Bonjour ou Bonsoir !
Voilà, je me suis lancé dans une autre fiction, différente de « Tu es à moi »
Je ne sais pas ce que ça va donner pour l'instant, mais j'espère que ça vous plaira. Bon je vais l'avouer, et je l'assume, je me suis légèrement inspiré d'un OS écrit par Vertraymer, Caterpillar, qui est génial je trouve ^^ J'espère que ce prologue va vous plaire :)
Voici le lien de son Os : .net/s/5194590/1/Caterpillar
Prologue
No Surprises – Radiohead
« Je ne devrais pas être ici. »
Sa main remonta le long de ma cuisse dénudée, et glissa sur ma hanche pour m'attirer vers lui.
« Je sais. »
Ma voix était légèrement rauque alors que j'observai son visage sculpturale. Il glissa son nez dans mon cou, remonta vers ma mâchoire, ma joue, et le frotta contre le mien. Ses yeux verts me fixaient intensément alors que sa main caressait mon flanc.
« Edward je.. »
Mais il me coupa dans ma phrase en m'embrassant puissamment. Le baiser était passionné, mais remplis de détresse. Et je frissonnais. Parce qu'Edward Cullen ne m'avait jamais embrassé d'une façon aussi désespérée. Il finit par se détacher de mes lèvres et se redressa.
« Je devrais peut-être rentrer » murmura-t-il en sortant du lit et en renfilant son caleçon.
Je ne dis rien et et me contentais de fixer les muscles de son dos qui roulaient au grès de ses mouvements. Il enfila son jean, rattacha sa chemise et attrapa sa veste avant de se retourner et de se pencher vers moi. Je n'avais pas bouger d'un poil, le laissant se rhabiller. Parce que je savais que ça ne servais à rien.
Ses yeux verts me fixèrent, habités d'une lueur étrange et dévièrent sur mon corps nu recouvert négligemment du drap blanc. Je baissais le regard, et fixais mes mains qui tripotaient le tissus avant qu'il ne voit mes yeux se remplirent d'eau. Il attrapa mon menton et me fit redresser la tête avant de déposer un baiser aussi léger qu'une plume sur mes lèvres.
Et il partit, juste comme ça, s'en demander son reste. Parce qu'il savait que nous ne pouvions pas. Que trop de choses nous séparaient. J'entendis la porte d'entrée claquer et réalisais seulement maintenant que je me retrouvais seule dans ma chambre, qui une demi heure plutôt était rempli de nos gémissement et grognements.
Je fermais les yeux et enfonçais mon visage dans son oreiller, les draps étouffés par son parfum.
Et merde
Laissez-moi votre avis, c'est mon moteur ;)
