Kat-chii, voici comme promis ton cadeau ! JOYEUX ANNIVERSAIRE !

Warning ! LEMON !

Le Decimo perdu

Il courait à en perdre haleine. Ses courts cheveux bruns volaient au vent. Son souffle était saccadé et sa gorge le brûlait. Des hommes habillés de costumes trois-pièces le poursuivaient. Il ne savait pas ce qu'on lui voulait mais il avait peur. Le jeune homme avait à peine 16 ans et il avait toujours vécu dans la rue. D'aussi loin qu'il se souvenait, il avait toujours dû voler pour vivre. Peut-être que ces gens l'avaient vu et allaient lui faire payer ses crimes ? Allaient-ils le tuer après l'avoir attrapé ? Il avait tellement peur. Sa gorge le grattait et ses poumons avaient du mal à lui donner l'air suffisant pour respirer. Jamais il n'avait eu à courir aussi vite. Le plus souvent, on ne le voyait pas. Il était comme invisible pour le monde. Après tout, il était assez petit pour son âge. Pourtant, quand on le chopait en train de voler on lui proposait le plus souvent une compensation : son corps contre le silence. La première fois que cela lui était arrivé, il s'était enfuit. Il avait réussi à échapper au type bourré qu'il avait volé seulement parce qu'il connaissait la ville comme sa poche.

Le brun ferma violemment les yeux avant de les rouvrir et d'accélérer le mouvement. Il coupa après ruelles et égouts afin d'échapper à ses « ravisseurs ». Ils ne devaient pas le trouver. Il devait juste courir et s'éloigner assez pour pouvoir souffler ne serait-ce que quelques minutes. Pourtant, dès qu'il était sur le point de se stopper au détour d'une ruelle assez isolée, un homme en costume lui tombait dessus. La plupart du temps, il lui parlait dans une langue qu'il ne connaissait pas. Dès que l'un d'entre eux parlait japonais, il fuyait en ne lui laissant pas le temps de finir sa phrase. Il ne devait pas s'arrêter, pas maintenant ! Alors qu'il allait encore tourner dans une ruelle sombre, il sentit quelque chose lui toucher le pied. Un son venait de retentir, le bruit d'une arme à feu. On venait de lui tirer dessus ! Le voleur, sous le choc, trébucha sur l'impact de balle et sa tête heurta violemment le sol. Tout ce qu'il vit avant de perdre connaissance fut un énième homme en costume sauf que ce dernier portait un fendora et avait un caméléon sur l'épaule.

Il s'était fait avoir...

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Il ne se réveilla que quelques heures plus tard, dans une chambre luxueuse. Le voleur se leva difficilement et se dirigea vers la porte. Celle-ci était fermée à clé, génial. Il observa la pièce d'un œil impressionné. Jamais il n'avait vu un tel luxe avant. La rue était tout ce qu'il y avait de plus sale et sa ruelle était sûrement la plus crade de toutes. C'était aussi le seul endroit où il était tranquille. L'odeur répugnante qui en surgissait détournait n'importe qui. Aucun animal ne s'y aventurait et personne ne viendrait vérifier qu'un cadavre s'y trouvait. Pourtant le jeune garçon y avait vécu pratiquement toute sa vie, se nourrissant de tout ce qui lui passait sur la main. Soit il fouillait dans les poubelles où il se forçait à avaler une souris qui passait en courant devant lui...

Le voleur se stoppa devant un grand miroir fait d'or. Son reflet lui donna des frissons. C'était lui ? Il s'était déjà regardé dans le cours d'une rivière ou dans une flaque d'eau après la pluie et jamais il ne s'était vu ainsi. Il était propre ! Ses blessures avaient été soignées et étaient couvertes de bandages ou de pansements. La crasse qui avait coloré sa chevelure brune clair en un amas de suie noire s'était en aller et il ne portait plus ses lambeaux de vêtements. Il avait sur lui une chemise blanche à manches courtes et un pantalon en soin noire qui lui sied à merveille. Malheureusement, ces vêtements montraient au monde son corps plus que svelte et cadavérique. Ils soulignaient sa peau anormalement blanche et ses joues creusées. Son ventre gargouilla, lui prouvant qu'il allait plus que mal. Il fit le tour de la chambre, observant minutieusement ce qui s'y trouvait.

