hello,

contente de vous retrouver pour ce two shot qui se situe dans le 3x16 dans la tente d'isolement, vous vous souvenez, celui de la bombe sale, le container frigorifique...oui c'est ça, celui ou elle fini dans les bras de Docteur mobylette... et lui dépité, seul, dans l'ascenseur. ( j'ai eu mal au cœur pour lui )

Vous savez que j'aime les commentaires alors lâchez vous...

bonne lecture


Enfin oser

One

Le moment de panique passé, Castle se calma un peu en voyant sa muse debout au milieu de cette immense tente de quarantaine, elle avait l'air aussi inquiète que lui. Dépitée, elle s'assit sur un des banc, les coudes posés sur ses genoux. Déstabilisé par le comportement de sa partenaire, il s'approcha et s'assit en face d'elle. Les rares fois où il l'avait vu aussi troublée c'était quand ça concernait la mort de sa mère, alors il ne pouvait pas être indifférent. Elle, la détective impassible, droite dans ses bottes était plongée en plein doute. Il se lança, voulant l'aider à exprimer ses peurs mais connaissant sa muse, ça n'allait pas se faire aisément. Mais il se trompait, elle avait besoin d'en parler, de lui parler. Il rompit le silence d'une question qu'il pensait anodine.

- Comment va Josh ?

- Très bien, il est en route pour Haïti pour une nouvelle mission humanitaire avec une ONG.

- Pour longtemps ?

Elle haussa les épaules de dépit.

- J'en sais rien…..c'est curieux Castle, au début j'appréciais son côté hyperactif, ça me permettais de ne pas trop m'engager en gardant un pied en dehors de la relation.

- Oui mais en gardant un pied à l'extérieur on ne sait plus trop ou on en est.

- Même si je le savais à quoi ça rime tout ça ? Il va il vient, il sauve des vies dans le monde entier, comment je peux rivaliser avec ça ?

- Vous ne pouvez pas, non, personne ne le peut.

- Pourtant ça fait partie des choses qui m'ont le plus attirées chez lui, cette passion, cette énergie. J'arriverais jamais à comprendre un truc, pourquoi ce qui vous attire le plus chez quelqu'un fini toujours par vous rendre complètement dingue. Je ne demande pas grand-chose, j'aimerais juste rencontrer un homme qui serait présent pour moi et pour lequel je serais présente afin qu'on puisse construire quelque chose ensemble.

Le visage de Castle changea, il entrevit là l'occasion de se lancer. Trois ans qu'il s'était attaché à elle, à présent ce n'était plus seulement de l'attachement ou de l'amitié, il savait que les sentiments qu'il ressentait pour elle dépassaient largement le stade de l'amitié. Les joutes verbales, les pics qu'ils se lançaient en longueurs de journée avait fait naître en lui des troubles, des sensations qui ne laissaient aucun doute sur la nature de ses sentiments. Il était amoureux de Kate Beckett, les coups de chaleurs lorsqu'elle effleurait ses doigts en prenant son café, les papillons qui s'agitaient dans son ventre quand il se perdait dans ses yeux étincelants étaient les symptômes de cet état. Mais il avait peur, peur de la réaction de sa muse, et si ses sentiments n'étaient pas partagés. Si elle ne ressentait pour lui qu'une belle amitié il risquait de la perdre en lui avouant son amour. Mais si au contraire c'était réciproque… Tant de questions et si peu de réponses. La dernière phrase de sa muse tournait en boucle dans sa tête. « Je ne demande pas grand-chose, j'aimerais juste rencontrer un homme qui serait présent pour moi et pour lequel je serais présente afin qu'on puisse construire quelque chose ensemble ». Il était là pour elle depuis 3 ans et elle, peut-être sans s'en rendre compte, elle était présente pour lui, elle demandait souvent des nouvelles de Martha, elle était là pour Alexis. Ils étaient là les uns pour les autres.

