Bonjour les amis !

Au vu des gentilles reviews que j'ai reçu sur ma première publication, j'ai décidé de partager avec vous ce petit poème écrit avec...amour et tristesse ! J'espère qu'il sera à la hauteur de vos attentes ! =)

J'aimerais remercier ici les personnes qui ont laissé des commentaires sur mon OS "Une Nuit Foudroyante": S-10, Lucas, Deepblue, Snowfea, Sir Alamane de Navarre, et le Guest. Merci à vous rien ne peut me faire plus plaisir ! J'espère que vous passerez ici et que vous apprécierez ce texte ! =3 (Deepblue: je ne me voyais pas faire une suite à l'histoire, mais après tout pourquoi pas faire un petit OS pour écrire une suite ? Si tu as des idées, fais-moi signe.)

Bonne lecture !


Ce poème a été écrit avec certaines contraintes: 6 quatrains d'alexandrins, les deux des extrémités avec des rimes croisées, et ceux du milieux avec des rimes suivies, les adjectifs pour désigner quelque chose de blanc se trouvent au milieu du vers, et ceux pour le noir au début. Ensuite je m'étais donnée un certain nombre de champs lexicaux à placer. (euh...guerre, anatomie, ciel, plage, hôpital, mort, sieste...je sais plus xD vous verrez xD) Voilà !

Disclaimer: je ne possède rien, si ce n'est l'idée et le poème.

A Lucas

Car ce poème fut écrit grâce à toi.


Dans Les Bras de Morphée

Enlacés tous deux dans un berceau de lumière,
Éclatante, comme les beaux soleils d'aurore,
Leurs formes opalines ayant appris à se taire,
Ils cachent de leurs voiles blancs le froid de la mort.

Noirs, les cils du soldat ne bougent pas encore,
Des fils d'or s'enroulant sur son front nu alors,
Imposante carrure halée et court sur pied,
L'océan de ses prunelles rêve de paix.

S'enroule sur sa peau la pâle main voisine
Du plus grand, qui dort lové contre sa poitrine.
Brunes sont les boucles qui estompent l'amer,
Un sillon humide sur le sable de mer.

Obscure perte, le chagrin l'a consumé
Quand le blondinet doucement a succombé,
Militaire plongé dans le rouge vermeille,
Entre ses bras à l'épais brouillard du sommeil.

Ses mains de lunes drapées dans le lit mouillé,
Ses lèvres lentement il a donc embrassées,
Avant de s'allonger dans le brancard souillé,
Retrouvant son amant dans les bras de Morphée.

Et le calme de cette silencieuse sieste,
Brisé chaque seconde par un cors de guerre,
Plus jamais ne sera dérangé par un geste,
Si ce n'est les doigts blancs les emportant sous terre.

Parce que tout ça n'était qu'une sieste, n'est-ce pas ?

Bon... et bien...j'espère que vous avez apprécié ce petit bout de truc Johnlock un peu déprimant, et que vous avez saisi et le message, et la connasse que je suis derrière tout ça :3 !

Merci encore !

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The Nymph'Nagisa.

PS: il y a toujours des résumés des fanfictions Sherlock que je n'ai pas encore posté sur mon profil, dans la rubrique MES FANFICTIONS. Si vous voulez jeter un coup d'oeil, me dire ce que vous en pensez... n'hésitez pas ! =D