Salut à tous et à toutes !
Voici les meilleures one-shots anglophones mettant en vedette Harry et Draco. Donc, ceux qui sont contre l'idée que Harry Potter peut avoir une relation intîme avec Draco Malfoy, PARTEZ TOUT DE SUITE !!!!!
Ils sont traduits par Gabriel (Winds) et/ou par Marianne (Waters). [Voyez- vous le superbe concept ?]
Bref, chaque chapitre sera une toute nouvelle histoire. Alors voici un message aux grands traducteurs de ce monde: NE TOUCHEZ PAS AUX ONE-SHOTS HARRY/DRACO !!!!
Ne vous inquiétez pas. On jappe beaucoup mais on ne mord pas. Mais, svp, traduisez ce que vous voulez, en autant que ça l'ait 2 chapitres ou plus !
Merci de votre compréhension !
Maintenant voici la première fic: Jusqu'à ce que la mort nous sépare [ Until death do us part ]
C'est écrit par Banancosmicgirl. C'est elle qui nous a aussi donné Time Out of Place, dont la traduction, Espace-temps décalé, avait été commencée par la grande et sublissime Jess HDH (Vous avez peut-être remarqué qu'elle est située très haute dans mon estime).
DISCLAIMER: Harry Potter ne nous a jamais appartenu, et nous appartiendra jamais. Nous ne faisons qu'utiliser les persos ainsi que le scénario de Banancosmicgirl.
Voilà ! Bonne lecture !
Jusqu'à ce que la mort nous sépare. (de Banancosmicgirl, traduit par The Winds)
** Il y avait toujours eu un risque que cela arriverait, pensa-t-il. C'était juste le fameux, « Ça ne m'arrivera pas », qui poussait toujours l'idée que n'importe quelle chose mauvaise arrivait ailleurs.
La première fois qu'il en avait entendu parler, c'était dans un magasine moldu lorsqu'il avait huit ans. Tante Petunia et Oncle Vernon avait laissé un magasine à propos de cela et Harry l'avait volé pour le lire. Dedans, il y avait un article sur le virus.
Le VIH.
Trois petites lettre qui, ensembles, épellent le mot 'mort'. Bien sûr, ils avaient été très très pointilleux à propos de ce point dans l'article, le VIH ne signifiait pas la mort immédiate. Non, ce la voulait dire faner graduellement en même temps que vos cellules T disparaissaient une à une, et que votre système immunitaire s'autodétruisait. Vous disparaîtrez, petit à petit, et votre mort sortira de sa coquille de façon ô combien non- plaisante. Ce n'était pas ce que l'article disait, mais Harry a toujours été capable de lire entre les lignes. Mais à cette époque, ce n'était qu'un article. Quelque chose qu'un jeune enfant ne retenait pas après l'avoir lu. Un article que Harry oublierait pour plusieurs années, jusqu'à ce jour. Il fixa l'extérieur par la fenêtre, regardant le couché de soleil derrière les contours de Londres. La vue était à couper le souffle; le ciel dans les tons de rouge foncé et d'orange et le soleil, aveuglant.
Il y avait un autre article dans le journal aujourd'hui.
'L'héritier Malfoy meurt d'une maladie moldue'
Il y avait une horrible ironie dans ce fait. Simplement les mots, 'Moldu' et 'Malfoy' - ils sont incompatibles. Il ne devrait jamais avoir une phrase ayant ces deux mots. Il devrait y avoir un règlement pour cela, interdisant au cas où cela arriverait encore.
Lucius Malfoy s'était probablement retourné dans sa tombe lorsque le journal fut publié.
Harry sentit un froid en lui. Sans Draco Malfoy à ses côtés, il était vide; une moitié de lui était... manquante. Morte.
Ils ne furent jamais amis, non, jamais. Ils n'aurait jamais pu être n'importe quoi d'aussi platonique. Il y avait de la passion dans leur relation qu'il n'avait jamais capable d'expliquer. Au début, c'était une haine furieuse, les pires combats verbaux que Poudlard, École de Magie et Sorcellerie avait eu. Ils s'étaient profondément méprisés l'un l'autre. Ils n'ont jamais été capables de s'en aller d'une bagarre, spécialement Malfoy.