Il releva la tête vers celle qui occupait ses pensées, pas toujours très chastes, elle avait baissé les yeux vers le sol certainement perdue dans ses pensées.

Son cœur battait à tout rompre dans sa poitrine, le souffle court, ses mains moites trahissaient son angoisse.

- Je t'aime Kate !

Voilà, c'était dit. Ces trois petits mots étaient sorti clairement de sa bouche, pas un murmure ou un chuchotement non, ils avaient étés prononcés avec détermination par un homme éperdument amoureux. Elle releva lentement la tête vers l'auteur de ces paroles frappantes de vérité. Dans ses yeux il pouvait lire de la surprise, de l'émotion mais pas de reproche ou de malaise. Elle essaya de parler mais il l'en empêcha en posant son index sur ses lèvres entre-ouvertes.

- Non, laisse-moi parler s'il te plait.

Il inspira un grand coup, laissa glisser lentement sa main de ses lèvres et la posa sur la sienne.

- A la fin de l'enquête qui nous a permis de nous rencontrer, tu m'as demandé si je voulais sortir avec toi pour rallonger ma liste de conquêtes et c'était le cas, sur le moment, mais au fil du temps j'ai appris à connaitre l'autre facette de Kate Beckett, celle qui se cache sous cette armure de femme forte et ce que j'ai découvert m'a ému, ton histoire, ton parcours du combattant pour sortir la tête de l'eau. Tout ça à fait de toi la femme que tu es aujourd'hui et c'est cet ensemble qui me fait perdre la tête, qui me rend fou, fou d'amour.

Elle écoutait ses paroles sans quitter son regard, son cœur frappait de plus en plus fort dans sa poitrine, il tapait si fort qu'elle avait l'impression que cela devait se voir à travers son chemisier. Elle serra tendrement sa main sentant qu'il n'avait pas fini.

- Oui Kate, je suis fou d'amour pour toi et ça depuis très longtemps mais je n'osais pas…..j'avais peur que….

-Que ? l'encouragea-t-elle.

- Que mes sentiments ne soient pas partagés et de perdre notre belle amitié. Mais je préfère te l'avouer plutôt que de passer le reste de ma vie à me dire « si seulement ». Alors oui Kate Beckett je t'aime, tu es là pour moi comme je suis là pour toi, et je serais toujours là.

Elle enregistrait ses paroles au fur et à mesure qu'il les exprimait. La vérité avouée de la sorte lui faisait réaliser qu'elle aussi s'était attachée à lui. Elle avait Josh mais pourquoi ? Pourquoi était-elle avec lui ? Ah oui elle s'en souvient, elle avait été blessée de voir Castle partir avec Gina alors elle s'était lancée dans une relation pour oublier sa déception.

- Kate je sais que tu as Josh…

La phrase fût interrompue par l'arrivée du chef des décontamineurs qui leur annonça qu'il n'y avait plus rien à craindre et qu'ils n'étaient pas contaminés. Il leur donna l'autorisation de sortir de la tente et s'en alla. Ils le regardèrent tous les deux encore sous le choc de ces dernières révélations et l'arrivée inopinée de cet homme. Leurs regards s'accrochèrent encore un instant avant qu'elle ne se lève, gardant le contact avec sa main le plus longtemps possible, puis elle se dirigea vers la sortie. Constatant qu'il ne la suivait pas, elle s'immobilisa sur le seuil et se retourna. Il avait son visage enfoui dans ses mains, son cœur se sera à la vue de cet homme si fort, si solide mais qui là, à cet instant paraissait si fragile.

Elle savait que c'était bien plus que de l'amitié qu'elle ressentait pour lui mais elle n'avait jamais cherché à mettre un nom sur cette sensation, sur ce sentiment. Elle devait se sortir de ce brouillard et éclaircir la situation, elle le devait pour elle mais aussi pour lui, elle ne pouvait décemment pas le laisser dans cet état après ce qui venait d'être dit.

