Si vous le voulez, je peux peut-être faire un effort et mettre ... vous savez le titre et tout, ce que tout le monde met là au début...
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Oh et puis non trop la flemme!
Bonne lecture!
Une raison pour un fils
Chapitre 1 : Une raison de fuir...
- Nom... de... Dieu...
Harry Potter mit sa main devant sa bouche. Il était dans l'encadrement de la porte.
- Oh mon Dieu... putain... merde... nom... de...
- Oh c'est bon ! Arrête de mettre ce bon Dieu dans tes affaires...
- Mais... regarde toi, Carmen... mais non c'est pas vrai... ça ne peux pas être vrai ! C'est impossible...
Harry s'avança vers elle. Carmen était couchée sur le lit blanc de l'hôpital Jean Bourre. Harry prit une chaise, l'a plaça devant le lit et s'assit en murmurant un " Pourquoi moi ! " expressif. Il mit sa tête dans ses mains et ses mains sur ses genoux. Carmen sourit et mit une main sur les cheveux d'Harry qu'elle commença à triturer, les décoiffant un peu plus qu'il ne l'était.
Carmen était une femme blonde qui tirait vers le blanc avec de grands yeux marrons et sourire franc et chaleureux. C'était une moldue. Elle avait toujours était attirée par Harry par son côté doux et gentil même si là il était un peu... dépressif... Elle passa sa main sur le menton d'Harry et releva sa tête.
- Arrête Harry, tout va bien aller !
- Non ! Non ! Tout ne va pas bien aller ! Tu connais très bien mon orientation sexuelle ! Et d'ailleurs, pourquoi tu ne m'as rien dit plus tôt ! Comme par exemple avant tes quatre mois...
- Et alors ! Moi je suis fiancée presque mariée. Ça lui a fait un choc le pauvre ! Je ne vois pas ce que le fait que tu sois gay pose un problème. Et pour plus tôt, je te signal que moi aussi ça m'a bouleversé! Pas autant que Phil mais...
- Attends ! Harry se dégagea de sa main. Tu ne lui a pas dis que c'était moi le...
- Non, non ! Ne tant fait pas ! Je n'ai rien dis... à personne
- Ouf, tant mieux !
- Harry...
Elle parut hésitée.
- Qu'est-ce que il y a ?
Harry la regarda un peu surprit. Elle était d'habitude très entreprenante et hésitait rarement... et quand elle hésitait, c'était toujours pour annoncer de mauvaises nouvelles. Harry savait qu'elle allait lui demander quelque chose d'impossible ou de pénible.
- Aller accouche !
Carmen éclata de rire.
- Pour ma situation Harry, je ne crois vraiment pas que tu voudrais même si ça ne serait que tardé.
Elle reprit son air sérieux et une ride soucieuse vint briser son magnifique visage.
- Harry... je... jvoudraiqutulgard !
Elle avait parlait si rapidement que Harry ne compris pas.
- Pardon ? Je n'ai pas entendu...
Elle souffla, expira, inspira puis:
- Harry... je... voudrais... que... tu... le... garde... Je sais que je t'en demande beaucoup. Se reprit-elle en voyant l'air horrifié de Harry qui prenait une couleur aussi verte que celle de ses yeux. Mais je ne peux pas... moi j'ai promit à Phil de ne pas le garder...
- Non ! Non ! NON !
Harry se releva faisant basculer la chaise et recula vivement.
- Tu ne peux pas me demander de faire ça... je ne... je ne pense pas que je serai un bon…
- Comment peux tu dire que tu ne le sera pas alors que tu n'a même pas essayer... Et puis de toute façon si... si tu refuses de le prendre je... je l'amènerais à un orphelinat.
Le visage de Harry se ferma.
- Tu... tu ne ferais pas ça ? Dis moi, Carmen, tu ne le ferais pas? Hein...
- Oh si je le ferais ! Je sais que c'est cruel, mais je crois que... que tu sais ce que ça fait de vivre en ne sachant pas qui sont ses parents... Imagine qu'il tombe sur des parents comme ton oncle et ta tante...
- Non, non ! Tais-toi ! Tu n'as pas le droit ! Tu n'as pas le droit !
