Chapitre 1 : Un ange tombé du ciel.
Clark se réveilla tôt se matin-là. Il tenait absolument à s'atteler à ses tâches quotidiennes. Malgré que travailler ne soit pas exactement la chose qu'il préfère, cela lui permettait, au moins, de ne pas pensé à ses petits soucis personnels. Où plutôt ses gros tracas. En effet, notre fermier préféré devait malheureusement composer avec le fait qu'il n'avait personne dans sa vie pour l'instant. Eh oui, et le pire s'était que tout le monde autour de lui avait quelqu'un à aimer ; Loïs avait Oliver, Chloé avait Jimmy et, à son grand malheur, Lana avait Lex. Mais ça, il ne voulait surtout pas y penser. Il se dirigea vers la cuisine où, il l'espérait, l'attendait un bon petit déjeuner. En entrant dans la pièce, il fut heureux de voir que ces veux avaient été exhaussé. Une assiette de délicieuses douceurs l'attendait sur la table.
«Merci, maman». Remercia Clark.
- Mais, de rien mon chéri.
Clark s'assit à la table et commença à manger. A cet instant le téléphone se mit à sonner. Martha se dépêcha d'aller répondre.
«Oui, qui est-ce?». Demanda-t-elle.
Clark ne prit même pas la peine d'utiliser sa super-audition afin d'entendre ce que disait la personne au bout du fil. Tout ce qu'il entendait c'était les réponses partielles de sa mère ; «ah oui, bonjour…comment allez-vous», «Ah oui ?», «Bien sure, j'en serais tout à fait ravis.», «Oui, au revoir.».
«Qui c'était?». Demanda Clark soudain intrigué.
- Clark, nous devons parler. Répondit simplement sa mère qui ne semblait pas l'avoir écouté.
- Mais, enfin qu'est-ce qui se passe maman ? Tu à l'air contrarié.
- Clark, il y a plusieurs années, ton père, lorsqu'il était plus jeune, avait un ami très proche de lui.
- Comment s'appelait-il ? Demanda Clark dont la curiosité avait été piquée au vif.
- Thomas Wayne, il a grandit ici, a Smallville, mais il a fait des études prestigieuses à Gotham City, puis il s'est marié et à choisit de rester là-bas. Malgré tout, ton père et lui son toujours resté en contacte. Je l'ai même déjà rencontré, une fois, c'est un homme charmant…enfin c'était.
- Comment ça, c'était?
- Il est mort, il y a quelques années et ton père s'en est toujours voulut d'avoir manqué ses funérailles. Il aurait aimé pouvoir lui dire au revoir.
- Je comprends.
- Et justement c'est son domestique, Alfred, qui m'a appelé.
- Qu'est-ce qu'il voulait ?
- Il m'a annoncé que le fils de Thomas, Bruce, venait passer quelques jours à Smallville et il se demandait si on accepterait de l'héberger jusqu'à son retour. Je me suis dit que ça ne te dérangerait pas.
- Bien sur que non, au contraire, je serais ravi de le rencontrer.
- Bon et bien temps mieux, je vais aller préparer la chambre d'ami.
Clark commença à se demander comment pouvait bien être se fameux Bruce Wayne.
Quelques heures plus tard Il vit une limousine se garer dans l'aller. Un jeune homme particulièrement séduisant en sortit. Il était grand, mince, raisonnablement musclé, avait cheveux de jais soigneusement peigné sans tomber dans l'excès et de jolis yeux noisette. Lorsqu'il arriva face à face avec lui, après avoir remercié son chauffeur, Clark jugea immédiatement que ce Bruce était tout à fait magnifique. Bruce, quand à lui, était tétanisé.
POV Bruce
Wow ! Eh ben dit donc, si tous les mecs de ce blaid sont tous aussi sexy que celui là! Ce séjour ne sera peut-être pas aussi ennuyeux que je le pensais. Après tout, ce n'est pas moi qui est voulut venir dans ce trou perdu. Mais en y repensant, je n'avais pas trop le choix ; Alfred a tellement insister. Et puis dès qu'il m'a parlé de mon père je n'ai put qu'accepter. Eh bien, si c'est avec ce superbe mâle que je vais passer les prochains jours, ça pourrais devenir très intéressant.
