Auteur : Les Mokochus

Titre: « La Prophétie de la Gaytisation ou Comment Deux folles Ont Chamboulé La Vie De Poudlard. »

Base: Harry Potter

Rating: M

Disclaimer: Il paraît que les personnages de Harry Potter ne sont pas à nous, ce que nous déplorons vues toutes les idées que nous avons à leur faire subir, néanmoins, nous les laissons à J.K. Rowling, leur légitime propriétaire, et nous ne nous faisons pas un rond sur cette fiction (ce que nous regrettons fortement )

Couple: Multipairing à découvrir au fur et à mesure.

Résumé: Lorsqu'une nouvelle maison apparaît, qu'une ancienne prophétie est rappelée et que deux folles ont décidé de transformer Poudlard en grande maison yaoi…

Genre: Humour, Romance, délire complet et total

Commentaire: Nous, nous présentons, nous sommes les mokochus, vous ne nous connaissez pas ? Mais si, Nous sévissons déjà séparément sous les pseudos de Jouzetsuka, et Lynarsiane !

Nous avons maintenant décidé de nous unir dans la passion du yaoisme pour votre plus grand plaisir (enfin on espère… siouplait ?)

Nous déclinons toute responsabilité pour le martyrisage des personnages de nos histoires et de l'état dans lequel ils se trouveront à la fin.

Nous précisons aussi qu'il est recommandé à toute personne sérieuse de ne pas lire les chapitres qui vont suivre.

Chapitre 1: La prophétie (et oui, encore une)

C'était le jour de la rentrée à Poudlard, et l'on pouvait retrouver nos personnages plus ou moins préférés en septième année, ce qui n'est pas étonnant pour Hermione Granger, mais beaucoup plus pour Crabbe et Goyle. Bref, tout ce beau petit monde est en septième année, se déteste cordialement, est entouré de ses chers (ou moins chers d'ailleurs, ces qualificatif changent selon la maison à laquelle appartient la personne qui pense) professeurs et surveillés par l'œil bienveillant du directeur, Albus Dumbledore et celui, moins bienveillant d'Argus Rusard. Bref, rien de bien nouveau sous le soleil.

Le traditionnel banquet avait lieu dans un brouhaha bon enfant, après le non moins traditionnel discours du directeur.

Hors, tout à coup, événement insolite, la grande salle devient complètement silencieuse, au point d'arriver même à faire sortir la tête de Ron Weasley de son assiette ! Une première dans l'histoire de Poudlard.

Mais que se passe-t-il donc d'incongru et d'insolite pour déclencher ce lourd silence, ou un demi million d'anges, trois escadrilles de séraphins et une petite nuée d'archanges purent passer allégrement en chantant des cantiques ?

Est-ce Voldy qui vient faire braire son monde dès le premier jour, déclenchant la troisième guerre sorcière non-révolution des gobelins ? (Les deux autres ayant été déclenchées par Merlin et Grindelwald.)

Est-ce une horde de troll en rut qui sont entrés par effraction dans la salle et dansent la macarena sur les tables ?

Pire, est ce Snape qui a souri ? (Cette dernière constatation annonçant bien entendu une fin du monde apocalyptique et douloureuse !)

Rien de tout cela ; simplement, une grande lueur violette était apparue au milieu de la salle, jetant sur toute la pièce des ombres fantomatiques. Cela, encore, les poudlariens et poudlariennes pouvaient l'envisager, après tout, ce genre d'événements est presque journalier dans le monde de la magie. Or donc, la lumière aussi imposante soit elle, n'avait suscité que quelques vagues regards intrigués pardessus des cuisses de poulet ou des tranches de bœuf.

Non, le choc de la soirée avait était que lorsque la lumière se fut logiquement éteinte d'elle-même, deux personnes se trouvaient à sa place, sautillant de partout, et poussant des cris hystériques de contentement. Or, comme le fit remarquer immédiatement miss-je-sais-tout-Hermione, brisant ainsi ce silence sacro-saint, « comment ces deux personnes pouvaient-elles se trouver ici, vu qu'il est impossible de transplaner à Poudlard », même qu'elle l'avait lu dans l'histoire de Poudlard et que Harry et Ron feraient bien d'en faire autant ! D'abord !

A la remarque d'Hermione suivit un tumulte effarant où chacun allait de sa petite explication sans penser une seconde à aller logiquement demander à la source les informations, c'est-à-dire les deux personnes qui venaient d'apparaître et qui pour leur part continuaient à danser en rond en répétant, « On y est, on y est, on a pas rêvé ! »

Albus Dumbledore, le seul, le grand l'unique, le respecté le… bon bref le directeur lança son fameux

« SILLLLLEEENNNCCCEEEEE » amplifié au sonorus, et même qu'il avait mis double dose aujourd'hui. Instantanément, le calme revint dans la salle. Et les jeunes élèves, pris d'un soudain éclair de génie se mirent a détailler les deux arrivants, en fait, les deux arrivantes, car il s'agissait de deux humains de sexe féminin, des filles quoi, adolescentes à première vue.

