Salut les gens.
Je démarre une nouvelle histoire sur inazuma eleven go.
Bien évidement, sur mon couple préféré de l'anime. Qui est Tsurugi x Midori (crie de fangirls)
Ils sont juste trop mognon *-*
Je remercie Yaa-chan pour son gentil commentaire. Qui m'a donné du courage.
L'histoire ce déroule après Galaxy. En parallèle avec une autre histoire que j'ai écrit. « Lis le résumé ».
ATTENTION je précise que cette histoire ce passe dans un monde parallèle de « Lis le résumé » et qu'ils vont encore dans un autre monde parallèle grâce aux chrono stone. (Dans le jeux vidéo il y a des crono stone qui nous font voyager dans des mondes parallèle. »
Bon ! Je suis sur, que vous ne vous y attendiez pas, mais…. les personnages ne m'appartienne pas. Non ! Ne pleurez pas. Je sais. C'est dur, mais c'est la triste réalité. Il appartienne à Level-5 (Sauf OC, que je pense n'aurez aucun mal à reconnaître.)
Bien ! Nous pouvons commencer.
-x-
Les joueurs de Raimon, gagnaient un repos bien mérité dans leur salle de club, après de longues heures d'entraînement.
« Aaaaaah… C'était crevant. » se plaignait Hamano.
« Je suis bien d'accord. » soupira Amagi.
« Te-tené Hamano-san. » Akemi tendis une gourde.
L'humeur du garçon deviens vites comme illuminé. « Oooooh. Arigato Akemi-chan. »
« Et moi j'ai pas le droit ? » pensait l'homme robuste.
Ils parlaient tous de tout et de rien. Mais leur chahuts fut arrêtés par Aoi qui venait d'entrer.
« Oye ! Les gars nous avons de la visite. » Et elle se poussa pour laisser passer deux tête non inconnue de l'équipe Raimon.
Lorsqu'ils entrèrent Tenma leurs sauta presque aux cou. Mais l'une des têtes avec les cheveux blanc pris Aoi comme défense, et Tenma se retrouva à enlacer Aoi. Le jeune homme se recula rapidement, les joues rouges, et s'excusa auprès de son amie. Qui elle feigni de ne rien ressentir.
Shindou s'approcha des nouveaux arrivant, puis les salua. « Taiyou, Hakuryuu. Cela faisait longtemps que l'on ne s'était pas vue. Comment allez-vous ? »
Hakuryuu hocha juste la tête. Quant à Taiyou, il répondie tout sourire. « Oui. Cela faisait longtemps. Je suis heureux de vous revoir. Et me porte à merveille. Et vous ? »
Cette fois c'est Kirino qui parla. « Nous nous portons tous très biens aussi. »
Tsurugi sortie des vestiaires, et il eut à pêne le temps de fermer la porte, qu'un ballon puissant lui arriva, et il le renvoya sans mal avec un coud de pied retourné. « Bonjour Hakuryuu. »
Hakuryuu reçu la balle et la planta dans le sol avec un coud de pied droit violent. « Bonjour Tsurugi. »
« Vous vous dites toujours bonjour comme ça ou... » questionna Kariya
« Putain les cons. Ils ont fait un trou dans le sol » nous ne saurons jamais le propriétaire de cette voix.
Ils regardèrent tout les deux en même temps vers le bas et dirent « Ah ! Shimata. »
Tsurugi pris le ballon, essuya les morceaux de plâtres, et le tendis à Hakuryuu. « Tiens. »
Hakuryuu attrapa le ballon tendus et se pencha un peu en avant. « Arigato. »
« Je sais pas ce qui me choque le plus. Le fait qu'il y a un trou dans la salle du club ou le fait que toute cette scène ce soit passé sans aucun sentiment de la par de Tsurugi et Hakuryuu. » dit Hamano.
« En même temps. Faux pas s'attendre à des retrouvailles émouvantes avec d'anciens Seed. » se moquait Kariya.
Mais encore une fois leurs discutions fut interrompue. Cette fois par Midori qui rentra en claquant la porte. « Eh ! Il y a Fey sur le parking. »
Tous se réjouis de la nouvelle. Ils commencèrent à partir, puis… Midori baissa la tête. « Oye ! Les gars. Pourquoi il y a un trou dans le sol. »
A COTE DU CAR DE WANDABA
« Fey ! Wandaba ! Nous sommes si heureux de vous revoir. » dit Tenma.
« Nous aussi nous sommes heureux. Et nous avons quelque chose à vous proposer. » répondit Fey.
« Oh ! Qu'est-ce que sait ? » s'excita Shinsuke.
