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Jamais je n'avais voulu devenir comme lui, comme eux. Lorsque je suis tombé enceinte, j'ai tout de suite aimé notre bébé. Mais pas Edward, il voulait le tuer. Il m'avait alors expliqué que si je gardais cet enfant, si j'accouchais de celui ci, alors je mourrais. Je lui avais alors répondu " Alors laisses moi mourrir, Edward. Je veux cet enfant. Je veux le porter, le mettre au monde. Même si cela me tue." Edward c'était mit dans une colère noire. Il avait hurlé, frappait les murs de ses mains puissantes. Il me faisait peur pour la première fois.

Lorsque Rosalie avait avancé l'idée de me transformer à la naissance du bébé, j'avais refuser. Je ne voulais pas de la vie éternelle. Edward m'avait alors supplié de faire un choix censé. Je lui avais dit que le mien l'étais. Je mettrai au monde, mon enfant, notre enfant, et si je le dois, y laisserai ma vie.

Edward était alors partit s'enfermer dans sa chambre. Je m'étais levé et avait jouer People Help The People de Birdy sur le piano au rez de chaussé, je l'avais chanté. Mon dieu, cela me fit un bien fou. Emmett m'avait regardé un grand sourire aux lèvres, et m'avait complimenté. Je l'avais alors serré dans mes bras, et lui avait dit combien j'aimais cette famille. Il avait resserré ses bras autrour de moi encore un peu plus fort, puis Alice se joignit a nous, ainsi que tous les Cullen. Tous, sauf Edward. Sauf mon époux.

Lorsque j'étais partie me coucher, il avait ouvert la porte de sa chambre, était sortit et m'avait embrassé comme jamais. Il m'avait murmuré un "Je t'aime", et m'avait accompagné a mon lit. Cette nuit là ne fut pas comme les autres. J'avais hurlé, j'avais mal. Le bébé allait naître. Edward me suppliais de garder les yeux ouverts, mais c'était plus fort que moi, je les avais fermés. Et soudain un cri, un pleurs. " Renesmée" avait chuchoté Edward, je regardais mon enfant, ma fille, et lâcha un dernier soupir. Une dernière respiration. Deux grandes mains appuyaient sur ma poitrine, j'avais alors réussis a murmmurer " Je t'aime Renesmée, et Edward tu es bien meilleur que tu ne le crois". Et se fut là, mes dernières paroles.

"L'amour est une fumée formée des vapeurs de soupirs." William Shakespeare.