Death Note ne m'appartient pas. C'est l'œuvre de Takeshi OABATA et Tsugumi OHBA, donc évidemment je ne touche pas d'argent dessus.
L'Anglais n'est toujours pas ma première langue !
Seishirou Hitsugaya merci de m'avoir corrigée !
Je ne fais que Traduire cette fiction de l'anglais écrite par Melissen ! On repart pour un tour (pour vous jouer un mauvais tour) !
Chapitre 1
Light Yagami n'avait pas l'habitude d'ignoré quelque chose, aussi il se sentait extrêmement mal à l'aise. A partir de quel moment sa vie avait cessé d'être parfaite ? Quand es ce que LUI avait cessé d'être parfait ? Peut – être qu'il ne l'avait jamais été après tout ?
Il se demandait toujours si à un moment donné il aurait pu faire quelque chose pour éviter la suite d'évènement qui avait lentement mais sûrement bouleversé sa petite vie parfaitement réglé, la renversant complètement. Il se demandera toujours si c'était possible d'arrêter tout après que ça ait commencé. Après il se demanderait s'il l'aurait fait si il en avait eu la possibilité.
Light était en train de finir son dîner assit à table avec sa mère et sa petite sœur Sayu. Il pleuvait à grosse goûte dehors. C'était l'un des derniers moments où sa fut parfaite, où il fut parfait. Ce fut une journée parfaitement ordinaire, comment tous les autres jours parfaitement planifié de Light. Il planifiait tout pour n'être jamais pris de court, sauf ça… Ca n'était pas planifié du tout.
La sonnette sonna une fois. Sa mère s'excusa et sorti de la cuisine. Le cœur de Light manqua un battement. Son père n'était pas rentré et avec son travail tout pouvait arriver n'importe quand. On ne pouvait jamais savoir. Soichiro Yagami était le chef des forces de police et même s'il ne patrouillait pas dans la rue, il était en danger à tout moment. Es ce que Light aurais retenu sa mère d'ouvrir la porte si il avait su qui serai de l'autre côté ?
Il entendait la voix de sa mère sans arriver à comprendre ce qu'elle disait. La voix de l'autre côté de la porte était très basse et posée. Light attendait la réaction de sa mère. Allait – elle pleuré ou pas? Elle ne pleura pas. D'après les son Light en déduisit qu'elle emmenait la personne qu'elle quel soit dans le salon. Qui ça pouvait être ? Le moment d'après sa mère revint dans la cuisine et commença à préparer du thé.
« Light es ce que tu pourrais aller dans le salon occupé l'invité de ton père s'il te plait ? »
Light était déconcerté.
« Pourquoi moi ? »
Sa mère lui offrit un sourire chaleureux.
« Il m'as dit que Soichiro arrivait bientôt, ne t'inquiète pas. J'imagine qu'il travaille avec ton père mais il a vraiment l'air jeune. Je pense que ça serais mieux si tu restes avec lui… S'il te plait Light. »
« Bien sûr maman… »
Light n'essaya même pas de cacher son mécontentement. Il ne se sentait pas de gâcher ne serais – ce que cinq minute avec une bleusaille stupide comme ce Matsuda Toûta… Light était peut – être jeune mais il n'était pas stupide et rien ne l'insupportait plus que la stupidité. Il soupira bruyamment et colla un faux sourire sur son visage. Il prit un plateau avec du thé et un service en porcelaine et sorti de la cuisine. Ce qu'il vit dans le salon lui fit presque lâcher le plateau.
C'était l'être humain le plus étrange qui lui fut jamais donné de voir. Il était en effet jeune mais il ne ressemblait en rien à Matsuda. Il portait un baggy en jean bleu et un T – shirt à manche longue trop grand blanc. Ses cheveux noir était désordonner et cachait à Light le visage de l'inconnu. Il était étrange mais ce n'est pas ce qui attira l'attention de Light. Il y avait plein d'appareil et de câbles non identifié éparpillé sur la table basse. Le type bizarre était accroupi là et ressemblait à un gosse en train de jouer avec ses jouets favoris. Light l'observait sincèrement intrigué en silence. Les longs doigts pâles de l'homme jouaient avec un bouton sur un étrange appareil. Il le manipulait doucement, surveillant minutieusement ce que montrait l'écran.