Wandaba descendit du car. « Hum, hum. Nous avons une nouvelle fonctions aux vanne. Nous... » mais il se fit couper par Fey. Et se mit en position foetale.
« Nous pouvons êtres nous dans un monde parallèle sans changer l'ordre naturel des choses. »
Ils donnèrent tous un visage d'incompréhention.
« S'il vous plaît mon ami. Cela vous gênerez t-il d'être plus claire ? » interrogea Hayami.
« Nous pouvons voyager dans des mondes parallèles. »
Et ils dirent tous en coeur. « Ooooooh. »
« Et comment fait ont ? » demanda Kageyama.
« Comme pour les voyages dans le temps. Sauf qu'ont mets une Chrono stone. »
« Et nous attendons quoi pour essayer ça ? » dit Nishiki.
« Juste que vous montez à l'intérieur. »
Sans plus attendre ils montèrent tous à l'intérieur. Et Fey plaça une chrono stone.
« Oh ! Juste une chose. Vous allez être dans le vous du monde parallèle. Donc je n'ai aucune idée de où vous êtes. Et vos prénoms et noms ne serons peut-être pas les même. Pareille pour l'histoire d'ailleur. »
« Ah ! Ok. » répondit Kuramada. Mais se repris vite avec tout le reste du car. « QUOI ?! ».
Et Wandaba fit le décompte « THREE, TWO, ONE. TIME JUMP ! »
Tout le monde « NON ! » mais trop tard pour eux.
DANS UN MONDE PARALLELE
Tsurugi ouvris les yeux. Il était allongé, recouvert par une couverture, seul dans une chambre, avec en face de lui des vêtements de samouraï proprement plié, et posé sur une étagère. Bientôt il remarqua qu'il était nu. Donc il n'eut d'autre choix que de prendre les vêtement posé sur l'étagère.
Une fois habillé il fit coulissée la porte de la chambre pour en sortir, et se cogna dans une personne du même âge que lui. « Oh ! Tsurugi-dono. Ohayo. »
Kyousuke répondit hésitant « O...ohayo. »
Le jeune homme avait des cheveux bruns clair bouclés. Il eut une expression de surprise. « Ce n'est pas habituelle de votre pars Tsurugi-dono. Vous avez oubliez votre Katana ! Ce serait dommage de l'oublier en ce jour important. Prenez le vite. Et rejoignez nous dehors. » et le garçon s'en alla. Maintenant qu'il le vit de loin il remarqua que le jeune homme avait le même uniforme que lui. Il en déduit donc qu'il était dans une base de samouraï.
Il pris son épée et sortie ensuite dehors comme ont lui avait demandé. Et il vit tout le club Raimon en uniforme. Tsurugi se rapprocha de Shindou, et chuchota « Sais tu où son, les filles, Fey, Wandaba, Hakuryuu, et Taiyou ? »
« Désolé je n'en ai aucune idée. »
Puis ce qui semblait être le chef arriva devant eux. Ils se turent et le salua. Puis le chef se mit à parler.
« Aujourd'hui. Nous allons au palais royal, accueillir notre prince et son cousins qui reviennes de leurs voyage en Corée, pour la fête des cerisiers. N'oublier pas ! Même en ces temps tranquilles, nous ne sommes jamais à l'abri du danger. Surtout lorsque la famille royal est rassemblées. Des questions ? »
« Oui. Pourquoi la garde du palais ne s'en occupe pas ? » questionna innocemment Kageyama.
« Parce-que. Autre question inutile Kageyama ? »
« N-non. » il déglutit.
« Bien ! En route. »
« Ne t'inquiète pas Kageyama-kun. » le réconforta Amagi.
Et ils se mirent en route vers le palais. Tsurugi en profita pour analyser les environs. Il constata qu'ils étaient en printemps à l'époque d'Edo, et trouva bizarre que apparemment ils étaient à une époque calme. Mais se souviens que Fey avait dit que l'histoire aussi changerait. La ville était immense, et personne ne semblait être pauvre ou du moins en manque vitale. Cela faisait déjà trente minute qu'il marchait, et il n'avait toujours pas aperçu le palais. Après dix minute de marche en plus le palais était enfin visible. Il était tout aussi immense que la ville, des jardins somptueux, les temples et habitations installé pour les servantes et eunuque aurais pue être pour un Homme peut-être pas noble mais du moins riche. Mais sa réflexion fut interrompue, lorsque la personne les ayants accompagné jusque-là leur dit qu'à présent c'est une domestique de la princesse qui allait les amenait jusqu'aux cartier du roi, car ils devaient passaient par les cartier de la princesse pour aller à c-elle du roi, et donc qu'il n'était plus en charge d'eux.
« Mon dieux ! C'est à ci perdre. » déclara Hayami.
