Disclamer : l'univers Harry Potter est la propriété exclusive de JK Rowling, je ne suis que propriétaire de l'OC
Me voici avec de retour avec une nouvelle fiction, j'espère que vous l'aimerez !
Bonne lecture !
Prologue
- Revenez ici ! Je sais que c'est vous ! Revenez !
Le brun ne fit aucun cas des injonctions du vieil homme et continua sa course dans les couloirs de l'école, rompant ainsi avec la douce quiétude qui avait pris Poudlard à la fin des examens. Les élèves avaient une semaine de repos avant de prendre le train pour rejoindre leurs familles, et Sirius Black avait décidé de mettre à profit ce temps pour faire tourner en niffleur le concierge.
- Je vous aurai à l'usure, Black !
Estimant que Rusard n'avait pas tort, l'Animagus se précipita dans la première salle qu'il trouva et s'y enferma aussitôt avec un Collaporta que le Cracmol ne pourrait pas lever. Il fixa un moment la porte avant de se retourner afin de découvrir l'environnement dans lequel il se trouvait.
La salle était sombre, sans fenêtre comme tout bon cachot qui se respectait. Les murs dégageaient une impression inquiétante. Se sentant frissonner, Sirius accueillit l'adrénaline qui se déversait dans ses veines comme une vieille amie.
Ici et là reposaient quelques chaudrons encore sales. Dans le coin le plus à droite de la salle, un drap était étendu, semblant dissimuler un objet plutôt imposant. Ce large bout de tissu titilla la curiosité du Gryffondor qui s'avança doucement, dégustant pleinement cette nouvelle aventure et les frissons qu'elle lui procurait. Il l'attrapa d'une main sûre et tira dessus un bon coup, dévoilant une grande armoire en bois qui semblait robuste et en même temps prête à tomber en poussière. Autour des poignées en émail, s'enroulaient deux serpents aux yeux de jade. Un tas de symboles entouraient les deux portes.
- Des runes, pensa le jeune Black avant de poser les mains sur les deux reptiles gris et de tirer dessus d'un coup sec.
La déception le submergea lorsqu'il s'aperçut qu'il n'avait absolument rien découvert. L'armoire était vide. Il n'y avait pas de passages ni d'artefacts magiques, pas même un bout de parchemin révélant de sombres secrets. Seulement un cahier dont la couverture était si noire qu'elle se confondait avec la poussière. Il lança un Tergeo qu'il se prit en pleine face et comprit après d'infructueux essais que le cahier était protégé, et bien protégé. Sirius s'en saisit et le tourna dans tous les sens avant de tenter de l'ouvrir simplement. Contrairement à ce qu'il pensait, le carnet n'opposa aucune résistance et laissa apparaître une page de garde encore vierge, il la tourna immédiatement apparut alors une inscription.
« Cybèle B. Carrow,
cahier numéro trois
1995- ….»
