Bonjour à tous!
Voici une fanfic commencé il y a un bout de temps déjà que je recommence car ce que j'avais écrit ne me plaisait pas.
Doc voilà :)
P.s: j'ai toujours pas les sous pour m'acheter les droits d'auteur de nos tortues préférées.
P.s.s : j'aime bien les revieuws!
Ils étaient rentré épuisés, ensanglantés, blessés et désespérés. Par automatisme, les tortues s'étaient lavées et soignées. Les quatre frères avaient essayé de manger sous l'oeil inquiet de le père, mais rien ne pouvait rentrer. Leur gorges étaient nouées.
Leonardo était présent physiquement, mais le vide dans son regard montrait bien que son esprit était à des planètes lumières de la tanière, peut être entrain de penser à ce qu'il s'était passé. Michelangelo avait un coude sur la table, la tête posée dans sa main et jouait avec les légumes en tournant la cuillère dans ses nouilles sans jamais l'apporter à sa bouche. Raphaël fixait son bol sans sourciller ou cligner des ne l'entendait même pas respirer. Le seul mouvement prouvant que la tortue émeraude était en vie, était l'état irréparable de ce qu'il fut un cuillère en métal ,et qui ne ressemblait maintenant de plus en plus à rien, serrée dans sa main droite. Donatello, lui, tenait son bol de ses deux mains, faisant fi de la chaleur, son esprit complètement vide pour une fois.
Un à la fois, sans dire un mot et laissant leur bol encore rempli sur la table, ils étaient parti dans un coin de la tanière. Le génie finit dans son laboratoire essayant de terminer se qu'il devait faire. Par automatisme, le plus jeune alluma la télé ainsi qu'une de ses consoles. La tortue au tempérament chaud se déshabilla et se mis pile en dessous du pommeau de douche avant de l'allumer les yeux fermés. Quand à l'ainé, il alluma une bougie devant lui dans le dojo avant de rentrer en méditation.
Le rat fixait encore le centre de la table dix minutes après que tous ses fils ne soient parti. Fermant un moment les yeux de douleur pour ses enfants et de désespoir, il finit par les rouvrir après avoir laissé passer un des plus profonds soupirs de toute sa vie. Doucement, sans se presser, il débarrassa la table. Splinter mis les 4 bols dans le frigo, au cas ou, l'un d'entre eux voudrait manger plus tard. Il jeta sans même regarder ce qui restait de la cuillère de son cadet. Puis il refit un thermos de café qu'il posa prêt de la bouilloire à thé. A coté, il déposa la boite remplie de fleurs et d'épices délicates.
Le chef de famille prit ensuite sa canne et sortit de la pièce les oreilles abaissées. Arrivé au centre de la tanière, il retroussa ses moustaches. Désespoir,souffrance, incompréhension, douleur, perte, chagrin et supplice, tel était ce qu'il pouvait sentir.
Sachant qu'il ne servait strictement à rien de souhaiter bonne nuit à ses garçon, le vieux maitre se retira sans bruit dans ses quartiers pour la nuit.
Oh mes fils, pardonnez moi. Mais je ne peux vous aider pendant cette leçon douloureuse de la vie.
Tadaaaaaaaam ! mieux non? :)
