chantonner. Elle le regarda.
- Je ne voudrais pas que tu me prennes pour un muet et que d'un coup d'un seul tu me sautes dessus, donc je me manifeste.
- Il n'y a pas de danger que ça arrive.
- Ah ouais ! Ben je vais quand même continuer à chanter pour être sûr.
Elle leva son majeur en guise de réponse.
- Et vulgaire en plus ! Je me demande bien ce que mon frère pouvait te trouver. Et deux doigts d'honneur pointèrent cette fois.
- « Package » promotionnel du jour ! Ajouta-t-elle.
- Wahou ! Quelle vanneuse… euh vaseuse je voulais dire. Lança-t-il sans grande conviction.
- Tu as été recalé à l'école du cirque dis-moi, tu tentes comique à présent ? Il lui fit un petit clin d'œil genre « pas mal celle là ».
- Oui et je me suis spécialisé dans les blagues sur les blondes, t'en veux une ?
- Non merci ! J'ai pris mon petit déjeuner, je vais éviter de le régurgiter sur tes chaussures. Maintenant si tu insistes.
- Vulgaire, fade et agressive. Que de qualités dis moi ?
- Tu noteras que je suis partageuse, je t'ai laissé stupide, inintéressant et lourd.
- Tu es bien prétentieuse quand même, tu aurais donc une qualité ? Partageuse ! Première nouvelle.
- Non deux qualités ! Je coupe le volume sonore quand j'estime que la conversation est terminée. Et elle s'assit sagement par terre en s'emmitouflant dans son manteau, ramenant son sac à malice sur son ventre. Ils restèrent chacun de leur côté, attendant qu'une main invisible vienne les sauver du pire Noël de leur vies respectives. Et pourtant l'originel en avait connu quelques uns qu'il aurait pu qualifier de « terribles ». Au bout d'une heure, ils soufflaient chacun leur tour, trouvant le temps long. Kol se décida à tenter une nouvelle approche.
- Écoute, on est bloqué… On en a peut-être pour des heures… On se fait un petit jeu. Elle le regarda, glaciale.
- Ok ! Jeu de sept familles… Je commence… Alors dans la famille Psychopatha je voudrais le fils cadet. Arf j'oubliais, chanceuse comme je suis, me voilà coincée dans un ascenseur avec. Et elle souffla d'exaspération.
- Comme tu veux ! Se contenta-t-il de répondre. Il patienta un quart d'heure de plus et il recommença à chantonner, le plus faux possible bien entendu. Voyant qu'elle ne réagissait pas, il continua un peu plus fort. Elle sentait sa tension monter en flèche, sa colère devenir volcanique, elle se remit debout alors il fit de même. Quinze minutes déjà qu'il se prenait pour Mick Jagger ! Elle savait qu'il le faisait exprès, c'était juste impossible de chanter aussi mal. Elle commençait à montrer des signes d'énervement. Son pied qui martelait le sol, ses doigts tapotant sa cuisse. Quand son compteur patience explosa, elle ne put se contenir plus et partit avec sa vitesse vampirique. Elle colla son visage à trois centimètres du sien.
- Arrête tout de suite ! Menaçante. Elle était tellement énervée qu'elle ne s'était même pas aperçue qu'elle avait des veines noires autour des yeux. Le moment parfait pour lui, celui qu'il attendait pour agir. Il la plaqua contre la paroi, une main de chaque côté du visage et, lui mangea littéralement la bouche d'un baiser fougueux. Elle fut tellement surprise que ses jambes se dérobèrent. Il la rattrapa de justesse et il la fixa les yeux gorgés d'envie. Il adorait ce genre de petite peste qui lui résistait, ne cessant de le repousser pour mieux l'attirer. Surtout quand il décelait qu'elles étaient particulièrement coquines et son sac, rempli de gadgets en était la garantie. Bien sûr qu'il aurait pu l'hypnotiser sans aucun scrupule mais il avait l'instinct du prédateur. Et ce qui l'amusait par dessus tout, c'était précisément ce jeu de chaud et froid chaud chaud chaud qui lui titillait l'estomac à chacune de leur joute verbale. Il sourit en penchant légèrement la tête sur le côté. En fait, depuis leur premier regard dans l'ascenseur, il voulait la posséder, elle n'avait cessé d'éveiller son appétit.
- On dit s'il te plait quand on est une jeune fille polie.
- Va te faire… Elle n'eut pas le temps de répondre qu'il lui mordit la lèvre supérieure et elle sentit un frisson. Son compteur sexuel étant à –1000 depuis des mois, ses pensées tournées vers des plaisirs solitaires depuis des heures sans aucune possibilité de les assouvir et son corps tout particulièrement en éveil qu'elle ne trouva rien à rétorquer. Il frotta sa joue contre son visage et la regarda.
- Tu me prêtes tes joujoux que je m'amuse un peu. En baissant les yeux pour s'attarder sur le sac. Elle déglutit nerveusement. Elle était retournée par la situation et trouva juste la force de dire.
