Auteur : Bya-chouchou-973
Titre : Tsuna 1/2
Disclamairs : Les personnages de l'univers KHR ne sont pas à moi mais à Amano Akira ^^.
Pairing : Quasiment tous les personnages masculins sont en couple ^^ (je vous laisserais devinez cela au fur et à mesure de l'histoire). Il y aura cependant un Tsuna x Xanxus et un Tsuna x ? (suspens) ainsi que des couples hétéro (je n'avais pas le choix ).
Rating : M
Note 1 : Kikou ! Alors, ceci est mon premier fan fiction sur ce manga vu que mon domaine est plutôt Bleach et que toutes mes histoires y sont consacrées. Mais aimant ce manga et avoir lu des fics très intéressantes dessus, j'ai décidé de me jeter à l'eau et de pondre cette histoire, qui j'espère, vous plaira.
Note 2 : Je vous demande pardon d'avance en ce qui concerne mes fautes en tous genre, je me relis mais des fois, je laisse passer des erreurs (je n'ai pas de bêta).Il y aura plusieurs mots en italien et japonais au cours de cette histoire, mais je vous mettrais un lexique. Bref, je vous présente le…
Résumé : Le Neuvième Boss des Vongola envoie au Dixième une lettre qui le contrarie et qui chamboule sa vie. Et comme si tous les problèmes qui pèsent sur lui n'était pas assez, il a fallu qu'il se retrouve transformer à cause d'une expérience qui tourne mal.
Chapitre 1 : La lettre
En Italie, dans la superbe ville de Florence se trouvait dans un endroit bien caché et bien gardé la base de la plus puissante famille mafieuse : les Vongola. Les membres présents dans l'immense manoir vaquaient à leurs occupations, tous comme le Boss, Tsunayoshi Sawada ou plutôt Vongola. Depuis un bon moment déjà, derrière la porte du bureau du Boss, on pouvait sans aucune difficulté entendre des bruits louches et suspects. Mais attention ! Ce n'était pas n'importe quel bruit, c'étaient des bruits de succions et de gémissement étouffés.
A l'intérieur du bureau où la chaleur dominait, se trouvaient deux personnes avec le corps embrasés par le désir et la passion. Le premier avait un corps androgyne et était assis sur le bureau en bois massif alors que le deuxième, avait un corps bien plus masculin et était agenouillé sur le sol couvert d'un épais tapis orange foncé. L'androgyne subissait avec délectation le traitement de la langue de son compagnon. Son amant étant plus âgé et donc plus expérimenté lui faisait voir de toutes les couleurs avec sa langue taquine.
Avant que le plus jeune n'ai pu dire quoi que ce soit, ses mains se resserrèrent sur les cheveux de jais en rejetant sa tête en arrière à cause de la libération de sa semence dans la bouche du plus vieux. Ce dernier ne broncha pas et avala le liquide en se relevant tout en posant son regard brulant de désir sur la petite créature dont les joues pourpres lui donnaient un air encore plus chou et craquant. Elle essayait de reprendre son souffle et par la même occasion un rythme cardiaque normal. La petite créature avait donc laissé sa bouche entrouverte et évitait soigneusement le regard de braise qui la fixait.
L'homme aux cheveux corbeaux sourit tendrement avant de prendre le menton de sa proie entre son pouce et son index. Il le tourna vers lui et entama un baiser passionnément brulant tout en le faisant se lever du bureau en bois noir massif. Sans interrompre l'échange, le plus âgé s'installa dans un coûteux et confortable fauteuil noir. Il fit le jeune homme s'assoir sur ses genoux, les jambes écartés et continua d'explorer la bouche délicieuse. La danse cubaine que leurs langues avait débuté et entretenait aurait pu durer plus longtemps mais le besoin d'air se fit plus fort. Ce fût comme à regret qu'ils se séparèrent et les yeux mi-clos, ils s'observèrent intensément. Le brun rapprocha son amant et lapa le lobe de l'oreille de ce dernier, le faisant frissonner, avant de le suçoter. Puis, il descendit dans la nuque et après avoir léché la peau de lait, il la suçota aussi et y laissa une marque violacée démontrant qu'il l'appartenait.
