Auteur : Akesta
Titre : Devil Death
Origine : Devil May Cray
Rating : M
Disclamer : Ben pour l'instant j'ai pas réussi à les voler donc pas à moi !
Situation : Ca se passe avant DMC quand les deux frères sont encore ensemble.
Petit mot : Yo ! C'est ma première fic donc j'espère qu'elle vous plaira et puis une petite review histoire de savoir si je recommence ou pas ... merci d'avance !
Je tiens compte des jeux vidéo (évidemment) mais aussi des animes (mais que ceux qui ne les ont pas vue rassurent je n'ai repris que Morrison et quelques mauvaises habitudes de Dante).
Sinon je rappelle ! Ceci est une fic YAOI LEMON !! Donc les homophobes, les mineurs et les chastes DEHORS !!
Bonne lecture !
Une journée comme les autres
« Dante !
- Ouais ?
- Dis-moi !
- Quoi ? Accouche Vergil ! J'ai pas toute la nuit ! On a du job ce soir j'te rappelle !
- Que font TES affaires sur MA couche ?
- Ah ça ... et bien tu sais qu'en s'moment ma chambre est...
- Je le sais bien ! Mais que fait ce tas que je ne qualifierais même pas d'affaire sale sur ma couche ?
- Ben... je squatte !
- Retire IMMEDIATEMENT ces choses de mon lit !
- T'as dit lit ? Ola ! J'retire ! Voilà ! Content ?
- Et va dormir ailleurs Dante ! Ma chambre n'est pas un refuge pour des frères idiots et malpolis en détresse !
- Dis donc Vergil, quand ta chambre a été en travaux qui t'as accueilli ?
- ... Le canapé si mes souvenirs sont exacte !
- ... Heu ... T'es sûr ?
- Sûr et certain ! Tu m'avais jeté comme un malpropre de ta chambre, si j'ose appeler cela ainsi !
- Quoi malpropre ?
- Non, ce capharnaüm qui te servais et te resserviras de chambre dans un mois ou deux !
- Et merde ! Que faire...
- Rien a part déposer tes affaires sur le canapé en bas et venir me rejoindre prêt de la voiture que JE conduirais !
- Et pourquoi ça ?
- Dois-je te rappelé la partie de carte que nous avons fait il y a à peine une heure pour savoir qui aurais le droit de la conduire ?
- Non ! J'arrive ! Enfoiré !
- Que dis-tu ?
- Rien ! On ira acheter une pizza après ? Allez ! S'teup !
- ... Dépêches-toi Dante ! Nous devons y être dans 10 minutes !
- Okay ! »
Dante s'exécuta devant l'empressement de son frère à partir. Il avait beau dire, Vergil adorait se battre. Dante jeta plus qu'il posa ses affaires dans le salon et les affaires tombèrent comme par miracle éparpillé sur un canapé rouge vif. Il se retourna ensuite vers son épée fétiche et dit :
« Let's rock ! »
Avant de la prendre et de se précipité vers la sortie pour ne pas faire trop patienter son frère dont ce n'était pas sa plus grande qualité... :
« Tu en as mis du temps !
- J'ai fait le plus vite pourtant !
- Tu as pris les clefs ?
- J'croyais qu'tu les prenais !
- ... J'en conclu que non ! Je vais les chercher mais tu expliqueras à Morrison-san le pourquoi de notre retard !
- D'ac ! J'dirais qu'tu as encore mis une heure à t'débattre avec ta tonne de gel !
- Si jamais tu dis cela, je te tue Dante !
- J'croyais qu'tu voulais faire vite !
- ... »
Fut la seule réponse que reçut Dante ainsi qu'un coup d'épée qu'il esquiva. Il connaissait trop son frère pour se faire avoir comme ça ! Vergil alla chercher les clefs dans leur agence et revint 2 secondes et 10 centièmes après. Une journée comme les autres pour les deux démons en somme. Comme il y en avait déjà eu et comme il y en aura encore. Ils se mirent ensuite en route vers la croix indiqué sur le plan de la ville. Leur mission était simple : exorciser une maison où Morrison avait décelé un démon puissant. Pile dans les cordes de nos jeunes mi-démons mi-humains.
