Bonjour!
Alors, avant de commencer cette fic, je dois vous dire que je ne suis pas Snivellus Tonks mais Nymphadora Snape... Snivellus n'est pas devenu schizophrène, lol, ne vous en faites pas! En fait, on a crée un compte pour deux alors pour savoir de qui est la fic que vous lisez, regardez dans le résumé. Les fics de Snivellus sont précédeés d'un ST tandis que les miennes d'un NS. Pour plus d'infos, allez voir sur le profil de ce compte!
Nous avons aussi commencé à créer un site. Bien sûr, pour le moment il n'y a pas grand chose sur ce site mais, nous comptons mettre toutes nos fics dessus alors il sera étoffé petit à petit. On postera les nouvelles fics et chapitres sur notre site plus tôt que sur ffnet alors pour les plus impatient(e)s, on vous invite à y aller souvent lol.
Bon, je ne vous embête plus, je vous laisse avec ma fic... c'est une fic qui va devenir assez gore à la Snivellus au fil des chapitres (4 chapitres en tout), alors ce n'est pas pour les âmes sensibles! En tout cas, si vous lisez, j'espère que ca vous plaira!
Et ne vous en faites pas, Snivellus, même s'il est un peu très occupé en ce moment, il n'a pas abandonné ses fics alors vous aurez la suite de ses fics (Devenir une étoile X, etc) un de ces jours. :-)
Nymphadora Snape
Les mains rouges
Chapitre I: Un visiteur pas comme les autres
Ce n'était pas comme tous les ans... La sixième année s'annonçait très mal pour Harry qui ne voulait pas du tout retourner à Poudlard. Durant toutes les vacances d'été, Harry n'était pas sortie de sa chambre où il s'était enfermé à double tour afin d'essayer de tout oublier. En effet, il ne voulait pas retourner à cet école de sorcier car il ne voulait pas se rappeler de la mort de Sirius, son parrain. Il y avait eut trop de mort... Cédric, puis ensuite Sirius. Qu'avait-il fait pour mériter tout ça? Si ça continuait ainsi, peut-être que cette année ce sera le tour de Ron, ou bien de Hermione.
Harry se rappela que ses deux amis lui avaient envoyé quelques lettres auxquelles il n'avait pas répondues car ces lettres avaient toutes une chose en commun: la pitié. Oui, ses deux meilleurs amis compatissaient avec lui dans la douleur d'avoir perdu un être cher. Et pourtant, Harry ne voulait pas d'amis compatissants, il ne voulait pas qu'on ait pitié de lui ou qu'on le voit comme quelqu'un qui a souffert plus que les autres... car c'étaient ces regards qui le faisaient souffrir davantage.
Il se sentait incompris et cela le rendrait triste. Harry ravala ses larmes une dernière fois avant de se préparer pour aller à Poudlard... car il fallait bien y aller, il n'avait pas trop le choix: les Dursley ne l'accepteraient jamais chez eux plus longtemps. Et en allant à Poudlard, peut-être retrouvera-t-il la force de vivre.
- Hedwidge, tu es prête? fit le survivant d'un soupir. Demain, c'est le grand jour: il va falloir affronter l'école, les professeurs ennuyeux, les regards compatissants et les souvenirs trop lourds de tristesses...
La chouette de Harry hulula en regardant son assiette vide en guise de réponse.
- Bien sûr... tu as faim! fit Harry d'un air déçu. Et moi qui m'étais mis en tête que toi, au moins, tu me comprendrais! N'importe quoi! Je me suis encore fait des idées.
Tout en vérifiant bien qu'il n'avait rien oublié, Harry commença à se rhabiller en pyjama. Il était bientôt vingt-deux heures et il fallait qu'il dorme, sinon, la tante Pétunia allait faire sa crise du dimanche comme quoi, lundi, Harry ne pourra pas se réveiller pour aller en cours parce qu'il s'est couché trop tard la veille.
- Bonne nuit, Hedwidge! Tu mangeras une fois à Poudlard, demain!
Une étoile filante brilla au loin dans le ciel...
Les Dursley rentrèrent chez eux après avoir accompagné Harry jusqu'à la gare londonienne où le Poudlard Express devait partir. Dès qu'ils franchirent la porte de leur maison, Vernon et Dudley se précipitèrent dans le salon pour s'asseoir dans leur canapé et commencer à se goinfrer de chips en allumant la télé. Lorsque la météo de Jim McGuffin commença, Dudley tenta de se fourrer les chips dans ses narines tandis que Vernon l'encourageait vivement de persévérer dans son entreprise en gueulant des "Allez Dud! tu y es presque!" ou encore des "Dudley! plus gros les narines! Vas-y!" . Pétunia, qui avait l'habitude de voir une scène aussi attendrissante à ses yeux, s'était retirée à la cuisine où elle préparait une bonne soupe aux choux, le plat préféré de son Dudlychou.
Quand soudain, quelqu'un sonna à la porte. Vernon et Dudley sursautèrent: ce qui eut pour effet de salir de miettes le tapis persan du salon... Pétunia alla ouvrir la porte en ignorant les deux hommes de la maison qui se battaient pour ramasser les chips avec leur langue en se mettant à quatre pattes, rampant presque sur le sol. En ouvrant la porte, la tante de Harry finit par sourire gentiment à la personne qui se tenait sur le palier.
- Bonjour, dit-elle d'une voix douce contrairement à son habitude.
