Bonchour ! Aujourd'hui je poste le prologue de mon bébé ! Ma toute première fic longue qui avait mijoté des mois durant dans ma petite tête.

(Je suis siiiii émue *snif*)

Soooo…On se retrouve à la fin pour de plus amples explications.

Disclamer : Hetalia = truc génial = surement pas de moi


Prologue

En cet univers il existe une race d'animaux bipèdes nommés humains.

Les humains sont des créatures dotés d'intelligence…ou de folie cela dépend du point de vue.

Bref, les humains sont fous.

Soit.

Donc les humains ont un jour décidé qu'être ensemble les maitres de leur monde ne suffisaient pas. Ils voulaient être seul, chaque individu voulait être le seul, l'unique.

Alors ils ont commencé à s'unir pour se retourner les uns contre les autres : Ce fut ce qu'ils appelèrent la Guerre.

La guerre leur fut autant bénéfique que maléfique : ils découvrirent la haine et l'amour. La haine pour leurs ennemis et l'amour pour leur union.

Et c'est de cet amour là, ce sentiment d'union qui donna naissance à la toute première nation.

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Vénérée et adulée par les humains, la première nation était orgueilleuse. Elle se voyait supérieure à tous ces êtres mortels qui l'acclamaient.

Elle avait oublié.

Elle avait oublié qu'elle était né de la folie des hommes, qu'elle n'était qu'un pantin, une raison de plus pour la guerre.

C'est peut-être pour ça que la première nation mourut jeune.

Les générations suivantes furent plus prudentes, certes, mais ne changèrent rien à leur statue : elles étaient des pantins.

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Quel intérêt à ces mots me diriez-vous ?

Ils sont vitaux pour bien comprendre l'histoire qui va suivre : celle d'une nation trop puissante, trop sûr d'elle, trop orgueilleuse, une nation trop.

Cette nation qui, en voulant couper les fils qui la retenait, c'est rendue compte qu'elle n'était rien, rien de plus qu'une marionnette. Et à vouloir toujours plus, à vouloir détruire les règles immuables elle perdit tout.

Tout jusqu'à sa qualité de pantin.

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Et si tu avais su, est ce que tu aurais essayé Prusse ?


Le prologue est très court et volontairement incompréhensible (c'est pour vous obliger à lire la suite) mais je vais changer de façon de narrer pour le reste.

Je préviens que cette fic ne sera pas joyeuse. Et ceux qui me connaissent un minimum savent que quand je dis « pas joyeuse » c'est limite dépressive.

Bises :3

Ps: Est ce que quelqu'un serait intéressé de béta-reader (c'est un verbe vi U.U) cette fic? *fait des yeux de chatons adorable*