Fin du POV
Après avoir fixé Clark quelques secondes, il monta les marches, ses bagages en mains.
«Laisse, je m'en occupe !» Lança Clark alors qu'il se précipitait pour prendre les bagages de son invité.
Puis leurs mains se touchèrent, leurs regards se rencontrèrent et pendant un court instant tout deux furent incapable de bouger. Ils étaient complètement en phase, en état de choque. Clark avait l'impression d'être absorbé dans les orbes chocolat de Bruce et lui dans ceux azure du jeune homme.
«Pardon.» S'excusa Clark lorsqu'il retrouva ses esprits.
- Ce n'est rien. Le rassura Bruce.
- Au faite, je ne me suis même pas présenté. Je m'appelle Clark, Clark Kent. Puis il lui tendit sa main.
POV Clark
Mon dieu, mais qu'est-ce que c'est que cette sensation qui parcourt tout mon corps. Je ne jamais ressentis cela pour personne. C'est comme si une immense chaleur me parcourait tout le corps. Enfin, je ne sais pas ce que c'est mais en tout cas c'est très agréable. J'adore me sentir comme ça. Une chose est sure ; c'est lui qui me fait me faire sentir comme ça. Mais, j'y pense, cet étrange sentiment, ne serait-ce pas de l'… non, c'est impossible. Bruce a beau être superbe, il n'en reste pas moins un homme.
Fin du POV
Bruce s'empressa de serrer la main que Clark lui avait présentée. Tout nouveau contact avec le beau jeune homme brun lui procurait une sensation qu'il affectionnait particulièrement, mais dont il ne connaissait pas encore la véritable signification. Mais bon, il s'en fichait un peu, pour l'instant, tout ce qu'il voulait c'était en profiter autant qu'il le pouvait.
POV Bruce
Humm, sa voie! Elle est si chaude, si apaisante. Et sa poigne si ferme et si tendre tout à la fois. Sa peau est si douce. Seigneur, mais c'est que je suis en train de tombé amoureux de lui! Bon, après tout, ce n'est pas tellement cela qui me dérange. Je sais parfaitement que je suis gai et ça, depuis longtemps et c'est bien loin de me dérangé. Non en faite, ce qui me dérange c'est plutôt lui. Non pas que je ne le trouve pas assez bien pour moi, jamais de la vie! Bon dieu, il est tellement mignon! Ce que je veux dire c'est que je n'ai aucune preuve que lui aussi est gai. Qui plus est, je n'ai aucunement envi de lui faire subir quelque chose dont il n'aurait pas envi, il m'a l'air bien trop gentil pour que je le veuille.
Fin du POV
«Salut Clark, moi c'est Bruce, Bruce Wayne.»
- Oui, je sais. Dit Clark avec un petit sourire au coin des lèvres.
- Ah, oui c'est vrai, désolé.
- C'est pas grave. Je te fais visité la maison et après je te fais voir ta nouvelle chambre, ça te vas? Demanda doucement Clark
- D'accord, ça me vas.
- Vient, suis-moi.
«Où tu veux, quand tu veux, mon mignon.» Pensa Bruce.
Puis ils arrivèrent dans la cuisine. Ce qui était plutôt bien, puisque Bruce commençait à avoir faim. Très faim en vérité.
- Et ça c'est…
- La cuisine compléta Bruce.
- Exactement.
- Quoi, ça t'étonne que je sache ce qu'est une cuisine, attend laisse moi deviner ; tu pense que j'ai une douzaine de serviteurs qui me préparent tout ce dont j'ai envi et que je n'ai même jamais mit les pieds dans une cuisine.
- En faite, oui, un peu.