La première devait avoir environ seize ans, elle avait les cheveux noirs, en pétard, qui partaient en piques dans tous les sens, ses yeux étaient noirs et elle avait les joues rouges comme si elle avait couru un 100 mettre…Elle portait une robe près du corps d'un jaune aux reflets électriques, avec sur le côté gauche, commençant à la hanche et finissant au bas de la robe au niveau du pied un éclair noir qui serpentait. La robe n'avait pas de manche mais deux fines bretelles avec un dégradé de brun allant jusqu'au jaune de la robe et se croisant dans le dos. Elle regarda avec étonnement la table des gryffondor, pencha légèrement la tête sur le coté et lança un « chu ? » étonné.

Quand à la deuxième, elle devait avoir environs dix-huit ans. Ses cheveux étaient d'un blanc lumineux coiffé en boucles élégantes. Ses yeux étaient noisettes avec de petites taches vertes et, alors que son teint semblait pâle, ses joues étaient rosées. Ses vêtements se composaient d'une grande robe à panier de mousseline blanche serrée à la taille. Elle portait des petits gants et des chaussures assorties blanches sur le dessus mais rose sur le dessous. Enfin, elle portait sur le front un rubis qui semblait tenir de lui-même et affichait un air d'heureuse bienveillance. Lorsque son regard parcouru la salle elle lança un « PYU » joyeux.

Après cette observation en règle, le corps professoral réagit enfin et entraîna les deux « intruses » dans une pièce annexe pour qu'elles expliquent leur présence.

Albus : Bon, et bien, mesdemoiselles, si vous nous expliquiez qui vous êtes, et ce que vous faites ici ?

A ces mots, la jeune fille tout de jaune vêtue se jeta sur lui et lui tirant violement sur la barbe en hurlant :

-Regarde, regarde c'est lui c'est vraiment lui !

- Line, clame toi, oui c'est vraiment lui mais si tu lui arrache la barbe on va avoir quelques problème.

Face à tant de... d'enthousiasme, dirons-nous, la Sous-directrice ouvrit des yeux ronds afin de mieux détailler la furie jaune qui essayait tant bien que mal d'arracher toute forme de pilosité du menton de son aimé supérieur.

"Inquiétante" n'était pas un mot assez fort pour décrire l'expression de folie meurtrière s'étant affichée sur son visage, suffisamment meurtrière pour donner des doutes vis-à-vis de l'illégalité des homicides d'élèves dans l'établissement.

Enfin, la prénommé Line lâcha à regret son joujou de poil et retourna se poster a coté de la jeune fille en blanc. Après un regard entendu entre elles, la jeune fille en jaune pris la parole :

Line- Bonjour Dum-.. Professeur Dumbledore ! Si vous me permettez, voici mademoiselle Shana Goldberg, mokona en formation, et moi-même, Line Stevenson. Chu.

Shana- Si je puis me permettre, moi je suis peut être un mokona en formation, mais Line, elle, est une futur pikachette en puissance ! Pyu.

A la suite de ces paroles, un lourd silence plein d'incompréhension emplit la pièce, lorsque le plus brave, le plus courageux des ces valeureux paladins -euuuuh professeurs, soit Snape le brave se décida a demander :

Snape : Hein…que Gui ?

Shana: Mais c'est Sevy Sexy Snape! Besoin d'un coup demain pour récupérer ta voie au fond de ta gorge oh professeur de mes rêves?

Et Shana s'approcha d'un air ingénu du professeur sous son regard absolument terrifié !

A ces mots, il ne fallut pas une seconde de plus à la jeune fille jaune canari pour retenir sa comparse, tirant doucement sur sa ceinture afin de, selon elle, lui sauver la vie. Cependant, l'attraction d'un Snape grimpant rapidement d'une dizaine de niveau sur l'échelle de la fureur demeurait trop grande, et une petite décharge électrique -suivie par un énorme 'PYUUUUUU' indigné- fut nécessaire.

Le professeur Dumbledore, quant à lui, faisait son possible pour empêcher son collègue de replonger dans ses réjouissantes -et jouissives- activités de Mangemorts en si peu de temps.

Une fois que tout le monde fut calmé (ou à peu près, Snape continuant à regarder d'un air mauvais Shana qui lui faisait toujours son sourire le plus innocent) le professeur Mac Gonagall prit la parole

Minerva: Pourrait-on, mesdemoiselles avoir une explication un peu plus précise sur ce que vous faites ici ?

