Bonjour tout le monde! C'est ma toute première fic, j'espère qu'elle vous plaira! Déjà désolée pour toutes les fautes d'orthographes je n'ai pas de bêta (si qq veut se proposer...) Bref ça me fait vraiment plaisir de vous faire découvrir cette histoire, gros bisous mes petits loups.

Ps: j'attends vos reviews ;)

Bonne lecture,

L'occasion de se taire.

C'est vrai que par ici la neige est rare, tellement que quand elle présente c'est l'événement. Si bien que Stiles ne l'a vu qu'une fois et ça remontait déjà à quelques années. Regardant par sa fenêtre ouverte pour respirer l'air frais, il regarde Beackon Hills dans son manteau blanc, c'était vraiment magnifique. Au magasin il avait entendu une petite fille dire qu'on se dirait dans le monde de Narnia, il dut admettre qu'on se serait dit dans un monde féerique… Il y avait même des monstres, des gentils, des méchants et des innocents enfaite on était presque dans un conte mais il n'y avait ni prince, ni princesse à moins que… Derek serait le prince et lui la princesse… Mais qu'est ce qu'est ce que je raconte, Stiles Stilinski reprenez vous se dit t-il ! Mmm Derek en collant et uniforme… sexy… Mais qu'est ce qui m'arrive ? Derek-je-suis-l'alpha-now-Hale en Derek-je-suis-ton-prince-charmant-et-je-viens-te-sauver-sexy-Hale n'importe quoi ! Bien que… Mais non ! Il allumait la radio pour se changer les idées et il tomba sur Sa chanson : Poker Face, Lady Gaga oui, oui il sait que c'est une chanson de fille. Mais il est un peu Gaga non ? Il rigole tout seul à son jeu de mot et mit le son plus fort juste au moment du refrain. Et il se mit à chanter et à se déchainer, chanter, était devenu le seul moment où il pouvait exorciser se qu'il avait en lui.
« Can't read my, cant't read my
No her can't read my poker face (She's got me like nobody)
Can't read my
Can't read my
No he can't read my poker face (She's got me like nobody) »
Et sur un « Po-po-po-poker face, po-po-poker face (mum mum mum mah » il coupa le moteur, prit les courses, chercha ses clés en chantonnant, ouvrit la porte et rentra chez lui. Aujourd'hui c'est Noël donc repas de fête s'imposait mais malheureusement son père était de garde se soir. Mais compter sur lui pour ne pas déroger à la règle du réveillon de Noël, il mangerait le plat demain avec son père. Il mit son ipod sur le baffle dans la cuisine, sa nouvelle inquisition, pour poursuivre son show. Il mit sa play liste spécial MOTIVATION, sortit ses courses, lava ses mains et mit son tablier. Le début de « Big & Rich » commença et son déhanchement avec. Le son était tellement fort qu'il n'entendit pas la sonnette, il continua à danser et chanter en coupant ses légumes. Une envie pressante le prit et en se dirigea vers les wc, il se soulagea, se lava les mains et ressortit. En relevant la tête, il faillit se casser la figure en voyant Erica.
-Putain ! Mais tu veux me tuer, même si c'est plutôt l'habitude de Derek. Mais qu'est ce que tu fais ici ? Qu'est ce que Derek me veux encore, il m'a pas assez martyrisé ? Aaah ce n'est pas ça ? Quoi les Alphas ont fait quelques choses ? Où est Derek il n'est pas en danger au moins ? Pourquoi tu me regardes comme ça ? Quoi ? Ce n'est pas Derek qui a un problème ? C'est Scott, Isaac, Boyd, Peter ? Quoi que pour se dernier je m'en fou un peu…

