L'orage passera
COucou tout le monde j'ai décidé de lancer ma première suis une grande fan de romans harlequin et oui petits péché mignon. donc je m'en suis inspirer j'espere que vous aimerez.
CarOothePrinCeSs
-Tu ne l'as toujours pas oublié, n'est ce pas? Continua Alice, compatissante
-Je L'ai Profondément aimé, répondit Bella. On ne peut complétement effacé les souvenirs de bonheur.
-Maintenant que tu l'a revu, j'espère que tu n'a plus d'amour pour lui! Fit son amie.
-Non, Souffla Bella
Mais il y avait dans ses yeux une lueur d'incertitude. Elle tentait de se raisonner : hier, Edward l'avait prise au dépourvue et c'était pour cette seule raison que son cœur avait eu ces battements désordonnés. Il devait en être ainsi!
Chapitre 1
Le ciel dehors était d'un bleu pâle, toute sa couleur mangée par le soleil brulant. Le long de la rue, les arbres se paraient d'un feuillage dense et vert. Les pelouses des jardins avoisinants, avec leur gazon bien soigné, leurs arbustes impeccablement taillés, contrastaient avec le gris coquille d'huitre des trottoirs et des allées d'accès. Dans les demeures de brique et de bois, vivaient les citoyens fortunés et cultivés de Forks, Washington.
Bella Massen regardait au travers de fins voilages blancs; elle avait croisée les bras, et ses mains, en un mouvement nerveux, frictionnaient ses coudes. Au beau milieu de la grande pelouse, un pissenlit solitaire, d'un jaune éclatant, semblait la défier. Ses yeux noisettes remarquèrent l'intrus, et elle poussa un soupir de lassitude. Il leur aurait vraiment fallu un jardinier à temps partiel, songea-t-elle; mais elle le savait leur budget ne le permettait pas. Elle devait donc prendre le temps de s'occuper elle-même du jardin, comme elle l'avait déjà fait pour tant d'autres besognes.
Il était tout bonnement inutile de faire comme si les revenus de cette maison étaient équivalents à ceux des autres, ses voisines. Tout le monde, dans le quartier, Bella en était sûr, savait à quoi s'en tenir sur leur situation financière. En dépit de tous ses efforts pour maintenir toute la discrétion possible, on avait forcément remarqué le flot constant d'objets précieux qui quittaient la maison. Seul l'orgueil de Bella se refusait à trahir à l'extérieur le véritable état de leurs affaires, dans cette demeure où elle avait été élevée.
Un superbe coupé sport s'engagea dans l'allée D'accès. La conductrice arrêta la voiture et passa les mains dans ses cheveux brun et soyeux avant de sauter à terre. Bella se dirigea en souriant vers la porte d'entrée et jeta au passage un coup d'œil vers l'escalier, au haut duquel se trouvait la chambre de sa mère. Elle ne voulait a aucun prix laisser sonner le timbre et réveiller ainsi la malade qui venait tout juste de s'endormir. Cela entraînerait des questions sans fin sur les motifs de la visite d'Alice Witlock, et Bella N'était pas disposé à fournir des explications. Sa mère n'avait jamais approuvé son amitié avec Alice : elle prétendait que celle-ci ne possédait pas les bonnes manières et la culture de sa fille. Peu importerait la fortune des parents d'Alice et le beau mariage qu'avait fait la jeune femme. Mme Swan considérait Alice comme une bohème et la traitait en conséquence. Mais Bella s'était toujours montrée bien décidée a conserver intacte leur amitié.
Alice était sa seule et véritable amie, la seule qui lui avait apporté son appui dans toutes les périodes critiques. Aussi l'accueillit-elle sur le seuil avec une chaleureuse sincérité. Alice y répondit avec sa ferveur habituelle. Ses Yeux Bleus reflétaient toujours toutes ses émotions : joie, tristesse, colère ou coquetterie. Bella elle, malgré le plaisir qu'elle éprouvait à revoir son amie, demeurait volontairement calme et son regard retournait vers la porte, au haut de l'escalier.
Toutes deux gagnèrent la cuisine, au fond de la maison, et Alice examina sa compagne avec inquiétude. Aux yeux d'un étranger, elle serait apparue comme une femme ravissante, d'une beauté éthérée. Mais Alice la connaissait depuis plus de 10 ans et discernait trop bien les signes d'une insupportable tension. Les profonds cernes sombres, qui mettaient en valeur les cils incroyablement noirs et la forme en amande des yeux noisette pointillés de vert, trahissaient bien des nuits d'un sommeil léger. La jupe noir était trop grande pour sa taille mince, et le chemisier blanc à manches courtes, décolleté en rond révélait une ossature proéminente. Bella avait subit une perte de poids qui la vidait de son énergie. Sa sombre chevelure elle-même, naguère si bien soignée, brillant de l'éclat du satin, était devenue terne. La jeune femme la tirait maintenant en arrière, rassemblé sur la nuque par une barrette. Cette coiffure sévère donnait plus de relief encore à ses pommettes saillantes mais ne la flattait pas.
Portant, Alice le savait bien, exprimer son inquiétude aurait été peine perdue. Elle se contentait donc d'accepter en souriant le grand verre de punch que lui offrait son amie.