Il ne fit pas attention à Light.
Le jeune n'aimait pas être ignoré. Pas parce qu'il avait l'habitude que les gens se pâme de sa présence mais parce qu'il n'aimait pas devoir interagir avec les gens grossiers. Une main pâle s'éleva et retira quelque chose de la serpillère indomptée qui lui servait de cheveux, très probablement placé dans son oreille. C'était une petite oreillette. Ensuite l'homme se leva et regarda Light. Le garçon croisa son regard curieux de savoir quel genre de visage il allait découvrir derrière la broussaille de boucle brune.
Il aimait passer du temps à se remémorer cet instant précis, tentant de se souvenir de ce qu'il avait ressenti et pensé à l'époque. C'était dur à dire. Peut – être avait – il passé des heures a fixé les orbes noirs ou peut – être qu'il avait rapidement détourné les yeux en marmonnant quelque chose comme…
« Bonsoir »
L'homme se détourna de Light et agit encore plus étrangement qu'avant. Il avait rendu les salutations de Light par contre et même rajouté autre chose, quelque banalité comme :
« Yagami –Kun ? Tu n'avais pas à m'apporter du thé ou quoi que ce soit, je ne voudrais pas déranger… »
A moins que ce ne fut…
« Quel joli photo, c'est ta petite sœur Yagami – Kun ? » dit – il en regardant la photo derrière celle de Light qui datait de quelques années mais Light ne s'en souciait pas vraiment parce que l'autre ne regarda même pas la photo. Il faisait le tour de la pièce d'un endroit à l'autre en vérifiant derrière chaque cadre photo et chaque bibelot, comme si il cherchait quelque chose. Cela fit penser à Light à James Bond quand il cherche des micros à chaque fois qu'il entre dans une chambre d'hôtel. C'est à ce moment qu'il réalisa. Les appareils éparpillés sur la table basse ressemblaient à des sortes de détecteurs. Es ce que l'homme recherchait vraiment des micros dans leur salon ? C'était qui ce psycho ? La curiosité fit place à l'irritation. Light haïssait vraiment d'être ignoré.
« Qu'es ce que tu fais ?! »
Light déposa de manière irrévérencieuse le plateau sur la table basse sans se soucié de faire tomber l'un des appareils sur le tapis au sol. Ca attira l'attention de l'homme bizarre. Il retira sa main osseuse de derrière l'un des plus grand cadre photo et s'en retourna vers la table. Il prit la théière et versa doucement une partie de son contenue dans une tasse. Puis il mit une de ses mains au-dessus de la tasse et lâcha quelque chose dedans. C'était très petit. Puis il repris le ''détecteur'' par terre et remis l'oreillette dans son oreille ressemblant à nouveau exactement pareil que quand Light l'avait vu pour la première fois, accroupi à côté de la table en train de tripoté un bouton.
« Es ce que c'était un MICRO ?!
Des yeux noirs réprobateurs épinglèrent Light avec un regard acéré mais les mots qui vinrent de l'étrange homme sonnèrent calme et indifférent.
« Non Yagami – Kun. Je crois que ça n'était qu'une saleté. Aucune raison de s'inquiéter, je t'assure. »
Il retourna ses yeux et son attention sur le petit appareil sur la table puis enleva à nouveau l'oreillette et regarda encore la pièce, clairement insatisfait des résultats montré par l'écran. C'était la première fois que Light pouvait bien voir son visage. Il était inhabituel et Light ne pouvais en détaché le regard. Sa peau était blanche comme une poupée de porcelaine et paraissait parfaite. Ses yeux étaient grand et très sombres mais aussi cerné souligné par des traits sombres venant évidemment d'innombrable nuits blanches. Son visage semblait fatiguer et en même temps énergique et pas le moins du monde endormi. Il avait quelques traits acérés, de belles pommettes, un nez droit légèrement retroussé et des lèvres qui sans raison particulière attirèrent toute l'attention de Light. Ces lèvres étaient pâle mais aussi un peu rosée… Cet homme était l'être le plus étrange que Light n'ait jamais rencontré mais son visage était bizarrement attractif… Light se fustigea intérieurement pour penser ainsi et se força à détourner le regard… Qui revint vers les lèvres pâle l'instant d'après comme si ils étaient forcé par un étrange champ magnétique. Quand soudainement des yeux noirs rencontrèrent les siens, il détourna le regard et son attention hâtivement de l'homme qui se leva et recommença son exploration de la pièce.