Dante et Vergil étaient âgées de 16 ans chacun et cela faisait déjà deux ans qu'ils avaient monté l'agence « Devil Death ». Leur jeunesse avait surpris au début mais ils s'étaient vite fait un nom dans le métier d'exorcisme, surtout ceux mettant en jeu des démons puissants où ils étaient devenus des maîtres en à peine 6 mois. Ils avaient rencontrés Morrison à peine 2 semaines après avoir ouvert leur agence et leur avait proposé de devenir leur intermédiaire, ce qu'ils avaient acceptés immédiatement. Dante avait une épée de taille imposante qu'il transportait dans un étui à guitare pour éviter des problèmes ainsi qu'un flingue qu'il cachait sous son manteau rouge. Vergil quant à lui avait un sabre de samurai qu'il cachait dans un paquet faisant croire à un valet de peintre et un pistolet caché sous sa veste bleu. Ses deux épées provenaient de leur père, le légendaire Sparda.
Ils arrivèrent devant une maison imposante ou un homme d'une trentaine d'année les attendait. Ce dernier leur fit signe en hurlant :
« Vous êtes en retard !
- Désolé Morrison ! Vergil m'a fait une crise parce que j'ai voulu l'squatter !
- La prochaine fois tu me demanderas la permission AVANT de t'installer dans MA couche Dante !
- Mais j'dors où moi ?
- Sur le canapé ! Comment ai-je fais moi ?
- Mais ...
- Débrouilles-toi !
- Ta chambre est en travaux Dante ? Demanda Morrison pour calmer le jeu.
- Ouais ! Et j'me retrouve sans chambre et mon démoniaque de frère refuse de m'laisser squatter la sienne !
- Je me dois de te rappeler que tu m'avais fais exactement la même chose lorsque la mienne fut aussi en travaux ?
- 'Tin !
- Du calme vous deux ! Tenta le plus vieux. Je vous rappelle qu'il y a là-dedans un démon puissant que vous devez déloger SANS détruire la maison ! Je te trouverais une solution de remplacement Dante. Mais vous avez un travail à effectuer !
- C'est vrai ! Merci Morrison !
- ... Dépêchons-nous Dante ! Plus vite nous aurons fini, plus vite nous saurons ce que Morrison-san veut faire pour que tu arrêtes de me casser les oreilles constamment ! »
Et Vergil entra sans plus de cérémonie dans la bâtisse. Dante le suivit de prêt en lançant un « À tout de suite » et s'engouffra lui aussi dans la maison. Elle était sur deux étages et un luxueux escalier central laissant rêveur. Vergil l'attendait au milieu de la pièce finement décoré et dit :
« Rappelle-moi de demander aux propriétaires de cette bâtisse ou ils se fournissent en petite statuette.
- Tu veux un truc aussi hideux ?
- Cette chose ? Je te rassure tout de suite, non. Je regardais plutôt cette poupée en fine porcelaine.
- On a pas les moyens pour un truc comme ça Vergil !
- Cela est bien dommage ! J'aurais tant aimé...
- Il est ou ce démon alors ?
- Je ne sais pas !
- Tu crois qu'il veut jouer à cache-cache ?
- Dante !
- Oui ?
- Tu es lourd !
- C'est pas vrai ! J'pèse autant que toi ! Sauf si tu insinues toi-même que t'es gros !
- ... »
Et un autre coup évité de justesse par Dante. Ce dernier adorait faire enrager son frère. Mais leur relation on toujours été comme ça après tout !
Vergil était calme et posé. Il s'instruisait beaucoup et avait un faible pour le chocolat, même s'il tentait de le cacher. Dante était son opposé. Survolté et impulsif ! Il adorait par dessus tout la pizza et les Sunday à la fraise et le montrait constamment. Eux-mêmes se posaient souvent la question de comment deux frères jumeaux pouvaient être si différent mais ils oubliaient vite cette question en voyant leur reflet s'approcher.