Shana : En fait, nous sommes des élèves ! Nous sommes les deux membres de la nouvelle maison de Poudlard, la maison Mokochu puisque nous sommes « les héritières ». Vous Savez, la prophétie, les temps sombres, les créatures, etc…

Albus- En effet, je me rappelle d'une vieille prophétie disant que deux êtres qui avaient aidé à la construction de Poudlard devaient y envoyer leurs descendants, mais j'ai toujours cru qu'il s'agissait d'une légende. Voyons voir, que disait-elle… a oui « Alors que les quatre fondateurs désespéraient de mener a bien leur entreprise, deux êtres venus de la nuit des temps et du fond de la magie leur apparurent et leur promirent aide et assistance. Grâce a leur puissance, les quatre fondateurs purent construire et réaliser Poudlard, et les deux créatures laissèrent une partie de leur magie dans ses murs. Lorsque tout fut terminé, les quatre grands proposèrent à ces deux créatures de s'associer à leur œuvre, et d'avoir une maison à elles, où leurs disciples pourraient s'instruire. Mais les êtres venus d'ailleurs refusèrent, pour l'instant, disant que lorsque l'époque serait la plus sombre et le monde en danger, leurs deux héritiers viendraient à Poudlard pour y apporter l'espoir, et qu'alors, le château les reconnaîtrait.

Shana- Alors voilà comment tout a commencé :

Au départ, nous pensions être des moldues tout à fait ordinaire, et nous étions en train de parler gentiment sur Internet, enfin un truc de communication moldue, lorsque la même lumière que vous avez vue nous a enveloppé.

Line- Nous nous sommes retrouvées toutes les deux dans une sorte de monde opaque et étrange, il y avait comme une énergie positive pure qui circulait autour de nous. Je ne peux pas vraiment l'expliquer, je l'ai juste ressentie.

Shana- C'est alors qu'ils nous sont apparut….

Line- Ils étaient là tous les deux…

Shana- MOKONA !

Line- Et PIKACHU !

Shana- Ils nous ont alors expliqué que nous étions leurs héritières, la preuve, nous avions des ressemblances avec eux au niveau de nos goûts, de nos caractères.

Line- Ils ont rajouté qu'il était temps aujourd'hui de réveiller notre patrimoine et de reprendre notre réelle apparence.

Shana-Ils ont alors touché chacun leur propre héritière, et en un instant nous avons senti que nous changions, que quelque chose se réveillait en nous et nous avons pris connaissance de notre mission.

Mac Gonagall- Et peut on savoir quel est cette mission ?

Line- Désole c'est top secret nous ne pouvons rien dire !

Mais vous pouvez être sur de nous, d'ailleurs le château nous a déjà reconnu !

Shana- Les appartements de la maison Mokochu sont maintenant ouverts !

Au même instant, un lourd grincement se fit entendre dans tout le château, et une tour, plus petite que les autres, se dressa au milieu du château.

Lorsqu'ils retournèrent dans la grande salle, Dumbledore expliqua simplement aux élèves qu'il y allait avoir dorénavant une cinquième maison, qui ne comporterais que deux élèves et qui s'appellerait « Mokochu » puis il présenta les deux nouvelles poudlariennes. Quand soudain un grand bruit retenti, et un homme apparut lui aussi au milieu de la salle.

Hermione s'écria aussitôt : Mais c'est plus une école où on ne peut pas transplaner ! C'est un gruyère !

L'homme qui était apparu était un noir d'une trentaine d'année à l'oeil vif et au sourire charmeur. Il regarda autour de lui puis sourit encore davantage en apercevant Dumbledore et s'approcha de lui.

- Professeur Dumbledore, je présume ? Je suis Jay M'lezom le nouveau professeur d'écriture et responsable de la maison Mokochu.

Devant l'air complètement largué (pour la première fois de sa vie) de Dumbledore, M'Lezom eu un sourire amusé et rajouta :

Jay- Vous savez, les guides, enfin mokona et pikachu avaient tout prévu. J'enseignerai à toutes les classes afin d'ouvrir leur esprit à l'art de l'écriture magique et de la romance, ça leur sera très pratique pour s'exprimer, décharger leurs émotions, et qui sait, peut être trouverons-nous de jeunes talents. Et puis il fallait bien un responsable à cette nouvelle maison qui puisse la comprendre et l'aider. Bien, sur ce, je vois que le château a déjà agrandi la table professorale pour que j'y aie ma place, je vais donc m'installer.

Puis se tournant vers Shana et Line, il leur fit un clin d'œil et partit s'asseoir.

Alors que la grande salle tentait de se remettre de toute ses émotions : deux inconnues, un prof en plus…c'est-à-dire des cours et des devoirs en plus (à ces pensées, Ron Weasley tomba dans les pommes)… Lorsqu'une chose transparente fondit sur la pièce en hurlant

La « chose » s'arrêta devant le professeur Dumbledore, qui ne prenait même plus la peine de refermer la bouche, et grogna.

« Je suis le fantôme de la maison mokochu, je me nomme Homophobia. »

Homophobia était le fantôme d'une vieille femme grassouillette en peignoir et charentaise avec un chignon strict et un air peu avenant.