.- Laisse-moi tranquille ! D'une voix perdue cette fois. Il ouvrit d'un coup sec son manteau découvrant avec délice une nuisette transparente. Il sourit d'autant plus et elle put le voir dessiner une nouvelle mimique, non de moquerie ou de surprise mais un immense respect. Décidément cette fille était vraiment « sa came » à n'en pas douter. Il effleura un de ses seins. Elle ne bougea pas, confuse, se mordant les doigts d'avoir été assez stupide pour oublier de s'habiller décemment en quittant son logement quelques heures auparavant. Là, il prit sa forme vampirique lui aussi et piqua le bout de son index sur une de ses canines pour en extraire une goutte de sang qu'il lui déposa juste sur le coin des lèvres.
- Comme tu voudras ma belle. En léchant toute son oreille. Elle ferma les yeux quand il se détacha et évita son regard. Il alla à l'opposé en la déshabillant goulûment, la bouche gourmande. Elle referma son manteau et fixa un point imaginaire au sol. Mais il avait ferré sa proie et ne comptait pas en rester là. D'autant qu'elle présentait tous les signes d'un vampire en manque. Elle était irascible, nerveuse, troublée. Bien qu'habituée au contrôle, Caroline avait désespérément faim. Elle s'était levée avec cet appel du sang dont seuls les suceurs reconnaissent les signes. L'odorat s'affine, cherchant la moindre effluve sanguine pour inviter à la dégustation. Le tympan se tend comme un arc et repère les battements de cœur. La bouche s'assèche et même déglutir devient difficile. Et pourtant la blonde en avait une maîtrise totale. C'était sa marque de fabrique, elle était capable d'attendre des heures avant de s'abreuver. Son truc à elle ! Seulement la situation présentait une différence notable. Cette goutte sur le coin de la lèvre lui chatouillait les narines au point d'accaparer toute son attention. Sa bouche ne cherchait qu'à s'ouvrir pour que sa langue s'en délecte. Elle aurait pu la faire disparaître du pouce. Mais elle n'y parvenait pas. Kol, quant à lui, patientait sagement, admiratif qu'une si jeune vampire puisse si bien garder son sang-froid. Elle tenait bon et ça renforçait ses certitudes. Elle n'était définitivement pas comme les autres. Et Caroline quant à elle, vivait une réelle dualité. C'est alors qu'elle tentait de se changer les idées qu'elle entrouvrit machinalement les lèvres, laissant le liquide la pénétrer. Elle sentit une explosion de saveurs en bouche qui lui firent réaliser qu'elle était juste affamée. Elle commença à haleter. Elle tenta de se calmer en inspirant doucement mais rien n'y fit.
Il ouvrit en partie sa chemise ce qui attira son attention.
- Qu'est-ce que tu fais ?
- J'ai chaud ! Quand son torse fut à moitié visible, il se mordit la main et vint la frotter contre ses pectoraux.
Elle se rua sur lui et commença à le lécher jusqu'à le nettoyer entièrement. Il se débarrassa de son haut qu'il jeta au sol, enfouit une main dans ses cheveux pour l'amener plus encore au contact de sa peau. Il se croqua à nouveau et enduit une nouvelle fois ses pectoraux. Elle le dégusta mais cette proximité soudaine lui rappela les plaisirs charnels dont elle manquait cruellement depuis des mois et des mois. Cette proximité avec l'autre, cette envie qui arrive d'un coup et ne vous quitte plus tant que vous n'êtes pas libéré. Elle le mordit, bu quelques gorgées et alors qu'il était en pleine extase, elle perdit tout contrôle. Au diable les principes, les jugements, les conventions, il avait envie, elle aussi, entre adultes consentants, ils étaient coincés. Elle avait faim de sang… et de… de… de lui.
- Juste une fois et c'est tout Kol c'est clair ?
- Oui ma belle, pour passer le temps.
- Voilà !
Il tira sur son manteau et le laissa choir au sol. Il l'observa, ses seins lourds comme des poires juteuses aux mamelons durs qui ne demandaient qu'à être cueillis. Il en attrapa aussitôt un qu'il goutta. Elle laissa tomber sa tête en arrière de plaisir.
- De toute façon on se déteste. Lança-t-elle !
- Oui ! Je préfère les brunes.
- Et moi les muets… Et toi, tu parles tout le temps en prime.
- Et je chante aussi. Il se mit à genoux et plaça la jambe droite de Caroline sur son épaule. Il l'ouvrit en s'aidant de ses mains.
- Oui… Mal… Très mal ! répondit-elle. Il enfouit sa langue entre ses lèvres, la contraignant à se taire et s'amusa à jouer avec son bouton d'or. Il le contournait, fonçait droit dessus et au dernier moment passait à côté. Caroline n'en pouvant plus saisit sa tête et tenta de l'approcher plus près pour protester mais rien n'y fit, il avait décidé de la faire languir. Elle qui n'avait pas consommé depuis des lustres, à l'échelle vampirique, on aurait pu dire des siècles n'en pouvait plus. Son corps hurlait !
- S'il te plait ! Implora-t-elle. Alors qu'elle passait nerveusement ses mains dans les cheveux châtains de l'originel.
- Ça fait combien de temps ? Elle comprit de suite qu'il lui demandait depuis quand elle n'avait pas eu de rapports.
