Les personnages, Draco et Harry, sont à la grande et merveilleuse JK Rowling que je vénère.
OS qui pourrait évoluer en two shot selon vos avis.
HP/DM
Cher Harry,
En ces premier jours de printemps, je pense à toi, à moi, à se qui fait de ces deux mots un nous. Il y a cette alchimie si particulière qui nous réunit. Je l'avoue quand notre histoire à commencer je ne pensais qu'à une seule et unique chose : te faire souffrir. Je voulais que tu m'aimes, je voulais que tu me désires comme tu n'as jamais désirer personne. Je voulais être le centre de ton monde, l'un de tes piliers pour que lorsque que tu rendras compte que je me jouais de toi, tu ne sois plus qu'une loque... un corps sans vie. Je voulais tellement de chose et j'avais le plan parfait. Lentement je me suis approché de toi, jusqu'à me lier d'amitié avec toi et tes précieux amis. J'ai joué à merveille le rôle du confident, quand tu allais mal je me débrouillais toujours pour te remonter le morale. Souvent je voyais que tu te posais des questions mais tu m'as fait confiance. Puis peu à peu j'ai fait de même, je t'ai confié mes peurs, mes rêves, mes espoirs. Je t'ai montré qui j'étais réellement. Et se qui devait arriver arriva tu m'as embrassé et tu as commencé à t'attacher à moi mais je n'aurai jamais pensé que je m'attacherai aussi à toi, que je crèverai d'envie pour toi que j'aurai envie de te faire l'amour dans les endroit les plus fou à n'importe quelle seconde de la journée . Oui mon fabuleux plan s'est retourné contre moi. Et petit à petit, tu as découvert mon plan. Puis contre tout attente tu as commencé à te jouer de moi. Je le sens, je le sais mais je continue à rester près de toi car je suis dépendent de tes mains, de ta bouche, du regards que tu poses sur moi quand je me dévêtu . Je continuais à me voiler la face en me disant que j'allais réussir à reprendre le jeu en mains. Je me berçais d'illusion je ne voulais pas voir la vérité en face. Mais aujourd'hui, aujourd'hui tout vient de déraper je t'ai vu avec CETTE fille. Alors je t'écris cette lettre que tu ne montrera surement pas à ta pouf, ni à personne. Car ce nous dont je parlais au début à toujours exister à l'abris des regards. Je ne ferait plus semblant d'être ton ami, je ne serais plus rien pour toi.
Je ne t'aime pas, je te désire.
D.M