- Harry... Arrête de te conduire comme un gamin.
Elle avait parlé d'une voix forte mais pas méchamment puis elle reprit d'une voix douce.
- Je sais, Harry mais je t'en pris... Il faut que tu y croies. Tu sais c'est comme le vélo ou l'amour, ça s'apprend. Tu apprendras au fur et à mesure. Si tu le veux ! Si tu y crois !
Harry baissa la tête, il s'avança de nouveau et s'assit sur le lit au coté de Carmen. Il posa sa main sur le ventre rebondit de la jeune femme. Tout ça lui faisait peur. A vingt et un ans. Il regarda Carmen qui lui souriait tendrement. Il posa sa tête sur sa poitrine. Son sourire s'agrandit et elle glissa ses doigts dans la chevelure brune du jeune homme.
- Harry… Murmura-t-elle.
- Je vais le prendre.
Il se releva et déposa un baisé sur son front.
- Tu dois te reposer maintenant… Ne tant fais pas… ne tant fais plus… je m'occupe de tout…
Elle le remercia et à peine eut-il traversé la pièce qu'elle ferma ses yeux, cette discussion l'avait épuisée. Harry, accroché à la poignée de porte, se retourna vers elle puis il murmura
- Tu es sûre que c'est un garçon ?
Elle rouvrit un oeil et sourit puis opina de la tête
- Bien, je n'aurais pas voulu d'une pisseuse…
- Harry ! S'indigna-t-elle tout en pouffant de rire.
Et tout en en regardant Harry sortir, elle s'endormit un sourire aux lèvres...
Quelques heures plus tard, Gabriel Harry Potter naissait...
oOoOoOo
Harry marchait dans la rue sombre. Il faisait une magnifique journée aujourd'hui mais dans les quartiers chauds de la ville de Londres, il y faisait toujours une chaleur insurmontable. Et pourtant il faisait toujours sombre. Harry détestait ses endroits mais il était certain de trouver ce qu'il cherche ici...
Il tenait dans ses bras un petit paquet d'environ quarante centimètres qu'il cachait sous un long manteau marron. Il avait un bras recouvert de sa manche qu'il n'utilisait pas, laissant le paquet à l'intérieur du manteau. Seul une toute petite tête et une toute petite et fine main dépassée. Gabriel serrait l'index de son père avec sa main et mordait son ongle avec contrariété comme pour dire qu'il était mal placé. Ses petits yeux jetaient des regards bref qui allait de son père à la ruelle et Harry sourit lui qui ne pouvait pas le lâcher du regard.
Gabriel n'avait que deux semaines mais on voyait déjà qu'il était doté d'une grande intelligence. Et d'une grande beauté aussi. Gabriel était né avec une courte chevelure brune aux bouts de mèches blondes ce qui avait surprit Carmen, le médecin et les infirmières. Mais d'un point de vue magique ça n'avait rien de surprenant. Il possédait de magnifiques yeux verts teintés de bleu gris. Sa peau était pâle mais Harry ne s'en fit pas car il saurait comment la faire bronzée rapidement...
En deux semaines, Harry avait appris ses moindres désirs. Alors Gabriel ne pleurait presque jamais, au contraire il trouvait des moyens autres pour se faire comprendre. Ce calme ne faisait que le rendre encore plus intelligent et ne donnait à son père que l'envie de s'occuper encore plus de lui.
Son nom le sortit brusquement de la contemplation de son fils :
- Potter ?
Sa voix était grave et Harry comprit que c'était un homme. Il rabattit vivement le manteau sur la petite tête brune blonde. Ce dernier mordit plus fort pour protester sans avoir comprit qu'il n'avait pas de dents donc qu'Harry ne ressentait rien à par un léger pincement.
Harry rouvrit délicatement les pans de son manteau et regarda Gabriel. Il faillit éclater de rire devant la moue dédaigneuse de l'enfant, qui après avoir comprit que le mordre ne servirait à rien avait laissé tomber son doigt et faisait la tête, mais il se reprit de justesse en s'apercevant que l'homme était toujours derrière lui.