A côté de la porte se trouvait une grande commode avec au-dessus des cadres photos et un plateau de nourriture bien garni. Il s'en approcha, curieux. Sur les photos, il y avait une femme et un enfant. Les deux souriaient gaiement et semblaient extrêmement proches. Près d'un cadre se trouvait un morceau de papier, couverte d'une écriture fine et délicate. Il le prit dans ses mains et le lis avec de bien grandes difficultés. Bien qu'il savait lire, certains mots lui étaient impossibles à déchiffrer...

Jeune garçon,

Si tu lis ceci c'est que tu es réveillé.

Sers-toi donc ce que bon te semble sur le plateau, tout cela a été préparé pour toi.

Nous viendrons te chercher ce soir pour l'heure du dîner. Nous avons beaucoup de choses à te révéler.

Pour le moment je ne peux te dire qu'une seule chose parce que je pense que ça te sera suffisant, le temps que tu te rappelles de certaines choses grâce aux photos.

Tu t'appelles Sawada Tsunayoshi et sur les photos, c'est toi et ta mère.

PS : N'essaye pas de sortir de la chambre, elle est protégée de tous les côtés et mes hommes ont l'ordre d'abattre tout ce qui sors de cette pièce.

Tsunayoshi se figea en finissant sa lecture. Lui... et... sa mère... ?

C'était lui, l'enfant sur la photo ?

C'était lui, l'enfant si souriant ?

Mais... Qu'avait-il bien pu se passer pour qu'il vive dans le rue s'il avait une famille ?

Une fois encore, son ventre cria famine. Le voleur attrapa une grappe de raisin entre ses doigts et l'avala après avoir croqué dedans. Le fruit lui glissa dans la gorge et lui fit un bien fou. Sa gorge lui piqua moins grâce à la fraîcheur de la grappe. Il soupira d'aise et attrapa une autre grappe pour apaiser encore sa gorge douloureuse. Au bout d'à peine quelques minutes, il n'y avait plus de raisins. Tsunayoshi s'attaqua donc au deuxième et troisième fruit présent sur le plateau, les morceaux d'orange et ceux de clémentines. Un gâteau au chocolat lui fit aussi de l'œil mais en regardant l'horloge sur le mur au-dessus du lit, il se décida à se le garder pour plus tard. Il n'était qu'à peine 13h alors il se réservait le chocolat pour le goûter. Le voleur se rappela avec nostalgie la conversation qu'il avait une fois surprise entre deux élèves de primaire. Il s'agissait de deux garçons qui parlaient joyeusement de ce qu'ils allaient avoir pour le goûter. L'un se caressait le ventre en s'imaginant déguster une tonne de bonbon tandis que l'autre se délectait à l'idée d'une tarte aux pommes.

Son ventre recommença à chanter son appétit, signalant à Tsunayoshi que le repas n'était pas terminé. Le brun mangea fruit après fruit jusqu'à qu'il ne reste plus que la part de gâteau au chocolat et une assiette de petits gâteaux secs à la couleur dorée. Le jeune homme s'allongea sur son lit, repus. Il fixa pendant quelques secondes l'horloge au-dessus de lui, suivant des yeux les aiguilles tourner. Après de longues minutes, il finit par bailler et se laisser aller au sommeil.

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Tsunayoshi entendit du bruit dans sa chambre. Des personnes chuchotaient non loin de lui.

« Il faut le réveiller ! Le repas va bientôt être servi et tu sais très bien que Reborn-sama ne supporte pas les retards !

-Mais regarde-le ! Il est si mignon quand il dort ! J'arrive pas à croire qu'une telle beauté va être notre prochain chef ! Quelle chance on a !

-Vous vous croyez où tous les deux ?! Éloignez-vous du Juudaime bande de pervers ! Cria finalement une voix, réveillant le voleur

Tsunayoshi sursauta et se leva violemment du lit. Assis sur le matelas, il fit face à trois personnes complètement différentes. Trois hommes, dont un plus jeune que les deux autres (de son âge environ). Le premier avait de courts cheveux blanc-grisonnants avec des yeux chocolats, le deuxième de longs cheveux noirs attachés en une queue de cheval haute avec des yeux gris et le troisième de courts cheveux gris en bataille avec des yeux verts brillants et une cigarette dans la bouche.

