Voila ma story avec du TVD et Justin Bieber. Je ne sais pas si vous l'avez déjà remarqué mais je trouve que Paul ressemble à Justin, au plutôt Justin ressemble à Paul alors l'idée d'écrire une fiction où Paul et Justin serait de la même famille mets venu ainsi. Dedans ils sont juste père et fils, car par la suite, ça serra plus logique.


1.

Je sortis de ma maison après avoir quitté ma mère. Il était l'heure pour moi d'aller au lycée et de retrouver mes amis. Je montai dans ma voiture, la démarrai et allai au lycée. Je trouvai une place, me garai et sortis de ma Chevrolet Spark rouge. Devant l'entrée du lycée, se trouvaient mes amis, April et Matt. April était ma meilleure amie depuis le jardin d'enfant et Matt... Je le connaissais depuis peu de temps. Il était arrivé à San Francisco depuis maintenant trois ans. J'étais la première fille à être allé le voir car je le trouvais mignon et je voulais apprendre à le connaître. C'était un très bon ami, avec qui j'aimais bien rire et m'amuser, voir de temps en temps un match de Basket disons qu'avec lui, tous les trucs de fille que je pouvais faire, je faisais tout l'inverse avec lui. Et ça me permettait de me changer les idées.

Matt était quelqu'un de gentil, attentionné, drôle, charmeur et quelqu'un de physiquement beau : les cheveux blonds et un corps bien musclé en même temps, il faisait partit de l'équipe de football. Il était vraiment mignon et s'il me demandait de sortir avec lui, je dirais oui sans hésiter.

April, quant à elle, était quelqu'un qui se souciait vraiment de ses amis, qui faisait du shopping rarement, et adorait ses parents. Elle ne faisait pas partie des Pom-pom girl comme moi, elle était plutôt à ne pas se mettre en avant mais pourtant, vouloir être la reine de la promo la faisait rêver. C'est vrai qu'une belle robe rouge la rendrait vraiment très belle avec ses cheveux bruns et son beau sourire.

Lorsque je fus à leur hauteur, je les pris dans mes bras l'un après l'autre, ayant le sourire par le fait de les voir de nouveau. Ils me rendaient toujours heureuse, à chaque fois que je les voyais ou que j'allais mal. Aller au lycée était principalement pour le fait de voir mes amis (mais aussi pour voir M. Fitz, mon professeur de littérature). « Hé ! Becky ! Comment vas-tu aujourd'hui ? Me demanda Matt avec le sourire aux lèvres.

−Très bien, merci et vous ?

−Bien aussi, me répondirent-ils. » La sonnerie retentit pour annoncer le début d'une nouvelle journée de cours.

A mon cours de littérature, M. Fitz nous faisait étudier une œuvre de Benjamin Franklin. Le cours devrait m'ennuyer mais étrangement, la voix de M. Fitz me faisait l'effet inverse. Sa voix était si magnifique qu'il en était impossible de s'endormir. Mais je n'écoutais pas du tout le cours, tout ce que je pouvais savoir était qu'on parlait de Benjamin Franklin.

A la cafétéria, j'avais mangé comme à mon habitude avec April, l'équipe des Pom-pom girl et celle de football. On parlait de tout et de rien. Avec April on parlait de M. Fitz, avec les filles, on parlait de vêtements et de stars et avec Matt, on parlait football. Je ne pouvais pas dire que le football était mon sport préféré, c'était définitivement le basket, mais le football était tout de même le sport préféré de tous les américains. Je n'arriverai pas à en jouer, pas avec mon tout petit corps, mais je connaissais les règles par cœur et le nom des plus grandes équipes. Ce genre de choses, voir un match à la télé ou en vrai, je ne pourrais jamais le faire avec mon père, beaucoup trop occupé par son travail, alors je le faisais avec joie avec Matt. Et puis, je riais tout le temps avec lui.

En fin de journée, j'avais mon entraînement de Cheerleader, dont j'étais la capitaine. C'était pour cela que j'étais populaire dans ce lycée. Matt l'était également pour son football américain. On pourrait presque dire qu'on était fait l'un pour l'autre.

Il y avait cette attirance physique, elle avait toujours été là depuis que je le connaissais, pourtant, on ne s'était jamais dit ce que l'on ressentait l'un pour l'autre. Cela se voyait que je lui plaisais car ses regards jaloux qu'il lançait à M. Fitz en cours ou aux garçons que je fréquentais, montraient tout. Mais j'ignorais s'il savait qu'il me plaisait.

L'entraînement se finit et je pus enfin rentrer chez moi après avoir quitté mes amis. A vrai dire, je n'avais pas envie de rentrer chez moi. J'aimais ma mère, ce n'était pas le problème, j'avais la belle vie également. Ce qui m'embêtait était mon père et son maudit travail. J'avais conscience que sans ce travail, je n'aurais pas cette magnifique et trop grande maison alors que nous n'étions que trois, ou plutôt deux avec mon père qui n'était jamais là. Peut-être que si mon père ne pensait pas qu'à l'argent et à son travail, il consacrerait plus de temps à sa famille. Ma mère souffrait également de ses absences et c'était souvent la conséquence de leurs nombreuses disputes. Malgré tout, ils s'aimaient et cela se voyait.