S'assurant que rien ne dépassait, à part une légère bosse, de son manteau, il se retourna doucement. Il reconnu, un peu étonné, immédiatement la personne qui était en face de lui.
- Ma... Malfoy ?
La surprise passée, Draco Malfoy repris son air ironique. Harry le regarda attentivement. Les années lui avaient bien réussi. Sa chemise à demi ouverte à cause de la chaleur laissait paraître son torse qui était un peu plus musclé qu'avant.
*Plutôt bien foutu le mec* pensa le brun
Draco le détailla lui aussi du coin de l'oeil puis il vit la bosse qui l'intrigua. Draco se demanda pourquoi il portait un long manteau avec cette chaleur étouffante. Puis se rappelant où est-ce qu'il était il ne put s'empêcher d'ironiser avec un demi sourire:
- Eh bien, Potter ! C'est le dernier endroit auquel j'aurais cru pouvoir te croiser un jour !
- Ta gueule, Malfoy je n'ai aucune envie de me battre avec toi aujourd'hui.
Harry sentit Gabriel s'accrocher à sa chemise. Pourquoi fallait-il qu'il soit si intelligent. Il avait la bonne idée de se taire mais si il continuait à bouger comme ça, Malfoy ne tarderait pas de le remarquer...
- Qu'est-ce que tu caches dans ton manteau Potter ?
Et merde !
- Ça ne te regarde pas, Malfoy ! Tout comme le fait que je sois ici et pas ailleurs. En plus je pourrais te demander moi aussi ce que tu fous là ?
- Mais demande donc, demande donc...
Il parut réfléchir puis dit :
- Je veux bien te le dire à la condition que tu me le dises toi aussi.
Harry hésita puis opina de la tête. Pourquoi pas. Depuis la fin de la guerre contre Voldy, il faisait confiance au blond qui avait rejoint l'Ordre. Au péril de sa vie il avait même sauvait celle de Harry. Mais maintenant qu'elle était terminée, le fier Draco Malfoy avait reprit le dessus et pour les coups bas, même si on savait tous que ça ne dépassait jamais de la plaisanterie, il était le champion. Draco se gratta la tête, ses magnifiques yeux gris rivés sur la petite boule au niveau la poitrine de Harry. Il était absolument sûr de l'avoir vu bouger !
- Je suis venu voir une femme en particulier qui doit me donner certaines informations... disons... secrètes.
- Oh ! Et bien... moi... euh...je recherche... une femme... quelconque... plutôt jolie de préférence. Et brune...
- Et bien ! Tu es très sélectif dans les choix de tes partenaires !
- Qui t'a dis que je voulais la mettre dans mon lit... En plus, tu sais très bien que je suis gay... Pfff !
Harry secoua la tête en signe d'exaspération.
- De toute façon, je ne pense pas que tu puisses vraiment m'aider.
Il se retourna mais fut retenu par Draco, ayant comblé l'écart qu'il y avait entre eux d'un pas, qui le prit par sa manche vide.
- Quand est-ce que tu as perdu ton bras ! Dit-il d'un ton moqueur.
Harry le poussa mais il s'accrocha et le manteau glissa un peu. Très rapidement il le remit en place. Draco fut déçu mais se recula :
- Je crois que j'ai la femme qu'il te faut. Maëlisse, mon informatrice, a de longs cheveux brun... elle est très jolie physiquement et très gentille. Elle ne pourra rien te refuser. Même pour cou...
- Malfoy ! Qu'est-ce que je t'ai dit !
Draco sourit.
- Aller viens… murmura-t-il.
Il se retourna et partit d'un bon pas s'assurant que le brun le suivait. Au bout d'un moment, il jeta un regard discret derrière son épaule et leva un sourcil. Harry avait passait son deuxième bras dans son manteau et semblait... lui parler!
- Tu radotes Potter ? A ton âge ? Qu'est-ce qu'il y a de si important dans ton manteau ?
Harry releva la tête et cacha un peu plus Gabriel. Est-ce qu'il l'avait vu ? De toute façon il comptait lui montrer puisque c'est lui qui allait lui donner la femme qu'il lui faut. Mais il valait mieux ne pas en faire allusion ici, les murs avaient des oreilles, comme dit le dicton, et changer de sujet.