Soucieux de ne pas déranger l'homme dans sa recherche de micro Light fit un pas en arrière vers le seuil de la porte. La posture de l'homme était horrible. Il était courbé comme un vieil homme mais en l'observant mieux Light s'aperçut qu'il devait être de sa taille. L'homme s'approchais de plus en plus près de Light en observant chaque centimètre de mur près de lui. Puis il s'approcha encore plus. Light savait qu'il avait recommencée à le fixait mais il y avait quelques chose d'inhabituel dans le visage de cet homme qui ne cessait de l'attiré.
De longs doigts arachnéens bougèrent du bas du cadre de la porte vers son sommet forçant l'homme à se redresser et confirmant les soupçons de Light sur sa taille. Il s'approcha encore de Light, ses doigts inspectant minutieusement le bord de la porte avec des gestes précis et prudents. Ses bras fin, recouvert de coton blanc passèrent au – dessus de sa tête. Le garçons retint sa respiration pour des raisons inconnues et combattit le besoin ridicule de fermer les yeux. La peau pâle de l'étranger était vraiment parfaite.
« Excuse – moi, Yagami – kun... »
« Quoi… ? »
Light leva le regard et inspira nerveusement la nouvelle odeur, l'odeur de l'homme devant lui. Comme si il avait été brulé il s'éloigna d'un coup de la porte et se précipita vers le canapé. Il s'assit et se demanda ce qui n'allait pas chez lui. C'était stupide.
Il resta assit et se repassa les dix dernières minutes de sa tête encore et encore jusqu'à ce qu'un second micro parti rejoindre le premier dans la tasse devant lui. Il leva la tête et vit l'homme une fois de plus pencher sur son équipement. Il sembla enfin satisfait de ses résultats, car il enleva l'oreillette, enroula fermement le câble autour du ''détecteur'' et le rangea avec d'autre appareil qui était sur la table dans un attaché – caisse que Light n'avait même pas remarqué avant.
« Qui es – tu ? »
L'homme ne leva même pas les yeux mais eut la gentillesse de répondre à la question de Light.
« Tu peux m'appeler Ryuuzaki, Yagami – kun. » Sa voix était basse et si grave...
Il sorti un ordinateur portable de nulle part et l'ouvrit sur la table basse, toujours accroupis bizarrement par terre. Cette personne et tout cet incident était si étrange qu'ils paraissaient irréel. Ca ne correspondait juste pas à la routine de Light. On aurait dit un rêve. La pluie continuait à battre contre la vitre des fenêtres et les lumières tamisé du salon créait une atmosphère vraiment étrange et mystérieuse. Avec en plus ces appareils bizarres et l'homme encore plus étrange que tout le reste Light ne savait quoi dire ou quoi était largué ce qui ne lui arrivait pas souvent.
« Tu travail pour mon père ? »
Light avait besoin de réponse pour être plus à l'aise. Comment il fut dit auparavant, il n'était pas habitué à être dans l'ignorance. L'homme – Ryuuzaki – tapais sur le clavier, ses yeux noirs concentrés et son visage pâle éclairé par la lumière bleuté de l'écran.
« Non. Je ne travaille pas pour lui. »
C'était trop vague comme information au goût de Light.
« Ok… Donc es- ce que les choses que tu as lâché dans ton thé étaient des micros ? »
« Oui. »
« Comment es – ce que tu savais qu'il y 'en aurais ici ? »
« J'ai vérifié. » Un doigt pâle pointa vers l'attaché – caisse.