- Vous venez Castle ?

Il leva vers elle son regard éteint ne sachant pas à quoi s'en tenir mais contre toute attente, elle lui fit son plus beau sourire, le visage du romancier s'anima et un sourire tout aussi éclatant étira ses lèvres ce qui illumina son regard. Il se leva et la rejoignit à l'extérieur ou leurs amis les attendaient pour poursuivre l'enquête.

Quelques jours plus tard ils avaient enfin pu boucler l'affaire mais Rick ne savait toujours pas à quoi s'en tenir, tellement pris pas l'enquête, ils n'avaient pas eu l'occasion d'en reparler et en plus, après avoir failli mourir congelé dans ce conteneur, Kate avait découvert que son petit ami, docteur-mobylette, n'était pas partit pour Haïti. lorsqu'elle était dans les bras de son toubib, elle lui accorda un sourire qui voulait dire « désolée ». Pourtant dans ce frigo, il avait senti qu'elle voulait en parler mais avait perdu connaissance avant de pouvoir dire le fond de sa pensée. Et lorsque il avait empêché la bombe d'exploser elle s'était jetée dans ses bras, mais il se traita d'idiot, c'était certainement dû au soulagement, il avait encore pris son rêve pour la réalité.

Tout se bousculait dans sa tête, et dans son cœur.

Au poste, l'agent Fallon venait de les quitter, Rick se tourna vers Kate.

- Quelle journée d'enfer !

- Quelle journée d'enfer. Répétât-elle soulagée de cette fin heureuse.

- Vous savez, j'ai réfléchi et... je me disais qu'il serait peut-être temps…...que je rentre chez moi, pour me reposer, d'une longue journée. Bonne nuit !

- Bonne nuit !

Elle le fixa, interloquée par cette réponse qui sonnait faux, regrettait-il ses paroles maintenant qu'ils étaient sortis d'affaire. Elle le regarda s'éloigner alors que deux grands bras costauds venaient l'encercler amoureusement. Josh.

- Salut !

- Ah t'es là !

Calée dans les bras forts et réconfortants de son petit ami, elle ne pût empêcher son regard de suivre Castle. Il s'éloignait d'un pas lourd, la tête basse. Elle s'en voulait, il ne voulait pas le montrer mais elle voyait bien qu'il était blessé, abattu. Elle se tenait là, dans les bras de Josh mais elle mourait d'envie de se précipiter vers Castle pour lui parler, le rassurer, sentir encore une fois ses bras l'enlacer comme après avoir désamorcé la bombe. Elle s'était sentie bien dans cette étreinte, à sa place, ça avait été court mais la sensation de ses bras l'étreignant était toujours gravée en elle.

Une fois à l'intérieur de l'ascenseur, il ne la regarda même pas, levant ses yeux au plafond pour ne pas tomber sur la vision de sa bien-aimée dans les bras de Josh. Comment avait-il pu imaginer ne serait-ce qu'une seconde qu'il avait une chance de séduire sa belle détective? Qu'il pouvait rivaliser avec ce bel apollon ? D'ailleurs en ce moment c'était dans ses bras à lui qu'elle était.

Il rentra chez lui le cœur lourd, fatigué. Le calme du loft lui rappela la situation, sa mère et sa fille étaient parties pour les Hamptons. Il les appela, les rassura sans trop rentrer dans les détails et leur proposa d'y rester jusqu'à la fin du weekend. Après avoir insisté sur le fait qu'il allait bien et qu'il allait profiter pour se reposer, elles finirent par accepter donc ils se reverraient dans 3 jours.

