A/N : Bonjour ! Ici est un petit fic que j'ai écrit l'année dernière et que je viens de trouver, haha. Il y a des erreurs – désolée !

Comme toujours, j'espère que vous l'aimez !

-AAG1D

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Certaines nuits, il aimait danser au-delà du vent, parfaitement ignorant du monde au-dessous de lui. Il était entièrement libre là-haut, uniquement à la merci de son seul ami. Sous la lumière de la lune, tandis que la brise glaciale volait le souffle de ses poumons et en glaçant son corps de nouveau, il pouvait oublier toutes les choses dont il ne pouvait pas souvenir, tous les détails manquants sur lesquels sa vie était fondée.

Là-haut, Jacques Frost pouvait oublier tout.

Il a secoué la tête, et une petite rafale de neige s'est délogée les cheveux,accompagnée de ses pensées. Après tout, il devenait accomplir un boulot qui ne laissait pas de temps pour les choses triviales telles que les pensées.

Un instant plus tard, et les pieds de Jacques se sont connectés à la terre blanche, ne laissant rien sauf une couche de givre sa suite. Jacques a jeté un coup d'œil autour de l'environnement inconnu. Il savait qu'il était quelque part en Russie… peut-être la région de la Sibérie ? Le paysage suggérait certainement – l'air était glacial, et le neige était la neige était profonde. Vraiment, Jacques appartenait complètement à ce paradis hivernal et…

…Et un enfant n'y appartenait pas du tout.

Les yeux de Jacques se sont écarquillés quand il a réalisé qu'il y avait un enfant devant lui.

« Hé ! » a crié Jacques, en courant vers le garçon qui ne pouvait pas avoir plus de quatre ans, la main tendue. « Pourquoi es-tu… »

Jacques a chancelé quand sa main a passé à travers le garçon.

Oh.

Ce garçon ne croisait pas à Jacques.

Cela était certainement un problème.

De près, Jacques a vu que les lèvres du petit garçon étaient bleues. L'enfant était habillé sans demanteauni debottes, et ses vêtements simples n'avaient aucune chance contre le froid.

Jacques a commencé paniquer. Le garçon paraissait mort… mais le petit bruit de sa respiration difficile disait autrement. Il vivait… mais il mourrait certainement si Jacques ne faisait rien.

« Au secours ! » Jacques a projeté la voix grâce au vent, même s'il savait au fond que ses efforts étaient en vain.

Ses cris se sont morts, sans réponse, laissant un sentiment d'angoisse. Jacques a retourné son regard au garçon.

Les yeux du petit garçon s'étaient ouverts, le givre sur ses cils étincelait sous la lumière de la lune.

La douleur dans ses yeux posait une seule question.

Jacques connaissait cette douleur. C'était une douleur qu'il entait chaque jour, qui le hantait chaque nuit. Une douleur que Jacques ne pouvait paséluder.

Mais ce garçon pourrait l'éluder.

Avec tristesse, Jacques a donné au petit garçon la seule merci qu'il pouvait lui donner il a soufflé une petite haleine sur le visage du garçon. Dans un instant, le dernier souffle est parti du garçon, tandis que son corps devenait de la glace.

Jacques savait que cette action était une merci. Il savait la douleur de geler, et c'était une douleur qu'il voulait que personne ne connaisse.

Mais cela ne facilitait pas l'action.

Jacques ne pouvait pas y rester plus longtemps. Il s'est lancé à la merci du vent à nouveau, sans regarder en arrière.

Certaines nuits, c'était meilleur de danser au-delà du le vent, parfaitement ignorant du monde au-dessous de lui.