Toujours avec beaucoup de tendresse, il parcouru la peau en y laissant des baisers ou en la léchant. Ensuite, il le caressa de ses mains jusqu'à atteindre le membre à nouveau en garde à vous du plus jeune. Il y passa doucement sa main, ce qui arracha un gémissement à la proie, et passa sa langue sur les lèvres gonflées et rougies par leurs précédents baisers. Il lui chuchota doucement quelque chose au creux de l'oreille avant de sourire face au timide hochement de tête positif.
Il releva légèrement la petite créature et le positionna au-dessus de son membre gorgé de sang. Tout doucement, avec une infinie douceur, il le pénétra et déclencha tout d'abord une grimace de douleur puis un soupir de contentement. Ayant l'accord de bouger, il aida l'androgyne à se mouvoir sur lui en faisant de profond va et vient. Mais, lorsqu'il commença à augmenter la cadence en augmentant par la même occasion les cris et les gémissements de plaisir, quelque chose fit tout gâcher.
Quelqu'un toquait à la porte avec la douceur d'un rhinocéros enragé et l'androgyne qui s'apprêtait à dire le nom de son amant se retint. Les coups à la porte se firent beaucoup plus insistants et c'est surpris et apeuré que le Decimo Vongola se réveilla en relevant la tête de son bureau. Il se frotta rapidement les yeux et soupira tristement en constatant qu'il s'était endormi et qu'il avait encore fantasmé.
Oui, encore, car ce n'était pas la première fois. A vrai dire, à chaque fois qu'il fermait les yeux, il faisait un rêve érotique dans lequel il prenait énormément de plaisir avec une certaine personne. Et à chaque fois, lorsqu'il se réveillait, une partie de son anatomie était elle aussi réveillée.
Une voix derrière la porte s'éleva et il entendit sans peine son bras droit dire qu'il allait défoncer la porte dans cinq secondes. Ne voulant aucunement que la porte de son cher bureau soit détruite-car il savait que son cher bras droit n'hésiterai pas une seule seconde- il se leva précipitamment en direction de la porte qu'il déverrouilla et ouvrit à la volée. Une fois la porte ouverte, il laissa une partie de son corps caché aux yeux de son ami.
La main sur une hanche et sa chemise blanche en dehors de son pantalon, Gokudera regarda suspicieusement son Boss puis se passa une main dans les cheveux.
_Tu t'es encore endormi ? Demanda Gokudera
_Oui, répondit Tsuna, bon, explique moi pourquoi tu frappais comme ça à ma porte. Tu voulais quoi ?
_Moi ? Rien du tout, c'est plutôt ton grand-père qui veut quelque chose de toi.
Le châtain arqua un sourcil et regarda l'argenté dénoué sa cravate déjà bien desserré autour de son cou orné d'une chaîne en argent et en or blanc possédant un pendentif. Tsuna vit sans peine que le pendentif était une croix entourée par la ronce des roses puisque de nombreux boutons n'avaient pas été faits.
_Il y a un messager pour toi, continua Gokudera. Je t'ai appelé à plusieurs reprises mais tu ne me répondais alors, pour ne pas dire que tu dormais, j'ai menti en disant que tu devais d'abord terminer un important dossier. Ensuite, je suis revenu et c'est là que j'ai foutu le bordel.
Ah ça oui ! Tu l'as bien foutu ton bordel, pensa Tsuna.
_Hum…pourquoi il ne m'a pas tout simplement parlé par vidéo ?
_Comment tu veux que je le sache ? Fit Hayato en haussant les épaules. Bon, je vais lui dire que t'as terminé.
_OK, merci Hayato, sourit Tsuna en regardant son gardien de la tempête descendre les marches de l'escalier.
Le chef des Vongola ferma sa porte en pensant que Hayato avait toujours son style de je-m'en-fous-de-tout habituel et son air renfrogné, même s'ils étaient tous plus âgés qu'avant. Après tout, les dix dernières années n'avaient que changé leurs aspects physique et n'avaient pas fait grand-chose pour leurs personnalités.
Tsunayoshi ouvrit une porte et se trouva dans une mini salle de bain qu'il avait fait aménager puisqu'il dormait parfois dans son bureau. Il se passa de l'eau sur le visage puis arrangea sa longue natte en la posant sur son épaule droite et en relevant ses cheveux de devant qui, à présent longs, lui couvraient les yeux. Il se regarda dans le miroir, on pouvait aisément lire de la fatigue sur son visage, bien que ses beaux yeux caramel ne soient pas cernés.