- Tu sais Draco, on pourrait arrêter les hostilités des Potter/Malfoy ! Harry est mon prénom si tu ne t'en souviens pas. Alors appelle moi ainsi si tu as l'envie ou même l'obligation de me parler.
Alors ça, c'était du changement de sujet !
- Pourquoi pas, Harry. On n'est plus à Poudlard et la guerre et fini. Mais tu ne m'a toujours pas répondu et n'essaie pas de changer de sujet !
Zut ! Rester plus qu'à lui proposer de jouer aux devinettes en espérant qu'il ne trouverait pas la réponse avant d'être arriver à destination.
- Devine... Mais conduis-nous chez... Maëlisse en attendant.
Draco haussa les épaules. Il aimait bien les défis et tout en réfléchissant à qu'est-ce que pouvait bien être cette chose, il les emmena dans une ruelle un peu plus éclairée que les autres et où l'air passé atténuant la chaleur.
- On est arrivé ! Dit-il au bout d'un moment déçu de ne pas avoir trouver.
Harry s'avança et se plaça à sa droite. Il sourit à la vue d'un Draco désappointé d'avoir perdu à un jeu. Puis Draco toqua à la porte.
- Au faite… moldue ou sorcière ? Demanda Harry.
- Moldue… Murmura Draco pendant que la porte s'ouvrait.
C'était une jeune femme d'environ trente ans. Draco n'exagérait pas lorsqu'il avait dit qu'elle était belle. Ses longs cheveux tombaient jusque ses fesses, d'un noir d'encre, elle était d'une taille fine, habillée d'un t-shirt moulant et d'un jean qui lui allait à la perfection. Elle sourit en voyant Draco et tout en leur disant bonjour les fit rentrer.
- Maëlisse, je te présente Harry Potter, Harry voici Maëlisse Mabey. Fit Draco en guise de présentation. Maëlisse... euh... Harry aurait une demande à te faire... me demande pas ce que sais je n'en ai pas la moindre idée !
Maëlisse se tourna vers Harry.
- Demande donc mon chou je peux te faire tous ce que tu veux… Dit-elle en se rapprochant sensuellement.
- Premièrement, je voulais vous informer que je suis gay donc que vos tentatives ne fonctionneront pas avec moi…
- Bien sur, il n'y a que les plus beaux spécimens qui vous sont inaccessible !
En disant cela elle s'était tourné vers Draco. Harry n'était pas sûr de ce qu'elle pouvait insinué alors il préféra ne rien dire à propos de sa dernière remarque et continuer sur sa lancée.
- Deuxièmement, c'est justement parce que je suis gay que je viens quémandé votre aide…
- Pour ça il faudrait que tu me tutoies d'abord, je ne suis pas si vielle que ça !
- Troisièmement, vous êtes brune et jolie et il est très exigeant mais ça ne dura qu'un ou deux mois, après je... me... débrouillerais…
Draco et Maëlisse le regardaient d'un air incrédule. Harry replaça ses lunettes qui avaient glissés légèrement.
- Arrête de tourner autour de pot Potter... Harry ! Finit par dire Draco. Alors en faite tu n'es pas venu demandé pour toi mais pour un autre mec. Ce mec-là doit être sois moche, sois lâche !
- Il est ni l'un ni l'autre ! S'exclama Harry indigné puis il hésita avant de demander : Y a-t-il des chances pour que tu t'en ailles ?
- Aucune. Affirma le blond.
- Tant pis… Murmura-t-il.
Il hésita encore... Puis finit par hocher la tête. Tout doucement il enleva son manteau et Gabriel put joyeusement sortir sa tête de sa couverture. Draco était totalement surprit, il s'aurait attendu à tout sauf à ça ! Maëlisse s'était de suite approché, un sourire aux lèvres, fasciné par la beauté du bébé.
- Harry ! Il est magnifique ! C'est le plus beau bébé que j'ai jamais rencontré et crois moi j'en ai vu des tonnes ! Est-ce que je peux ?
