Voici le premier chapitre de ma première fic, soyez indulgents !! Elle suit ''Révélation'' le dernier tome de la série Twilight de Stephenie Meyer. J'aimerais beaucoup avoir votre avis alors n'hésiter pas à laisser des review !!

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Chapitre 1 : L'Alaska

Le vent glacé soufflait de nouveau dans les branches des sapins enneigés de la forêt qui entourait notre maison, il chassait les nuages qui nous avait une fois de plus apporté la neige dans laquelle c'était précipité presque toute la famille, ma famille, la famille pour laquelle je m'était battu, autant pour en faire parti que pour y resté, autant pour y faire adhérer de nouveau membre que pour ne pas en perdre, la famille que j'aimais et que j'aimerais pour toute l'éternité. Au travers de la fenêtre de notre chambre (ce notre me faisait toujours aussi drôle) je voyais certain de mes «frères» et «soeur» ainsi que ma fille qui s'amusait grâce à la bouillie blanche que nous offraient l'Alaska. Oui, l'Alaska, nous avions dût quitter Forks je n'en voulait pas à Emmett ce n'était pas sa faute si il avait tué cette humaine. D'après Edward elle avait, un peu comme moi pour lui à l'époque ou je n'était pas encore un vampire, une odeur plus forte et plus attirante que celle des autres humaines pour lui si bien qu'il l'avait tué, tout simplement. Un acte qui n'était pas répréhensible pour notre espèce, du moins pour les vampires normaux. Nous, nous ne nous nourrissions que de sang animal et ainsi nous pouvions vivre presque normalement parmi les humains. Il y avait eu des témoins et Emmett n'avait pas fait ça proprement alors nous avions dût fuir en abandonnant tous derrière nous, notre cottage à Edward, Renesmée et moi, la villa blanche dans la forêt, mon père, Jacob ... Ce dernier avait voulu nous suivre et personne ne s'y était opposé, pas même Rosalie, car nous savions tous qu'il était imprégné de Renesmée mais son père avait besoin de lui et il avait du reprendre le lycée. Cela faisait deux ans que nous ne l'avions pas vu et Renesmée avait énormément grandi, elle était arrivé au stade où elle ne grandirait plus, elle était magnifique mais elle avait l'air continuellement triste même quand elle était en plein bataille de boule de neige avec Emmett et Rosalie comme en se moment, son Jacob lui manquait presque autant qu'elle lui manquait. Mon père m'avait appelée il y a quelque jour et il m'avait dit qu'il ressemblait à une épave vivante un peu comme moi à la période la plus triste de notre histoire à Edward et moi, je ne doutait pas qu'ils puissent avoir aussi mal que moi à cette période et j'avais très sincèrement pitié d'eux. Emmett s'en voulait beaucoup de faire du mal à sa nièce et il avait été pendant un moment dans un état dépréssife, personne ne l'avait jamais vu comme sa, aussi triste et renfermé sur lui même. J'avais du intervenir pour lui dire que se n'était pas sa faute et Renesmée lui avait elle aussi expliqué qu'elle ne lui en voulait pas. Deux ans qu'ils souffraient mais sa allait bientôt changé car Jacob avait enfin réussi à s'arranger pour pouvoir rejoindre l'objet de sa souffrance, l'objet de toute les attention de son coeur de loup : ma fille, ou plutôt devrait-je dire notre fille, notre Renesmée. Je m'inquiétait de leurs retrouvailles car mêmes si Jacob n'avait jamais vraiment pensé à Renesmée comme petite amie maintenant qu'elle était grande leur relation allait sûrement changé. J'entendis des pas dans mon dos, je sentis une odeur le mélange de miel et de soleil que j'aimais tant, j'entendis une respiration puis je sentis des bras, ses bras, qui m'enlaçais délicatement et je sentis son menton se posé doucement sur mon épaule.

«A quoi pense tu ? Me demanda-t-il.

C'était sa question. Celle qu'il me posait tout le temps, à moi, la seul personne dont les pensées ne lui était pas accessible et aussi la seul qui avait su charmé son coeur.

-Je pense à notre fille. Et à Jacob. Lui répondis-je en chuchotant, j'espérais peut-être qu'il ne m'entendrais pas.

-Moi aussi je pensait à sa. Avant de t'apercevoir, ajouta-t-il tendrement. »

Je me retournait et me collait contre lui avant d'ajouter :

«Quand arrivera-t-il ?

-Cet après-midi, me répondit-il

-Tant mieux, je veux que sa douleur cesse.

-Oui moi aussi, chuchota-t-il, moi aussi.»