ACTE I : La Recherche
The Dream
Le lendemain matin, Ron, après avoir baisé Lavande, va voir Harry, sa baguette à la main. Harry s'étire langoureusement, avant de se prendre une putain de déflagration, dans le fion.
Après avoir ramassé son bras gauche, il va pour se brosser les dents, seulement Ron l'attend dans la salle de bain, sa quéquette à la place de la brosse. Harry, fatigué, et plus ouvert que d'habitude, ne va pas se brosser les dents, et sort de la piscine avec son chien Patto, pataud, le chien italien, qui par définition, encule tout le monde.
Il paraît préférable, pour le lecteur, de faire une pause dans le déroulement de cette histoire palpitante, pour lui expliquer la situation et le déroulement des précédents événements :
Albus Dumbledore est un gay pédophile. Il se sert de sa barbe pour se torcher le cul (entre autres).
MacGo est une pétasse écossaise qui, de longues années durant, en a pris pour sa rondelle, la faute à son clan. C'est une fétichiste des carreaux cousus sur laine de mouton.
Pattenrond est un connard (c'est un chat, donc par définition un être veule qui mange, dort, boit, fume, délaisse sa femme – Dobby – et ses enfants – au nombre de cinquante-deux).
Peeves légifère sur la question sociale de la France du XIXe siècle avec Albus Dumbledore tous les samedis, de vingt-trois heures à une heure du matin, devant Canal.
Ces petites précisions stipulées, revenons-en à nos moutons (écossais et cadrillés).
Harry sort de la piscine avec son chien Patto ( saviez-vous qu'il était italien ?).
Il dormait.
Il a rêvé de Ron et de sa baguette déflagratoire (celle de Draco devient un tuyau d'arrosage).
Il ne dort plus : il est éveillé.
Il trouve son rêve dégueulasse.
Il aurait préféré que ce soit Hermione, Andromaque ou Hector (leurs copains de Gryffondor).
Il aurait bien voulu lui faire des trucs dégoûtants, à l'Hermione (ou à l'hermine), mais elle est gouine. Comment faire ?
Soudain : l'idée ! Demandons à Albus !
Il va le voir.
Sc.2
Bureau d'Albus. Harry pénètre par l'arrière, entre Fumsek et le bureau. Entre Albus.
DUMBY : Mais que fais-tu ici … (en apparté) Oh my god, he's gorgeous ! (se retournant vers Harry)… mon jeune ami ?
HARRY : J'veux d'venir une meuf ; Hermione est gouine.
DUMBY : Faudra payer sous la table si tu veux que je te transforme…
HARRY : Ok, mais il n'y a qu'un bureau.
DUMBY : Ca fera l'affaire.
Ils vont sous la table le bureau.
HARRY : Ca fera combien ?
DUMBY : Cinq mornilles et une pipe d'écume.
HARRY : Une pipe, ok , mais sans l'écume. Je te la donne demain.
DUMBY : Mais tu seras une fille ; ça m'intéresse pas.
HARRY : Bon, ben j'te donnerai un fume cigarette à la place.
DUMBY : Ok.
[NB: ce dialogue est complètement con…]
Chapitre 3
Harry sort du bureau de Dumbledore les seins et les hanches enflées, la virilité diminuée. C'est une femme, et elle est bonne.
Dans les toilettes, elle croise Hermione. Hermione la trouve bonne, aussi.
- Tu t'appelles comment ? lui demande-t-elle.
- Bah, Harry (qu'il est con ce Harry).
- Ah, j'ai un ami qui s'appelle Harry. Qu'il est con celui-là. Et qu'il est moche (elle a pas les mêmes goûts que Dumbledore).
- Mais moi, demande Harry, je suis bonne ?
- Ben ouais, pétasse. Tu m'fais bander ; je suis Hermione-phrodite.
- J'te crois pas. J'ai déjà touché : tu mens.
- Bon, d'accord. N'empêche que t'es bonne.
Un temps. Hermione demande :
- T'as lu le dernier article de Herald Tribune sur …
- Ta gueule. On baise ?
- Ok, c'est par où ?
- Contre le mur en relevant les fesses ; j'ai un concombre.
Elle s'exécute, comme une conne. Sa tête tombe.
The Funeral
Starring
Harry Potter as Himself
Severus Snape as The Preacher
Hermione Granger as The Body
Albus Dumbledore as The Bride
Ronald Weasley as The Dick
Le prêtre, Severus Rogue, parle :
- C'est un événement tragique qui bouscule le monde de la sorcellerie aujourd'hui. Hermione est morte. Elle était gouine. Mais il faut aller de l'avant. Toujours de l'avant…
Tout à coup, la cérémonie est interrompue brusquement. Le couvercle du cercueil glisse sur le côté (et le bruit qu'il fait en tombant par terre – prout – est couvert par le cri suraigu d'Albus, la mariée) et Hermione en sort, la tête sur les épaules. Elle se dresse, en équilibre sur le bord du cercueil, et déclame :
- I will surviive! Ne croyez pas tout ce que vous lisez. Je me suis exécutée, mais je ne suis pas morte. Je me suis faite prendre, mais pas faite emportée. C'était un jeu de mot. J'ai failli en mourir de rire, mais je suis vivante. Et gouine. Et je vais me PACSer avec Harry.