Le romancier s'installa confortablement dans sa chaise de bureau, un verre de whisky à la main, une bouteille pleine sur l'étagère, pas trop loin. Il avala le premier verre d'une traite, le reposa bruyamment et laissa son esprit passer en revue sa vie depuis qu'il avait rencontré le lieutenant Beckett. Il avait changé à son contact, il n'était plus l'homme à femme qui s'affichait avec une conquête différente à chaque sortie et faisait régulièrement la une de la presse people. Il s'était certes remis en couple avec Gina mais cela n'avait duré que quelques mois. Elle lui reprochait de ne pas être assez investit dans leur couple, et maintenant il s'apercevait qu'elle avait raison, on ne peut pas vivre avec une femme en pensant continuellement à une autre alors ils avaient rompu. Et il pensait toujours à elle, Kate, sa muse, son idéale. Et depuis il attendait. Il attendait un signe de sa part, un signe qui lui permettrait de ne pas espérer en vain mais dans toute cette équation complexe il avait omis une donnée importante. Le docteur-mobylette….

Les évènements de ces derniers jours lui revinrent à l'esprit. Il avait avoué ses sentiments à une femme déjà en couple, « mais quel con je suis » explosa-t-il se prenant la tête entre les mains. Maintenant il s'en voulait, pas de lui avoir avoué ses sentiment non, mais de la mettre dans une position aussi inconfortable. Elle qui servait fidèlement la justice. Son intégrité et sa droiture représentaient ce qui faisait d'elle une femme d'exception, c'était ça qui l'avait attiré chez elle et maintenant à cause de lui, elle devait faire un choix, à moins que ses sentiments ne soient pas réciproques. Ça c'était une autre question.

Dans un autre quartier de Manhattan, Beckett et son petit ami venaient d'arriver à l'appartement de la détective. Elle se déchaussa et se laissa choir dans le canapé, les yeux fermés, éreintée par cette enquête et tous les évènements adjacents : Josh et son faux-départ, Castle et ses aveux, ses sentiments à elle qui se mélangeaient dans sa tête, son cœur et sa raison qui se disputaient pour savoir lequel allait prendre le dessus. Elle sentit les coussins du canapé se tasser sous le poids de son petit ami qui s'installa près d'elle et la prit dans ses bras. Ses bras, ils étaient musclés mais pas rassurants comme ceux de Castle. Ses étreintes étaient douces mais pas chaleureuses comme celles de Castle. Même ainsi blottie contre Josh, elle ne pouvait s'empêcher de penser à son équipier et à cette déclaration qu'il avait faite dans la tente lors de leur isolement forcé.

Les paroles de Castle faisaient lentement son chemin jusqu'à son esprit, jusqu'à son cœur, un cœur qui commença à battre plus vite, plus fort. Elle se revoyait dans ses bras dans le container frigorifique et ensuite derrière le van noir. Elle voulait encore de cette sensation, de cette chaleur enivrante, alors pour cela elle devait faire une chose qui ne l'enchantait guère mais qui s'avérait nécessaire. Une discussion désagréable s'imposait.

Au loft, la bouteille de whisky n'avait toujours pas bougé, le premier verre avait suffi et à présent il était en contemplation devant les photos qu'il faisait défiler sur son I Phone. Il en avait prises au Old Haunt lors des soirées qu'ils passaient entre équipiers pour fêter le fin d'une enquête, ou discrètement sur des scènes de crime alors qu'elle ne regardait pas mais une attirait particulièrement son attention, il l'avait prise il y a un peu plus d'un an, dans le parc lors de l'enquête sur maitresse Venin. Un large sourire orna son visage en repensant aux paroles échangées ce matin-là à propos des sexshop. Qu'elle était belle, mystérieuse, envoutante. Non, faux, elle EST belle, toujours aussi mystérieuse et encore plus envoutante. Ces photos ayant eu un effet bénéfique, il ouvrit son ordinateur, à la dernière page Word et commença à écrire, d'abord lentement, puis ses doigts s'agitèrent de plus en plus rapidement. C'est fou comme une simple photo peut vous motiver, vous encourager, vous inspirer. Mais ce n'était pas n'importe qui sur la photo, c'était elle, Kate, sa muse…