Quand Malfoy l'avait embrassé pour la première fois, cette passion s'est transformée. Quelque chose de différent, oui, mais d'aussi furieux. Il y avait eu beaucoup problèmes bien-sûr Voldemort, Lucius, les amis d'Harry, les Serpentards, le monde, pour ne nommer que ceux là- mais ils ne baissèrent jamais les bras.
À leur mariage, ils ont dit, « Jusqu'à ce que la mort nous sépare », cependant, Harry ne comprit jamais le sens de ces mots jusqu'à hier. Draco a été diagnostiqué séropositif cinq ans auparavant. Harry avait demandé le divorce lorsqu'il l'avait découvert, car cela voulait dire que Draco avait été infidèle. Harry n'a jamais regardé quelqu'un d'autre- mais là encore, il avait toujours été le plus naïf des deux. Draco était cynique et astucieux, un Serpentard jusqu'au coeur, comme il avait toujours aimé dire. Néanmoins, il n'y avait rien d'astucieux à propos de sa 'mauvaise man?uvre, comme l'avait-il nommé. Après une dispute- ils en avaient beaucoup- il était sorti, avait bu jusqu'au point à en devenir ivre, et s'était retrouvé au lit avec le mauvais gars.
Et ce gars portait le virus, infectant l'amant d'Harry.
C'était Harry qui avait forcé Draco d'aller voir un docteur moldu cinq ans auparavant. Le blond était allé consulté plusieurs médi-sorciers et médi- sorcières, mais aucun d'eux n'a été capable de trouver ce qui n'allait pas chez lui. Harry s'inquiétait; le blond avait été fatigué et s'était senti malade pendant des semaines. Draco avait fait une grosse scène à propos d'une consultation chez un médecin moldu. Harry n'avait jamais été capable de lui débarrasser de sa haine envers les 'Sangs-de-Bourbe' et les moldus.
Le docteur lui avait demandé s'il voulait aussi passer le test de la séropositivité, et Draco avait dit oui, ne sachant pas ce que le médecin voulait dire.
Deux semaines plus tard, les résultats arrivèrent.
Ils étaient positifs.
Le monde autour d'eux s'écroulait en même temps que Harry qui criait toutes sortes de choses à Draco, en faisant ses bagages et en quittant l'appartement. Harry savait ce que ces trois lettres presque insignifiantes voulaient dire. Draco, lui, ne savait pas.
Quatre mois plus tard, Harry était à la maison lorsqu'on cogna à la porte. Dehors se tenait Draco, entièrement mouillé par la pluie, son corps mince tout en étant fort, comme il avait toujours été. Il était en train de pleurer. Harry n'avait jamais vu Draco en larmes avant.
Cette nuit-là, Draco dormit sur le divan dans le logement d'Harry. Le lendemain, ils ont parlé et crié à l'autre. Au crépuscule, ils étaient tous les deux épuisés, émotionnellement vidés. Harry dit à Draco de quitter.
« Reviens me voir, ici, dans une semaine », avait-il dit à Draco, et il lui avait donné un morceau de papier avec une adresse sur celui-ci.
Harry était venu le chercher avant que la semaine fut terminée et après cela, ils ont jurés de rester fidèle à l'autre jusqu'à la fin de leur vie.
Ils n'avaient pas réalisé à quel point celle de Draco serait courte.
Il y a encore un an, Draco se sentait encore bien. Sa chute ne commença que quelques mois auparavant, lorsqu'il fut attaqué soudainement par une forte fièvre. Cela dura deux semaines. Rendu là, il avait aussi commencé à perdre du poids. Le jeune homme avait toujours été mince, mais il eut la peau sur les os après cela.
Dans les ultimes semaines de sa vie, Draco resta la plupart du temps étendu dans son lit. Harry était à ses côtés, le tenant à travers les frissons qui faisait trembler le corps de son amant, et à travers les nuits où Draco se tournait et retournait quand son corps le faisait souffrir.
Il s'est éteint hier, silencieusement.
Ses dernières paroles ne furent pas , « Harry, je t'aime », ou quelque chose comme cela. Harry ne se rappelait même pas ce que fut ses dernières paroles. Peut-être qu'il avait demandé un verre d'eau. Il avait souvent soif et il demandait encore plus souvent que Harry aille lui chercher des choses pour lui.
Harry était dans le salon, écoutant la télévision. Cette invention moldue était superbe, même si les émissions étaient, la plupart du temps, très stupides.
