Bonjour à tous!

Je me suis enfin décidée à publier ma première fanfiction sur Twilight après qu'elle ai longtemps tourné dans mon cerveau. Et autant de là-haut ça semblait être franchement bien, autant une fois sur le papier...eh bien rien n'est moins sûr. Je n'ai pas de correcteur/trice, ni de Beta mais une pote aussi occupée que moi qui accepte de lire quelques un de mes textes et qui les valides où pas. Donc je ne me jette pas dans l'océan déchaîné sans rien. J'ai une frite. Orange. avec des pois verts.

Ok. Je me tais et vous laisse lire!

L'Univers de Twilight ne m'appartient pas, seulement l'OC dont vous apprendrez bientôt le prénom/nom... mais pas tout de suite!

P.S.: Oh mon dieu j'ai vu plein de fautes d'orthographe après la publication et je suis sûre qu'il y en a plein d'autres... Je suis terriblement désolée!

Résumé complet:

Lorsqu'une inconnue, en panne de voiture, est recueillie chez les Clearwater avec son chien: Loups et Vampires ne se doutent pas de ce qui va leur tomber sur le coin du nez (ou du museau pour certains). Entre coming out de créatures mystiques, politique de l'autruche et prise de bec chez les nobles, Forkssiens et Pushiens vont devoir mettre de côté leurs préjugés et leurs croyances pour faire face à...


Prologue : le cercueil ambulant, réseau inexistant et chien planplan.

- Oui.

- ….

- Bien sûr.

- …

- Non je suis presque arrivée. 25 minutes d'après le GPS.

- …

- Peut-être que si j'avais une autre voiture que ce cercueil ambulant j'aurais pu arriver plus tôt.

- …

- Oui, oui je sais… je te recontacte quand je suis arrivée.

La jeune péruvienne raccrocha et jeta son petit téléphone gris sur le siège passager de la vieille Chevrolet impala break alors que le pot d'échappement émettait un bruit quelque peu inquiétant. Elle regarda rapidement dans son rétroviseur arrière puis poussa un soupir las. Il était plus de 21h, cela faisait 5 heures qu'elle conduisait sans s'arrêter le foutu véhicule, elle était sur les nerfs, fatiguée, courbaturée et son chien, ce traître préférait ronfler sur la banquette arrière en profitant de l'air frais de la nuit plutôt que lui tenir compagnie. Et après, ça se dit meilleurs ami de l'homme. Connerie.

- Faite demi-tour dès que possible.

- Oh non. non non non !

- Faites demi-tour dès que possible

- Putain ça fait 20 minutes que tu ne dis plus rien et quand tu l'ouvres c'est pour…

- Dans. 50 mètres. Tournez. A. droite.

- Ah oui et où grosse maligne ?! Il n'y a pas plus de chemin à droite que d'ours polaires au Sahara.

- Tournez. A. Droite.

- Mais puisque je te dis qu'on ne peut pas tourner à droite ! On est au milieu d'une forêt ! Une forêt !

- Tournez. A. droite.

- Tu vas la fermer ?!

- Faites demi-tour dès que possible.

- Mais tu vas te taire ! je te le dis : tu vas te taire !

- Faites demi-tour dès…

La violente toux du moteur couvrit la voix désincarnée du GPS. La jeune femme regarda avec angoisse la fumée noire qui s'élevait du capot du véhicule. Elle avait la désagréable impression d'être devant une bête agonisante.

- Aller ma vieille… c'est pas le moment de me lâcher là !

Elle appuya frénétiquement sur l'accélérateur alors que la vitesse diminuait petit à petit. Puis, après un dernier râle, le moteur de l'impala s'éteignit au grand désespoir de sa conductrice. La jeune femme laissa sa tête tomber sur le volant puis elle se tapa le front une, deux, trois fois avant de se redresser en soufflant, tentant de retrouver un minimum de self contrôle.

- Vous êtes arrivée à destination.

- Oh putain !

La péruvienne ôta violemment le GPS du pare-brise et bondit à l'extérieur, arrachant presque la portière qui rebondit sur la carrosserie et se referma dans un claquement sonore. Elle courut vers la forêt puis s'arrêta net pour propulser le GPS dans la forêt. On est championne de javelot ou on ne l'est pas. La brune se sentit quelque peu apaisée après cette action de rébellion contre la technologie. Elle retourna d'un pas décidé en direction de la voiture qu'elle rouvrit, laissant sortir l'énorme St-Bernard qui n'avait pas l'air particulièrement stressé par la situation. Elle posa un genou sur le siège et se pencha pour attraper son téléphone avant de ressortir en claquant la portière. Puis, elle se stoppa net. Qui était-elle censée appeler dans cette situation. Certainement pas son patron. Il se moquerait d'elle et lui dirait de se débrouiller toute seule. Aucun intérêt. Il était clair qu'elle avait besoin d'une dépanneuse mais évidemment elle n'avait aucun numéro. La police ? Pourquoi pas. Elle n'était certainement pas la première personne à appeler pour ce genre d'incident et ne serait pas la dernière. Elle les appelait, leur demandait le numéro d'une dépanneuse et pourquoi pas un lieu où passer la nuit. Si par malheur, il n'y avait ni dépanneuse, ni lieu où dormir eh bien elle demanderait à passer la nuit au poste de police (ce qui ne serait pas une première). Oui, c'était un plan tout à fait acceptable. Elle composa le numéro de la police et attendit la tonalité. Qui ne vint jamais. Elle se pressa l'arête du nez entre le pouce et l'index et regarda avec désespoir l'écran de son téléphone préhistorique. Pas de réseaux. Le dos raide, elle se déplaça de quelques pas, sur le côté puis en arrière avant de repartir vers l'avant. Telle une danseuse de madison n'ayant pas encore bu assez de Punch. Soudain une barre clignota et son visage s'illumina d'espoir. Avant que la barre disparaisse et laisse la place au si redouté « No signal ». La jeune latino hurla de rage en brandissant ses points vers le ciel puis se dirigea vers la voiture, passant devant le St-Bernard qui l'observait paisiblement. Elle donna un coup de pied rageur dans la roue dont l'enjoliveur se détacha. La jeune femme sentit alors une énorme lassitude s'abattre sur elle. Avant d'être remplacée par une colère encore plus énorme.


Voilà pour ce prologue.

Est-ce que vous avez réussi à cerner un peu le personnage?

N'hésitez pas à me donner votre avis, comme pour beaucoup d'auteurs, il compte beaucoup!

Un GROS bisous qui pète sur chaque joue,

XOXO, Crazy Neko.