La grande orgue se met à jouer, et Harry, après avoir dépossédé Dumbledore de son attirail de mariée, rejoint Hermione à l'autel. Le prêtre, un peu étonné par la tournure que sont en train de prendre les événements, continue :se re
- Comme l'a dit Godric Gryffondor à Salazar Serpentard durant leur nuit de noce : "Quand faut y aller, faut y aller…"; et c'est ce que vont faire nos deux heureux élus : Hermione ici présente – entre parenthèses qui est gouine – et Harry ici présent – entre parenthèses pas le con moche – vont aujourd'hui s'unir devant Dieu, ici présent, qui est lesbienne, lui aussi. C'est une affaire de gouines. Dieu, voulez-vous prendre pour mari (ou femme) Hermione, gouinesquement présente ?
Dieu répond, de sa belle voix de basse :
- Oui, je le veux.
- Cool, repart le prêtre-à porter. Il se tourne vers la gouine :
- Hermione, vous et votre gouinerie acceptez-vous Dieu, ici présent, pour époux, ou épouse?
- Oui, je le veux.
- Okay… Then you may fuck the bride (or groom)…
- Moi, j'veux pas ! s'étrangle une voix rauque dans le fond de la salle.
Albus, en caleçon-bas résilles, s'est levé. Il se dirige d'un pas décidé vers l'autel, s'arrête à hauteur de Dieu, et fond en larmes devant lui.
- T… Tu m'as trompée !
- BondageBoy_96, c'est toi ?
- Noooooon ! Je suis BlondAGroS1, espèce de vieux dégueulasse !
- Tu n'aurais pas du t'en mêler, BlondAGroS1…
Et de sous sa toge – on ne sait pas trop d'où exactement - il sort un bazooka.
- C'est Action_Man75 qui me l'a prêté, pour ton plus grand malheur…
La rocket part, mais grâce à ses réflexes surhumains (ou à deux-cents ans de masturbation journalière) BlondAGroS1 la dévie, et la renvoie sur Dieu. Qui explose.
Il est mort.
Un cri : celui d'Hermione (c'est un gouinement).
Des parties génitales qui volent à travers le toit de l'église.
Harry qui cherche à tâter du téton (de gouine) en profitant du désarroi d'Hermione.
Une seule lutte : sauver les marsouins.
Dieu est mort.
Sc.5.
Hermione, telle une héroïne d'un musical de gouines sur Broadway, est accoudée au comptoir de la boîte gay (et gouine) La Rochefoucault. Elle sirote son soixante dix-neuvième whisky-tequila-malibu-vodka-rhum-limonade, et se languit ouvertement de son amant…
GOUINE: Ah ! Je me languis de mon amant(e) (ben oui, c'est Hermione) ! J'veux d'la baise ! Si ça continue, j'ai la vulve qui va se craqueler! (elle explose son verre sur le comptoir) Maxiiimes ! Faites votre show!
Entre une rangée de playboys, équipés moule-bite noir, queue de lapin, nœud pap', et oreilles de lapin.
TOUS (accents gays) :Salut, on est les Maximes de La Rochefoucault !
MAXIME 1 : Moi c'est Maxime-anh…
MAXIME 2 : Moi c'est Maxime-anh…
MAXIME 3 : Moi c'est Maxime-anh…
JUSTIN BIEBER : Et moi c'est Mickey !
MAXIME 2 : Naan, mais Mickey tu dégages ; tu t'es cru à Disneyland ?
HERMY : Bon, les mecs c'est de la merde : Mickey t'es mignonne mais tu viens ici et tu lèches (elle est gouine).
Un temps.
JUSTIN BIEBER (MICKEY) (entre les jambes glabres et gouines d'Hermione) :J'aurais préféré chocolat, fraise-vanille c'est pas mon parfum préféré…
GOUINE: Eh ! Y'a pas marqué Gelatto !
Entre, pataud, Patto.
PATTO : Ouaff !
Sort Patto…
MICKEY (se pourléchant les lèvres) : Dis, Herm', tu pourrais pas aller récupérer les couilles de Dieu pour manger tes glaces ? Moi j'en ai marre ; j'ai jamais le droit à mon chocolat …
GOUINE : Mickey ta gueule : tu pues et t'es moche, et même pour lécher t'es pas top. T'es pire qu'Harry.
Entre Harry.
HARRY : Ouaff !
Sort Harry, loin.
HERMY (Grangeresquement Gouine) : Mais... Je devrais aller chercher les couilles de Dieu , ça pourrait le faire revenir à la vie …
Détour !