Elle tendit les bras et Harry y déposa Gabriel. Soudainement, tout le stresse de se faire choper ou la peur de lui faire mal s'en alla laissant un Harry épuisé. Pendant que la brunette sortait de la pièce par une autre porte, Draco, qui n'avait encore rien dit, le regarda, inquiet.
- Où est-ce que tu la trouvais ce bébé ?
Harry se retourna vers lui et plissa les yeux à la stupidité de sa question.
- Dans une poubelle ! À ton avis crétin !
- C'est... c'est le tien ?... Hésita t'il
- Non, non ! Il est à mon frère disparu !
- Arrête tes sarcasmes !
Harry sourit, les yeux dans le vague.
- Que vas-tu faire ? Reprit l'ancien Serpentard.
- De quoi tu parles ? S'enquit-il en rapportant son attention sur lui.
- Je te connais trop bien... Harry ! Tu ne vas pas rester ! J'en suis sûr !
- Ce ne sont pas tes affaires, Draco !
- Alors c'est bien ça ! Où est-ce que tu pars ?
- Pourquoi te le dirais-je ?
- Parce que... parce que je serais peut-être le seul à ne pas vouloir te retrouver ?
- Comment... comment sais-tu que je ne le dirais pas Hermione ou Ron ?
- Je te l'ai dit: tu es trop prévisible ! Tu n'as jamais voulu cette "célébrité". Et le fait que tu es tué le mage noir... avec toutes ses fêtes en ton honneur ! Ça doit énervé... non ? Et puis tu n'as sûrement pas envie que ton fils devient la mascotte privilégière du ministère, toi qui as déjà du mal à les esquiver ! Le pire c'est que tu as tellement peur qu'il te retrouve un jour que tu préfères couper les ponts avec tes amis…
Il attendit la réponse du brun qui bouillait de rage.
*Et merde, et remerde et reremerde... comment ça se fait qu'il me connaît aussi bien !*
Parce que évidemment il avait parfaitement raison. Harry croisa les bras et Draco rit :
- Je suppose que je n'ai pas totalement tords !
A ce moment, Maëlisse revint, Gabriel jouant avec ses cheveux dans ses bras.
- Je suis désolé, Harry, mais il ne veut pas dormir. Il a roté mais on dirait qu'il adore mes cheveux. S'inquiéta-t-elle.
- Pour tes cheveux, c'est une mauvaise manie que Carmen lui a donnée… Lui dit-t-il avec un sourire. Et il ne dort que dans mes bras, une autre mauvaise manie !
En disant cela, il prit son fils et commença à le bercer.
- Dors, lui chuchota-t-il en déposant un baiser sur son front.
Draco rit. Comme si l'enfant aller l'é...
- Putain ! S'exclama-t-il faisant sursauter les deux autres qui le dévisagèrent.
Gabriel s'était endormit sur le ventre de son père. Harry comprit et rigola doucement.
- Je vous l'avais dit ! Puis il se tourna vers la jeune femme. Merci beaucoup, je reviendrais, demain, si tu me le permets. Je te payerais…
Elle lui fit un sourire éclatant.
- Reviens quand tu veux, et allaité un enfant, ça n'a pas de prix ! Draco !
- Oui ?
- Tes... hum... informations… Dit-elle avec un sourire un coin.
Draco hocha la tête. Harry les regarda, intrigué puis il haussa les épaules, rabattit son manteau et salua Maëlisse. Puis il sortit, il avait hâte de sortir de ce gouffre. Au moment où il allait transplaner, le blond le rappela.
- Qu'est-ce qu'il y a, Draco? Demanda- t-il poliment.
- Tu ne me le diras pas, n'est-ce pas ?
- De quoi ?
Draco ignora la question.
- C'est... c'est à cause de lui qui tu t'enfuis ?
Harry sourit en baissant les yeux vers le bébé.
- Non !
- Quoi ! Mais pourtant…
- Gabriel n'est pas la cause de ma fuite !
Il se retourna vers lui et ses yeux verts plongèrent dans ceux gris de son ex rival et son sourire s'élargit.
- C'est ma raison ! Au revoir, Draco.
Et il transplana laissant un Draco estomaqué…