- Presque deux ans ! Il se dit que ça allait être torride et se sentit durcir au point d'en éprouver une certaine gêne. Ça lui arrivait uniquement quand son excitation était à son paroxysme et lorsqu'il tombait sur une partenaire à laquelle il était particulièrement réceptif. Et jamais deux fois de suite ! Mais ça annonçait toujours, chez lui, des orgasmes ravageurs.
- Autant dire une éternité. Surenchérit-il connaissant parfaitement l'appétit insatiable des vampires sur la question.
- Ouiiiiii ! En attirant à nouveau sa tête vers son intimité. Cette fois il n'esquiva plus son petit bouton. Il le toucha, le chatouilla, le caressa, le palpa, le tâta, le pinça légèrement. Caroline mit son pied sur l'épaule du vampire pour lui ouvrir la voie et il la flatta de deux doigts, la longeant puis l'explorant plus intimement. Au départ un peu gênée, elle modérait ses gémissements pour se donner bonne figure mais à présent que son orgasme s'annonçait, elle n'y fit plus cas et alla jusqu'à geindre pour finir sur le long cri salvateur tant attendu. Il replaça délicatement son pied à terre et se mit debout. Elle le regarda tellement soulagée qu'il vit des remerciements dans ses yeux. Il détacha sa ceinture, déboutonna son pantalon et le fit glisser avec son boxer à ses genoux. Elle le laissa faire et rougit de constater comme la nature pouvait être généreuse avec certains hommes. Se sachant particulièrement gâté, il lui adressa un regard comme un « Avoue que ça aurait été regrettable de s'en passer » et la souleva contre la paroi, ses jambes nouées à sa taille. Il tenta de l'embrasser intensément mais elle se contenta de répondre par de petits baisers sans pour autant consentir à joindre leurs langues. Passablement agacé, il se positionna devant son entrée et s'enfonça d'un coup sec ce qui lui arracha un cri réprobateur. Il avait veillé à ne pas aller trop profondément, le but n'étant pas de la blesser mais de lui manifester son mécontentement. Il fut prit à son propre piège elle était étroite et quand il s'engagea, il eut une sensation tellement forte qu'il faillit en perdre l'équilibre. Il bougea, s'agita, se tortillant, se moulant petit à petit en elle, la laissant s'accoutumer à lui. Caroline était une dominante et il sentait qu'elle gérait une partie de l'acte charnel en l'empêchant par la pression de ses cuisses de la conquérir entièrement. Alors il plaça une jambe de la blonde sur son avant bras, s'affaira un peu encore, puis fit de même avec la deuxième et continua un moment pour qu'elle s'habitue. Il cherchait à chaque fois une approbation dans ses yeux et les gémissements de plaisir qu'elle lui adressait le confortait et l'encourageait à poursuivre la délicate manœuvre. Il prit alors l'un des mollets de la jeune vampire puis l'autre qu'il glissa sur ses épaules, encore quelques va et vient de plus en plus appuyés pour la tester. Caroline n'avait jamais tenté telle position ! Et bien que réservée chez les humains aux gymnastes confirmés les plus endurants, Kol, de par son statut d'originel ne peinait absolument à pas à la soulever. D'une main, il arrivait même à la maintenir en position contre le mur poussant même son habileté jusqu'à lui caresser un sein de l'autre. Elle se surprit à se féliciter d'avoir trouvé un partenaire si expérimenté. Elle jubilait de ses nouvelles sensations même si elle se savait totalement à sa merci, ne pouvant plus du tout gérer la profondeur de pénétration. Il ne manqua pas de saluer la souplesse de sa partenaire.
- Tu es vraiment douée ma belle.
- Tu n'es pas mal non plus !
- Pas mal ? En s'arrêtant net presque entièrement à l'extérieur. Elle sentit une énorme frustration l'envahir.
- Je voulais dire, tu es génial… Il entra de trois bon centimètres et se figea à nouveau… Exceptionnel en fait… Il la gratifia de quatre de plus… Extraordinaire, voilà c'est ça… Il mit le reste doucement jusqu'à buter tout au fond de son corps. Elle écarquilla les yeux en poussant un cri. Rien d'alarmant ! Tout au contraire.
- Tu vois que ce n'est pas difficile. Elle était excitante quand elle l'envoyait bouler mais succulente à consommer et tellement coopérative une fois lancée. Pour sûr, il ne l'oublierait jamais. A présent, il pouvait aller et venir sans risquer de lui faire mal, elle l'acceptait entièrement, mieux elle l'encourageait. Elle essaya bien une fois de placer ses mains sur sa taille pour reprendre un peu de contrôle mais il l'en dissuada du regard alors elle entreprit de glisser ses doigts derrière ses jambes et de lui caresser les pectoraux, zone à l'évidence érogène chez lui, ce qui lui permit à elle-aussi, de se venger gentiment. Avant de se perdre totalement lui aussi en lâchant prise, il s'adressa à elle une dernière fois.
- T20E4 Caroline ! Elle l'interrogea du regard, tentant de comprendre. Il baissa les yeux vers leur point de jonction.
- C'est la taille qu'il te faut. Elle comprit alors ce qu'elle devrait choisir à sa prochaine virée en face de l'immeuble et sourit.
- Merci ! Je n'oublierai pas.