« Pourquoi ? Pourquoi es – ce qu'il y aurait des choses pareil dans nôtre salon ? »
« J'ai simplement vérifié par mesure de précaution Yagami – kun. »
« Es – ce que tu fais ça à chaque fois que tu rends visite à quelqu'un ? »
« C'est difficilement une banale visite, Yagami – kun mais oui, j'ai tendance à me méfier quand je m'apprête à avoir une discussion confidentiel dans un environnement qui m'est inconnue. »
« Qui as installé ces micros dans notre maison ? »
« Je crains ne pas pouvoir répondre à ta question Yagami – kun. Ce serait très peu avisé dans les circonstances actuelles. »
« Où est mon père ? C'est au sujet de l'affaire Kira ? »
« De ce que j'en sais par son père et ses collègues Yagami – kun est supposément une personne brillante. Crois – t- il réellement qu'il soit bien sage de discuter ainsi d'un tel sujet avec un parfait étranger qui pourrait bien ÊTRE Kira ? »
Les yeux noir ne bougèrent pas de l'écran ne serais–ce qu'un instants. Light se senti extrêmement stupide. Comment avait – il put être aussi imprudent ? Mais quelque chose dans ce Ryuuzaki le poussait à lui faire confiance. Curiosité et irritation grandissait en Light de minutes en minutes.
« Tu n'es pas Kira. Tu es venu voir mon père. »
« Je suis peut – être là pour le tuer ? »
« Kira n'a pas besoin de rencontré qui que ce soit pour les tués.
« Un point pour Yagami – kun, mais je suis peut –être ici car j'ai quelque chose de plus à gagner que la mort de ton père. Peut –être que je suis venu prendre sa famille en otage pour le forcer à agir à mon avantage ? Je pourrais tué Yagami – kun pour lui prouver à quel point je suis sérieux et ensuite menacer la fille de Yagami – san. »
« Si c'était le cas tu ne serais pas assis là à enlever les micros de la salle. »
« Je le ferais si je soupçonnais Yagami –san d'avoir mis sur écoute sa propre famille. »
« … Ok un point pour toi. Mais tu n'es pas Kira, n'es-ce pas ? »
« Non, je ne le suis pas, mais si je l'étais je ne le révèlerais pas à Yagami – Kun pas vrai ? »
« Tu travail pour L ! »
Ceci fit gagné à Light un regard acéré de l'énigmatique étranger. Des yeux noirs le transperçant et l'étudiant pendant un long moment avant de se retourner vers l'écran.
« Ainsi, Yagami – kun a piraté l'ordinateur de son père… pas très gentils de sa part. »
Light déglutit difficilement. Comment cet homme était au courant de ça ? Bien sûr… c'est ainsi qu'il avait appris que son père travaillait sous les ordres de L. Qu'es ce qui n'allait pas avec Light il agissait si stupidement !
Ryuuzaki était déjà retourné à taper sur l'ordinateur.
« Tu vas le dire à mon père ? »
Les yeux noirs l'observèrent derrière les boucles brunes pendant encore un trop long moment pour l'étudier. Light ne savait pas pourquoi mais il sentait ses joues rougir. Il arrangea nerveusement sa coiffure déjà parfaite.
« Je ne pense pas que les connaissance de Light représente une menace pour l'enquête. »
« Es ce que c'est censé vouloir dire NON ? »
« Oui. »
L'irritation de Light grimpait dangereusement.
« Où est mon père ? Il travaille pour L pas vrai ? Ils travaillent ensemble dans un endroit inconnu pour résoudre l'affaire Kira. Et tu travail pour L aussi n'es – ce pas ? »
« Je pourrais changer d'avis à propos du danger que Yagami – kun représente pour l'enquête. »
Light essaya de se forcer au silence mais il se contenait difficilement. Comment pouvait – il être silencieux quand la curiosité le dévorait de l'intérieur. Il y avait un homme travaillant directement pour L dans son salon ! Cet homme connait L ! L ! Le plus grand détective au monde ! Light avait toujours admiré le travail de L et ambitionnais de le dépasser un jour. Il fut un temps où il s'imaginait être l'apprenti de L.
Il imaginait L d'une façon bien particulière. Dans l'esprit de Light l'apparence de L se situait entre celle de son père et de Sherlock Holmes. Il rêvait à propos de surpasser L. il rêvait à d'innombrables situations où il parvenait à découvrir quelque chose que même L n'avait remarqué. Il adorait ce rêve en particulier où L utilisais ses talent sur une enquête particulièrement ardue et importante. L'homme l'engagerais à travailler à ses côté comme successeur et Light avec son esprit brillant, réussissait et le surpassait en un rien de temps lui faisant gagner son admiration.
