Publication : cela peut varier selon mon inspiration et si j'en ai le temps car les curs sont trés prenant.
Pairing: ? Surprise
disclamer: tout à moi toute seule,interdit d'utiliser mes perso comme midori shiro ou ciel phamtom sans me demander
bêta: Miss egypte a bien voulu corriger toute mes petites erreurs et je l'en remercie
Chapitre 1
Bar Black Cat, dans le bureau du directeur.
Nous sommes au XXème siècle. En regardant par une fenêtre, on pouvait apercevoir une jeune fille asiatique aux longs cheveux couleur chocolat. Elle était relativement grande et si on l'observait attentivement, on pouvait apercevoir ses yeux d'une couleur aussi belle que l'améthyste. La jeune fille parlementait avec un homme d'origine occidental aux cheveux couleur onyx qui paraissait avoir passée la quarantaine.
POV Midori :
"Mais monsieur, vous ne pouvez pas… Je vous en supplie, ne me renvoyez pas, laissez-moi une dernière chance !"
"Il n'y a pas de mais. Vous mette sympathique Midori mais je n'en peux plus. En huit mois de travail chez nous, vous n'êtes pas arrivée une seule fois à l'heure avec différentes excuses dont je ne doute pas de la véracité. Ne vous en méprenez pas mais je n'ai plus la patience. Ca ne sert à rien de me supplier, je vous ai déjà trouvé une remplaçante. Je suis sûr que vous trouverez un autre boulot si vous mettez votre horloge interne à l'heure. Au revoir Mlle Shiro." me dit mon ex-patron.
"Au revoir Mister Will" lui répondis-je avant de sortir du bar d'où on venait de me remercier.
Qu'allais-je faire maintenant ? Je devais encore le dernier mois de loyer à Maryline, la propriétaire du logement où je vivais. Mais maintenant je supposais que je ne pourrais m'y éterniser si je ne trouvais aucun travail.
Grrr qu'il faisait froid ! Pourtant le printemps était là depuis à peine trois semaines. On aurait dit que le temps avait voulut faire un retour en arrière pour pouvoir encore profiter des petits enfants jouant aux batailles de boules de neige ou fabriquant des bonhommes de neige qui avaient finit par fondre.
Je démoralisais, je n'étais qu'une bonne à rien, même pas capable de garder son boulot. Je ne sais guère pourquoi mais mon horloge interne, comme avait dit Mister Will, refusait de marcher comme les autres et je n'avais trouvé aucune explication à cela.
En marchant dans les rues, j'aperçus un vendeur de boisson ambulant. Il criait :
"Thé, limonade, café, diabolo ! Approchez, approchez ! Vous voulez vous réchauffez ? Rien de meilleur que le chocolat chaud ou encore le café ! Et tout ça pour un prix dérisoire ! Approchez, approchez !"
Je lui commandais un chocolat chaud, il n'y avait que cette boisson pour me remonter le moral dans mes moments de tristesse. Puis je n'avais personne à qui parler, elle me rappelait mes plus beaux souvenirs d'enfance, lorsque mes défunts parents étaient encore de ce monde. Bien que selon moi, seule ma mère se préoccupait réellement de moi, mon père n'en avait que faire. Pour lui, le travail importait plus que sa propre fille.
Quelques minutes plus tard, je repartis dans la galerie marchande avec dans les mains mon précieux délice qui finirait dans mon estomac. Trop préoccupée par mes pensées, je ne remarqua pas la voiture qui arrivait vers moi.
BOUM !
Je fus bousculée par un des chevaux et je sentis mon corps tomber en arrière en même temps que mon chocolat se renversait sur ma chemisette, me brûlant légèrement par la même occasion. Il y avait des voix autour de moi mais ce que je voyais… Eh bien je ne voyais absolument rien du tout, c'était le noir complet.
"Mademoiselle ça va ? Vous allez bien ? Mademoiselle ?"
C'était une voix grave qui ne me laissait pas indifférente vu la précipitation de mon cœur quand je l'entendis me parler. Malheureusement je n'avais guère d'idée sur l'identité de son propriétaire.
"Appelez un médecin !"
Tient, une voix claire et basse cette fois, une femme sans aucun doute. Après ça je n'entendis plus aucun son, rien, comme si je m'endormais.
Une semaine plus tard.
Le médecin était venu chez le jeune homme. Il avait prescrit à la jeune femme beaucoup de repos et de calme et surtout de ne pas la brusquer à son réveil. Il l'informa qu'il ne pouvait rien faire de plus et qu'ils devaient attendre son réveil pour pouvoir l'examiner plus attentivement.
POV Midori :
"Hmm…"
Lorsque j'ouvris les yeux, je me retrouvais dans une pièce inconnue. Où étais-je ?
Quelques secondes après, un jeune homme aux longs cheveux blonds entra dans la pièce. Il était habillé d'une façon si élégante qu'il devait sûrement être membre de la noblesse, de l'aristocratie ou quelque chose comme ça. Mais ce qui m'interpella le plus fut sans doute le cache-œil de couleur noir se situant sur son œil droit. Il devait être dans la vingtaine d'après moi.
"Qui êtes-vous ?"lui demandais-je.
"Oh vous êtes réveillée à ce que je vois. Je suis le Comte Ciel Phamtom. Puis-je savoir le nom de la gente demoiselle qui se trouve devant moi pour que je puisse lui présenter mes excuses de l'avoir bousculé il y a quelques jours ?"
"Je… Je ne m'en rappelle plus…"
C'était vrai, j'avais l'impression que tous les souvenirs de ma vie m'avaient été destitués ou pire encore comme si quelqu'un dans mon sommeil avait profité de ma vulnérabilité pour me les voler.
"Tient, tient intéressant, une jeune fille sans souvenirs."
Un homme d'origine chinoise habillé d'un ensemble traditionnelle de son pays avait débarqué dans la pièce en compagnie d'une jeune femme aux longs cheveux tressés. Cette dernière portait aussi une robe typique de leur pays.
"Ca suffit Lao, je ne veux pas de vos histoires ! Cette jeune femme est mon hôte donc vous n'avez pas intérêt de la contrarier !"
"Oui mon comte, si vous y tenez… Je ne tiens pas à me mettre Sébastien à dos pour avoir embêter son maitre. Surtout qu'il peut être effrayant quand il le désire… Tu viens Ranmao nous y allons, nous avons des affaires à régler."
Ils filèrent aussi vite qu'ils étaient arrivés. Drôles de personnes…
"Pardonnez-moi de leur impolitesse ma dame, je vais de ce pas appeler le médecin pour qu'il vienne vous examiner afin de déceler le problème dont vous semblez souffrir."
A son tour, il quitta la pièce.
Je ressentis tout d'un coup une immense soif. En regardant dans la pièce, j'aperçus un pichet d'eau sur la table de chevet prés du lit où je me trouvais. Je le pris et en bus une gorgée.
Fin POV.
La fille tomba sur le lit, endormie. Pourtant il était évident que ce sommeil n'était pas naturel car à moins d'être atteint d'épuisement intensif, on ne tombait pas raide endormis comme cela.
POV Comte :
"Finalement j'ai bien fait de faire déposer par Guliette ce pichet d'eau où j'ai incorporé un peu de poudres qui endort. Il me semble que l'on appelle ça un somnifère, elle en aura bien besoin. Bon maintenant ce médecin…"
Rewiew?
à suivre...