- Je vais y veiller. Elle su que c'était donc précisément sa taille à lui mais ne releva pas.
Elle était tellement humide qu'elle l'avait entièrement trempé jusqu'à mi-cuisse. Il adorait les femmes qui lui montraient comme il était bon amant. Et quelle meilleure preuve que ce délicieux liquide qui luisait sur ses membres inférieurs, lui créant des sensations particulières alors qu'en bougeant il sentait comme un léger souffle frais venir le caresser. N'en pouvant plus, il accéléra, s'engouffrant au plus loin, donnant alors qu'il était entièrement en elle, des coups de bassin puissants pour qu'elle apprécie plus encore son gabarit. Ils finirent sur une note de musique inconnue d'un piano lui-même mais prouvant leur orgasmique jouissance mutuelle. Il bougea un peu encore pour leur permettre de redescendre lentement. Et comme quand il l'avait hissée sur son perchoir, il s'assura de replacer une jambe après l'autre délicatement pour qu'elle même puisse reprendre le contrôle de ses membres engourdis. Ils terminèrent tous deux debout, collés l'un contre l'autre, reprenant leur souffle en se frottant un peu encore avant de définitivement rompre le contact corporel. Il se séparèrent et il remonta son boxer, son pantalon, boucla sa ceinture et enfila sa chemise. Elle ramassa son manteau qu'elle referma sur sa nuisette et ils se terrèrent dans un silence religieux, chacun livré à ses impressions. Il restèrent quelques minutes ainsi sans se préoccuper de l'autre. Il se dit que ça avait été magique, que l'avantage quand on part pour une seule fois c'est qu'on y met tout ce qu'on a. Mais quelle délicieuse jeune femme quand même. Il la regardait un peu et revenait à ses pensées. Elle fixait un point sans en dévier. Petit à petit, il ne put plus détacher ses yeux d'elle, il la revoyait soumise dans ses bras, succulente et radieuse. Sa peau, son contact, son odeur, son goût le renvoyait à un moment à présent impossible. Sentant son insistance, elle le regarda.
- On a dit une seule fois Kol !
- On n'a pas de jeu de sept familles ! Tu vois autre chose à faire ? Elle se posa un instant.
- Non ! en se ruant sur lui. Elle fut un peu confuse d'avouer sa gourmandise, se pinça les lèvres et croisa les jambes comme pour s'interdire quelques secondes encore l'inévitable. Il lui avait fait découvrir une position acrobatique qui lui plaisait tout particulièrement. Elle n'avait qu'une envie, recommencer. De son côté il se dit « Deux fois en une heure ! Voilà qui devient intéressant.» et se satisfit de cette pensée.
- Alors juste pour la bagatelle comme on dit Monsieur.
- Oui juste pour le plaisir d'y goûter à nouveau Mademoiselle. Elle arracha sa chemise. Trop long de défaire les boutons, et pas de temps à perdre. Le manteau de Caroline tomba au sol une nouvelle fois. Elle balbutia.
- Et je voudrais bien une nouvelle ration de… Lui faisant des signes pour mimer la position découverte du jour.
- La tour infernale ? …Oui, bien sûr ! Il avait pour habitude de donner sa propre dénomination aux positions du Kama-Sutra… On pourrait tester aussi le tête à queue royal si tu veux ? Les yeux de Caroline s'illuminèrent alors qu'il souriait dans son cou.
- Euh ! Fit-elle ne sachant absolument pas de quoi il pouvait bien parler. Mais les baisers qu'il déposa sur son buste furent la promesse d'instants bénis qui suffirent à la mettre en confiance. Okkkkk, va pour une double-ration de celle-là. Il tenta une nouvelle fois de l'embrasser mais elle déclina l'invitation se contentant de petits baisers. Il aurait pu s'en offusquer mais au fond ça l'excitait tellement qu'elle lui refuse un petit quelque chose. Il décida de ne rien dire et de profiter de ce qu'elle lui permettrait. Cela l'avait comblé une première fois. D'ailleurs comme entrée en matière puisque qu'elle lui refusait l'accès à sa bouche, il l'attrapa, la retourna, la mettant la tête en bas en repliant ses jambes pour avoir une position confortable et plongea sa langue entre ses lèvres pubiennes, accessibles celles là. Il lui offrit du coup, l'occasion d'admirer de plus près le fruit tendu qui lui avait donné du plaisir un peu plus tôt. Elle n'hésita pas une seule seconde et le prit en bouche. Elle s'aida de ses doigts pour le découvrir. Elle toucha lentement chaque centimètre afin de repérer les zones les plus sensibles et tenter d'en percer les mystères. Glissant un bras au creux de ses reins pour la maintenir fermement il put libérer une de ses mains et alors qu'il s'affairait à titiller son point sensible, il lui indiqua en caressant ses cheveux le rythme qui lui convenait le mieux. Quand il estima, qu'ils étaient tous deux repus de leur royale posture, il la redescendit face à lui. Il tenta à nouveau un baiser mais se heurta une fois de plus à un « non ». Grognon, il lui fit faire demi-tour et la plaqua contre la cloison. Il s'enfonça en elle, la faisant crier. Il l'attrapa par les hanches et chercha l'angle le plus favorable. Elle gémit et quand il fut sûr aux sons qu'elle émettait qu'elle se gorgeait de plaisir, il décida de ne plus changer l'axe. Il se colla au maximum contre elle et l'enserra de ses puissants bras. Il lui présenta son avant bras. Elle hésita mais quand elle sentit des canines chatouiller son épaule, elle craqua et croqua à son tour. Encore une fois, peut-être à cause du manque, elle n'aurait pu l'expliquer mais elle ressentit des voluptés d'une si grande intensité que des larmes coulèrent le long de ses joues. Il geignait dans sa nuque et elle s'essoufflait sur son bras. Il ralentit le rythme, préférant profiter du moment que de l'écourter trop vite. Il la retourna, sa poitrine lui manquant trop. Pour calmer un peu les choses, il lui prit un sein et fit rouler de bout de son mamelon entre son pouce et son index. Elle était aux anges mais au bout d'un moment voyant qu'il ne se décidait pas à les unir, elle protesta de quelques mouvements de bassin.