Il sortit de la salle d'eau et revint s'asseoir à son bureau où il y mit de l'ordre tout en souriant. Il jeta un œil sur le bas de son ventre, la simple évocation de son grand-père l'avait désexcité et c'est plus détendu que le Decimo donna l'autorisation d'entrer au messager qui toquait à sa porte. L'envoyé entra et se courba devant le chef des Vongola qui lui renvoya son salut. Il avança de quelques pas et déposa la lettre possédant la flamme de la dernière volonté du Nono.
_Timoteo-sama vous informe qu'il aimerait avoir votre réponse le plus tôt possible et…que qu'elle que soit qu'elle fut, vous devrez allez en discutez chez lui dans les plus brefs délais.
Tsunayoshi hocha la tête et ouvrit la lettre qu'il commença à lire. Au bout de quelques secondes, lorsqu'il termina sa lecture, ses yeux étaient devenus dures et sévère et son visage affichait une mine grave. Le Decimo releva la tête et fronça les sourcils en regardant le messager gravement. Il voulait une réponse le plus tôt possible ? Et bien il allait être servi !
_Non ! Dit fermement Tsuna d'une voix grave et forte qu'il ne reconnaissait qu'à moitié.
_De quoi non ? Demanda interloqué le messager.
_Ma réponse est non, j'écris une lettre pour le Nono en lui expliquant mon refus avec une date possible pour se voir, déblatéra Tsunayoshi. Mais tu peux déjà lui dire que je ne changerais pas d'avis, c'est non, un point c'est tout !
Le subalterne, bien que surpris par le ton dur du Decimo, ne dit rien du tout et hocha simplement la tête en guise de réponse. Tsunayoshi Vongola était connu pour plusieurs choses dans le monde de la mafia. Il était connu pour avoir d'abord été un grand froussard qui avait révélé un grand potentiel plus tard, il était aussi connu pour avoir un grand cœur d'or et une gentillesse infinie envers tout le monde mais surtout envers ces hommes. Et enfin, il était connu pour sa capacité à analyser les choses et de devenir en un seul instant, un puissant homme d'affaire sérieux et implacable.
Et bien sûr, lorsqu'il était sérieux, cela n'annonçait rien de bon puisqu'il l'était rarement et qu'à la fin, la plupart des fois, une guerre entre deux familles éclatait. Le messager le regarda écrire la lettre avec hargne et se demanda ce que le Nono avait bien put écrire pour mettre son successeur dans un tel état. Il patienta encore un peu en regardant le bureau et sourit, le Decimo avait de très bon goût et restait aussi simple que le Nono en ce qui concernait la décoration des locaux.
Tsuna plia la lettre pour la mettre dans l'enveloppe et apposa sa flamme de dernière volonté sous le regard scrutateur du subalterne qui ne put s'empêcher de penser que le Decimo Vongola ressemblait énormément au Primo. Ensuite, il prit la lettre, se courba et s'apprêta à sortir de la salle quand Tsuna lui dit :
_N'oublies pas, dis-lui clairement ma réponse et avec les mêmes mots.
L'envoyé se retourna et s'inclina en hochant la tête puis sortit. Une fois la porte refermée, le châtain soupira de mécontentement.
Je pensais avoir été suffisamment clair la dernière fois pourtant ! *Mio Dio ! Le ferait-il exprès en pensant que je flancherais ?! Si c'est ce qu'il pense, il se goure sur toute la ligne ! pensa le successeur du Nono.
Alors que le Sawada se tracassait et était plongé dans ces pensées. Quelqu'un entra dans son bureau sans frapper à la porte et s'approcha du petit tranquillement. Il s'assit sur le fauteuil disponible et regarda son Boss qui avait la tête entre les mains et qui n'avait toujours pas remarqué sa présence. L'invité-il s'était invité tout seul mais bon- soupira doucement pour attirer l'attention de son supérieur. L'effet fut réussi, dès que le petit châtain avait entendu le soupir qui ne provenait pas de lui, il avait relevé la tête avant d'écarquiller les yeux.
Ah non ! Tout mais pas lui ! pensa le châtain en regardant son invité qui lui fit un sourire dont il avait lui seul le secret.
Voili Voilou, c'est la fin de ce premier chapitre qui, je le sais, est très court. Les autres seront plus longs, enfin, cela ne dépend que de vous, donnez-moi des reviews et j'écris le reste ) Non, ce n'est pas du chantage, allez, à la prochaine et n'oubliez pas de commentez.
Lexique : *Mon Dieu !