- Eh bien détrompe toi, je ne suis pas un gosse de riche, bon c'est vrai mon père était riche et j'ai hérité de sa fortune, mais je ne le suis pas pour autant. D'ailleurs, il n'y a qu'Alfred qui vit et ou travail au manoir à part moi. Et encore si c'est le cas c'est parce que je le considère comme un membre de la famille.
- Je te demande pardon, je ne voulais en aucun cas t'insulter toi ou ta famille, je te le jure. S'excusa Clark, la sincérité remplissant se magnifiques yeux bleus, rajoutant d'avantage à son charme divin.
«Mais comment voulez-vous que je lui en veuille alors que tout ce dont j'ai envi pour l'instant c'est de l'embrasser à pleine bouche.» Se dit Bruce.
- Ce n'est pas grave, je te crois.
- Tu veux quelque chose ?
Bruce se retint de toutes ses forces de hurler «TOI!» à pleins poumons.
«Tu sais je suis parfaitement capable de me faire à manger, en faite je cuisine comme un chef, c'est vrai, je te jure.»
- Je n'en doute pas une seconde, seulement tu es mon invité et je serais ravit de te servir quelque chose à boire, au moins une pour cette fois, après tu pourras cuisiner autant de fois que tu en auras envi, je serais même extrêmement ravis de gouter à un de tes repas.
- Ce sera avec joie.
C'est alors que Clark ouvrit le réfrigérateur et qu'il se pencha pour voir ce qu'il y avait à l'intérieur, offrant ainsi une vue imprenable et très alléchante sur son magnifique postérieur parfaitement arrondit et musclé. Bruce resta quelques secondes interloqué devant cette vision plus qu'excitante.
«Alors, on a du jus d'orange et du lait. Ça te va du jus d'orange?» Finit par demander Clark.
- Délicieux. Murmura Bruce, faisant plus allusion au derrière de Clark qu'a sa proposition en tant que telle.
Clark remarqua du coin de l'œil le regard de son invité fixé sur ses fesses. Il ignorait s'il devait se sentir outré, dégouter ou bien très flatté. Il préféra la troisième et dernière option.
«Je suppose donc, que ça te convient. Après tout, comme tu l'a si bien dit ; le jus d'orange c'est et je te cite ; «délicieux» c'est ca?
- Oui, ça ira. Lui répondit Bruce tout en rougissant légèrement.
Clark ne pu s'empêcher de sourire lorsqu'il vit les joues de Bruce s'empourprée. Il était forcé d'admettre que le rouge des joues de son invité le rendait encore plus adorable.
«Pourquoi tu souris comme ça?» Demanda Bruce légèrement vexé.
- Pour rien, je t'assure.
- Alors, comment tu occupe tes journées dans cette…charmante ville. Se ravisa Bruce.
- Eh bien je travail à la ferme, c'est assez demandant.
- Donc…tu es un fermier. Conclu Bruce
- C'est exact.
- Eh bien, comme on dit, y'a pas de sous-métier.
- Très drôle.
- Ah, à charge de revanche.
- Allez, je vais te faire visiter le reste de la maison
Après un tour guidé assez sommaire des différentes pièces de la maison, Clark et Bruce arrivèrent à la chambre d'amie.
«Bienvenu dans ta nouvelle chambre, je sais sa n'a rien d'une chambre d'hôtel cinq étoiles, mais crois moi le lit est très confortable.»
- Clark, je t'ai déjà dis de ne pas me traité comme un petit richard prétentieux.
- Pourtant c'est ce que tu es. Plaisanta Clark.
- Clark. Lui répondit Bruce avec qui affichait clairement son refus qu'on se fiche de sa gueule.
- D'accord, j'arrête.
- Merci.
- Bon alors je vais te laisser ranger tes affaires et on se revoit plus tard.
Et alors que Clark allait s'en aller, Bruce l'interpela.
« Attend Clark…Heu…Je voudrais te demander quelque chose.»
- Oui?
- Est-ce que ça te plairait de sortir ce soir…Avec moi? Finit-il par demander.