- Gourmande ! Elle ne dit rien mais ses yeux avouèrent, créant en lui, un désir encore plus grand. Il comprit ce qu'elle attendait et l'attira à lui en la montant pour nouer ses jambes à ses hanches. Alors qu'il s'amusait en elle, l'ascenseur trembla et redémarra comme par enchantement ce qui les fit tous deux grogner de rage. Pourquoi fallait-il toujours qu'un coup du sort s'en mêle, il n'aurait pas pu attendre vingt minutes, trente tout au plus. Ce n'était absolument pas le bon moment. Ils oubliaient que deux heures auparavant, ils râlaient coincés. Le 30ème étage arriva et les portes s'ouvrirent. Il s'arrêta pour la regarder s'interrogeant sur ce qu'il y avait lieu de faire. Ils se fixèrent quelques secondes mais le plaisir inassouvi les rappela à l'ordre.
- On va chez moi ? Demanda-t-il.
- Elle lui fit « oui » de la tête en plongeant dans son cou pour le dévorer à nouveau. Il reprit ses va-et-vient en se calant tout au fond à chaque coup de rein lui arrachant de généreux cris de satisfaction. L'ascenseur se figea à nouveau alors que le 33ème s'affichait. Il se mordit la lèvre inférieure un peu penaud et avoua en se grattant la tête.
- Je me suis trompé d'étage en appuyant sur le 3ème. Elle lui tapa dans le dos en voulant se dégager, n'appréciant que moyennement la révélation mais il réussit à la calmer en mettant ses jambes sur ses épaules et après quelques coups de rein supplémentaires, la ramena à de meilleures dispositions. Il géra ses émotions pour s'assurer de ne pas avoir terminé avant d'être arrivé. Quand il vit s'afficher le 4ème étage, il récupéra sa veste, sa chemise et le reste avec son pied sans oublier de s'activer en Caroline pour ne pas lui faire perdre son enthousiasme. Il lui enveloppa les épaules avec le manteau la maintenant toujours en position. Il sortit alors que les portes coulissaient. Il chercha ses clés dans sa poche et ouvrit son logement. Il allait entrer quand il se ravisa et fit demi-tour. Il se figea devant la porte de l'appartement face au sien. Il attrapa le sac de Caroline, fouilla pour en retirer l'objet qu'il avait repéré. Il déposa le reste sur le paillasson de sa voisine et sonna. Caroline le regarda stupéfaite. Il se retourna et rentra chez lui tandis que la blonde tendait une main désespérée vers son sac aux nombreuses promesses en protestant. Il claqua la porte derrière eux. Elle le regarda boudeuse.
- Quoi ! Elle fait toujours la tête et ne dit jamais bonjour, elle en a plus besoin que toi je t'assure. Et puis j'ai pris un extra, en sortant un gadget vibrant bleu azur de sa poche. Là il fit deux tours de clé pour verrouiller l'entrée, se dirigea vers la fenêtre, l'ouvrit et les jeta à l'extérieur sous le regard stupéfait de Caroline.
- Tu es ma prisonnière à présent. Une fille qui se promène en nuisette transparente, sans culotte, avec un manteau pour tout vêtement dans les rues de Chicago le soir de noël avec un sac rempli de sextoys, c'est vraiment une femme pour moi. Je n'ai jamais vu ça et j'ai cherché crois-moi. Au jeu des probabilités, je viens de gagner au loto et j'ai tiré le gros lot, je le garde. Alors non ce ne sera pas deux, ni trois, ni cent fois… Je vais m'ancrer dans ton corps pour ne plus jamais en sortir. Tu restes avec moi, c'est compris ? Lui dit-il fermement. Il la posa sur le plan de travail de la cuisine, toujours en elle et la fixa. Ce n'était pas de la gourmandise, de l'envie ni du jeu qui apparut dans ses yeux mais de la sincérité. Il ne plaisantait pas ! Pour toute réponse elle joignit leurs lèvres et, conquérante et goulue, entra dans sa bouche pour lier leurs langues. Il profita de cet instant qu'elle acceptait enfin de lui donner en grognant de satisfaction. Il sentit comme une gêne au niveau de sa prédominance mais continua à s'activer dans sa chair, sachant que d'ici un moment, tout serait juste parfait. Il la souleva pour la conduire dans la chambre.