L'urgence d'aller voir Draco lui vint soudainement, et Harry suivit son intuition sans se poser de questions. Lorsqu'il entra dans leur chambre, Draco était étendu, là, sur son dos, ses yeux fermés, juste comme Harry l'avait laissé il y avait de cela une heure. Il était sur le point de se retourner pour continuer de visionner la télévision et ses programmes inutiles, lorsque quelque chose lui dit d'arrêter.
Ce fut là qu'il remarqua que Draco ne respirait plus.
Il avait l'air d'un ange, les draps de lin blancs couvrant son corps et ses cheveux blonds illuminant à cause du soleil qui passait par la fenêtre. La pâle peau paraissait quasiment translucide.
Il n'avait pas plu ce jour-là; les cieux n'avaient pas pleuré pour sa perte.
Le VIH s'était changé en SIDA quelques mois auparavant, et à cause de cela, l'arrêt de mort de Draco avait été signé. Bien sûr, il avait été signé il y avait de cela quelques années, lorsque Draco eut une relation sexuelle avec un inconnu.
Harry ne pouvait pas pensé à de pareilles choses. Il se tint simplement là, au bout du lit, et regarda le corps menu de son amant. Draco ne bougeait plus, mais le cerveau d'Harry ne pouvait pas accepter le fait qu'il ne bougerait plus jamais.
Il ne pourrait plus lui faire ses fameux sourires narquois.
Il ne pourrait plus rire du manque d'habilités d'Harry en matière de potions.
Il ne pourrait plus dire à Harry qu'il l'aimait.
Maintenant, il s'assit à côté de la fenêtre et regarda le soleil sombrer derrière l'horizon. À côté de lui, il y avait le journal, avec le gros titre qui ne cessait de lui crier que son amant, son mari, son c?ur , était mort.
Il se demanda combien de temps cela prendrait pour que sa propre séropositivité se change en SIDA.
Il se demanda quand allait-il rejoindre Draco, là-haut, dans le ciel rouge sang. Il se prit à souhaiter que cela pourrait être maintenant.
**
Voilà, c'était notre première traduction. On review svp ! Alors, à la semaine prochaine pour Cette chose qu'il fait (de Di-Chan, traduit par The Waters)
Voici les meilleures one-shots anglophones mettant en vedette Harry et Draco. Donc, ceux qui sont contre l'idée que Harry Potter peut avoir une relation intîme avec Draco Malfoy, PARTEZ TOUT DE SUITE !!!!!
Ils sont traduits par Gabriel (Winds) et/ou par Marianne (Waters). [Voyez- vous le superbe concept ?]
Bref, chaque chapitre sera une toute nouvelle histoire. Alors voici un message aux grands traducteurs de ce monde: NE TOUCHEZ PAS AUX ONE-SHOTS HARRY/DRACO !!!!
Ne vous inquiétez pas. On jappe beaucoup mais on ne mord pas. Mais, svp, traduisez ce que vous voulez, en autant que ça l'ait 2 chapitres ou plus !
Merci de votre compréhension !
Maintenant voici la première fic: Jusqu'à ce que la mort nous sépare [ Until death do us part ]
C'est écrit par Banancosmicgirl. C'est elle qui nous a aussi donné Time Out of Place, dont la traduction, Espace-temps décalé, avait été commencée par la grande et sublissime Jess HDH (Vous avez peut-être remarqué qu'elle est située très haute dans mon estime).
DISCLAIMER: Harry Potter ne nous a jamais appartenu, et nous appartiendra jamais. Nous ne faisons qu'utiliser les persos ainsi que le scénario de Banancosmicgirl.
Voilà ! Bonne lecture !
Jusqu'à ce que la mort nous sépare. (de Banancosmicgirl, traduit par The Winds)
** Il y avait toujours eu un risque que cela arriverait, pensa-t-il. C'était juste le fameux, « Ça ne m'arrivera pas », qui poussait toujours l'idée que n'importe quelle chose mauvaise arrivait ailleurs.
La première fois qu'il en avait entendu parler, c'était dans un magasine moldu lorsqu'il avait huit ans. Tante Petunia et Oncle Vernon avait laissé un magasine à propos de cela et Harry l'avait volé pour le lire. Dedans, il y avait un article sur le virus.
Le VIH.