Mais la réalité était tout autre. Cet homme étrange –Ryuuzaki- était très jeune et (bien que Light ne le dirais jamais de vive voix) très intelligent. Ce pourrait – il que CECI soit l'apprenti et héritier de L ? Serais- ce envisageable que L trouverais cet étrange créature suffisamment brillante pour être digne pour travailler à ses côtés ? C'était impossible et ridicule. Cet insomniaque palot ne serait pas celui qui volerait le rêve de Light. Il était un grand foutoir quand Light était parfait ! L ne pouvait faire une erreur pareille !
« Donc… Qui pourrait mettre notre maison sur écoute ? Qui fait ce genre de chose de toute façon ? »
« N'importe qui le pourrait Yagami – kun. A cause de l'explosion de technologies miniaturisées, les outils de mise sur écoute ou d'espionnage n'ont jamais été aussi abordables, petits, puissants ou faciles à se procurer. Il y'en a une quantité exceptionnellement importantes aux Etats – Unis. Tu ne peux pas conduire plus de quatre rue de n'importe qu'elle direction dans le centre de Manhattan sans trouvé un appareil d'écoute. Les gens se rendent rarement compte que l'expansion massive de ces appareils de surveillance est une menace à la sécurité nationale, l'information, l'exercice de la loi et autre opération gouvernementale, la confidentialité des transactions financière et enfin… à la vie privé.
Light se retrouva sans voix un instant. C'était quoi ce type ?
« D'accord… Mais on n'est pas à Manhattan ici. Les américains sont cinglés ! On est à Tokyo. Les choses sont différentes ici ! »
« En vérité Yagami – kun, reconnaissant la menace, le Congrès a fait passer l'Electronics Communication Privacy Acts de 1986 qui rend illégal pour un citoyen en privé de posséder, fabriquer, importer, vendre ou promouvoir tout appareils de surveillances, tout en sachant ou ayant des raison de savoir que la fonction de ces objets en font une nécessité primordiale pour l'interception subtile d'information transmise par communication écrite, orale ou par ordinateur, et que de tel appareils ou n'importe quel composant ainsi ont été ou seront importé par la poste ou par transporteur d'un état à l'autre ou du commerce étranger. MAIS il est intéressant de noté qu'aucune restriction sur la surveillance technologique n'a été prise dans les autres pays. Le Japon ne reconnais pas explicitement le droit à la vie privé à un niveau constitutionnel ou statuaire cependant, un droit à… l'assurance que la vie privé de chacun ne soit pas déraisonnablement exposée au publique a été reconnue par la Cour. L'Acte de Protection des Information Personnel a été établie en 2003 comme partie d'un ensemble de lois compréhensive et qui met généralement en place des principes équitables sur l'information en Europe dont les effets sont semblables sur les lois en effet au Japon. Cet Acte n'a que quatre principes de hauts niveaux, mais ces principes ont été établis discrètement par une série de cabinet et ordres ministériel. Donc… »
« Attend ! Stop ! Es ce que tu essaie de me faire croire que c'est pire au Japon ? »
« Pas nécessairement, mais c'est un fait que la majorité des appareils d'écoute illégaux importés aux USA viennent du Japon. De plus n'importe qui avec un fer à soudé et une compréhension basique de l'électronique peut construire et installer des micros. Les pièces détacher pour les construire sont facilement obtenue par l'internet ou en démontant de l'électroménager tel que les téléphones sans fil, les intercoms et les télévisions. »
« Es-ce que tu es une espèce de spécialiste dans ce domaine ? Je veux dire… les techniques d'écoutes… »
« Non je ne le suis pas. »
« Alors comment sais- tu ce genre de choses ? »
« Je crains ne pas comprendre Yagami – kun. Je sais beaucoup de chose. J'étais sûr que nous faisions que papoter poliment… Ce n'est pas ainsi que les gens font ? Parler de choses sans – intérêt pour éviter un silence inconfortable ? »
« Tu considères ma question sur le fait que nôtre maison est sur écoute comme étant sans-intérêt ? »
« Je l'ai considéré comme une invitation courtoise pour engager une conversation polie sur des sujets mondains… AKA papoté… Je suis désolé si j'ai mal – interprété l'intention de Light. Les relations sociales ne sont pas mon fort. »
Il n'avait pas l'air désolé du tout.