-Toutes nos excuses ! S'inclinèrent les deux premiers hommes en déguerpissant sans un regard en arrière

Tsunayoshi observa le garçon de son âge. Celui-ci tira sur sa cigarette et lui sourit joyeusement. Il lui parla d'une voix beaucoup plus calme que tantôt

-Bonsoir Juudaime ! Le dîner va être servie, veuillez me suivre ! »

Tsunayoshi ne comprit pas d'où venait le « Juudaime » de cet étrange personnage au comportement douteux mais le suivit tout de même en dehors de la chambre, oubliant son gâteau au chocolat et l'assiette à ses côtés.

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L'ambiance dans la salle à manger était pesante. Tsunayoshi, décidément ce prénom sonnait étrange à ses oreilles, fixait ses mains qu'il triturait inlassablement. Le garçon aux cheveux argentés qui l'avait mené ici tentait par tous les moyens de le faire réagir, sans succès. Finalement, plusieurs personnes arrivèrent et s'installèrent à table. Tsunayoshi leva légèrement la tête pour voir les nouveaux venus. Il y avait un homme blond au sourire jovial accompagné d'une enfant aux yeux étranges, deux hommes aux cheveux foncés dont un avec une coupe d'ananas (?) et l'autre avec un poussin jaune sur l'épaule... Un autre jeune homme arriva et se plaça d'office aux côté de celui avec la cigarette. Il avait un grand sourire niais au visage et collait l'argenté comme un chewing-gum sous une chaussure... Finalement, celui qui l'avait attrapé arriva à son tour. Son fendora lui cachait le visage mais Tsunayoshi put voir son grand sourire goguenard de là où il se trouvait. Le voleur baissa de nouveau la tête et ignora tous ceux qui lui parlaient.

L'argenté se battait violemment avec le niais tout en lui lançant de la dynamite (?), les deux hommes aux cheveux foncés se battaient aussi (l'un donnant à l'autre des coups de tonfa (?)) et le blond discutait joyeusement avec le plus jeune de la table. Ces deux-là semblaient être les plus normaux. Tsunayoshi se demandait sincèrement ce qu'il faisait ici. En plus, pendant son sommeil, il avait eu le plus étrange des rêves... Il s'était revu avec sa « mère ». Il avait eu des flashs d'un enlèvement, le sien, et sa fuite... Finalement, ses rêves lui avaient expliqués le pourquoi du comment de sa vie dans la rue.

L'homme au fendora fixait son regard son Tsunayoshi qui ne pouvait s'empêcher de rougir. Le regard sombre de ce type lui donnait froid dans le dos mais en même temps il ne pouvait s'empêcher de se sentir excité. Ce regard brûlant lui faisait plaisir. Il était rare qu'on ne le regarde pas avec un regard pervers. Celui-ci était appréciateur et terriblement chaud. Il sentit plusieurs frissons de désir lui parcourir le corps. Après d'interminables minutes, le silence tomba sur la salle. Un vieil homme arrivait accompagnée d'une femme qui lui était étrangement familière... De nombreux flashs s'insinuèrent dans son esprit.

Sa mère !

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Tsunayoshi regardait fixement le plafond de sa chambre. Le dîner s'était déroulé dans une ambiance... calme mais palpable... Il avait appris qu'il était le futur boss des Vongola (la mafia italienne, rien que ça), le dixième pour être plus précis (voilà donc d'où venait le Juudaime) et qu'il avait été enlevé pour cette raison. Apparemment, il y avait eu une taupe chez les Vongola et les ennemis de la famille avaient réussis à le retrouver alors qu'il avait été caché au Japon. Le brun se trouvait donc en Italie, dans le Manoir Vongola. On lui avait appris que les hommes autour de la table n'étaient rien d'autres que ses gardiens, pour être honnête il n'avait pas compris cette partie. Au fur et à mesure du repas, il s'était souvenu de ces personnes. Il les avait tous vu au moins une fois dans sa vie. Tout cela était encore flou parce qu'il y avait certains passages de sa vie qu'il avait voulu absolument oublier.