Trois petites lettre qui, ensembles, épellent le mot 'mort'. Bien sûr, ils avaient été très très pointilleux à propos de ce point dans l'article, le VIH ne signifiait pas la mort immédiate. Non, ce la voulait dire faner graduellement en même temps que vos cellules T disparaissaient une à une, et que votre système immunitaire s'autodétruisait. Vous disparaîtrez, petit à petit, et votre mort sortira de sa coquille de façon ô combien non- plaisante. Ce n'était pas ce que l'article disait, mais Harry a toujours été capable de lire entre les lignes. Mais à cette époque, ce n'était qu'un article. Quelque chose qu'un jeune enfant ne retenait pas après l'avoir lu. Un article que Harry oublierait pour plusieurs années, jusqu'à ce jour. Il fixa l'extérieur par la fenêtre, regardant le couché de soleil derrière les contours de Londres. La vue était à couper le souffle; le ciel dans les tons de rouge foncé et d'orange et le soleil, aveuglant.
Il y avait un autre article dans le journal aujourd'hui.
'L'héritier Malfoy meurt d'une maladie moldue'
Il y avait une horrible ironie dans ce fait. Simplement les mots, 'Moldu' et 'Malfoy' - ils sont incompatibles. Il ne devrait jamais avoir une phrase ayant ces deux mots. Il devrait y avoir un règlement pour cela, interdisant au cas où cela arriverait encore.
Lucius Malfoy s'était probablement retourné dans sa tombe lorsque le journal fut publié.
Harry sentit un froid en lui. Sans Draco Malfoy à ses côtés, il était vide; une moitié de lui était... manquante. Morte.
Ils ne furent jamais amis, non, jamais. Ils n'aurait jamais pu être n'importe quoi d'aussi platonique. Il y avait de la passion dans leur relation qu'il n'avait jamais capable d'expliquer. Au début, c'était une haine furieuse, les pires combats verbaux que Poudlard, École de Magie et Sorcellerie avait eu. Ils s'étaient profondément méprisés l'un l'autre. Ils n'ont jamais été capables de s'en aller d'une bagarre, spécialement Malfoy.
Quand Malfoy l'avait embrassé pour la première fois, cette passion s'est transformée. Quelque chose de différent, oui, mais d'aussi furieux. Il y avait eu beaucoup problèmes bien-sûr Voldemort, Lucius, les amis d'Harry, les Serpentards, le monde, pour ne nommer que ceux là- mais ils ne baissèrent jamais les bras.
À leur mariage, ils ont dit, « Jusqu'à ce que la mort nous sépare », cependant, Harry ne comprit jamais le sens de ces mots jusqu'à hier. Draco a été diagnostiqué séropositif cinq ans auparavant. Harry avait demandé le divorce lorsqu'il l'avait découvert, car cela voulait dire que Draco avait été infidèle. Harry n'a jamais regardé quelqu'un d'autre- mais là encore, il avait toujours été le plus naïf des deux. Draco était cynique et astucieux, un Serpentard jusqu'au coeur, comme il avait toujours aimé dire. Néanmoins, il n'y avait rien d'astucieux à propos de sa 'mauvaise man?uvre, comme l'avait-il nommé. Après une dispute- ils en avaient beaucoup- il était sorti, avait bu jusqu'au point à en devenir ivre, et s'était retrouvé au lit avec le mauvais gars.
Et ce gars portait le virus, infectant l'amant d'Harry.
C'était Harry qui avait forcé Draco d'aller voir un docteur moldu cinq ans auparavant. Le blond était allé consulté plusieurs médi-sorciers et médi- sorcières, mais aucun d'eux n'a été capable de trouver ce qui n'allait pas chez lui. Harry s'inquiétait; le blond avait été fatigué et s'était senti malade pendant des semaines. Draco avait fait une grosse scène à propos d'une consultation chez un médecin moldu. Harry n'avait jamais été capable de lui débarrasser de sa haine envers les 'Sangs-de-Bourbe' et les moldus.
Le docteur lui avait demandé s'il voulait aussi passer le test de la séropositivité, et Draco avait dit oui, ne sachant pas ce que le médecin voulait dire.
Deux semaines plus tard, les résultats arrivèrent.
Ils étaient positifs.
Le monde autour d'eux s'écroulait en même temps que Harry qui criait toutes sortes de choses à Draco, en faisant ses bagages et en quittant l'appartement. Harry savait ce que ces trois lettres presque insignifiantes voulaient dire. Draco, lui, ne savait pas.