Dante continuait de faire enrager son reflet et ce dernier ne marchait plus, il courait ! Vergil ne supportait pas les âneries incessantes de son frère et tentait de le calmer à sa manière, mais ça ne marchait pas vraiment et était plutôt au goût de Dante. Et ça énervait Vergil encore plus que son reflet se foute de lui ! Il lui dit après que Dante est fait une acrobatie pour éviter le sabre :
« Dante ! JE VOUDRAIS POUVOIR AVOIR UN PEU DE CALME SI POSSIBLE !!
- C'est toi qui tente de m'découper en morceau depuis t'à l'heure, pas moi !
- Parce que je voudrais que TU RESTES CALME DEUX MINUTES ! SERAIT-CE TROP TE DEMANDER ?
- Oui !
- ... Je vis un cauchemar !
- Et non ! On est bien dans la vie réelle ! La preu...
- NON ! Si jamais tu me pinces, JE TE TUE SUR PLACE COMPRIS ?
- T'es pas marrant !
- Je vais finir par craquer ! »
Dante allait sortir une réplique quand un bruit se fit entendre d'en haut. A force de se chamailler, le démon avait fini par les repérer et il venait directement vers eux. Un large sourire se dessina sur le visage de Dante tandis que Vergil soupira pour le principe et dit :
« Voilà ! Maintenant nous voilà repéré avec tes âneries !
- QUOI ? C'EST PAS MOI QUI A HURLÉ COMME UN BEAU DIABLE !
- Tu as fait exprès de me faire enrager ! Avoue-le !
- Sûrement pas ! Tu t'es énervé tout seul comme un grand !
- Bonjours jeunes hommes ! Dit une voix derrière eux. Que font deux adorables adolescents dans cette magnifique maison ? »
Dante et Vergil s'arrêtèrent pour voir leur interlocuteur. C'était un homme qui avait environs 25 ans, cheveux noir de jais en arrière et du genre beau cu, belle gueule. Ses yeux bleus les regardaient avec une drôle d'étincelle et passait de l'un à l'autre comme s'il n'arrivait pas à choisir entre les deux frères. Dante et Vergil se demandèrent deux minutes à quoi il jouait ce mec et ce fut une fois n'est pas coutume, Dante qui lâcha en premier :
« Ben pour pas mentir, on est v'nu ici parce qu'il parait qu'il y a un méga démon ici et on voudrait trop l'rencontrer grave ! Hein Vergil ?
- C'est exactement cela ! Nous sommes venus pour voir le grand démon qui se cloître dans ces murs ! Le connaitriez-vous ?
- Tout dépend pourquoi vous le cherchez, mes agneaux ! Répondit simplement l'homme mystérieux.
- C'est pour... commença Dante.
- Lui présenter nos hommages et voir à quoi ressemble un démon en réalité. Coupa Vergil sentant la bévue de son frère. N'est-ce pas Dante ?
- Dante et Vergil ? Remarqua amusé le beau ténébreux. Ne serait-ce pas le nom de deux auteurs de poème sur les Enfer ?
- Ben faut croire ! Répondit simplement Dante commençant à s'impatienté sérieusement. Mais on parle et on a toujours pas vu s'démon ! On veut l'voir merde !
- Dante ! Surveille ton langage veux-tu ? Ce démon en question est peut-être cet homme !
- Quel différence ? Il bouffe, bois et dors comme moi alors où est la différence ?
- Dante !
- Ben quoi ? C'est vrai !
- Voyons calmez-vous mes agneaux. Répliqua l'homme amusé du remue-ménage des deux frères. Si vous tenez à rencontrer ce démon, ne le cherchez plus ! Il est devant vous !
- Sérieux ? Demanda Dante. Vous dîtes pas ça pour l'fun !
