Hero Of War
« Œil Pour Œil et tout le monde finira aveugle. » Gandhi.
Je m'appelle Steve, Steve Dulon, je suis un américain, de 33 ans, j'ai vécu ce qu'il y a de pire au monde : la guerre.J'avait seulement 26 ans quand j'ai été enrôlé par l'armée américaine, je vais vous raconter, chaque détail, de cette horrible aventure.
I/ L'enrôlement
Personne ne se lève en se disant, que ce serait peut être la dernière journée paisible ? Moi, j'étais loin de m'imaginer tout se qui se passerait ce 23 avril. Je me réveillais de bonne humeur, avec la hâte de retrouver ma famille ainsi que ma copine, Aléna ( une magnifique châtain clair, au yeux marron, avec un sourire ravageur et un corps de déesse ), je ne pris pas de petit déjeuner, je me disais, que ma mère m'aurait concocté un super repas bien consistant pour rattraper ce les 11h30, je prit le chemin en direction de chez ma mère, toute ma famille était déjà là (petite précision, le dimanche, toute la famille se réunissait pour une journée ensemble, quand je dis toute la famille, c'est ma sœur, mon beau-frère, mes petits frères, mes cousines et leur copains). Nous mangeâmes tous ensemble le repas que ma mère avait concocté, l'après midi se passa normalement, dans la joie et la bonne humeur quand soudain, on toqua à la porte .. Ma mère se leva pour aller ouvrir, quand elle ouvrit, elle vit un officier gradé.
-C'est pour quoi ? Demanda ma mère
-Mes hommages madame Dulon. Je cherche un certain Steve.
-Steve ? Pourquoi donc ?
-Puis-je rentrer ?Il rentra, salua ma famille, s'excusa, et s'approcha de moi :
-Steve Dulon ?
-Euh .. Oui, c'est bien moi. Qu'y a-t-il ?
Il me prit par l'épaule, et m'emmena dans un coin de la maison.C'est alors qu'il dit :
-Fiston, as tu vu le monde ?
-Euh..Non.
-Eh bien, que dirais tu si je te disais que tu peux. Porte juste cette arme, tu seras même payé.
Je pris mon temps pour réfléchir, tout se bousculait dans ma tête .. Je voulais rendre ma famille fière de moi ! Je voulais, devenir un héros pour l'Amérique, un héros de la guerre .. Au bout de 5 min. de réflexion je lui dis :
-Ouais, ça m'a l'air pas mal.
Aussitôt dit, j'eus juste le temps de dire au revoir à ma famille, d'embrasser Aléna, que j'étais déjà en direction du camps d'entraînement.