Personne ne revit les deux tourtereaux et nul s'en n'inquiéta mais tout le monde s'accorda à dire que la voisine du 3ème était devenue bien aimable.
Je tiens à remercier l'ensemble des reviewers qui ne sont définitivement pas insensibles à cet OS pour mon plus grand bonheur. Un immense MERCI ! Vraiment. Pour le coup, je suis bluffée... Quel hommage pour Kol ! Je suis aux anges. Sincèrement... Je vous applaudis.
Réponse aux reviews annonymes :
Brokenheart : Tout d'abord merci pour ta review. Pour te répondre, j'annonce dès le départ que je sers le Kolorine dans cet OS. Il n'est donc pas question de Klaus. Je ne crois pas m'économiser pour le Klaroline puisque j'en suis à 38 chapitres sur « Pour une autre danse ». C'est mon premier ship et mon seul. Pour cet OS, je l'explique en haut. J'ai voulu faire plaisir aux fans du couple. J'ai des reviewers qui m'ont fait des appels du pied. J'ai vu qu'il n'y avait personne pour répondre à leur frustration, j'ai tenté de mettre ma pierre à leur édifice et j'y ai pris un immense plaisir, sache-le. Klaus n'a pas sa place dans cet OS. C'est comme si nous étions dans un monde parallèle en fait et dans ce monde là, il n'est pas question de Klaroline mais de Kolorine. C'est tout ! Désolée. Bisous.
Loveklaus : Et oui les team Kolorine existent et les pauvres sont bien mal loties niveau fictions. Je suis également une team Klaus. Et j'adore le Klaroline ! Je ne vais pas entrer dans des polémiques. Tu connais sans doute les arguments des Klaro et moi des antis. Toutes les séries qui durent sur plusieurs saisons ont cette problématique des filles ou des garçons qui passent de bras en bras. Quoiqu'il en soit je respecte toutes les teams. Merci pour ta review.
Guest : J'ai fermé les yeux en lisant le début de ta review et je n'en ai retenu que la fin. Merci ! C'est pas ce que tu dis qui me gêne, c'est la manière dont tu le dis. Tu n'as pas tort sur tout mais tu n'as pas forcément raison sur tout non plus. Quand même tu y vas fort avec Elena. Je l'ai dit et je le répète, toutes les séries qui durent sur plusieurs saisons ont cette problématique des filles ou des garçons qui passent de bras en bras. Caroline, Elena, Bonnie n'y échappent pas !
Nomie : Coucou toi ! Tu sais ce que je ferais à ta place. Je glisserais à mon copain une copie de cet OS en surlignant les parties lemon puis je lui enverrai ta review. S'il n'est pas bête et qu'il fait le rapprochement, tu risques de te faire coincer dans un ascenseur ! ptdr
Pattenrond : Merci pour ta review et tes gentillesses. Le top !
Lilas : Compte tenu des reviews qui ne cessent d'arriver. Il ne laisse pas indifférent c'est clair. Une suite ? Je voudrais dormir un peu de temps en temps ! lol Je ne sais pas. Avec moi tout est toujours possible. On verra. Bisous et merci merci merci.
LyraParledOr : Je vais te renvoyer à ma réponse à Brokenheart où j'explique ma démarche. Klaus n'est pas parti à la chasse, l'histoire de cet OS n'est pas Klaroline mais Kolorine. C'est tout simple. Merci pour ta review. Et t'inquiète pas, je suis Klaroline, et j'arrive prochainement sur « Pour une autre danse » où il est question de Klaroline justement.
SoannaLittle7 : Merci pour tous les adjectifs ! lol Je suppose que tu fais référence à « Pour une autre danse », ma fiction klarolienne, mon bébé dans ta review. Je suis vraiment touchée que tu en entendes des louanges. Ça me rappelle qu'il va falloir que je m'y mette, je ne l'oublie pas !
Guest 2 : Je n'ai pas gardé ta review. Elle ne concernait pas mon OS. Désolée !
CherryOnTheCake : Merci pour ta review et pour le compliment sur « le petit bijou ». Je trouve l'expression très sensuelle non ? Je vais la replacer quelque part ! lol Si seulement je ne recevais que des reviews comme la tienne. Merciiiiiiiiii.
SeleniaKlaroline : Je vais finir pas ne plus savoir quoi dire. Le compteur s'emballe ! mdr Ecoute ! Je suis ravie que aies aimé cet OS.
Lil Chan : Ptdr ! Ben dis donc ! Je crois que le lemon manquait vraiment côté Kolorine. C'est vraiment l'ours en captivité ! ptdr Je commence à m'inquiéter… Je vais être harcelée de demandes ! ptdr Merci pour ta super review.
Smizekk : Ben v'là autre chose. Il va falloir que je rembourse les culottes. J'ai rigolé mais rigolé en te lisant si tu savais… Imagine le fait divers… Un auteur du site FF vient d'être condamné à rembourser toutes les culottes usagées de ses lecteurs. Il est ruiné ! ptdr Pardon mais, tu me fais penser à des bêtises hein ! Merciiiiiiiii, j'adore les gens qui s'assument.