- Excusez-moi mon impolitesse de vous demander cela, mais pourriez-vous nous montrer une preuve. Après tout, nous ne vous connaissons point monsieur...
- Appelez-moi Zelfir mes agneaux ! Et pour preuve de mon appartenance au monde infernal, regardez plutôt ceci ! »
Et devant les deux frères, Zelfir se transforma en une créature démoniaque en riant à gorge déployé. Mais il s'arrêta net en voyant le sourire gigantesque des jumeaux et ne compris leurs réelles intentions qu'à ce moment là
! Il s'était fait avoir par deux morveux ! Dante sortie son épée Rébellion de son étui et Vergil se mit en position de combat avec son sabre Yamamoto en main. Dante sortit le premier :
« Merci d'ton aide ! On arrivait pas à savoir si t'était un mec d'passage ou un crétin de démon !
- Mais nous voilà rassuré ! Nous sommes bel et bien tombés sur le démon qui hante ces murs !
- Bande de sale...
- Tu vois ! Lui aussi est pas polie !
- Cela suffit Dante ! Concentrons-nous sur le combat ! Morrison-san veut que nous rendions la maison entière alors soyons gentil avec ce pauvre démon ! »
Ils attaquèrent ensemble le démon qui s'énerva et fit jaillir des éclairs de son corps pour empêcher nos chasseurs de l'approcher ! Mais il sut que ce stratagème était futile face à eux quand il sentit Rébellion entrer dans sa chair. Le démon rugit de douleur et se mit à tituber avant de renverser la petite table ou se trouvait la poupée en porcelaine que Vergil regardait avec attention il y a peu. Dante la récupéra avant qu'elle ne se casse et la reposa sur le buffet avant de sortir son flingue Ebony et de tirer sur le démon en train de se débattre. Vergil quant à lui avait tranché la chair du démon en plusieurs endroits tactiques pour que le combat soit bref. Mais il dut se mettre à couvert quand une balle lui effleura la joue. Il comprit que Dante voulais en finir et sortit Ivy de son étui. Il alla ensuite le rejoindre et en un regard entendu, ils se mirent dos à dos, Ivy au-dessus d'Ebony en formant une équerre et lancèrent leur ultime réplique :
« Jackpot »
Avant de tirer et que les deux balles aille se loger dans la poitrine du démon qui mourut instantanément dans un râle de rage et de douleur. Le démon s'effondra et se transforma en poussière. Leur travail était achevé. Ils rejoignirent Morrison dehors qui leur demanda :
« Alors ?
- ... Sans grand intérêt !
- Même pas tenu dix minutes !
- Oh ! Mais bon ! Au moins la maison est intacte et vous allez bien, c'est l'essentiel !
- Aurait-il fallu pour nous blesser que ce démon nous touche !
- Ouais ! Ça fait son intéressant et c'est super faible ! Non mais j'vous jure !
- Bien ! Bien ! Vergil ! J'aurais deux mots à te dire en privé ! »
Surpris de la demande de Morrison, Vergil le suivit tandis que Dante allait dans le cabriolet pour mettre de la musique à fond en attendant. Quand ils furent assez loin des oreilles indiscrètes, Morrison demanda :
« Pourquoi tu ne veux pas que Dante vienne dans ta chambre ?
- Premièrement parce qu'il m'a refusé cette doléance et deuxièmement parce que je ne veux pas qu'il transforme ma chambre en un dépotoir !
- C'est bizarre ! Mais si j'ai bonne mémoire, il t'avait accueillit dans sa chambre !
- J'ai dormi sur le canapé Morrison-san ! Cet animal a catégoriquement refusé de partager sa chambre ! Pourquoi devrais-je accepter ?
- Vergil ! Tu es bien content que ton frère soit là non ?
- Alors cède ! Si toi tu peux dormir sur un canapé, lui non !
- Nous sommes jumeaux ! Si j'ai réussi à le faire, pourquoi pas lui ?