Homophobia : « Bon, moi, je vais aller hanter un peu ma nouvelle demeure ! A plus tard ! » Et elle disparut comme elle était venue.

Shana et Line se regardèrent.

Line- Bon je suppose qu'on ne va pas se mettre à deux sur une table, on commence le plan 1 maintenant ?

Shana- C'est parti !

Line se dirigea d'un pas alerte vers la table des Gryffondors alors que Shana se dirigeait vers celle des Serpentards.

D'un pas particulièrement gai, sautillant presque, la pikachette s'avança droit vers la table de certains rouges et or mi-amusés, mi-terrorisés, voire curieux dans certains cas -pour ne pas citer les flash à répétitions d'un dénommé Colin.

Saluant ses nouveaux compagnons d'un sourire engageant, elle s'installa entre une jeune brune du nom d'Hermione et Ginny Weasley, les cheveux de cette dernière formant instantanément une sublimissime auréole digne des plus grands des années 70s.

Amorçant une moue désolée, Line entreprit d'arranger le massacre, essayant de rabattre l'épaisse masse à sa place originelle, tandis qu'un silence de mort planait parmi les convives. Mais ses efforts semblaient vains, aux vues des mèches commençant à roussir de sa nouvelle voisine, l'horreur se lisant sur le visage de celle-ci. Finalement, après un fou rire de Seamus Finnigan, suivi de nombre d'élèves de la tablée, alternant pouffement et ricanements sadiques,

Hermione prit pitié d'elles et se chargea de remettre tant bien que mal la coiffure de Ginny en état. Elle semblait se retenir elle aussi afin de ne pas céder à l'hilarité générale, mais un regard à la nouvelle arrivantequi souriait de toutes ses dents réduisit cette tentative à néant, un gloussement lui échappant.

Ne supportant guère d'être le sujet des moqueries du jour, la rouquine lança des regards mauvais à tout va, puis, se levant dans ce qui se voulait être une pose digne -mais un rien altérée par l'état de sa criniè- chevelure-, elle écrasa un violent sanglot pour se précipiter vers la porte de la salle.

-J'ai fait quelque chose ?

Observant alternativement ceux qu'elle pensait être Harry, Ron, Dean et Hermione, Line esquissa une mine désolée, puis engagea la conversation avec ses futurs amis. Elle se tourna vers Ron, et lui demanda :

-Je suppose que c'était ta soeur, non ?

-Oui, mais co- ... comment tu le sais ?

-Attendez... toi, tu es Dean ? Ou Seamus ? Ah, Dean, je pense, Seamus, ça doit être celui qui rit comme si sa vie en dépendait juste à côté de toi, c'est ça ?

Suite à cela, après quelques interrogations de la part des Gryffondors, auxquelles la nouvelle élève répondit de façon évasive, la discussion se mit en place très rapidement, la jeune fille semblant s'intégrer au groupe sans trop de difficultés, à son plus grand soulagement.

Voilà qui allait faciliter les choses.

Pendant ce temps, Shana se dirigeait d'un pas nonchalant vers la table des Serpentards, un léger sourire au coin des lèvres. Arrivé a la table elle chercha des yeux le groupe qui l'intéressait, c'est a dire un ange de glace blond, un beau noir aux yeux de braise, deux crétins mode gorilles et un bouledogue en chaleur. Elle tendit son oreille de mokona et se laissa guider à eux au cri de la Pansy sauvage « DRAKICHOU CHERIIEEEEEEUUUU ».

Lorsqu'elle eu enfin trouvé le groupe en question et qu'elle eu repéré miss sangsue collé au dénommé Draco Lucius Malfoy, elle eu un sourire diabolique et s'approcha d'eux en silence.

Arrivée juste derrière Pansy-bouledogue-Parkinson elle ferma les yeux et invoqua une créature du monde parallèle.

A l'instant, répondant a son appelle une araignée verte fluo de 80 cm, avec des poils immenses sur les pattes apparut sur l'épaule de la chose collante et visqueuse qu'était Pansy. Celle-ci, en apercevant la bête, fermement accrochée à elle, poussa un hurlement déchirant et se leva en courant, paniquée, faisant tomber au passage sur elle la moitié des plats jusqu'à sortir de la salle en trombe. On entendit encore pendant de longues minutes, venant du lointain la complainte déchirante de la Pansy qui souffrait dans sa chair et son orgueil.

Avec un charmant sourire, Shana s'installa à la place libre à coté de Draco.

Shana- Shana Goldberg, enchantée…Il n'y a pas de quoi au fait, c'était un plaisir de te débarrasser de cette chose. Je suppose que tu es Draco Malfoy, et que le garçon à côté de toi est Blaise Zabini ?

