DISCLAIMER: TOUS LES PERSONNAGES APPARTIENNENT STEPHENIE MEYER.
Prologue :
J'observais ainsi les gens autour de moi certains criaient, certains pleuraient, et tous avaient une expression d'horreur. Moi, Bella Swan, 21 ans n'avais pas peur de la mort. Alors qu'une lumière aveuglante se rapprochait de plus en plus de moi, je n'étais capable de penser qu'à une unique chose. Toi et seulement toi, mon amour. Alors que nous venions de nous trouver, nous étions obligés de nous séparer de nouveau. Ce n'est pas grave mon bébé, observe l'océan et surtout n'oublies pas, Je t'aime.
« Zut, je me suis encore blessée », pensais-je alors que j'observais une nouvelle égratignure sur mon avant-bras. J'étais définitivement la personne la moins douée sur cette planète. J'en profitais pour observer mon teint pâle, mes cheveux ternes et mes yeux qui étaient tout sauf extraordinaires. Je soupirais puis me détournais du miroir. Aujourd'hui est un nouveau jour ! Grâce à une merveilleuse agence internet, j'avais réussi à décrocher un travail de fille au pair dans une famille aux Etats-Unis, plus précisément à New-York. C'était génial car j'allais enfin pouvoir avoir un aperçu de la grosse pomme. Cela faisait du bien de pouvoir passer trois mois pour moi-même, car les trois dernières années ou j'avais dû me concentrer sur mes études de médecine avaient étés rudes. Je me dirigeais vers ma chambre, pris mes maigres affaires et descendis dans le salon. Là-bas, Charlie, mon père m'attendait. Je détestais devoir l'appeler « papa ». Cela vient sans doute du fait qu'ayant été séparée de lui très jeune, j'avais perdu cette habitude. En effet, mes parents n'étaient pas restés mariés très longtemps, et, quand Renée s'est remariée avec Phil, j'ai décidé de leur laisser un peu d'intimité et de me rapprocher quelque peu de mon père. Ce dernier au contraire de ma mère n'était pas bavard nous n'avions pas besoin de mots pour nous comprendre. Je lui ressemblais beaucoup. Renée elle était exubérante et tête en l'air mais bon, elle était adorable malgré sa curiosité maladive.
Charlie se dandinait d'un pied sur l'autre, gêné.
« Bon, tu es prête ? Dit-il d'un ton bourru. »
Alors que j'acquiesçais, il prit ma valise et la mit dans le coffre puis nous nous dirigeâmes vers l'aéroport international de Seattle. Forks allait quand me manquer même si c'était un trou perdu au milieu de l'état de Washington.
Après des adieux maladroits avec Charlie, j'étais prête pour cette nouvelle aventure.
Note auteur: Bon, je sais que ce prologue est assez court, mais je vous promets que mon premier chapitre sera BEAUCOUP plus long. Je le posterais d'ici 2-3 jours. En attendant, dîtes moi ce que vous en pensez, rewiewez ! Bon weekend de la Pentecôte !