- C'est vrai ! Mais tu es le premier à dire que vous êtes différent ! La preuve en est vos caractères opposés ! Et puis ça ferait plaisir à ton frère ! Il pourrait passer un peu plus de temps avec toi.
- Nous sommes toute la journée ensemble ! Cela nous suffit !
- Vergil ! De toute façon il t'emmerdera tant qu'il n'aura pas obtenu satisfaction et vous n'avez pas les moyens de vous payer un hôtel pendant les travaux ! Alors vous devez faire avec !
- ... Pourquoi ce serait toujours à moi de faire un effort Morrison-san ? Il n'en fait jamais !
- C'est ce que tu crois vraiment ? Moi je n'en suis pas aussi sûr que toi !
- ... Que voulez-vous dire ?
- C'est vrai qu'il te fait enrager, mais tu te souviens le jour où un démon vous a attaqués par derrière et que tu as été blessé ?
- Oui ! Mais est-ce bien utile de me rappel...
- Et tu te souviens que tu es resté 2 semaines au lit pour récupérer !
- Oui ! Mais je ne vois pas le...
- Qui s'est occupé de toi pendant tout ce temps ?
- ... Dante ! Mais quel est le rapport avec son comportement ?
- Simple ! Il veut que tu le regardes et tous les moyens sont bons pour ça !
- ... Que je le regarde ?
- Et oui ! C'est vrai que ton comportement froid et distant doit le faire souffrir alors il se dispute avec toi pour au moins que tu t'occupes de lui.
- ... Vous le pensez vraiment ?
- J'en suis même sûr ! Alors montre-lui que toi aussi tu l'aimes et que tu le vois, même si tu ne le montre pas !
- ... D'accord ! Je vais le prendre dans ma couche le temps des travaux !
- Va lui dire ! Il en sera content ! Et voilà votre paye !
- Ils ont payés d'avance ? Avec notre réputation ?
- Et oui ! J'ai été aussi surpris mais ils devaient vraiment en avoir marre ! »
Morrison tendit une enveloppe à Vergil qui la pris et la mis dans la poche intérieure de sa veste. Ce dernier partit en direction de la voiture et se mit du côté conducteur. Dante lui demanda :
« Qu'est-ce qu'il te voulait Morrison ?
- Il voulait s'entretenir avec moi pour les dettes que nous devons rembourser mais avec cette mission, nous pourrons en rembourser la moitié !
- Vrai ?
- Oui ! Une chance ! Les banques commençaient à s'impatienter !
- Pour fêter ça, on va manger à...
- ...Au restaurant congolais !
- Mais...
- Tu manges constamment des pizzas Dante ! Un peu de changement te fera du bien !
- ... Du changement hein ?
- Oui Dante !
- Alors on va manger au resto Japonais !
- ... Mais...
- Tu passes tout les jours d'vant et j'sais qu'tu t'y arrête pour acheter toujours un p'tit truc à emporter !
- ... Tu m'as suivi ?
- Ben j'me demandais pourquoi tu mangeais presque pas l'soir ! Alors j'me suis dit que tu d'vais avoir une copine qui t'faisais à manger et qu'tu bouffais avant d'venir ! Mais j'ai été surpris d'voir que c'était ça !
- ...Tu m'as espionné ! Traître ! Et tu te dis frère ! Je te retiens ! Et tu aurais pu me le demander ! Je te l'aurais dit !
- Pas sûr ! Tu n'm'avais pas dit pour Solange ! Et j'te l'avais demandé !
- ... Je suis d'accord pour aller au Japonais !
- Tu évites le problème !
- Absolument pas ! Mais le Japonais est juste à côté alors nous devons nous décider maintenant !