Dans l'appartement de Beckett, le bruit d'une porte qui se ferme résonnait encore. Ils venaient d'avoir une discussion, évidemment animées, mais les mots n'avaient pas fusés plus fort que nécessaire. Josh avait senti le malaise et avait ouvert les débats, elle ne nia pas le fait qu'ils aient fait le tour de leur relation, ils s'entendaient bien, passaient de bons moments ensembles mais leurs sentiments avaient changés, ils étaient devenus des amis et d'un commun accord, décidèrent de se rendre mutuellement leur liberté. Il lui annonça qu'il allait finalement partir quatre mois pour Haïti avec médecin sans frontière, elle lui souhaita de rencontrer quelqu'un, c'était un homme bien et il méritait d'être heureux. Josh récupéra le peu d'affaires qu'il avait chez elle et en quittant l'appartement lui souhaita d'être heureuse...avec son écrivain.

- Ça se voit comme le nez au milieu de la figure qu'il est amoureux de toi, et que tu tiens aussi à lui. Alors ouvre-lui ton cœur et laisse-toi le droit d'être heureuse, tu le mérite. Au revoir Kate.

Et il avait quitté les lieux en la laissant hébétée debout au milieu du salon.

Quelques secondes, peut-être même quelques minutes plus tard, elle retrouva ses esprits. Elle prit une bière dans le frigo et se vautra dans le fauteuil, les pieds sur la table. Avait-elle un problème avec ce sentiment qu'était l'amour, Josh la jetait dans les bras de Castle, Lanie faisait pareil depuis longtemps, plusieurs allusions lui avaient été faites au poste, Espo et même le capitaine, alors pourquoi ne voyait-elle pas l'évidence. Toutes ces sensations, ces picotements qu'elle ressentait au contact de Rick ou seulement lors de leurs échanges silencieux, tous ces symptômes lui criaient qu'elle ressentait pour lui plus qu'une simple amitié mais il a fallût que ce soit son ex petit ami qui lui ouvre les yeux. Elle avala une grande gorgée de bière, elle ne savait pas si c'était la fraicheur de la boisson ou les derniers évènements mais tout son corps fût parcourut d'un tremblement. Elle vida d'une traite le reste de la bière, se leva d'un air déterminé, pris ses clés et sortit de l'appartement bien décidée à prendre son destin en mains.

Au loft, les doigts de Castle s'agitaient toujours aussi frénétiquement sur le clavier, ce qui était certain c'était que les pages Word s'étaient remplies à fond de train et que la bouteille de whisky elle, était toujours sur l'étagère, pleine.

Toc toc toc

- Oui Alexis, entre.

Il avait répondu sans relever la tête, trop imprégné dans son chapitre il ne se rappelait pas qu'il était seul au loft.

Toc toc toc. Les coups plus forts que les autres.

Il immobilisa ses doigts au-dessus du clavier et leva enfin les yeux vers la porte de son bureau. Elle était ouverte, alors d'où venait ce bruit. Il réalisa enfin que ça venait de la porte d'entrée, il hésita un moment, l'inspiration étant au rendez-vous, il n'avait pas envie d'être dérangé, ils se lasseront bien. Ses doigts allaient recommencer leur danse sur les touches lorsqu'il entendit encore des bruits derrière la porte, pas des coups, un murmure.

Kate Beckett, la détective imperturbable se tenait devant la porte close de ce loft new-yorkais, elle avait frappé trois fois mais pas de réponse, aucun bruit. Il avait dit qu'il allait rentrer car il était fatigué alors elle tapa plus fort, pensant que s'il était dans sa chambre il n'entendrait pas tout de suite. Elle patienta encore un moment mais pas de réponse, la porte restait désespérément close. Déçue, malheureuse, pour une fois qu'elle avait décidé d'avancer. Elle posa le front contre la porte, les yeux remplis de larmes qu'elle se retint de laisser couler.

- Pourquoi tu n'es pas là ?


Alors?

la suite bientôt... ou bien plus tard...