« Je te le fais pas dire. » soupira Nishiki.
Le vielle homme parla « Voici la domestique Aoi Matsukaze. Elle vous conduira jusqu'aux cartier du roi. »
Tous tournèrent la tête là où l'homme montra Aoi. « Enchanté » elle salua. Les samouraï saluèrent, mais les Raimon restèrent perplexe, et continuèrent leur route. Puis le jeune homme à la tête d'algue de ce matin s'approcha de Tenma et chuchota « Je me souviens que tu m'avais dit que ta femme travaillait aux palais pour la princesse. Elle est vraiment jolie, tu as fait un bon choix. » il lui tapota sur l'épaule amicalement et partit plus loin. Tenma rougie et le reste des Raimon se mirent à ricaner.
« Nous nous rapprochons de là où la princesse reste habituellement. Donc si nous la croisons je vous demanderez de la saluer comme il ce doit. Et de ne pas la regarder. »
« Difficile de saluer, si on peut pas la regarder. » pensa Kyousuke.
Les samouraï aquiescèrent en coeur, et les Raimon ajoutèrent en coeur Matsukaze-dono en ricanant.
Les jardins étaient encore plus somptueux, remplis de fleur, de coins d'eau, de multitudes de petit pont en bois, et chemins en pierres.
Tsurugi faisait de nouveaux attentions aux environs et remarqua qu'ils allaient marcher sur un pont en bois plus grand que les autres. Normale ce dit-il vue qu'ils allaient passer aux dessus d'un lac plus grand que les autres. Mais ce qui reteint son attentions, était la voix d'une femme qui pour lui semblait étrangement familière.
Ils passèrent sur le pont en bois, et Tsurugi tourna la tête en direction de la voix sur le lac. Et il fut choqué de se qu'il vue, ou plutôt... agréablement surpris.
Seto Midori à l'ombre d'un parasol pourpre et dorée, flottant sur une barque remplis de beaux coussins, portant un magnifique kimono douze couches de toute les couleurs, le bas de ses cheveux attaché par un long anneaux en or, transpercé par une épingle elle même en or avec une chrysanthème sculpté en marbre blanc et perles de jade pendant aux bout, ses lèvre avait une douce couleur rouge, et elle tendait sa main droite essayant d'attraper les fleurs de cerisiers qui tombait sur le lac.
« Faite attention Hime-sama. Vous-vous pourriez tomber. » inquiète la jeune servante qui l'accompagnait sur la barque, la mit en garde.
« Ne vous inquiétez pas. Si je tombe je sais nager, et me dévêtir pour ne pas couler. » elle rit d'un rire mélodieux. Ce qui inquiéta plus la domestique qu'autre chose.
Aoi s'arrête au milieux du pont pour saluer la princesse, et les samouraï firent de même. Ils avaient tous réussi à respecter la premier règle qu'avez donnée Aoi. Mais la deuxième qui était de ne pas la regarder fut bien vite oublié, par la plupart des samouraï hypnotisés par sa beauté et son rire. Et si ce n'était pas pour c'est raison qu'ils n'arrivait à détacher leur regard, c'est qu'il était encore choqué qu'elle soit une princesse dans un monde parallèle. Mais Tsurugi ayant réussi à la contempler avant de s'arrêter pour la saluer, pu donc lui dire bonjour comme il ce doit. Ce que remarqua très bien leur commandant.
« OYE ! QU'ELLE EST DONC CE COMPORTEMENT. NE VOUS A T-ON PAS DIT DE NE PAS LA REGARDER. » il cria sur ses hommes d'une voix puissante. Et ils ne mirent pas longtemps à détourner le regard. Le commandant se pencha vers la princesse « Je vous pris d'excuser le comportement incorrecte de mes hommes. Je leurs donnerait une punition sévère, Hime-sama. »
Et Midori lui répondit d'une voix douce « Cela ne seras pas la pêne. Je vous pris de vous redraiser, et de me regarder dans les yeux. Il est difficile de parler à une personne lorsqu'elle ne vous regarde pas. »
« Je vous remercie de la bonté dont vous nous faite grâce. Mais je ne peut prendre l'honneur que vous me faite, en me proposant de vous regarder dans les yeux. » il répondit fermement mais tranquillement.
« Oh ! Eh bien… d'accord. » elle répondit triste.
Est ils reprirent tous la route vers les cartiers du roi. Mais juste avant qu'ils ne quittèrent le pont, ils entendirent la princesse se lever de la barque, ce qui provoqua à tous les samouraï de se tenir près à plonger pour allez la chercher.
« Hi-Hi-Hime-sama rasseyez-vous. Vous faites tanguer la barque vo-vous-vous... » mais la servante paniqué se fit stopper.