« Si je te le demandais tu me réciterais ce que dit les lois de chaque pays sur la mise sur écoute ? »
« Es – ce que veut Yagami – kun ? »
Light espérais qu'il n'avait fait qu'imaginé la pointe d'espoir dans la voix morne de l'homme.
« Non. La façon dont tu as parlé de Manhattan m'a fait me demander… si tu travaillais pour la police américaine… »
« Non, ce n'est pas le cas Yagami – kun. »
« Un gouvernement ? »
« Je me vois obligé de demander à Yagami – kun d'arrêter de me poser des questions auxquels je ne peux répondre. »
« Tu sais que ça ne fait que confirmer mes soupçons sur le fait que tu travail pour L. »
Ryuuzaki regarda Light dans les yeux pour y lire ses intentions.
« Pourquoi ne pourrions – nous pas papoté inutilement, comme des gens normaux ? »
Light ne put empêcher un sourire se former au coin de sa bouche. Il s'assura d'un faire un qui soit sexy. Pourquoi ? Parce que.
« Parce que Ryuuzaki, nous ne sommes pas des gens normaux. Mon QI est bien au – dessus de la moyenne et le tient n'est pas en reste non plus. Sur quoi des gens comme nous pourrais « papoté inutilement » ? Une discussion casuelle menant à la résolution de l'affaire Kira, peut - être ? »
« Yagami – kun as dangereusement confiance en ses propres capacité et son intelligence. Je ne peux qu'espérer qu'il ne les surestimera pas. Néanmoins je me dois de le décevoir. Yagami – Kun et moi ne sommes pas aussi uniques qu'il le pense. Il y a des gens aussi intelligent, voir peut – être plus intelligent, que moi et Yagami – kun. Je connais plus que quelques personnes que je considère comme mon égal sur au moins quelques savoirs… Je ne me sers pas que de toute la cervelle que j'ai mais aussi de celles que je peux emprunter. »
Le sourire de Light s'agrandit.
« Woodrow Wilson. Une excuse est pire et plus terrible qu'un mensonge, car elle est un mensonge gardé. »
« Alexander Pope. Mais ce n'était pas une excuse Yagami – kun. Tu dois comprendre que La vrai sagesse apparait à chacun d'entre nous quand nous réalisons à quel point nous somme ignorant de la vie, de nous – même et du monde qui nous entourent. »
« Socrate. J'aime ce jeu. Es – ce que tu connais celle – là : On ne peut jamais être trop habillé ou trop savant. »
En disant ça, Light rendit son propos encore plus flagrant pour Ryuuzaki en réajustant sa cravate et ses cheveux parfait. Il voulait vraiment rendre Ryuuzaki inconfortable et conscient de lui – même. Il voulait que Ryuuzaki se sente comme il se sentait en ce moment. Il savait que Ryuuzaki avait raison et qu'il ne devrait pas croire autant sa propre intelligence comme il le f ais, mais il ne pouvait s'en empêcher. Il ne connaissait personne de plus intelligent que lui, alors pourquoi ne pourrait-il pas être confiant ?! Qu'y avait – il de mal à être confiant et fier ? Rien ! Cela énervait Light que ce dingo le fasse se sentir aussi faible et hésitant.
« Oscar Wilde. J'aime sa façon de penser, après tout il a aussi dit Soyez – vous-même, tout le monde est déjà pris. On ne peut pas tous être beau et parfait, Yagami – kun. »
Light rougi furieusement.
« C'est supposé être un compliment ? »
Ryuuzaki leva un sourcil et c'est alors que Light s'aperçut qu'il était presque invisible.