- Mouais ! Mouais ! Bon ! On y va à ce Japonais ? »
Vergil gara la voiture et sortit avec sa classe habituelle. Dante lui sortie comme à son habitude en claquant la porte ce qui lui valu un regard noir de son frère. Ils allèrent ensuite dans le restaurant et passèrent une bonne soirée. Vergil avait pour le coup demandé une petite bouteille de saké mais cela leur suffit pour les rendre plus joyeux qu'à l'accoutumé. C'est donc guilleret qu'ils se rendirent à l'agence. Dante récupéra ses affaires sur le canapé et les mirent dans un coin de la chambre à Dante pour que ce dernier n'est pas l'impression qu'il l'envahisse.
La chambre de Vergil était plutôt simple. Un futon pour deux personnes, une petite armoire, une table basse et quatre coussins moelleux autour et fond un bureau avec une chaise ainsi que des étagèrent où était parfaitement rangé des affaires de cour. Vergil commença à se déshabiller devant son frère qui en fit de même de son côté.
Mais l'alcool n'aidant pas, ce dernier se cassa la gueule par terre en voulant retirer son pantalon et Vergil ria sous cape. Il aida son jumeau à se relever et lui dit :
« Alors on ne tient plus sur ses pieds Dante ?
- C'est ta faute ! Tu sais que j'bois pas d'alcool fort ! Et tu m'as fait boire 5 verres d'ton truc !
- C'est du saké et je n'ai pas souvenance d'une quelconque obligation !
- Tu les as servis !
- Á ta demande !
- GRRRRRRRRR !
- Je te taquine Dante !
- GRR quant même !
- Mauvais joueur !
- Et alors ! J't'emmerde pas là moi !!
- Tu sous-entends que tu as le droit de m'énerver mais pas moi ?
- Parfaitement !
- Tu vas voir frère ingrat !
- J'attends ! »
Et voilà que Vergil saute sur Dante et commence à chatouiller son reflet au point stratégique. Dante ne se laissa pas faire et commença aussi à le chatouiller. Les deux hommes n'avaient plus que leur boxer et se chatouillait partout où ils pouvaient. Dante réussi à allonger Vergil sur le lit et continua à chatouiller jusqu'à ce que son frère le supplie d'arrêter ce qui n'arrivait jamais car son reflet était trop fier pour supplier quelqu'un. Mais quand il sentit que son jumeau n'arrivait vraiment plus à respirer, il s'arrêta. Vergil repris son souffle et dit :
« Tu as gagné la manche Dante, mais pas la guerre ! Tu verras la prochaine fois je... »
Et Vergil s'arrêta en plein milieu de sa phrase car Dante venait de l'embrasser. Il n'analysa la situation que quelques secondes après et tenta de repousser Dante mais ce dernier était attaché à lui et ne voulait pas le lâcher. Dante était vierge par rapport à son frère mais il y avait une bonne raison à ça. Dante voulait que ça soit son frère qui le dépucèle et personne d'autre. Parce qu'il aimait peut être plus que de raison son frère. Vergil fini par répondre à son baiser et de l'entourer dans ses bras. Ce dernier avait mainte et mainte fois rêvé cette situation sans jamais la concrétiser et son jumeau semblait savoir ce qu'il faisait et fini pas le mettre sur le dos pour l'embrasser sur tout le corps. Si le saké faisait tant d'effet à Dante, il lui en donnerait plus souvent. Il descendit en déposant des baisers papillons et s'attaqua rapidement au petite boule de chaire qu'il s'amusa à léchouiller ce qui eu pour effet d'arracher des frissons à son reflet qui avait fermé les yeux pour mieux ressentir les bienfaits de ces soins. Le téton se durcit assez vite mais il s'amusa encore avec et fini par laisser à son frère un magnifique suçon dessus. Ça l'obligera à porter un vêtement descend pour une fois ! Il migra vers le sud et s'amusa sur le nombril pendant un bon moment faisant languir Dante commençait à gémir d'impatience devant la lenteur de son frère jumeau, mais Vergil avait bien l'intention d'en profiter au maximum et décida de remonter s'attaquer à la deuxième bille de chaire de son frère qui lui dit entre deux gémissements :
« Arrête de ... d'me ... torturer ... enfoirer ... de ... d'frère !