En voyant les yeux d'Erica luirent, Stiles déglutit difficilement et se tut.
-Pardon… dit-il en marmonnant. Il baissa la tête honteux puis la regarda, curieux de savoir ce qu'elle foutait ici. Voyant que Stiles avait finit sa longue tirade elle pue enfin lui dire le pourquoi du comment de ce qu'elle faisait ici.
-T'as finis ? demanda-t-elle. Bon, tout le monde est partit, oui même Scott dit-elle rapidement en voyant la bouche de Stiles s'ouvrir. Derek est partit je ne sais où, Isaac est partit retrouvé je ne sais qui, Scott s'est enfuie avec Alison et Boyd et moi on a rompue dit-elle d'une traite. Mais tout se que Stiles avait retenue c'est que son meilleur pote était partit sans rien lui dire et que maintenant il se retrouvait seul pour deux longues semaines. Mais comment avait-il osez lui faire ça, faux frère ! Enervé Stiles refit attention à Erica qui le regardait avec un regard remplit de détresse. Ce qui lui rappela l'ancienne Erica, l'avant louve-garou, celle au regard fatigué de la vie, triste et remplie de solitude. Puis il fit enfin plus attention à sa vis à vis, l'Erica d'avant était vraiment de retour, jeans large, pull à capuche ample, pas de maquillage et ses cheveux coiffés en queue de cheval, il se sentit directement plus à l'aise et son corps se détendit. Puis Stiles reprit la parole.
-Et tu es venu jusqu'ici pour dire à se pauvre Stiles qu'il sera seul pour le reste des vacances parce que tout le monde à décider de déserté sans rien dire, même son meilleur ami de toujours ? C'est pas que je te mets à la porte mais j'ai vraiment envie d'aller me morfondre en continuant mon repas… Mais en croisant le regard d'Erica qui d'habitude si agressif qui maintenant reflétait une sorte d'angoisse, il s'arrêta de parler.
-Mais si tu veux rester tu peux aussi, c'est un peu l'auberge espagnole ici et puis c'est Noël… Erica touchée par ses mots lui offrit son plus grand sourire.
-Merci Stiles, je savais que je pouvais compter sur toi lui répondit-elle. Il lui répondit de son sourire dont lui seul avait le secret et qui se faisait de plus en plus rare. Se dirigeant vers la cuisine suivit d'Erica, Stiles reprit la parole.
-Alors s'est fini entre toi et Boyd, quoi tu était trop agressive pour lui ou peut être trop hautaine c'est vrai qu'il à l'air si calme, toi et lui s'était un peu comme la lave et l'eau, incompatible ! clama-t-il en se retournant vers l'intéressé. En voyant son regard il pensa que se n'était certainement pas la meilleure manière de faire ami-ami.
-Je-ne-suis-pas-comme-ça lui cracha-t-elle au visage en articulant bien chaque mot, le plaquant contre le mur le plus proche. Stiles avait encore raté l'occasion de se taire, il était dans une bien mauvaise situation…

Stiles prenait peur, il n'avait jamais vu Erica dans un état pareil. Ses mains tremblaient autour de son cou et ses yeux commençaient à papillonner, signes avant coureur d'une crise d'épilepsie. Stiles voyait que la situation lui échappait et se mit à parler rapidement pour tenter de calmer la louve-garou qui s'emblait perdre tout ses moyens.
-Calme toi Erica dit-il d'un ton apaisant malgré l'angoisse qui montait en lui. Qu'allait-il faire, lui petit humain gringalet contre un être surnaturel en pleine crise ? Il fit de la seule manière qu'il connaissait, celle qui le calmait, lui , quand il faisait une crise . Il l'a prit dans ses bras et sentit le corps d'Erica convulser contre lui. Il l'a serra plus fort encore et sentit les mains de la louve s'accrocher au col de sa chemise.
- Calme toi, chuuut chuuut je suis là, lui répéta-t-il à l'oreille, appuyant la tête d'Erica dans son cou à l'aide de sa main. Il sentit le torrent de larmes se déversant sur sa pauvre chemise qui n'avait rien demandé. Erica sembla se calmer après de longues minutes d'angoisse qui avait parues des heures aux yeux de Stiles. Erica aspirait de grandes goulées d'air avec le parfum rassurant de Stiles.
- Tu as une bonne odeur… lui murmura-t-elle la voix enrouée, toujours enroulée autour du corps du pauvre Stiles qui trouvait cette remarque un peu déplacé vu la situation mais laissa coulée pour une fois surtout après ce qu'il venait de se essaya de se défaire de l'emprise d'Erica mais la respiration de celle-ci s'acceléra dès que les bras du garçon se déserrèrent et qu'il la repoussa doucement pour se relever.
-Non,ne part pas aussi...lui reprocha-t-elle son regard angoissé plongé dans les yeux noisettes.
-Ok,ok,ok non je ne partirais pas, mais que t'on t-ils fait pour te mettre dans un état pareil répondit-il d'une voix qui s'était adoucit comme s'il parlait à un enfant. Il se rassit près de la belle blonde et elle se blottit contre lui. La réponse ne venait pas mais Stiles avait comprit, elle était seule, sans personne à qui s'accrocher à part à des parents peu présents. Elle était seule et la solitude n'est pas quelque chose que l'on vit mais que l'on subit, Stiles connaissait cette douleur et aussi surprenant que cela pouvait par être, il avait peut être trouvé quelqu'un avec qui partager ses peines, il regarda le visage de la jeune fille qui avait fermée les yeux et paraissait apaisé par sa présence. Peut être qu'enfin, il n'aillait plus être seul.