DiaboloHell658 : Décidément, je vais devoir me taire et ne plus bouder les lecteurs anonymes en me disant que tout le monde s'en fout parce que j'ai fait le plein de review ce soir comme jamais auparavant ! Je ne m'en plains pas, je suis juste ravie. Apparemment tu as lu d'autres choses de moi, c'est cool. Merci pour les compliments, pour ta review et à très bientôt j'espère.
Miss Kol : Coucou Madame ! Merci pour ta review. J'ai rigolé quand tu as parlé de « la tour infernale ». Ca m'a renvoyé au cœur de cet OS. Malheureusement, tu m'as ramené à la réalité avec ta tour de la terreur versus Mickey. C'est un rating « M », que vient faire une souris ici ? Franchement Miss Kol, tu exagères ! Je plaisante.
Lexi : Merci beaucoup pour ta review. Par contre pour le « Ta FF ma toute retournée et Chamboulée! » je ne connais qu'une méthode, les fesses dans une cuvette avec des glaçons ! Excuse-moi deux minutes, ça sonne à la porte… Oups, je vais devoir te laisser, ma commande de 500 kg de glace est arrivée. Au vu des reviews, je prévois cette fois pour vous toutes pour le prochain Lemon. Ptdr Et ouiiiii, elle est tombée sur toi celle-là ! Désolée. Bisous
Rubi : J'ai adoré ta review surtout le "tout ça à cause de toi". Ben voilà, je vais devoir endosser "tes chaleurs" en plus de mes nuits d'écriture... C'est pas un peu facile ? Je dis non, non, non ! J'ai déjà suffisamment à faire des miennes ! ptdr
blood-of-vampire : Encore une histoire de culotte. Pourtant tu sembles connaître mon écriture alors en cas de procès, j'invoquerai les circonstances atténuantes disant que tu étais parfaitement au courant et je demanderai à ce que tu viennes lire un passage du lemon à la barre ! Qu'on mette un peu d'ambiance dans le tribunal ! ptdr Merci pour ta review très drôle et pour tous tes compliments !
Houna843 : Je te remercie pour ta review qui m'apprend que j'ai une réputation... Je me dis laquelle, curieuse ? Peut-être celle d'être génialissime ! Et là, patatra les boulasses... Je te cite "Tu as la réputation d'écrire des trucs hyper osés" ! Comment dois-je le prendre ? Je m'interroge ! Bon ben, tant pis pour moi, je serai contrainte de changer de pseudo bientôt pour "MilleDélices" ptdr. C'est moins classe que Klarolisia quand même mais tellement plus érotique ! Enfin je dirai pour rebondir sur ton " le lemon était très très citronné", qu'heureusement qu'il me reste un zeste d'humour ! niarck niarck
Lupe : Bonjour Lupe ! Merci pour ta review détaillée qui livre ton ressenti pour la série et mon OS. Je vais te répondre par rapport à ce que j'ai écrit mais j'apprécie vraiment le temps que tu as pris pour t'expliquer. Alors pour les clés du logement, je m'étais imaginée pour ma part, connaissant Kol, qu'il sortirait un double à un moment ou un autre avec un sourire malicieux ! lol Pour le fait qu'il partage son sang facilement : comme tu dis, nous sommes dans un monde vampirique et il est très vieux. il est expliqué clairement qu'il a envie d'elle au premier regard. Plus les minutes passent et plus il la désire. Dès le départ, elle le gifle littéralement (c'est une image), il décide de laisser croire qu'il habite au 33ème au lieu du 3ème pour passer un moment avec elle. Il aime jouer. Mais il comprend que la partie n'est pas facile et le fait qu'elle n'ait pas vraiment la langue dans sa poche l'attire d'autant plus. Je crois, pour ma part qu'il est du genre à passer outre quelques considérations "personnelles" si ça lui donne l'assurance de prendre son pied, il y a déjà goûté donc il sait où il va je crois. Et il me semble qu'on comprend à la gêne qu'il éprouve deux fois qu'elle est définitivement quelqu'un de particulier pour lui. Comme un vampirique coup de foudre en fait. Mais ce n'est que ma vision des choses. Enfin pour la phrase sur les brunes. Il y a ce qu'on dit et ce qu'on pense. Il la cherche mais elle ne veut pas jouer, elle le repousse alors il la pique. Si elle avait été rousse, alors il aurait préféré les blondes. lol Voilà ! j'espère t'avoir éclairée sur mon approche. Merci encore. Bisous
Saphira : Coucou toi ! Oui oui oui, c'est bien clair pour moi... Je t'ai perdu à la lecture à un moment ou un autre. Je plaisante ! Je te remercie pour ta review. Ça fait tellement plaisir d'en recevoir si tu savais. Et là c'est impressionnant la quantité ! J'ai jamais vu ça. C'est moi qui vais finir par rougir.