- Je fais ce que je veux Dante ! Et puis si tu n'es pas content, je peux arrêter !
- NON !
- Eh bien Dante ! Tu m'avais caché cela ! Alors en faite tu attendais que je vienne te prendre ?
- ... Vergil ! ... Va en ...
- Et dire que je croyais que si tu n'avais pas de petite amie, c'était à cause de tes manières !
- Salaud ... Dépêches-toi ... J'en peux plus ... »
C'est avec un sourire carnassier que Vergil lui répondit avant de descendre vers l'entre-jambe de Dante et de souffler sur le membre durcie de son reflet à travers le tissus. Encore un râle de frustration de son frère qui fit sourire le plus vieux. Il se mit à mordiller la chaire tendre et retira enfin le pauvre boxer qui allait craquer tellement il était tendu. Il commença à parsemer de baiser-papillon le sexe de Dante ce qui arracha des gémissements de plaisir à ce dernier qui n'en pouvait plus. Il s'intéressa ensuite aux bourses qu'il suçota langoureusement ce qui fit s'arquer sa moitié dont les gémissements s'étaient transformés en râle rauque et plus ou moins audible. Il fini néanmoins par le prendre à pleine bouche et à le sucer de façon langoureuse et sensuelle. Dante lui était déjà perdu depuis longtemps dans les limbes du plaisir et semblait ne pas vouloir redescendre sur Terre. Il tenta un mouvement du bassin pour que son frère accélère la lente cadence mais ce dernier le retint et continua d'imposer le rythme qu'il avait choisi. Vergil voulait quelque chose et il savait que son reflet lui donnerait satisfaction d'ici peu. Il continua encore la douce torture pendant un moment avant d'entendre son frère dire :
« Je ... Ha ! ... t'en ... Ha ! ... Supplie ! ... HA ! Vergil ! ... Plus ... Ha ! ... Vite ... »
Dante sentit son frère accélérer enfin la cadence et se jura de se venger pour l'avoir obligé à le supplier mais il oublia sa promesse quand il sentit qu'il arrivait au point culminant. Il hurla plus qu'il dit :
« Je ... Je vais ... Ej ... »
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'il éjacula et son frère bu le liquide de vie avec envie et une pointe d'amusement devant la candeur de son frère sur ses choses. Il revint l'embrasser après avoir bien nettoyé l'entre-jambe de son reflet et lui demanda :
« Cela t'a plus ?
- Qu'est-ce qu'tu crois ?
- Que tu as adoré vu comment tu as hurlé !
- ... J'en ai marre qu'tu lises comme ça en moi !
- Cela est faux ! Sinon tu ne serais plus vierge depuis longtemps !
- ... C'est vrai ? Et moi qui croyais qu'tu voulais pas d'moi parce qu'on était frère !
- Quelle idée ! Sache que je fantasme sur toi depuis que j'ai découvert ce qu'était les rapports sexuelles.
- Tu fantasmes sur moi ? Vrai ?
- Si je te le dis !
- ... Je ...
- Tu sais que tu es vraiment craquant quand tu rougis ?
- Hey ! J'suis pas un animal de compagnie !
- ... Puis-je au moins savoir comment tu en es arrivé à cette idée farfelue ?
- T'as dit craquant !
- ... Si cela te chante !
- Dit Vergil ...
- Oui ?
- ... Tu ... Tu ... tu pourrais ...
- Te prendre ?
- ... Ouais !