-Comment va ta mère? Le médecin est passé ce matin?
Elle vit une ombre fugitive effleurer le front lisse de Bella, mais celle-ci répondit avec une légèreté voulue :
-Oui. Il a parut très satisfait, ce qui a agacé maman.
Avec un profond soupir, elle s'assit à la table ronde.
-Elle se plaint si souvent de souffrir qu'il est parfois difficile de savoir jusqu'à quel point son état est sérieux. Et le pauvre docteur Cullen jure qu'elle lit les livres de médecine a papa dans le seul but de lui fournir de nouveaux symptômes à tirer au clair.
-Mais tout est réglé pour ce soir?
Bella pausa un regard incertain su Alice.
-J'en ait parlé Au Docteur Cullen. A son avis, si quelqu'un de compétent reste auprès de maman, tout ira bien.
-Qui pourrait être plus compétent qu'une infirmière diplômée? Fit Alice Dans un haussement d'épaules.
-Je ne suis pas tranquille, répondit Bella, en tapotant nerveusement du bout des ongles le bord de son verre. Maman est si mal à l'aise, en présence d'inconnus. Mieux vaudrait, je crois, remettre cette soirée.
-Écoute depuis un mois, nous parlons sans cesse de ce concert. Tout est réglé. Jasper a pris les billets. Tu ne va pas me faire sa maintenant!
De petites flammes bleues dansaient dans les yeux d'Alice, et Bella n'osait pas soutenir son regard. Elle préféra s'accouder à la table et se frotter le front.
-Je me faisais une joie de ce concert avoua-t-elle, mais je ne peux m'empêcher de m'inquiéter pour maman.
-Tu ferais mieux de garder tes inquiétudes pour toi-même, riposta son amie. La pire erreur de ta vie a consisté a revenir a Forks quand ta mère est tombé malade. Tu aurais dû la faire entrer dans une maison de santé, au lieu de t'épuiser à t'en occuper. Depuis 7 mois que tu es de retour, combien de fois es- tu sortie de cette maison? Je ne parle pas des courses, chez le pharmacien ou l'épicier.
-Je n'en sais rien. De temps en temps…
-je vais te le dire précisément, moi. Trois fois! La première, pour dîner chez nous; la seconde, pour du shopping, avec moi toujours. La troisième, pour aller au cinéma.
Alice réfréna sa colère grandissante et se pencha pour continuer sur un ton suppliant ;
-Bella si tu ne fais rien d'autre tu auras une dépression nerveuse!
-Ne fais pas de mélo!
-Je n'en fais pas, tu devrais te regarder dans un miroir. Tu n'es pas indispensable, tu sais. Quelqu'un d'autre pourrait s'occuper de ta mère aussi bien que toi.
-Oh! Alice! S'écria Bella, dont la bouche bien dessinée esquissa un sourire. Si j'avais ton bon sens, peut-être me sentirais-je moins coupable.
-C'est ta mère qui crée chez toi ce sentiment de culpabilité. Elle gouverne ton existence, comme elle l'a toujours fait. Les 3 ans que tu as passés à Phoenix l'ont forcé à changer de tactique. Elle a maintenant recours au chantage émotionnel pour renouer le cordon ombilical.
-Je n'avais pas le choix, répliqua Bella le menton orgueilleusement relevé. Papa n'avait pas laissé d'argent, et maman a cessé de réglé les échéances de l'assurance. Elle a beau ne pas être le genre de mère que je… que j'aimerais avoir, jamais je ne voudrais l'humilier en la forçant à accepter de l'argent de quelqu'un d'autre.
-Et combien de temps va durer ton argent?
-Aucune importance.
L'argent était entièrement dépensé depuis plus d'un mois, et les factures continuaient d'arriver, mais elle ne pouvait se résoudre à l'avouer à son amie. Le modeste revenue de sa mère et le chèque mensuel d'Edward constituaient les seuls ressources qui mettaient encore de quoi manger sur la table et leur conservaient un toit sur la tête.
-Bon c'est sans importance et sa ne me regarde pas.
La bouche en cœur d'Alice se serra en ligne mince. Quand elle se pencha par- dessus la table vers Bella, L'expression de son visage trahissait son agacement.
-mais tu assisteras ce soir au concert, il le faut Carter Burwell ne reviendra pas avant longtemps a Forks. Je ne te laisserai pas le manquer même si c'est pour t'y traîner de force.
Burwell était un magnifique pianiste, et Bella L'admirait depuis des années. Refuser l'occasion de le voir jouer en chair et en os serait pure sottise, elle le savait, surtout devant l'insistance d'Alice. Au cours des quelques dernières années, elle avait rarement eu l'opportunité d'assister a ce genre de concert. Pas depuis qu'Edward…Elle secoua vigoureusement la tête pour écarter ce souvenir.
-je Viendrais, déclara-t-elle.
Et son amie se demanda ce qui avait fait naître cet éclair de souffrance dans la profondeur de ses yeux nosiettes.
J'espere que vous avez apprécier ce premier chapitre. si vous vouler me faire aprt de quelque chose appuyer sur le monste vert juste en dessous
XoXo
CaRoO