Juliette : A ce rythme là, je vais passer mes nuits à écrire et mes journées à répondre aux reviews... A choisir, je prends quand même, je me reposerai une fois morte lol. Écoute, comme je l'ai dit je suis klaroline pour ma part mais je voulais servir le Kolorine et je suis enchantée de voir comme vous en êtes contents. Kol n'avait aucun "rating M". Il en a à présent. Alors pour Caroline, je dirai simplement qu'elle vient au sexe par manque au départ c'est clair mais elle découvre dans ses bras des sensations encore jamais éprouvées. Du coup, elle y retourne vite. Et à la fin, quand il lui dit sincèrement qu'il la veut dans sa vie, elle répond par un savoureux baiser. Tout est dit ! Et si on ne les a jamais revus... C'est sans doute qu'ils sont très occupés ! ptdr Alors pour le lemon, j'ai horreur des vulgarités. Je trouve que ça coupe tout ! C'est juste mon point du vue. Je veille à ne pas l'être. Pour un deuxième chapitre ? Je ne sais pas, je ne dis pas non... Mais je ne dis pas oui non plus. On verra ! Merci beaucoup.
lilly-rose : Merci Lilly pour ta review mais je crois que c'est trop tard pour le "on aimerait l'avoir dans son lit ton kol". Caroline a bien compris son intérêt, prouvant sa grande intelligence et par malheur kol n'a d'yeux que pour elle. Bref c'est la loose totale pour nous cet OS. Je vais m'envoyer une réclamation ! ptdr
coco-des-iles : Bonsoir Coco ! Ben nous voilà dans de beaux draps avec un lac gelé ! mdr Ne donne pas les coordonnées parce qu'avec le nombre de personnes qui disent avoir eu chaud, j'ai peur qu'il n'en reste rien une fois que nous nous serons tous posés dedans. Pour répondre à ta question, je n'ai pas pensé à une suite. Cela ne veut pas dire que je ne le ferai pas mais dans l'immédiat je suis dans autre chose ! lol Merci beaucoup pour ta review.
Takenya : Super ta review. Je suis tellement contente qu'il vous plaise. Et même si le Kolorine ne restera qu'un rêve pour TVD, ici il existe bel et bien.
KhassidyMasen : Et oui, température quand tu nous tiens. Merci pour tous les compliments. Et pour la suite, on verra je ne sais pas mais c'est vrai qu'il y a dans le Kolorine comme une combustion. C'est un couple très intéressant assurément. Je suis ravie pour le petit copain... Et pour l'ascenseur, c'est pas grave, cette scène demande des répétitions. Commence à la jouer sans le décor ! ptdr. Bisous.
Scrat : Je te remercie pour ta review... Et compte tenu de l'engouement pour ce chapitre, j'avoue que c'est très tentant pour moi de faire un deuxième chapitre au moins pour tous vous remercier... J'y pense ! Si j'arrive à faire quelque chose du même niveau... Alors on se reverra ! Sinon bonne route. Bisous.
aurelia1979 : Bonsoir toi ! Et maintenant le congélo ! hi hi hi Vous avez des idées je vous jure. Incroyable ! lol J'ai noté pour la suite ! lol
like-lemon : Décidément... Que pourrait-il bien se passer après ça hein ? Que de demandes, c'est fou ! La fin frustrante ? Elle est bonne celle-là ! ptdr Merci pour ta review petite filoute.
Mimi : Oui ! Pour Noël 2015... Sinon tu peux te rabattre sur Polo, Allan etc... Ptdr Et pense à ne pas abuser du congélo ! Imagine qu'il pète et que je mette un deuxième chapitre hein ? Tu fais quoi à ce moment là ? hi hi hi ... Je plaisante... Merci pour ta review. Bisous
Ashly1Rose : Quand j'ai lu que tu allais être vulgaire, je me suis demandée à quelle sauce j'allais être mangée mais non... Tout va pour le mieux ! lol OUF ! Merci pour tant de compliments. Je vais finir le derrière dans le congélo, pas à cause de l'OS mais des reviews. Un comble quand on y pense quand même ! Merci beaucoup Ashly.
YeYel29 : Coucou toi ! Ce n'est pas une fiction, au départ c'est un OS... Mais comme les lecteurs sont là, je pense sérieusement à ajouter un deuxième chapitre. Tu dis "pourquoi ça n'arrive jamais en vrai" mais je te rassure, ça m'est arrivé. Non pas de croiser un vampire psychopathe (je rassure toute ma famille) mais quelqu'un de délicieux tout de même. Ensuite pour ce qui est de l'expérience vécue... Je laisse ça à ta débordante imagination ! lol Bisous et merci d'être passée par ici.
AlienRoswell : Tout d'abord merci d'être passée par ici ! On m'a demandé du koline, j'ai pensé que ça pouvait être intéressant justement le fait que kol puisse vouloir se poser un peu. Pour Caroline, ça pourrait lui permettre justement d'explorer des facettes des relations amoureuses qu'elle ne connait pas encore. Pour moi le koline c'est clairement de la dynamite. C'est le genre de relation qui va au-delà de la raison, c'est chimique et incontrôlable en fait. Pour les triangles amoureux, j'ai franchement horreur de ça également donc aucun intérêt. Et puis au départ, c'est un OS pour satisfaire les koline. Je t'avoue réfléchir à un deuxième chapitre puisque tout le monde semble vraiment apprécier le premier. On va voir si j'y parviens ou pas ... lol