Quatre mois plus tard, Harry était à la maison lorsqu'on cogna à la porte. Dehors se tenait Draco, entièrement mouillé par la pluie, son corps mince tout en étant fort, comme il avait toujours été. Il était en train de pleurer. Harry n'avait jamais vu Draco en larmes avant.
Cette nuit-là, Draco dormit sur le divan dans le logement d'Harry. Le lendemain, ils ont parlé et crié à l'autre. Au crépuscule, ils étaient tous les deux épuisés, émotionnellement vidés. Harry dit à Draco de quitter.
« Reviens me voir, ici, dans une semaine », avait-il dit à Draco, et il lui avait donné un morceau de papier avec une adresse sur celui-ci.
Harry était venu le chercher avant que la semaine fut terminée et après cela, ils ont jurés de rester fidèle à l'autre jusqu'à la fin de leur vie.
Ils n'avaient pas réalisé à quel point celle de Draco serait courte.
Il y a encore un an, Draco se sentait encore bien. Sa chute ne commença que quelques mois auparavant, lorsqu'il fut attaqué soudainement par une forte fièvre. Cela dura deux semaines. Rendu là, il avait aussi commencé à perdre du poids. Le jeune homme avait toujours été mince, mais il eut la peau sur les os après cela.
Dans les ultimes semaines de sa vie, Draco resta la plupart du temps étendu dans son lit. Harry était à ses côtés, le tenant à travers les frissons qui faisait trembler le corps de son amant, et à travers les nuits où Draco se tournait et retournait quand son corps le faisait souffrir.
Il s'est éteint hier, silencieusement.
Ses dernières paroles ne furent pas , « Harry, je t'aime », ou quelque chose comme cela. Harry ne se rappelait même pas ce que fut ses dernières paroles. Peut-être qu'il avait demandé un verre d'eau. Il avait souvent soif et il demandait encore plus souvent que Harry aille lui chercher des choses pour lui.
Harry était dans le salon, écoutant la télévision. Cette invention moldue était superbe, même si les émissions étaient, la plupart du temps, très stupides.
L'urgence d'aller voir Draco lui vint soudainement, et Harry suivit son intuition sans se poser de questions. Lorsqu'il entra dans leur chambre, Draco était étendu, là, sur son dos, ses yeux fermés, juste comme Harry l'avait laissé il y avait de cela une heure. Il était sur le point de se retourner pour continuer de visionner la télévision et ses programmes inutiles, lorsque quelque chose lui dit d'arrêter.
Ce fut là qu'il remarqua que Draco ne respirait plus.
Il avait l'air d'un ange, les draps de lin blancs couvrant son corps et ses cheveux blonds illuminant à cause du soleil qui passait par la fenêtre. La pâle peau paraissait quasiment translucide.
Il n'avait pas plu ce jour-là; les cieux n'avaient pas pleuré pour sa perte.
Le VIH s'était changé en SIDA quelques mois auparavant, et à cause de cela, l'arrêt de mort de Draco avait été signé. Bien sûr, il avait été signé il y avait de cela quelques années, lorsque Draco eut une relation sexuelle avec un inconnu.
Harry ne pouvait pas pensé à de pareilles choses. Il se tint simplement là, au bout du lit, et regarda le corps menu de son amant. Draco ne bougeait plus, mais le cerveau d'Harry ne pouvait pas accepter le fait qu'il ne bougerait plus jamais.
Il ne pourrait plus lui faire ses fameux sourires narquois.
Il ne pourrait plus rire du manque d'habilités d'Harry en matière de potions.
Il ne pourrait plus dire à Harry qu'il l'aimait.
Maintenant, il s'assit à côté de la fenêtre et regarda le soleil sombrer derrière l'horizon. À côté de lui, il y avait le journal, avec le gros titre qui ne cessait de lui crier que son amant, son mari, son c?ur , était mort.
Il se demanda combien de temps cela prendrait pour que sa propre séropositivité se change en SIDA.
Il se demanda quand allait-il rejoindre Draco, là-haut, dans le ciel rouge sang. Il se prit à souhaiter que cela pourrait être maintenant.
**
Voilà, c'était notre première traduction. On review svp ! Alors, à la semaine prochaine pour Cette chose qu'il fait (de Di-Chan, traduit par The Waters)
