Titre : Homonculus
Auteur : Devil's Nest (eh oui, c'est encore moi hahaha !)
Personnages : Des persos morts qui reviennent... devinez héhé :)
Rating : K+
Paring : Pas de yaoi, ça je peux vous l'assurer ! xD
Disclaimer : Les sept péchés capitaux et les morts de fma ne m'appartiennent pas, par contre, même si d'autres avaient eu l'idée pour des fanarts, les morts devenus homonculus sont à moi ! x3
Résumé : Ils sont morts et ils reviennent remplacer les autres... Mais il y en a certains qu'on aurait pas voulu revoir...

.o0 Chapitre 1 : Maes et Greed 0o.
.0o..o0.

Noir.

Tout n'était que noir depuis cette satanée nuit.

Du noir et des yeux. Des petits êtres.

La mort n'est pas joyeuse.

Il repense à sa famille, avec une petite douleur au niveau du cœur.

Cœur qui ne battait plus depuis cette satanée nuit…

Et puis, soudain, il se sent tiré vers un autre endroit. Il se laisse faire. De toute façon, il est déjà mort.

Et il vit ce qu'il ne s'attendait plus jamais à voir.

La lumière.

Et il tomba à genoux, terrassé par la douleur.

La douleur parcourut tout son corps et sembla se déplacer vers un point précis.

Sa main gauche. Et sur cette main gauche, il y avait un symbole.

L'ouroboros.

L'homme se leva et regarda autour de lui. Il était dans une grande rue. Il faisait nuit noire. Seuls les lampadaires apportaient un peu de lumière.

Son regard s'attarda sur la vitrine d'un magasin. Il se regarda.

Il était vêtu de vêtements de cuir, des bottes à la veste. La veste était sans manche et sans col. Il portait des sortes de bracelets de cuir aux poignets.

Il avait le visage d'un homme d'une trentaine d'années. Ses cheveux noirs étaient plaqués en arrière mais une mèche rebelle lui tombait sur le front. Ses yeux étaient violets et il portait de petites lunettes carrées.

Et son torse était dur comme le diamant.

Il sourit à son reflet, offrant la vue d'une rangée de dents pointues.

Le soleil commençait à se lever…

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Le jeune colonel soupira.

- Signer des papiers toute la journée, c'est pas une vie.

- Colonel, le réprimanda son lieutenant.

- Ouais, j'vais le faire…

- Vous avez intérêt.

Bizarrement, il s'activa plus efficacement au son du cran de sûreté d'un revolver que l'on enlève… Et cela fut, une fois de plus, très efficace. Il fini de signer toute la paperasse en dix minutes.

- Vous voyez, quand vous voulez.

L'homme soupira.

- Hawkeye, je vais faire un tour en ville. Ça m'a épuisé.

- Mais bien sûr. N'oubliez pas les fleurs, colonel.

- Non. Je n'oublierai pas.

Riza Hawkeye regarda par la fenêtre son colonel acheter des fleurs et se diriger vers le cimetière. Elle soupira et prit sa veste avant de passer chez le fleuriste.

C'était l'anniversaire de mort de Maes Hughes et plusieurs militaires se retrouvèrent devant la tombe de leur ancien camarade.

Et il y avait aussi Gracia et Elysia.

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Roy Mustang jeta sa veste sur le portemanteau et se débarrassa de ses chaussures avant de s'affaler dans le canapé.

Un éclair tomba. Un orage d'été.

Il ferma les yeux. Lorsqu'il les rouvrit, il les cligna plusieurs fois. Il devait rêver. Ce devait être une hallucination, ce n'était pas possible, il ne pouvait pas…

- Hé, Roy ! Pas content de me revoir ?

- M… Maes ?

L'homme qui faisait face au colonel se retourna.

- Qui ?

- Mais… Ce n'est pas possible, tu… tu es mort !

- Oui, et alors ?

Roy se passa la main sur le visage. Il devait rêver, ce n'était pas possible…

- Tu les mets où, les bouteilles ? J'ai soif…

L'instant d'après, l'Alchimiste de Flamme buvait un verre d'alcool en compagnie d'un homme censé être mort, qui lui buvait tout le contenu de la bouteille.

- Maes… C'est vraiment toi ?

L'homme fronça les sourcils.

- Mais qui est Maes ?

Le colonel se leva et sortit une vielle photo d'un tiroir. Il y avait deux militaires côte à côte, l'un riant, l'autre essayant d'adopter un air sérieux.

- Eh, c'est toi et moi, non ?

- Oui. Et toi, tu es Maes Hughes.

Roy montra son vieil ami du doigt et l'autre éclata de rire avant de dire, d'une voix que l'alchimiste ne lui avait jamais devinée :

- Non. Moi je m'appelle Greed. Passe-moi une autre bouteille. J'ai soif.

Et c'est lorsque « Maes » tendit la main vers le colonel, attendant une bouteille, que l'humain comprit. Il avait face à lui un homonculus. Ce n'était pas Maes.

Mais ça y ressemblai beaucoup.

Chapitre 2 dans pas longtemps :)