05/2016 Intro re-upload

Bonjour !

Les 8 premiers chapitres de cette fic ont été écris entre 2012 et 2014.

Je ne cherche pas une excuse, mais si par hasard j'arrive à continuer à écrire, la qualité sera sans doute meilleure maintenant... Quoique... :D

Sur ce... ECLATEZ VOUS ! YEAAAAH ! :DD

././././././


Bonsoir à tous !

Voici ma première fic ! Je sais pas si vous appréciez, mais j'y mets vraiment tous mon cœur !

Donc comme je l'ai dit dans la description l'histoire se passera en grande partie à Beau-Bâtons et mon personnage principal à 11 ans quand Harry Potter en à 13.

Ce chapitre est un peu comme un pilote alors soyez indulgent s'il vous plait, surtout que je n'ai pas de Beta (si quelqu'un est intéressé laissez moi un message)

C'est à vous... ^^


././././././

././././././

1 L'homme en Bleu

Le soleil commençait juste à décliner. La journée avait été longue et chaude pour un début de Juillet. L'homme s'avançait sur le chemin sec avec un costume des plus étranges. D'un bleu sombre, parfaitement lisse et brillant, il se ferrait rapidement dévisager en ville. Pourtant, il n'attendait pas d'autre réaction de la part des personnes auquel il rendait visite. Il faisait ça depuis plusieurs années maintenant, mais il redoutait toujours la réaction des Moldus qui étaient souvent imprévisibles…

C'était la dernière personne à qui il devrait rendre visite aujourd'hui. Le lendemain il devrait à nouveau recommencer son périple à travers la France et ce pendant encore trois jours. Heureusement qu'il n'était pas le seul à faire ça. Car à chaque fin de journée, il se sentait vidé de ses forces. Il revoyait encore une fois son discours. Le même à chaque fois, il le connaissait par cœur, mais ça lui permettais de surmonter ses angoisses…

Il arriva enfin au bout du chemin et s'arrêta. Une maison en pierre brutes se dressait devant lui, allumé de toute part, la cheminé fumante et une bonne odeur flottant dans l'air. La porte était encore ouverte. Il distinguait très bien la petite entrée avec l'escalier en bois massif qui montait dans les étages, un petit buffet et un tas de chaussures désordonnés. D'un pied décidé, il traversa le jardin jusqu'à la porte d'entrée et faillit arracher la cloche lorsqu'il sonna. Il y eu alors un vacarme inimaginable et se retrouva projeté à terre par une masse énorme. Il n'avait même pas eu le temps de se protéger.

- Lotti, revient méchante fille ! cria une voix féminine, tandis que l'homme, étalé au sol, se faisait lécher le visage par un gros chien. Excusez la monsieur, elle fait ça tous les soirs. Elle vous a sans doute pris pour mon mari.

- Pas de soucis, madame. Répondit-il en se relevant.

- Que voulez-vous mon brave monsieur. A votre allure vous n'êtes pas un client de mon mari. Participez-vous à une soirée costumée dans les parages ? Etes-vous en panne dans les environs ?

- Rien de tout cela, j'en ai peur.

- Quelque chose est arrivée à ma famille !

- Non madame, rassurez-vous. Il faut juste que je parle à vous, votre mari et surtout à votre fille.

- A ma fille ? répétât-elle incrédule.

- Oui c'est assez important, puis-je rentrer.

- Heu oui, je vous en prie, dit-elle visiblement troublé par les propos de cet homme.

Elle le fit s'assoir dans le petit salon en bredouillant quelque mot comme quoi sa fille et son mari allaient arriver, puis se retira dans la cuisine pour préparer du café. Elle revint cinq minutes plus tard avec un petit plateau sur lequel était posé deux tasses. Elle lui en tendit une tasse et s'assit sur la banquette en face de lui. Elle ne pouvait s'empêcher de lui jeter des regards, tout comme sa chienne, tranquillement couché dans son panier. Elle le trouvait différent des personne qu'elle voyait tous les jours, pas seulement à cause de son apparence, mais aussi à cause de son aura. Il lui arrivait de temps en temps de croiser ce genre de personnes, mais elle n'y avait jamais vraiment prêté attention. Toute la tension qui émanait de cet homme, lui rappelait sa fille.