« Ne vous inquiétez pas. Si vous tombez je viendrais vous chercher. » elle dit fermement, avec une expression dur. Midori tourna sa tête en direction du commandant, qui cette fois était obligé de la regarder dans les yeux, de peur de la voir tomber. Mais le visage de la jeune fille s'adoucit, et elle sourit « Oh ! Vous acceptez donc ma proposition. Je vous en remercie. » puis se rassie. Elle resta le visage tranquille, malgré le fait que sa domestique était accroché à la barque comme une folle, et que la barque tangué encore.
Les Raimon rirent de son actions enfantine, tandis que le reste donna un soupir de soulagement.
Aoi les a amenait jusqu'au cartiers du roi, là où un eunuque les attendait. Enfin pensaient qu'il les attendait.
« Ont ne vous a pas prévenue ? Le roi est à la salle du trône. Il y a eut des changement dans l'organisation. » dit calmement l'eunuque.
Il eut un soupir d'agacement de la par de tous.
« Une heure à marcher pour rien. » grogna Kariya.
« Allons ! Ne vous découragez pas. Demi tour. Si le roi veut que nous fassions une journée de marche pour le voir. Nous la ferons. » le commandant dit de sa voix sévère. « Pas la pêne de nous raccompagner Matsukaze-dono. Je suis sur que vous avez des choses plus importante à faire. »
« Pourquoi ? Je suis un samouraï moi aussi. »
« Pas vous imbéciles. La domestique. »
« Oh... »
« Vous devez avoir bien du mal avec cet homme. »
Aoi eut un petit rire « Non. Pas du tout. » elle eut un regard doux vers Tenma et une légère rougeur aux joues « Je l'aime trop pour avoir du mal avec lui. Puis ça à un côté attachant. » la jeune fille au yeux bleu ciel regarda de nouveaux à l'homme devant elle « Au revoir. » puis elle partie.
« Biens ! Partons ! »
« Oui ! » ils dirent en coeur. Ce qui aurait put paraître comme un crie de courage, semblé plus comme un crie de désespoir.
APRES 1H DE MARCHE
« Nous sommes arrivé Messieurs ! » ils eut un soupirs de soulagement, et ils s'effondraient parterre.
« Si nos samouraï ne peuvent même pas tenir trois heure de marche. Nous sommes tombé bien bas. Relevez-vous ! » heureusement leurs chef a toujours un mots réconfortant, et plein de gentillesse « Maintenant ! Bande de feignasse. » et ils se relevèrent péniblement, puis enlevèrent la poussière de leur vêtements.
« Bonjour. » un homme d'âge moyens, et un peu gras venais de sortir du palais.
Le chef des samouraï se mit à genoux « Bonjour votre majesté. » les hommes furent choqué, mais se ressaisir vite et se mirent à genoux devant l'homme proclamé roi.
« C'est bizarre. Cette homme me dit quelque chose. » chuchota Tenma.
« Oui. Moi aussi. » répondit Shindou.
Les Raimon regardèrent d'une façon perplexe le roi. Jusqu'à ce que Kirino est une illumination « Je sais ! C'est le père de Taiyou. » il le chuchota assez fort pour que ses compagnon l'entende.
« Non ! Pas possible. »
« Si on regarde bien... »
« Mais çela n'aurai aucun sens. » dit Hayami.
« Pourquoi ? Ca veux juste dire que Taiyou est le prince. » Hamano déclara.
« Mais dans ce cas. Pourquoi Midori est la Princesse ? » interrogea Kuramada.
« En effet. Ca n'a aucun sens. Amemiya et Midori ne son pas frère et sœur. Et même si ces t-un monde parallèle, cela n'a aucun sens si on prend la génétique et le sang. » acquiesça Kurama.
Mais leurs réflexion fut coupé. Le roi venait de partir et avait donné ses instructions pour ce soir.
Leurs commandant parla « Le roi ma dit, d'être le garde du corps des deux princes qui arriverons, de choisir un de mes hommes comme garde du corps pour la princesse, et le reste s'occupera de la sécurité des invités royaux. » il fit une pause « Tsurugi ! »
« Oui. »
« Etant le seul, qui est respecté les règles qu'avez donné la domestique. Tu seras le garde du corps de la princesse. »
Tsurugi se pencha en signe d'approbation.
« Eh bien ! Qu'est-ce que vous attendez ? Allez-y ! »
« Bien monsieur. » Et il entama une autre marche vers les cartiers de la princesse.
-x-
Voilà ! Ce seras pas mal pour l'instant. Je pense faire les autres chapitre moins long.
Merci d'avoir lue. Et désolé pour les fautes d'orthographes.