Donc, l'homme au fendora (Reborn) serait son professeur à partir de ce jour. Il se devait d'apprendre à devenir le futur boss. Nono, le chef actuel, se faisait vieux et était de plus en plus malade. Tsuna se demandait sincèrement ce qui allait lui arriver maintenant... L'entraînement allait-il être difficile ? Allait-il revoir les autres, ces gardiens ? Allait-il de nouveau sentir le regard brûlant de Reborn sur lui ? Allait-il pouvoir renouer avec sa mère malgré sa dizaine d'année d'absence ? Toutes ces questions tournoyaient dans sa tête et lui vrillaient le crâne. Finalement, Tsuna ne dormit pas de la nuit. Il redoutait la suite.

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Plusieurs mois s'étaient écoulé et rien ne se passait comme prévu. Tsuna se montrait fort, il supportait les entraînements et se battait de mieux en mieux mais il avait beaucoup de mal à contrôler le pouvoir du ciel qu'on lui avait confié... Ses gardiens s'en servaient parfaitement bien mais Tsuna n'y arrivait pas. La puissance de sa flamme lui faisait peur, ce qui l'empêchait de pouvoir avoir le contrôle dessus. Reborn commençait sérieusement à perdre patience, aussi décida-t-il de se servir de désir de son élève envers lui pour lui prouver que sa flamme ne lui voulait aucun mal.

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Tsuna haletait. Il faisait nuit noire et était plus d'une heure de matin. Il avait tenu à s'entraîner encore et encore, voulant contrôler cette fichu flamme qui lui faisait si peur. Malheureusement, Reborn avait eu une autre idée et l'avait fait tombé au sol.

« Reborn...san ? Que faîtes-vous ? Demanda Tsuna, décontenancé

-Je vais te montrer que tu n'as pas à avoir peur de ton pouvoir... Détends-toi...

Reborn lui avait chuchoté cette phrase à l'oreille. Son souffle chaud contre sa nuque provoqua chez Tsuna de violents frissons. Inconsciemment, il activa sa flamme du ciel. Il perdait lentement mais sûrement pied, entraîné par Reborn dans un tourbillon de plaisir incontrôlable. Le monde tourna délicatement autour de lui puis sa vue se fit trouble. Tsuna ne savait pas comment réagir. Il se laissait juste emporter par le courant. Le plaisir l'envahissait délicieusement, le faisant sombrer dans un typhon de désirs. Jamais il n'avait ressenti autant d'émotions. Il avait déjà dû satisfaire le désir des hommes mais jamais il n'avait ressenti un tel... Un tel sentiment d'euphorie. Reborn lui caressait doucement les cuisses.

Tiens ? Quand lui avait-il enlevé son pantalon ?!

Tsuna paniqua légèrement. Il était tellement envahi par le plaisir qu'il ne sentait ni les mains de Reborn le déshabiller ni sa langue lui parcourir la nuque et le torse. Le futur boss était complètement à la merci de son professeur, pratiquement nu. Un rougissement de honte empourpa les joues de Tsuna. Son corps n'était pas totalement guéri et même s'il ne portait plus de bandages, les marques étaient restées. Des marques de morsures parcouraient ses épaules et ses hanches, des bleus encore violacés par endroit coloraient son dos et des marques de strangulation faisait rougir son cou. Reborn fronça les sourcils et Tsuna ferma les yeux. Son professeur allait sûrement le rejeter maintenant. Le désir de Tsuna fondit comme neige au soleil. C'était terminé. Maintenant, on allait l'éviter et le voir comme un monstre.

-Sniff... Commença-t-il avant de se figer

Reborn venait de lui mordre ses marques de morsures. Il continua en léchant les marques de strangulation sur son coup tout en lui caressant les marques sur ses hanches.

-Tsuna... Peu importe à quel point tu es marqué, tu es magnifique. Je regrette juste que ce ne soit pas moi qui t'ais fait ces marques... Mais, je vais y remédier de suite. »

En disant cela, Reborn commença à serrer les hanches de Tsuna entre ses mains tout en mordant morsures après morsure.