Les regards de cette femme ne le dérangeaient pas plus que la situation dans laquelle il se trouvait il lui était interdit d'aborder le sujet tant que la personne concerné n'était pas là. Il ne se sentait pas vraiment à l'aise. Il avait vécu dans cette ignorance, lui aussi, il n'y a pas si longtemps. Il avait lui-même reçu la visite, chez ses parents, d'une personne dont le métier est identique au sien aujourd'hui. Il reposa sa tasse sur le plateau et essaya d'avoir l'air décontracté. Il se passa la main dans les cheveux, se gratta le bouc et souris à la femme. Celle-ci se figea, rougi et baissa les yeux sur ces genoux.

- Votre café était très bon.

- Ha… Merci…

- Je suis vraiment désolé de cette situation, madame …

- Ne vous excusez, monsieur, je suis sûre que vous avez une bonne raison de vouloir parler à… ma fille. J'espère seulement qu'elle pourra nous expliquer votre présence. Où l'avez-vous rencontré ? Si ce n'est pas indiscret. Vous me paressez bien jeune. Quelle est votre âge ? Et d'où venez-vous exactement ? Pour qui travaillez-vous ? Et pourquoi portez-vous des vêtements aussi étranges ? elle avait dit tout ça, sans reprendre sa respiration et le fixait sans ciller.

- Vous posez de bien nombreuses questions maintenant…

- Je suis désolée… et elle se remit à regarder ses jambes.

- Arrêtez de vous excuser, vous avez raison de vous questionner. Mais toutes les réponses à vos questions seront données en temps voulu. Mais surtout n'en voulait pas à votre fille, elle ne connaît pas encore mon existence. En ce qui concerne mon âge j'ai vingt-et-un ans révolu et je…

- Bonsoir chérie, nous sommes rentré !

- Bonsoir maman !

A l'entrée du maitre de maison dans le salon, notre homme se leva comme le voulait le protocole. La confrontation des deux hommes était assez étrange. Le père de famille était un peu plus grand et son costume était impeccable, pas un faux pli, sa cravate à sa juste place comme si il n'avait pas bougé de la journée. Ils regardèrent jusqu'à ce qu'une silhouette surgisse dans leurs champs de vision. La jeune fille les regarda l'un après l'autre, les examina de ses yeux noirs, puis repartit avec la plus grande indifférence, ses cheveux châtains voletant derrière elle.

- Euh…, dirent ensemble la mère et l'homme en bleu.

- Je ne savais pas… que l'on recevait… chérie. Dit le mari en venant se placer à côté de sa femme.

- Oui, enfin non, ce jeune homme est venu pour parler à notre fille…

- Pourquoi ?

- Je pourrais vous expliquer mais, sa présence me serait… indispensable.

Le père regarda sa femme, celle-ci lui fit un sourire encourageant. Cela eu un effet apaisant sur l'homme qui se détendit instantanément. Il appela sa fille qui arriva dans le salon aussi indifféremment qu'elle était apparue la première fois. Elle s'assit sur la banquette à côté de sa mère, son père debout derrière elles, la main sur l'épaule de sa femme. Il invita l'homme à se rassoir sur le canapé. Après quelques secondes de silence, l'homme commença enfin le discours qu'il avait si souvent répété.

- Tout d'abord, laissez-moi me présenter. Je m'appelle Sylvain Lamer. J'ai vingt-et-un ans et je travaille depuis la fin de mes études dans l'établissement qui m'a formé. Vous pouvez donc me considérer pour l'instant comme un représentant. Néanmoins cette notion va changer dans très peu de temps. J'ai ici une lettre que je suis venu remettre en main propre à Mademoiselle Ambre Nugond, née le 12 juin 1982 à Angoulême. Est-ce bien vous ?

- O…oui.

- Alors tenez.

Il sortit la lettre de sa poche intérieure, ainsi qu'un étrange bout de bois sculpté. Ambre prit la lettre lorsqu'il la lui tendit. C'était une très belle lettre dans un papier des plus délicats et d'un blanc parfait. Le nom, prénom, et l'adresse d'Ambre étaient écrit dessus à la main dans une encre bleu et un emblème était sérigraphié au dos, un petit écusson dans lequel se trouvé une croix et six étoiles. Les parents regardèrent la lettre, puis leur fille, puis Sylvain. Celui-ci savait que c'était le moment le plus délicat et se contenta de fixer la lettre.

Ambre l'ouvrit donc.

././././././

././././././


Voilà !

Je sais pas si vous aurez envie de suivre cette histoire, mais sachez que je l'ai bien en tête... le problème c'est que je mets beaucoup de temps à l'écrire...car j'essaie d'être la plus fidèle possible à l'univers de J.K. Rowling... Donc je posterais, j'espère, au moins une fois par moins !

Cherche Beta !

A une prochaine fois !

Bises

P.A.