- J'attendais que tu me le demandes ! »
Et Vergil suça deux de ses doigts de façon langoureuse tout en faisant quelques déhanchés évocateur qui renvoya en moins de deux Dante dans les limbes de plaisir, recommençant à gémir. Il sentit son reflet lécher ses fesses avant de lécher l'intérieur de façon approfondie. Il gémit de plus belle devant autant de sensations nouvelles mais existantes. Il sentit ensuite à regret la langue de son frère se retirer mais quand il sentit le doigt de son reflet le pénétrer, ce fut une toute autre musique. Ça lui faisait mal. Il hurla sous le coup mais Vergil le calma en l'embrassant et en lui disant que c'était les débuts, que c'était normal et qu'il fallait qu'il se détende ! Plus facile à dire qu'à faire ! Mais il finit par se détendre et effectivement la douleur disparut. C'est à ce moment là que son jumeau mit un autre doigt réveillant la douleur. Mais il avait pris le coup et attendit que ça se calme. Son frère fit ensuite des mouvements pour bien le préparer et les retira enfin. Dante appréhenda la suite, quand son frère allait le faire sien. Lui aussi avait rêvé de ce moment des millions de fois. Mais aujourd'hui, il avait peur que ses rêves soient au-dessus de la réalité et qu'il soit déçut mais toutes ses craintes s'évanouirent quand Vergil le pénétra lentement. La douleur revint quelques secondes avant que le plaisir revienne au gallot et son reflet ne mit pas longtemps avant d'accélérer l'allure ce qui envoya les deux frères au septième ciel. Finalement, c'est la réalité qui dépassa le fantasme et l'envie de Dante remonta mais Vergil le pris vite en main et le massa à la même allure que ses coups de buttoir. Plus le moment de la délivrance approchait, plus Vergil allait vite et plus Dante hurlait de plaisir et au moment ou les deux frères s'unirent le plus jeune hurla « JE T'AIME » avant de s'effondrer sur le matelas suivit de prêt par son frère qui reprenait son souffle. Ils s'endormirent comme ça sans même prendre la peine d'aller chercher la couette au bout du lit mais il se tenait chaud.
Le lendemain, Morrison passa à l'agence pour voir comment était passé la première nuit de cohabitation entre les deux frères. Il fut surpris de voir l'agence fermé à neuf heures et encore plus de ne pas voir Vergil lui souhaiter le bonjour quand il entra. Mais que se passait-il ici ? Il se dirigea vers la chambre de Vergil ayant peur pour les deux frères et ouvrit la porte... qu'il referma immédiatement. Et dire qu'il croyait que la première soirée se passerait mal... Il mit une pancarte devant la porte marquant que l'agence serait fermé pour la journée et il partit en laissant son sac remplie de petite douceur matinal sur la table.
Deux heures plus tard, Vergil se réveilla et sourit en voyant son frère encore endormi. Il s'habilla, descendit et fut surpris de voir la pancarte retournée et un sac de viennoiserie rempli. Il se demanda qui avait bien put passer et ce qu'il avait vu. Mais il le saura plus tard. Vu l'heure, il décida de réveiller Dante et remonta. Ce dernier dormait à poings fermés et le secouer comme un prunier ne le réveilla point. Il s'énerva et le secoua encore plus fort. Mais rien n'y fit ! Dante jouait à imiter la marmotte et il l'a faisait très bien ! Vergil allait abandonner quand soudain une idée malfaisante germa dans son esprit. Si son reflet ne voulait pas se réveiller, et bien il allait utiliser les grand moyens. Il alla chercher un seau d'eau glacé pour lui en faire offrande. Ce dernier en le recevant sur la tête sursauta et hurla quand il eut repéré l'auteur, hilare, de cette mauvaise blague :
« VERGIL ! ESPÈCE D'ENFOIRER ! TU VAS VOIR SI J'T'ATTRAPPE !!
- Désolé ! Je n'ai point su résister à la tentation !
- TU VAS VOIR FAUX-FRÈRE !! »
Et voilà un Dante tout réveillé qui pour une fois, court après un Vergil plié en quatre s'amusant à l'énerver pour le plaisir que son reflet ne voit plus que lui. Une journée comme les autres à l'agence du « Devil Death », comme il y en a déjà eu et comme il y en aura encore.
(Happy) End
Alors ? Résultat ? Je recommence ou j'arrête le massacre de suite ? Pour ça qu'un moyen ! Review !!