« Un compliment ? Ce n'était qu'une réponse à la remarque de Yagami – kun sur mon apparence. Je fus surpris que Yagami – kun eut même pris la peine de jugé de mon apparence et de la critiquer. Qu'est devenue L'habit ne fait pas le moine ? »
« Je n'ai pas critiqué ton apparence. »
« Non, juste ma façon de me vêtir… Yagami – kun serait – il homosexuel ? »
Light vit rouge. Il ne devrait pas être autant affecté par une remarque aussi stupide. Il ne devrait vraiment pas, mais avant d'avoir pu réfléchir il était déjà à califourchon sur les cuisses de Ryuuzaki agrippa son col alors que son bras se préparer à envoyer son point dans le visage irritant de Ryuuzaki. Il espérait le réduire en touts petits morceaux comme une vraie poupée de porcelaine et finalement arrêter de le rendre fou. La colère bouillait dans sa poitrine comme un feu liquide et il pouvait sentir ses mains tremblez de façon incontrôlable. Mais pourquoi es – ce que ça le mettait aussi ridiculement en colère ?
Quelque chose agrippa son bras et le tira de l'autre homme. Par reflexe, il essaya de stopper le mouvement en serrant ses genoux autour de Ryuuzaki. Il était bien là, il aimait la sensation de dominance sur Ryuuzaki.
« Light ! »
La voix tranchante le ramena sur terre. Qu'es ce qu'il était en train de faire ? Il était supposé d'agir toujours comme le parfait jeune homme, le fils parfait, l'étudiant parfait. Jamais auparavant son père n'avait vu sous son masque de pure perfection. Personne ne l'avait jamais vu. Il l'avait laissé glisser dès qu'il l'avait vu Ryuuzaki et maintenant son père l'avait vu…
« Light mais qu'es ce que tu fais ? »
Light se tient droit et remis en place ses cheveux et sa tenues mais son rougissement dut à la colère s'intensifia en réalisant le poids de son action.
« Je suis désolé père… Ryuuzaki. Je ne sais pas ce qui m'a pris. Je suis vraiment navré. »
« Mais… Mais… Pourquoi as – tu essayer de le frapper ? »
« J'ai bien peur que ça ne soit entièrement de ma faute, Yagami – san. J'ai apparemment toucher la corde sensible. J'en suis désolé. »
« Ce n'est PAS vrai ! Ryuuzaki… »
« Light ! » Soichiro était d'habitude très coulant avec son fils mais il était dans une situation où il se devait d'être ferme, parce que c'était L, LE L, le plus grand détective au monde et dans le cas présent son supérieur. « Excuse – toi… auprès de Ryuuzaki… Et s'il te plait va dans ta chambre… Je suis sûr que tu as encore des choses à avoir pour tes concours. »
Light grinça des dents. Non, il n'avait rien, mais il le ferait quand même. Juste au cas où. Mais lui demander pardon… à cette personne… ça paraissait exagéré.
« Pardon… Je ne sais pas ce qui m'a pris… Je ferais mieux d'y allé. »
Light était assis dans sa chambre. Il avait arrêté d'essayé d'étudier. C'était impossible. Il était trop en colère et distrait… trop curieux. Cet étranger occupait ses pensées. Il était vraiment l'apprenti de L ? Evidemment Ryuuzaki n'était pas son vrai nom. C'était un nom JAPONAIS, alors que l'homme était de type caucasien (ou martien).
« Light es ce que tu peux descendre ? »
Le garçon sorti de sa chambre et descendit l'escalier.
« Oui papa ? Qu'es qu'il y a ? »
Soichiro avait l'air horrible. Il était visiblement nerveux. Ryuuzaki se tenait à côté de lui avec les mains dans les poches. Il ignorait Light.
« C'est bon Yagami – san. On peut gérer ça. »
Light, je… En quelque sorte je n'ai pas remarqué… Il semblerait que j'ai été suivi. Je… Je dois te demander d'aider Ryuuzaki à sortir d'ici. »
Light foudroya l'étranger du regard.
« Lui ? Pourquoi ? »
« S'il te plait Light, tu dois nous aider. Ils vont voir Ryuuzaki sortirent. Si tu l'accompagne… disons à un arrêt de bus… ils le prendront pour l'un de tes amis. »
« Ok papa, pas de problème. » light rougis en réalisant qu'il avait l'air vraiment trop presser d'y aller. Il coiffa nerveusement ses cheveux avec sa main et envoya un regard tranchant à l'étranger.
