NOWËL

Auteur : Angelscythe

Genre : Courte histoire un peu comique

Disclaimers : Tous les personnages appartiennent à J.K Rowling

Note : Cadeau pour Bernie Calling et défi de sa part, aussi. Ça casse vraiment pas trois pattes à une mésange mais tadaaam.


Noël approchait et Ron avait passé des jours et des jours à chercher le cadeau parfait pour sa sœur par alliance. Ces derniers jours, il n'avait cessé de l'entendre parler de la même chose. Encore et encore. Il avait passé des heures à chercher. Il avait beaucoup transplané et il l'avait enfin trouver !

Aucun doute que même Billy serait jaloux.

Pas qu'il veuille quoi que ce soit, bien sûr. Il aimait Hermione ! Mais il ne refuserait pas non plus de recevoir un baiser sur la joue de la part de la belle Fleur Delacour Weasley.

Il attendait avec impatience qu'elle ouvre son cadeau de Noël.

Bon, il avait aussi adoré dévoré tous les petits fours qu'elle avait préparé, goûter au vin, même si ça ne valait pas la Bierraubeurre.

Les cadeaux s'ouvraient petit à petit, les emballages tombaient sur le sol et les rubans avec. Bien sûr, Pattenrond, et les enfants en bas-âges, jouaient avec leurs préférant de loin ça à tout autre cadeaux. Ils s'en moquaient des balais téléguidés qui flottaient à cinquante centimètres du sol, des châteaux faussement hanté, des poupées magiques et de toutes les surprises fascinantes moldues. Seuls comptaient les emballages.

Arriva enfin son paquet. Celui qu'il avait pris tellement de temps à trouver.

Fleur ouvrit prudemment le paquet et découvrit un CD de Nolwenn Leroy.

- Oh ? Merci ! Je serai contente de l'écouter.

Et c'était tout.

Ron se serait attendu à vraiment beaucoup plus que ça.

- Tu n'es pas plus contente ?

- Je ne connais pas, je te dirais quand j'aurais écouté ça.

- Tu… ne connais pas ? Mais tu parlais tout le temps de Nolwenn ! Protesta Ron.

- Noël. Rit-elle. C'est comme ça qu'on dit « Christmas » en français ! J'avais hâte de fêter Noël !

Ron devint rouge et ses taches de rousseur ressortirent d'autant plus. Et dire qu'il avait fait tellement d'effort pour rien.

Tout le monde riait.

À ses dépend.

Merde. Merde. Merde.

Mais, au moins, il avait rendu tout le monde heureux.