Apres quelque instants de stupéfaction des Serpentards, abasourdi que la jeune personne devant eux qui avait l'air si ingénue puisse avoir un comportement aussi…serpentard, et les connaissant aussi bien, la conversation se fit animée et joyeuse. Et lorsque que Cricri, la fameuse araignée verte revint s'asseoir sur les genou de sa maîtresse qui la nourrit avec amour de petit bout de cuisse poulet, la jeune Shana fut déclaré a l'unanimité moins la voie de Pansy qui n'avait toujours pas réapparu, digne de faire partie du club très fermé des Serpentards pour la plus grande satisfaction de la jeune mokona.

Ca allait être un jeu d'enfant…

Après le repas, le professeur M'lezom avait amené Shana et Line à leurs nouveaux appartements. Ils s'arrêtèrent devant un tableau représentant un petit animal blanc ressemblant à une sorte de lapin aux oreilles tombantes et tenant une fraise entre ces petites pattes.

Shana- Ey mais c'est un Wiz, ça !

Line- Ah il est trop kawaiii !

A ces mots le petit Wiz s'anima et les regarda avec ses grands yeux doux, fit bouger ses oreilles et demanda « le mot de passe siouplais »

Jay- Chibby eyes !

A ces mots Wiz fit un grand sourire lança un « daisuki » tout content et s'ouvrit pour les laisser passer.

Le professeur pénétra dans la Salle Commune, suivi des deux jeunes filles, qui restèrent ébahies, la bouche ouverte en signe d'extase trop violente, face à la pièce dans laquelle elles demeuraient à présent. De nombreuses tentures noires et violettes paraient les murs, tandis qu'une superbe fontaine, aux mêmes tons et ornée de deux petites bêtes absolument craquantes, adorables, exquises, ...

Line- Kawaiiiii !

...siégeait au coeur de la salle. Contre les murs, d'immenses bibliothèques dans un bois semblant de merisier, abritaient de nombreux, très nombreux ouvrages intéressants, ô si intéressants. En s'approchant davantage, Shana manqua d'en tomber évanouie.

Shana - Des... des m-mangas... version... SORCIER !

Line, percevant l'appel du coeur -et du manga, ça va de soi-, courut à toute jambes dans le but de rejoindre sa comparse, mais se prit le pied dans quelque chose de dur, et -apparemment- douloureux.

Elle fit un magnifique vol plané, pour atterrir le nez dans un matelas CHAUD, DOUX, et... simplement extatique.

Ce dernier étouffa son exclamation surprise, tandis qu'elle se relevait plus ou moins, le pied légèrement endolori. Se hissant sur ses genoux, elle partit à la découverte du monde nouveau qui s'offrait à elle, un monde fait de mollesse, de plumes, de matelas, de poufs, d'oreillers et de relaxation.

Shana, s'apercevant de l'état de semi béatitude de la pikachette, s'approcha, émerveillée. Face à elles se trouvait ledit matelas, d'une jolie couleur prune tendre, paraissant littéralement vous inviter à vous coucher dessus. Chose que vous ne regrettiez en principe pas d'avoir fait, au vu des deux êtres semblant à présent atrophiés du sens de la réflexion, la couleur de leurs amygdales étant laissée un tantinet visible.

Puis un "Pyuuuuuu" de stupeur fut lâché.

La demoiselle mokona se jeta littéralement sur ses pieds pour se ruer à l'autre bout de la pièce, où siégeait une très haute armoire, façonnée dans un bois très noir, d'ébène. En guise de porte, une vitre parfaitement translucide permettait d'y voir au travers, bordées de sublimes arabesques d'or. La poignée, probablement en améthyste, s'agita d'elle-même alors que Shana y posait un doigt, s'ouvrant sur une multitude de flacons, tous plus délicats les uns que les autres, entreposés de façon plus qu'ordonnée. Tremblant de partout, la jeune fille plongea sa tête au dessus de l'étalage, les yeux exorbités.

Shana -Line ! Kiwi ! Y'a du kiwi ! Et du citron ! Du chocolat ! De ... du...

Line- Comment ça ?

Shana -Des lotions de massages ! Et il y a aussi... du milk-shake à la fraise !

Les deux nouvelles élèves se mirent à sortir du placard toutes les petites bouteilles, les détaillant, les ouvrant, les sentant, les goûtant, les observant, commençant à s'en étaler partout sur la partie intérieure de leurs avant-bras.

Jay -Hum Hum.

Aucune réaction. Le très cher professeur auraitaussi bien pu leur asséner un coup avec la fontaine qu'elles n'auraient pas bougé.

Jay- Mesdemoiselles. Ce n'est pas que je n'apprécie pas le fait de vous voir vous badigeonner de Merlin-sait-quoi dans des endroits de plus en plus recherchés, mais je pense que la fin de la visite vous attend.

Les demoiselles en question, réagissant plus au ton charmeur employé qu'aux paroles mêmes de l'homme, se levèrent, non sans un regard gourmand vers l'armoire, signe que ce n'était que partie remise. La petite troupe guidée par le professeur M'lezom monta les escaliers qui menaient normalement vers le dortoir. Or, en entrant dans la salle, les deux jeunes filles en délire durent se rendre a l'évidence…cette pièce n'avait RIEN d'un dortoir.