Lorsque je rentrai chez moi, j'avais remarqué qu'il y avait une voiture, garée devant la maison, qui m'était inconnue. Je décidai d'appeler ma mère à travers la villa mais il n'y avait aucune réponse. Pourtant, ma mère ne travaillait pas ce jour là. Mon père, quant à lui, était encore au travail. J'allai dans le salon et la première chose que je vis fût ma mère bâillonnée et attachée sur le canapé et un homme cagoulé derrière ma mère et un homme près de l'entrée du salon, pas loin de l'endroit où j'étais. « On attendait plus que toi, fit l'homme qui était derrière ma mère. » Je sentis que l'on m'avait attachée et qu'on me bâillonna. Malheureusement, je ne pus rien faire. On fit relever ma mère qui était assise sur le canapé, je lui lançai un regard de soutien, après tout, on était dans le même bateau, puis les deux hommes nous firent sortir dehors pour aller dans cette fameuse voiture que je ne connaissais pas.

Le trajet en voiture avant qu'elle ne s'arrête, dura à peu près trente minutes. L'heure était affichée sur le tableau de bord. Malgré le fait que l'on était dans la voiture, les deux hommes n'avaient pas retiré leur cagoule. Je pus reconnaitre que nous étions dans un port et cela avait pu se confirmer lorsque les hommes nous firent descendre de la voiture. Il y avait de nombreux bateaux, mais je n'étais jamais venue ici et pourtant, j'étais déjà allée de nombreuses fois au port de San Francisco avec Matt. D'ailleurs, j'eu une pensée pour lui et pour April, j'avais la sensation de ne plus jamais les revoir. Mais j'avais leur visage, leurs sourires dans mes pensées.

Les deux hommes nous firent monter dans un bateau, grand, plutôt un Yacht je dirais. On nous fit entrer dans une cabine et assoir sur un canapé. Les hommes vinrent s'asseoir en face de nous après que l'un d'eux ait fermé la porte. Ensuite, ils enlevèrent leur cagoule et je pus voir que l'un d'entre eux était âgé un peu près du même âge que mon père et l'autre devait sûrement avoir mon âge.

Je ne comprenais pas pourquoi on s'était faite enlever, aussi facilement et sans que personne ne nous vit. Et puis, qui étaient-ils ? Je ne les avais jamais vu de ma vie et voilà que du jour au lendemain, ils apparaissaient sans savoir pourquoi. Etait-ce en rapport avec le travail de mon père ? Où était-ce tout simplement lui ? Mais qu'avait-il fait alors ? A vrai dire, j'ignorais toutes ses réponses car je ne savais déjà pas moi-même ce que faisais mon propre père alors s'il avait des problèmes, il ne fallait même pas rêver pour que je le sache.

Entre les agresseurs et nous, il y avait un table basse, la salle était en faite un salon avec un mini bar et un mini cuisine dans un coin de la pièce. « Voulez-vous quelque chose à boire ? Nous demanda le plus vieux qui partit vers la cuisine sans attendre notre réponse. » A vrai dire, on ne pouvait pas parler alors qu'on était bâillonnées. « Pa' elles ne peuvent pas te répondre, tu les as bâillonnées. » Faux ! C'est toi qui m'as bâillonnée. « Ah oui c'est vrai. Enlève-leur les morceaux de tissus. » Le plus jeune obéit. L'autre homme nous avait rapporté les vers d'eau cependant, ma mère et moi n'y touchâmes pas. « Ça vous fera du bien, reprit le plus vieux. Je sais que vous êtes mortes de peur, alors prenez le verre d'eau et ça ira beaucoup mieux. » Mais nous y touchâmes toujours pas. « C'était qu'un conseil. Tant pis, on vous emmène dans votre chambre. » On dut se lever. Nous fîmes une mini visite du bateau passant par un couloir et arrivâmes dans une chambre, grande et spacieuse, lumineuse en plus de cela, avec de très belles couleurs. Il y avait deux lits, juxtaposés, des tables de nuit de part et d'autre des lits.

« Vous êtes sûres de ne pas vouloir d'eau ? Ou du chocolat peut-être ? Insista le plus vieux. » Mais notre silence répondit à sa question. « Tant pis » Les deux hommes quittèrent la chambre, nous laissant ma mère et moi. Je partis m'asseoir sur l'un des lits, ne comprenant toujours pas ce qu'il se passait et je me demandais si ce n'était pas un rêve. « Maman, qu'est-ce qu'il se passe ? Demandai-je effrayée.

−On s'est faite enlever, mais j'ignore pourquoi. Ils ne me l'ont pas mentionné. » Bien, on était enfermée dans un bateau, qui n'avait pas encore démarré. Je regardai mon portable et vis que je n'avais pas de réseau, bien évidemment. En plus de cela, j'ignorais où l'on pouvait être. Une ville à côté de San Francisco.