« Yagami – san, je sais que vous êtes conscient qu'ils ne vont peut – être pas partir comme ça… J'ai déjà envoyé deux personnes pour qu'ils puissent veiller sur Yagami – kun après qu'il m'ait laissé à l'arrêt de bus mais il pourrait avoir besoin de quelqu'un pendant la journée aussi. »
« Je le sais… On va s'en occuper. »
Après avoir donné quelques avertissements et conseils Ryuuzaki alla à la porte. Light le suivi comme tiré par une ficelle invisible. Quand ils furent sur le porche Ryuuzaki remercia bruyamment Yagami – san pour son hospitalité. Et puis ils étaient partis. Ils marchèrent dans le silence le plus complet.
« Ils sont dans cette voitures. Mes hommes sont plus discrets. Es ce que Yagami – kun peut voir mes hommes ? »
« Hum… Pas vraiment, mais maintenant que je sais qu'ils sont là je dirais qu'ils sont dans cet immeuble. Cette voiture n'y était pas avant… Et je ne me souviens pas que des gens y vivent... Alors… »
« Parfait. Mes hommes sont là. Mais les méchants ne sont pas supposés le savoir. »
« C'est ton bus… Ryuuzaki, quel est ton vrai nom ? »
« Pourquoi devrais – je le dire à Yagami – kun ? »
« Tu connais le mien, ce n'est que justice que je sache le tient aussi. »
Ryuuzaki rit doucement. « Je crains que ce ne soit pas si simple. »
Ryuuzaki monta dans le bus et fit signe à Light à travers de la fenêtre. Ce n'est qu'après que le bus eut disparu que Light réalisa que sa mains était toujours lever en train de lui faire signe. Son visage semblait bizarre. Il avait un grand sourire heureux. Il grogna et baissa rapidement sa main, soudainement très conscient que les hommes de Ryuuzaki l'observait depuis tout ce temps. Il commença à rentrer chez lui.
TBC
Alecton : Saluuuut ! Je vous aie manqué ! Après Dear L je reviens sur une fic plus sérieuse mais pas de soucis ! On aura des moments de délires aussi ! Pas aussi délirant que ce que VGJekyll offrait mais pas mal quand même ! Merci à Melissen pour la Fic ! Vous savez ce qui est drôle ? C'est que l'anglais n'est pas sa langue maternelle à elle non plus ! Mais la Fic a été Betareader et franchement ça ne gêne pas à lecture anglaise et puis vous n'êtes pas concerner vous lisez en FRANÇAIS ! Et grâce à qui ? A BIBI ! Ce chapitre m'a pris des semaines à traduire. Mais j'avais pas mal de distraction. Et ça va continuez un moment. Déjà j'ai mes partiels. Puis ma mère qui c'est remarier au mois d'août dernier me traine (non pas que je me plaigne !) aux Maldives ! Alors pas de Wifi las – bas donc pas de chapitres CQFD ! Par contre pendant les vacances d'été je pars à la Nouvelle Orléans et à New – York avec mon père et las bas j'aurais la Wifi donc je continuerais à Publier le soir ! Vous croyez que je pourrais trouver des sorciers Vaudou las – bas ? Ou un endroit hanté ?! Ça serait trop COOL !
Sinon mettons les choses au point : LIGHT YAGAMI N'EST PAS KIRA DANS CETTE HISTOIRE ! Mais Kira et le Death Note existe tout autant que le Toc de Light pour ses cheveux. Non mais sérieusement combien de fois il se les ait tripotés pendant ce chapitre ! Je ne sais plus si ça va être récurrent dans le reste de la fic… Si ça continue je pourrais en faire un jeu à Boire ! (Attention l'abus d'alcool est dangereux pour la santé ! Connaissez vos limites ! L'alcoolisme ce n'est pas drôle et c'est l'expérience familiale qui parle !)
En attendant Light risque bien de finir par s'arracher les cheveux face au Mystère Ryuuzaki ! Alors pour sauver les cheveux adorés de Light laissez-lui une review ! Vous pouvez aussi lui envoyer une perruque par review ! Bonne journée !