En effet, il s'agissait d'une chambre ronde et conviviale, dont les dimensions bien que très honnêtes (de quoi loger trois hippogriffes en folie) gardait des proportions qui en faisaient une pièce chaleureuse et conviviale. Sur le mur du fond, une eau d'un mauve très clair cascadait dans un doux bruit de clapotis, puis disparaissait magiquement au contact du sol.

O milieu de la pièce, deux immenses lits au draps de soie, l'un blanc, l'autre noir, collés l'un à l'autre, formaient un ying et un yang.

Sur le coté, près d'une cheminée ou un feu ronflait, deux énormes fauteuils à l'aspect accueillant se faisaient face de telle sorte que les pieds de la personne assise dans un fauteuil puissent reposer sur le fauteuil en face et vice versa.

Dans le fond de la pièce, deux grandes armoire en bois très noirs semblait attendre sagement qu'on y place toute se garde robe.

Soudain, prise d'un doute, Line s'approcha d'une armoire et :

Line- Oh mon Dieu, eu je veux dire, par les culottes de Merlin !

Shana – Qu'est ce qu'il se passe ? Tu as l'air d'avoir vu Rusard en string !

Encore en état de choc, Line mis quelques secondes avant de répondre :

Line- Les… les bordures de l'armoire…c'est…c'est des BISHONENS QUI SONT SCULPTES !

A ces mots, Shana se précipita sur l'autre armoire… pour l'observer dans les moindres recoins, l'œil empli de lueurs perverses.

Jay- Bien que je ne doute pas un instant de l'intérêt profond de tout ceci, d'ailleurs vous remarquerez mesdemoiselles que j'ai servi de modèle pour certaines de ses gravures, je crois que l'intéressant se trouve dans les armoires.

Après un coup d'œil entendu, les deux jeunes yaoistes folles ouvrirent, les mains tremblantes, leur armoire respective…

Et ce qu'elles virent les laissèrent baba ! Une soixantaine de tenues différentes, composée de robes de jour, d'été, d'hiver, de printemps, de bal, de soirée de cocktails, jupes, pantalons, pantacourts, shirts, chapeaux, maillots de bain, bref des tenues décontractées à hyper classe ou sexy, par dizaines et toujours dans le style de leur ascendance, mokona ou pikachu selon le cas.

En un mot comme en cent, le paradis pour toute fille sur cette Terre !

Alors que les jeunes filles laissait leur joie s'exprimer au travers d'une course effrénée dans toute la pièce, quelque trépignements, et surtout la fameuse danse de la victoire, le professeur M'lezom leur fit aimablement remarquer qu'il n'en avait pas encore fini, et qu'il restait une pièce à regarder.

Elles suivirent donc leur professeur jusqu'à une porte qu'elles n'avaient pas encore remarquée sur leur gauche. Elles pénétrèrent ainsi dans une immense salle de bain au carrelage d'un beau violet clair, veiné de noir. Au centre de la pièce une immense baignoire sembler inviter quiconque la regardait à se prélasser dans un bon bain chaud et la trentaine de robinets qui couraient le long des bord de la baignoire laissaient présager bien des possibilités. (Honni qui mal y pense !)

Sur le coté, un bassin plus petit et rempli d'eau agitée de remous dégageait d'abondantes vapeurs.

Shana- Un… un bassin bouillonnant ! Mon rêve de toujours se réalise ! Ah ! Quel bonheur m'étreint et m'empoigne, j'en pleurerai…

Line- Tu n'en ferais pas un peu trop, là ?

Shana –Maieuuu si peu !

Lorsque Shana eu fini de bouder, elle aperçut de l'autre coté du bassin un jacuzzi. Elle fit alors signe à Line dont les yeux s'agrandirent de stupéfaction :

Line – Un jacuzzi, le bonheur sur terre, merci a tout les petits anges de Poudlard qui veillent sur nous de nous avoir donné ce cadeau merveilleux, cet objet de délice prodigieux, ce…

Shana – Et c'est moi qui en fais trop après !

A ces mots les deux filles éclatèrent de rire, et le professeur eu un sourire amusé.

Puis après une exploration minutieuse et euphorique de la salle de bain et des petits placards contenant des gels douches et shampooings à multiples odeurs de fruits, de fleurs et de bonbons (Dont le gel douche spéciale tagada, mangeable), le petit groupe retourna à la chambre de Shana et Line.

L'homme observa quelques instants durant les deux jeunes filles, telles des enfants en bas âge découvrant que Noël avait été avancé de cinq jours, courant comme des dératées d'un bout à l'autre de la -gigantesque- pièce. Puis du même ton qu'il avait employé pour les tirer de leur contemplation des pauvres lotions de massage, il leur annonça son départ.