La chaleur continua à monter dangereusement. Tsuna réactiva sa flamme, ses yeux brillèrent doucement et son corps se réchauffa drastiquement. Reborn fit alors quelque chose que les deux jeunes hommes attendaient depuis leurs duels de regards pendant le repas et durant leurs nombreux entrainements : il l'embrassa.

Le baiser dura de nombreuses secondes. Quand Tsuna essayait de se reculer pour respirer, Reborn lui attrapait la langue entre ses dents pour l'attirer de nouveau dans sa bouche. Les deux langues dansaient dans un ballet sensuel et envoutant. Tsuna avait les yeux dans le vague et ne pouvait plus penser correctement. Sa flamme brûla de plus belle, les entourant tous les deux d'une chaleur empli de désir. Le pouvoir de Tsuna entourait le couple de façon à montrer à Reborn toute la passion dont le jeune homme était capable. Reborn sentit le désir de son élève et sourit contre ses lèvres. Tsuna ne comprenait peut-être pas ce qu'il se passait mais au moins, il n'avait pas peur de ses pouvoirs. Tsuna avait ouvert un peu les yeux pour observer sa flamme. Malgré le fait qu'elle l'entoure, lui et Reborn, elle ne les brûlait pas. Elle n'était pas dangereuse... Non... Elle n'était que son désir, rien de plus...

Reborn bougeait doucement en Tsuna. Son désir était compressé par les chairs étroites de son élève. Elève qui gémissait de plus en plus fort, complètement envahit par le plaisir. Reborn accéléra la cadence, visant encore et toujours cette boule de chaire qui faisait sentir à Tsuna le plaisir ultime. L'homme au fendora se laissait complètement aller, frappant encore et encore la prostate du jeune homme qui ne savait plus où donner de la tête. La chaleur montait encore et encore dans la pièce. Les deux hommes étaient maintenant complètement nus, envahit par le plaisir. Ils fusionnaient. Leurs émotions et leurs corps étaient connectés l'un à l'autre. Ils partageaient tout... Les coups de reins se firent plus violents puis plus rapides jusqu'à ce que rien ne put plus être contrôler.

Les mouvements des deux amants se firent anarchiques, complètement aléatoires. Ils étaient extrêmement proches de la jouissance. Tsuna hurla à s'en arracher les cordes vocales tandis que Reborn se faisait plus discret. Il poussait de sourds grognements et des gémissements rauques. Après plusieurs dernières poussées, plus violents que les autres, Tsuna finit par se laisser totalement aller. Ayant sentit son élève atteindre la jouissance ultime et se resserrer violemment autour de son désir, Reborn donna encore quelques coups de reins avant de lui aussi se faire happer par l'orgasme. Tsuna sentit son professeur se vider en lui ce qui le fit sourire tendrement. C'était la première fois qu'il ressentait ça... Pour la première fois, il était heureux de sentir la semence de son amant couler en lui... Il finit par se laisser aller au sommeil, alors que Reborn se retirait lentement de lui.

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Quand Tsuna se réveilla, il se trouvait dans sa chambre, un pyjama sur le dos. Reborn avait dû le ramener ici la nuit dernière alors qu'il dormait...

Le Sawada sourit tendrement avant de se masser les hanches. Reborn n'était pas aller de main morte sur la fin dis donc...

Gokudera, son gardien de la tempête, vint le chercher pour le petit-déjeuner. Tsuna le suivit à travers les couloirs et avant qu'ils n'atteignent la salle à manger, annonça fièrement que sa flamme ne lui faisait plus peur. L'argenté sourit avant de proposer un entraînement avec lui dans l'après-midi. Le futur boss accepta avant de rougir et de baisser la tête. Ils étaient arrivés dans la salle à manger et Reborn était déjà attablé. Pendant le repas, le professeur fixa son élève. Tsuna en ressentit des frissons et pourtant il sourit en commença finalement à manger.

Au moins, maintenant, il avait une famille...

FIN

Pfffiiiiooooouuu ! ENFIN ! Je pensais ne jamais arriver à bout de cet os !

PS : L'histoire va sûrement assez vite mais bon, comme ça fait longtemps que je n'ai pas écrit de R27, bah soyez indulgent quoi !

Second os juste après ;)

Biz !