Harry, toute virilité retrouvée, sort à nouveau du bureau de Dumbledore (alias BlondAGroS1 pour les plus internautes d'entre vous).
- Bon, pense-t-il tout haut, Hermione, elle est trop gouine pour moi, faut que je trouve d'autres paires de … diverses choses à me mettre sous la main.
- Oh, salut Harry ! fait une voix fluette et modulée au fort accent chinois dans le dos du beau brun trop con, qu'est-ce que tu fais dans les toilettes des filles ?
- Aaah ? fait Harry. J'suis dans les toilettes des filles ?
- Mais que t'es con Harry ! T'as pas changé !
Elle rit made in China (ahahahahahaha). Harry se retourne vers son interlocutrice, perplexe (le Harry, pas l'interlocutrice).
- Ah, Cho, c'est toi.
C'est Cho, son ex.
- Non, c'est ta mère.
- Elle est morte, connasse.
- Oui, je sais, je sais.
- Dis-moi, Cho, reprend Harry après un temps en se rappelant sa mission (et sa bite), tu…t'as un copain ?
- Non, le dernier potable que j'ai eu, il est mort.
- Ah… Zut… T'aimes les sorbets ?
- Ca dépend … C'est toi qui payes ?
- Ca dépend … C'est toi qui lèches ?
- Ben, attends, oui. Comment tu voudrais que je le mange sinon.
Harry a décroché, perdu dans la contemplation d'un tampax dans une flaque d'eau.
- Ok, je paye.
- Let's go then.
Un Potter romantique !
Harry et Cho sont dans un bateau. Harry tombe à l'eau. Cho s'exclame :
- Oh t'es trop con, Harry, moi je reste dans le bateau.
- Vas-y Cho, fais pas ta pute, on a pas payé nos sorbets, et c'est moi qui ait le fric !
- Vite, Harry, attrape ma main !
Après leurs courtes aventures aquatiques, Harry et Cho se retrouvent à demi-nus sur la rive, une bonne partie de leurs vêtements séchant à quelques mètres de là.
- Dis, Cho, commence Harry, je sais que t'as pas terminé ta glace, tu voudrais pas une petite compensation, des fois ? Genre, euh… ma bite ?
- Non merci, je préférerais encore me taper ton clébard !
Entre Patto.
- Wwwouf ! acquiesce le quadrupède.
Il attrape Cho par la culotte et la tire dans les buissons. Suit une série de gémissements suggestifs.
- Putain, vocifère Harry, que j'ai été con d'acheter un clebs italien !
Qu'il est con ce Harry.
Les rousses, ça pue !
Harry, dépité, et tout à ses réflexions sur la condition humaine (tout particulièrement sur la condition de trou du cul qui est la sienne) percute Ginny dans un couloir. La belle rousse tombe à terre, et Harry l'aide galamment à se remettre debout et à épousseter son débardeur et sa jupe.
Pendant ce temps, dans les buissons du parc… On entend Patto :
- ! Mamma mia !
Au même moment, devant les distributeurs de sodas de la grande salle, Harry branche Ginny :
- Tu sais, euh… Tes cheveux c'est comme du feu qui brûle. Ca me consume de dedans, et j'en perds toutes mes dents…
- La vache ! module Ginny, impressionnée, ça pète.
- Ah ouais ? T'aimes ça ? Alors mate un peu !
Harry, d'un coup précis de baguette, colle les quatre tables les unes aux autres (tuant quelques premières années au passage), s'amplifie la voix, et monte sur la scène improvisée.
- Euh… J'voudrais faire un slam pour une demoiselle vachement charmante que j'ai rencontré quand j'avais la courante. Elle s'appelle Ginny, et c'est pas parce qu'elle est rousse qu'elle sent le pipi… C'est parce qu'elle a une petite vessie. Ses cheveux c'est du feu, ça m'fait dresser la queue. Ses nichons, c'est du bon comme les… euh… cornichons. Sa chatte… bah elle pue, j'pense, puisqu'elle a une petite vessie, comme j'ai dit, euh, avant… Plus haut.
Dans la Grande Salle s'est formé un attroupement de fans qui écoutent le jeune Potter en faisant la ola. Au milieu de cette marée humaine : Ginny, telle une statue de marbre rose (enfin, roux), qui pleure toutes les larmes de son corps par en bas (elle pisse, quoi).
Son regard croise celui d'Harry, et le beau brun trop con lui tend la main. Elle la prend. Ils montent sur scène. Il la prend.
Sc.9,
Entre Harry.
Sort Harry.
Entre Harry.
Sort Harry.
Entre Harry.
Sort Harry.
Entre Harry.
Sort Harry.
Entre Harry.
Sort Harry.
Entre Harry.
Sort Harry.
Entre Harry.
Sort Harry.
Entre Harry.
Entre Harry.
Entre Harry.
Entre Harry.
Jouit Harry.
Crie Ginny.