Jay-...je vous le répète, si vous avez besoin de quoi que ce soit, vous-

Shana et Line-On vous demande !

Elles avaient répondu d'une même voix, contribuant à étirer davantage le rictus étant né sur le visage du professeur.

Jay-Je vois qu'on s'installe vite, n'est-ce pas ? Quoi qu'il en soit, je ne peux que vous conseiller de vous coucher dans l'heure, car il commence déjà à se faire tard, et si je ne m'abuse, demain sera probablement une grosse journée pour vous...

Leur adressant encore un bonne nuit et un clin d'oeil -à se damner, n'omettons pas ce détail-, il se retira, leur laissant le champs libre.

Ni une ni deux, il ne resta plus d'elles que deux paires de jambes dépassant de leurs armoires.

Pauvres armoires.

Toujours si enthousiastes, les demoiselles entreprirent de vider méthodiquement chacun des placards de tous les textiles qu'ils contenaient, faisant de la sorte voler robes, peignoirs, portes jarretelles (? qui a tapé ça ? Moi ? ), chaussettes et autres par-dessus leurs têtes, jusqu'à ce qu'elles s'arrêtent, semblant avoir découvert quelque chose qui retint leur attention.

Les pyjamas.

Line et Shana se regardèrent, ébahies, enthousiastes… bref.

Devant elles étaient posés quatre pyjamas absolument DEMENTS, accompagnés d'une petite étiquette explicative.

Il y en avait deux ou l'étiquette mentionnée, pyjama d'hiver.

Celui de Line était jaune, Il comportait un bas de pyjama fermé au pied ce qui donnait l'impression qu'il y avait de toutes mignonnes petites pattes toute poilues, ainsi que toujours l'éclair noir qui zébrait la hanche. Le haut du pyjama fonctionnait sur le même principe, les mains ne sortant pas des manches mais étant comme dans des moufles. Enfin, le haut comportait une capuche, avec deux petites oreilles pointues avec le bout noir.

Shana avait pour sa part un chaude chemise de nuit blanche douce comme du pelage et qui descendait jusqu'au pied accompagné de petite chaussette pour la nuit blanche au-dessus et rose en dessous, de même que des petits gants de nuit (comment ça sa existe pas ! Chut c'est moi qui raconte). Enfin, Deux petit caches oreilles en forme d'oreilles toutes rondes blanches et rose complétait la tenue.

Les deux autres portaient l'étiquette pyjama d'été :

Celui de Shana était fait d'un petit shirt en toile blanche où une frise de petits mokonas noirs et blancs se tenaient par la main ,faisaient de grands signes ou bien alors buvaient du saké, ainsi que d'un petit haut à bretelles en dentelle blanche elle aussi.

La tenu de Line était composé d'un simple T-shirt arrivant au genoux ou dansaient une dizaine de petits Pikachus tout mignons avec des petits regards attendrit et au milieu, juste en dessous des seins, l'inscription « CHU » en lettre style éclairs.

Après s'être extasiées pendant quelques minutes sur leur tenue, les deux jeunes demoiselles se glissèrent dans leur pyjama d'hiver respectif.

Shana- Tu veux le côté noir ou blanc ?

Line : -Je pense que je vais prendre le blanc, ça te va ? En tant qu'incarnation parfaite de l'innocence, tu sais...

Shana- L'innocence hein ? Ben voyons, qu'est ce qui ne faut pas entendre ! Enfin bon, moi le noir, ça me va très bien.

Une fois que les deux jeunes filles se furent glissées avec volupté dans leur drap de soie, elles débattirent de leur première journée dans le monde de la magie.

Line- On peut mourir de bonheur, tu crois ?

Le ton de Line était sans équivoque, et Shana, dans une profonde contemplation du plafond, répondit, un rien absente :

Shana -Dans ce cas, Dumbledore est le diable et je purge toute une vie de péchés... Kyuuu j'aime l'enfer

Après un éclat de rire échangé, elles entreprirent de passer en revue leur journée.

Shana : -Tout d'abord, un joli bleu suite à une chute due à une aspiration via ordinateur.

Line : -Puis un choc plutôt clair grâce à la rencontre d'un Pikachu et d'un Mokona.

S -Ensuite, une arrivée à Poudlard. Avec rencontre de certains élèves craquants en uniformes et de certains professeurs en robe de cérémonie de rentrée et de Dumbledore, ça va de soi.

L -Avec arrachage de quelques poils à la clé. Hem.

S-...Et tu es fière ?

L- Euh... oui ?

S-...

L-... ?

S-Tuas bien raison. J'ajoute un semi viol de Snape pour moi.

L -Semi ? Si je ne t'avais pas arrêté, le mur y aurait eu droit. Sans parler de ce pauvre Sevychou.

S -Là, prie pour qu'il n'ait pas ensorcelé les murs de façon à t'entendre.

