disclaimer: Aventures appartient à la chaîne bazar du grenier et les personnages à leurs proprios respectifs... (dommages hein !)
Pairing: J'aime le Thelthazard... Donc ouais Thelthazard
Note Auteur: Bon... c'est qu'un truc écrit comme cela mais qui me fait chier depuis quoi genre... le début d'aventure et surtout grâce à la fanbase que j'ai réussie à le coucher se truc à force de lire se qu'ils/elles écrivent ça ma donnée envie de me remettre à l'écriture !
Résumé: Ils sont morts... Mais ils n'en avaient pas fini avec cette prophétie !
Ps: j'ai le trac avec cette histoire parce que voila quoi c'est aventures ! donc ouais j'aimerai bien savoir si ça peut plaire au gens ^^' ! Arigatogozaimasu !
Enfermé dans une chambre sombre, volets fermés, la seule lumière visible venait d'un PC. Un jeune homme à la chevelure d'un noir ébène tapait à une vitesse phénoménale des lignes et des lignes d'une histoire connue de lui. Sur son visage, on pouvait voir se fendre un sourire carnassier. Allait-il les faire mourir, ses chers personnages ? Il prit en main le dé posé sur son bureau, le fit tourner entre ses doigts. Entre 1 et 3, ils meurent, entre 4 et 6, ils vivent. Il finit par le lancer sur sa table et le dé s'arrêta enfin.
Le sourire du jeune homme diminuait un peu mais son air féroce était toujours présent sur son visage. Il rigolait légèrement et continuait de taper sur son clavier. L'histoire n'était pas finie, il pouvait continuer leurs aventures encore un peu.
Même si le monde n'était plus le même, même s'ils n'avaient plus les mêmes capacités, leur aventure pouvait continuer.
Dans un des quartiers des plus vieux de la ville, un jeune homme était assis contre l'encadrement d'une vielle fenêtre. Il observait avec nostalgie la pluie ruisselée du toit. Un soupir à fendre l'âme sorti doucement de sa bouche, il n'aimait décidemment pas l'hiver et le froid ambiant de cette période.
Il regardait sa main avec tristesse. Quelque chose lui manquait, la sensation d'une présence en lui et sa chaleur.
Il relevait les yeux vers le ciel. Un rayon perçait entre les nuages et venait effleurer son visage.
Dans un des plus hauts buildings de la ville, assis sur une chaise de bureau, un jeune homme feuilleta de sa main droite un livre de cours. Il le savait depuis longtemps que ce bras ne lui sera jamais familier, comme si ce membre ne lui appartenait pas.
Il entendait plus qui ne voyait la pluie dégringolée sur la fenêtre de sa chambre. Il soupirait de lassitude et laissait sa chaise roulée vers la fenêtre. La pluie lui laissait toujours un sentiment de mélancolie dans les veines. Il sentit la tête de sa chienne se poser sur ses genoux. Il y passait délicatement la main.
De légers rayons de soleil vinrent effleurer son visage et lui redonnait sans explications le sourire.
Dans un des quartiers bourgeois de la ville, sous un porche de terrasse, un jeune homme se tenait assis sur les marches. Il tenait une lame dans ses mains. Son père lui interdisait de s'entrainer avec mais pourtant, il ne ressentait aucun danger en la tenant. Pour lui, c'était comme si elle était une prolongation de son bras, une partie de lui.
Il se levait et observait avec attention les gouttes d'eau tombées sur le sol. La pluie et sa mélodie enveloppa, ses souvenirs d'un voile tenu remplis de mélancolie et de nostalgie. Petit à petit, il vit le soleil se frayer un chemin dans les nuages.
Dans un des quartiers pauvres de la ville, le plus jeune des quatre hommes dansait sous la pluie. Il rigolait à la sensation de l'eau parcourant ses membres. Il s'était toujours senti à l'aise les jours d'hivers et de pluie. Bizarrement, le froid ne lui faisait jamais rien. Il pouvait vivre en t-shirt sans jamais tomber malade mais il lui manquait une partie de lui et il le savait.
Petit à petit, il sentit les gouttes d'eau s'amoindrir et le doux soleil d'hivers percer. Une douce mélancolie le prit et un sourire triste se dessinait sur ses lèvres.
Le jeune homme aux cheveux ébène se leva de sa chaise dans un calme absolue. d'un pas vif et calculé il évitas les objets au sol et se retrouvas devant sa fenêtre. Il ouvrit les rideaux d'un seul geste, déverrouillas les battants et poussait les deux volets. Se dévoilas à son regard noir un soleil d'hiver qui réchauffas doucement son visage blanc. Un sourire se dessinait sur son visage, un sourire doux, loin du sadisme qu'il avait généralement. Il fermas doucement les yeux et se laissas emporter par les souvenirs d'une histoire achevée et qui reprenait.