- Bonsoir. J'ai vu que vous aviez une chambre à louer, répondit une voix masculine.
Duldey et Vernon se levèrent précipitamment en entendant la voix de l'homme et rejoignirent Pétunia pour voir à quoi ressemblait le visiteur. C'était un jeune homme d'une vingtaine d'année, brun, avec des lunettes rondes. Il avait une certaine ressemblance avec Harry... Ce qui déplut fortement à Dudley.
- Elle n'est plus libre, la chambre, fit-il donc de sa voix d'enfant gâtée.
- Il rigole! se précipita Vernon qui savait pertinemment que la maison avait besoin d'argent et qu'on ne choisissait pas ses clients.
Le jeune homme sourit gentiment. Pétunia recula pour le laisser entrer et le dirigea vers le premier étage en lui disant que la chambre à louer était la chambre de son neveu: Harry.
- Ne vous en faites pas, fit le jeune homme, je ne dérangerai pas les affaires de votre neveu!
- Mais dites, que faites-vous comme travail? demanda Vernon.
- Je suis dessinateur, répondit vivement le jeune homme.
- Mais ce n'est pas un travail qui rapporte! Êtes-vous certain que vous pourrez payer le loyer? continua l'oncle de Harry d'un ton plutôt hostile, maintenant qu'il doutait des moyens financiers du visiteur.
- Ha ha ha! rigola alors l'inconnu. Je dessine des bandes dessinées et si je dis que mes bandes dessinées se vendent assez bien, je ne serai que trop modeste!
- Vous dessinez quoi comme BD? s'exclama alors par derrière un Duldey tout excité.
- Mon chef d'oeuvre est "Les aventures de Lord Mevot"! Tout le monde connaît, bien entendu...
- Bien sûr que oui! J'adore vos oeuvres! fit Dudley de plus en plus excité. C'est vraiment génial vos oeuvres! Je suis un de vos plus grand fan, monsieur De Mistrovo!
- Quoi, c'est vous le fameux Jules de Mistrovo? demanda Pétunia, stupéfaite. Dudley n'a pas arrêté de me harceler pour que j'achète tous vos livres!
- C'est bien moi, fit l'homme d'un sourire charmeur.
Dudley et Vernon rougirent à la vu des dents blanchâtres de Jules. Il était bien connu dans le quartier que les Dursley aimaient les gens riches et respectables comme eux.
- Ce soir, on le fera... chuchota Vernon à l'oreille de son fils qui acquiesça vivement.
La nuit tombée, Jules de Mistrovo s'allongea sur le lit de Harry. C'était un lit assez confortable mais qui parfois, lui faisait mal au dos quand il se mettait sur le côté droit. Jules aimait cette sensation de douleur: cela lui rappelait comme un souvenir lointain qu'il aurait oublié. Oui, un souvenir abstrait de son enfance... comme s'il avait déjà dormi dans ce lit.
Petit à petit, il sentit ses paupières devenir lourdes et le sommeil l'envahit complètement. C'est alors que la porte de la chambre s'ouvrit doucement et entrèrent deux ombres d'une épaisseur considérable.
- Il dort? demanda la voix de Dudley dans un murmure.
- Oui... répondit la voix de Vernon.
Puis les deux ombres commencèrent à enlever la couverture du corps de l'homme qui semblait dormir à point fermé. Puis, tout doucement, Dudley glissa une main dans le pantalon de Jules qui eut un sursaut dans son sommeil. Pourtant, ce dernier ne se réveilla pas et continuait de dormir. Vernon se donna alors pour rôle d'étouffer le jeune homme avec sa bouche collée contre la sienne.
- Mmm... grogna gentiment Jules qui, en passant, roula une pèle à l'oncle Vernon.
Celui-ci, tout excité par ce geste innocent commença à bander comme un cheval fou furieux devant une jument et commença à entreprendre une masturbation active entrecoupé de cri.
De son côté, Dudley était en train de sodomiser l'invité qui s'était retrouvé nu en l'espace d'une seconde et demi. Dudley bougeait dans un mouvement lent de va et viens et toute la graisse de son corps vibraient à chaque instant comme de la gélatine que l'on servirait à la fin d'un repas raté pour rendre l'atmosphère encore plus lugubre.
- Oh, OUI! fit soudain la voix de Jules qui résonna dans tout le Privet Drive.
En même temps que ce cri de jouissance, un liquide blanchâtre vola dans toute la chambre et retomba en partie sur la tête de Dudley et de Vernon qui s'empressèrent de le lécher.
- Encore, encore! en redemandait Jules qui était à présent bien réveillé et qui ne semblait du tout gêné par le fait qu'il était en train de se faire légèrement violer par deux masses insolites qui ressemblaient à deux porcs mutants.
Heureux de savoir qu'en plus d'être riche et respectable, le dessinateur était un gros pervers (la perversion étant l'une des plus grandes vertus humaine pour les Dursley), Dudley et Vernon recommencèrent leur coup avec plus de hargne et de plaisir. Cette nuit là fut une nuit agitée et très sportive pour les trois hommes qui logeaient sous le toit du 5 Privet Drive...
Le lendemain matin, les Dursley se préparaient à donner une fête et Jules de Mistrovo les aidaient dans leur préparation. Tante Pétunia disait que plein de monde seraient invités pour cette fête et en apprenant les événements de la veille, celle-ci déclara fermement:
- Vous aimerez cette soirée, je vous le garantis!
à suivre...