L -Un point pour toi. Oooh et la tête de Mc Gonagall, tu as vu ça ?

S -J'ai surtout vu celle de Flitwick qui n'atteignait pas ton genou !

L -Doux Merlin. Quand même... Béni soit Poudlard. Dire qu'on est en plein dedans. Mais vraiment dedans.

S -Et qu'on a carte blanche pour y faire comme bon nous semble... Je crois que je rêve.

L -Tu veux que je te pin-

S -Non.

L -D'accord.

S -KYU ! LINE ! J'AVAIS DIT NON !

L -Au moins, on est fixées. Tu ne rêves pas. CHU !

S - arrête ou j'ordonne à Cricri de te tisser une toile dans les cheveux! Na!

L -...

S – Bon puisqu'on ne rêve pas, il ne faut pas qu'on oublie, LA GRANNNNNDDDDE mission qui nous a été confié, le sort de l'humanité est entre nos mains...nos pattes…nos quoi en faites ?

L - Nos... Euh... nos mains poilues. Mais tu as raison. L'avenir de Poudlard tout entier dépend de nous.

S – Tu en es ou avec tes ptits lionceaux ? J'ai vu que tu avait fait des misères a Ginny, mouahaha bien, plus elle sera ridicule, moins Ryry fera attention à elle. Elle pourrait vouloir contrecarrer nos plans, moi je crois que j'ai déjà mis le bouledogue enragé hors course grâce à ma cricri d'amûuur !

L - Oh, avec mes Gryffis, disons que ça ne commence pas trop mal ! Vip, Ginny, ben elle... euh... c'était un accident, hein... C'est fou ce qu'ils sont solidaires, n'empêche, chez les mini lions. Je n'ai pas eu l'occasion de voir toute la scène, avec Parkinson, mais je dois dire que moins elle touche à Draco, mieux ça me va. Non mais dis, comme si le pauvre n'était qu'un bout de viande !

S- Et d'ailleurs même si Draco était un bout de viande, quel bout de viande ! MIAM MIAM. Enfin bon, de toute façon, elle ne l'intéresse pas, c'est visible comme un furoncle sur les fesses de Fleur Delacour. En tout cas, moi et Cricri on a été très bien accueillies chez les ptits serpents. Maintenant faudra leur apprendre à être un peu moins coincés, plus ouvert. En gros, comment rester classe sans avoir un balai de quiditch dans les fesses.

L - Eh beh... ce n'est pas pour dire, mais tu vas encore avoir du boulot. Bon, avec l'aide de Cricri, ça devrait aller, hein, remarque... Je sens qu'avec mes petits Gryffondors, ça devrait plutôt bien se passer aussi... Certains sont déjà bien disposés, je trouve ! Et puis après tout, l'ouverture d'esprit étant une valeur essentielle chez eux, il ne me reste plus qu'à les débaucher un peu. Elle est pas belle la vie ?

S –Elle est TRES belle la vie ! En tout cas on a bien bossé, on a bien mérité une bonne nuit de sommeil ! Bonne nuit Line ! Fais plein de beaux rêves avec de beaux et de belles poudlariens dedans…

L - Je ne t'en souhaite pas moins... Mmmh plein... pleiiiin de Poudlard...diens... diennes... Chuuuu... Bo'nuit Shana...

A suivre

Kikoo les gens c'est moi jouzetsuka, que vous pouvez retrouver dans cette fic sous le nom de Shana ! Parce que oui, nous sommes entrée a Poudlard vu que JK Rolling voulait pas nous laisser yaoiser son livre autrement… Bref, ceci est notre bébé

Bonjour à toi, jeunesse Yaoisée ! (ou Yurisée... lemonisée ? Slashisée ? Drarrysée ? Guimauvisée ?) Ce n'est pas ta conscience, mais bien Lynarsiane qui te parle, soit ici Line première du nom, chose jaune elle-même pikachisée. Je ne dirai pas ça mieux que jouzetsuka : voilà notre bébé. Notre enfant. Notre fics chérie. Le fruit de nos entrail- presque.

Alors là, c'est re-moi, enfin Jouzetsuka, il faut suivre un peu. Ceci est avant tout un énorme délire qui nous est venu à l'esprit, comme ça, parce qu'on en avait marre que Harry Potter ne soit pas un livre yaoi (Nifnif, c'est du gâchis !) ; D'ailleurs nous replaçons dans nos chapitre tous nos délires personnels tel que le milk-shake à la fraise…

Sur ce, au risque de paraître pathétiquement en manque de reviews -ce qui est le cas, je vous rassure-, les deux jeunes et joyeuses yaoistes que nous sommes vous demandent, les yeux tout embués, si votre avis il vous serait possible de nous donner, ou des critiques, ou des demandes en mariages, voire des propositions indécentes, le tout par le biais de ces petits mots incroyablement agréables à lire que l'on appelle ici bas des REVIEWS !