Ma mère vint s'asseoir à côté de moi, sur le lit, et me prit dans ses bras, pour se consoler et ne pas craquer. Me connaissant, j'aurais été capable de crier, mais leur regard haineux, ne me donnait pas envie de le faire.

Alors qu'on venait à peine de se calmer, la porte se rouvrit, faisant place aux deux hommes. « Elena, viens avec moi, ordonna le plus vieux à ma mère. » Comment connaissait-il son prénom ? Ma mère dût se lever, hésitante, et partit avec lui de la chambre. Cependant, le plus jeune entra dans celle-ci et s'assit sur un fauteuil en face du lit. « Je sais que tu as peur, mais on ne te fera aucun mal, ou du moins, moi je ne t'en ferai pas. A part si tu essayes de fuir si tu le fais, je serai contraint de te tuer, m'avait-il expliqué de façon très calme, je n'avais pas l'impression que c'était une menace, peut-être voulait-il que j'ai confiance en lui ? Je m'appelle Justin. Et l'autre homme qui a pris ta mère, mon père s'appelle Stefan.

−Que va-t-il lui faire ? Lui demandai-je ayant peur pour ma mère.

−Je n'en sais rien. Il n'a pas voulu me le dire. » Il avait dit cela avec sincérité, il ne savait vraiment pas et j'avais vraiment peur qu'il lui arrive quelque chose. Malheureusement, je ne pus retenir mes larmes face à tous les scénarios que je me faisais dans la tête. « Oh non Rebecka, ne pleure pas ! Me fit Justin en venant me prendre dans ses bras. » Je pus sentir son parfum et il avait une très bonne odeur, meilleure que celle de Matt. Sur le coup, je ne pus comprendre pourquoi je m'étais mise à comparer Matt à Justin. Pourtant, ils n'étaient pas du tout pareils. Matt était blond et musclé, alors que Justin était châtain et peu mais assez musclé.

Doucement, je commençais à me calmer, mes mains étaient toujours accrochées à son T-shirt, mais ce n'était pas pour autant que je m'étais séparée de lui qui, ne m'avait pas lâchée. J'avais eu l'habitude d'être dans les bras de Matt quand quelque chose n'allait pas bien à la maison, et j'avais toujours trouvé que ses bras étaient réconfortants et calmants. Mais cette fois, dans ceux de Justin, le fait qu'il sentait bon et qu'il ne soit pas trop musclé, faisait que je trouvais ses bras mieux que ceux de Matt.

La porte s'ouvrit de nouveau, je tournai la tête vers celle-ci et vit ma mère en larmes. Je sortis rapidement des bras de Justin, ma mère entrant dans la chambre et je la pris dans mes bras. Justin sortit de la chambre avec un regard désolé. « Oh mon dieu maman, mais qu'est-ce qu'il t'a fait ? Lui demandai-je au bord de la crise de nerfs.

−Il... il m'a... il m'a violée... sanglota-t-elle » J'allais vraiment crier de colère. J'allai à la porte, tapai dessus de toutes mes forces et le traita de tous les noms. « Je te jure que si je sors d'ici, je te tuerais, tu entends fils de pute ! M'écriai-je en tapant contre la porte. » Mais soudain, la porte s'ouvrit, et je me retrouvai plaquée contre le mur par Stefan, le canon d'un pistolet braquée sur ma tête. « Ferme ta gueule ! Essaye pour voir maintenant ! » Me dit-il. Je ne pus rien dire, tellement j'étais tétanisée. On me disait souvent : « courageuse mais pas téméraire » Ils avaient bien raison. « Enlève ton flingue de la tête de ma fille ! Ordonna ma mère à Stefan.

−Ou sinon quoi ? Fit-il en tournant sa tête vers ma mère. » Celle-ci se tenait debout, le regard remplit de colère qu'elle me faisait quand je rentrais tard et que je ne l'avais pas prévenue ou quand je lui désobéissais. J'avais souvent très peur de ce regard et je comprendrai à présent Stefan s'il l'était.

Il baissa son arme de ma tête et je pus voir qu'il n'avait plus ce regard de colère qu'il avait pris en pointant son arme sur ma tête. Je crois que je n'arriverais pas à le comprendre, il avait violé ma mère et pourtant il avait un regard attendrissant en vers elle. « Vous devriez vous reposer, nous conseilla-t-il. Demain est une autre journée. » Ensuite, il quitta la chambre, nous enfermant à clé.

J'allais dans mon lit, de même que ma mère et essayai de fermer les yeux. On pouvait sentir le bateau bouger, il avançait. Mais il était impossible pour moi de trouver le sommeil. « Maman, l'appelai-je en chuchotant.

−Oui mon cœur ?

−Je n'arrive pas à dormir.

−Viens avec moi. » J'allai la rejoindre dans son lit, me glissai dans ses bras. Elle se mit à me chantonner doucement une chanson qu'elle me chantait quand j'étais petite lorsque je n'arrivais pas à dormir. La chansonnette m'avait toujours calmée et j'ignorai pourquoi. Seulement quelque minute après, je pus dormir.