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Titre : Maman, c'est quoi l'amour ?

Auteur : DarkyAnge

Résumé : 'Je suis givrée, je suis maudite, je fais une fixation sur les extras-terrestres et je vais mourir vieille fille. Voilà l'histoire de ma vie.' Que va-t-il se passer quand Ginny se verra obligée de jouer à la maman ?

Note de Darky : Qu'ai-je donc à dire ? C'est tout simplement ma toute première fanfic. En fait, cela fait longtemps que je la projetait... ben voilà, vous êtes servis. J'espère seulement que je ne vous soûlerai pas trop avec mes histoires !

Note n°2 : Je tiens aussi à dire qu'il ne faut ABSOLUMENT PAS compter sur moi pour la régularité des posts, surtout que j'en suis au prises avec une autre fanfic (un Lily/James !)... avec quelques review, qui sait... enfin, n'importe quelle question et je suis là !

PeNséE InCoHérENtEuh : Y a le France/Espagne à la télé... savez-vous que les espagnols peuvent être assez MIGNONS ?

(PS : Brésilienne comme je suis, je supporte mon pays, le Brésil. VAI BRASIIIL !)

C'était la minute intelligente.

Et maintenant, je ne vais pas vous laisser trop longtemps galérer : la FANFIC !

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Maman, c'est quoi l'amour?

Chapitre I – Réveil de l'Amour Perdu

Le vent soufflait dehors. Les arbres balançaient leurs feuillages dans le jardin sous le ciel gris. Puis le vent ne souffla plus, et une goutte tomba du ciel.

Je regardais par la fenêtre de ma chambre. C'était pourtant l'été ! Je poussai un soupir, tout en pensant à ma vie et à son sens.

Ginny Weasley, majeure depuis l'année précédente, récemment sortie de l'école de magie et de sorcellerie de Poudlard. Avec mes bons résultats en ASPICs (je me souviens encore de l'innondation provoquée par les yeux de ma mère, ce qu'on appelle communément « larmes de joie »), je ferais bientôt des études pour être auror. Côté coeur, j'avais abandonné. Eh oui, pauvre de moi.

En fait, si vous y pensez, je n'ai jamais changé.

C'est vrai ! Même si je grandis (maintenant on dit aussi vieillis paraît-il), je suis toujours la même. Toujours la même petite fille rêveuse, maladroite et bavarde (c'est ce qu'on m'a dit) que j'étais autre fois, et la seule différence c'est que je ne suis plus une petite fille. A part si on est une petite fille quand on entre dans sa dix-huitième année.

Mais, vous savez quoi ? Ne pas changer, ce n'est pas toujours un avantage.

Quelqu'un frappa à la porte. Et c'est alors que j'entendis de l'autre côté, ô miracle ! la voix de mon cher frère adoré. Oui, vous avez deviné, il s'agissait de Ron Weasley.

-Ginny, viens, le dîner est prêt.

Bon, en fait, ça donnait plutôt quelque chose comme :

-Gin', y a l'dîner qu'est prêt, alors grouille-toi ou maman te tue.

Mais bon. Vous m'avez comprise.

Il s'ensuivit un bruit sourd, puis une espèce de grognement qui ressemblait plus ou moins à : « Fichue marche pourrie rongée de termites ! »

Je ne pus contenir un sourire. Au moins, je n'étais pas la seule qui ne changerait jamais.

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Ronald Weasley, grand-frère de son état, auquel j'ai attribué le doux surnom de Screugneugneu (si, si, ça lui va comme un gant, j'vous assure !), était en fait arrivé la veille. Ces derniers temps, il avait été très occupé, car il aidait Harry Potter et Hermione Granger, donc, ses meilleurs amis, à avancer sur le chemin de la destruction d'un psychopate qui semble avoir un penchant pour les génocides de moldus. Ouais, on a tous deviné : Lord V..., le crétin qui se prend pour le messie du mal et en est fier. Ron disait que la Grande Guerre serait bientôt finie. Je lui faisais confiance. Avec les deux autres zigotos, il était cap de tout, même de sauver le monde.

Bref, frérot était revenu parmi les vivants au Terrier depuis 24 heures à peine, histoire de nous faire un petit coucou, rester un jour ou deux puis nous laisser à nouveau. Ensuite, il repartirait chercher les aux sucres... les ornuxe... les horcruxes, oui, c'est ça, avec son pote et sa fiancée.

FIANCÉE ?

COMMENT ÇA, FIANCÉE ?

J'ai raté une marche, c'est pas possible.

Attendez que je m'en souvienne... Ah, oui. Il nous l'a annoncé dans la cuisine, alors qu'on prenait notre thé. Et tous les Weasley présents (sans compter Ron, bien sûr) l'avaient regardé comme s'il était un martien. C'est-à-dire, les Weasley présents à part Ron, c'était maman, papa et moi.

Sans blague. Même mon frère avait trouvé une fiancée. Et moi ? On m'avait oubliée ?

Revenons à nos dragons. Mon frangin rougit considérablement à cet instant. Il balbutia d'une toute petite voix:

-Ben, euh, oui, euh, fiancée... On se mariera quand la guerre sera finie.

Pauvre Ron.

Pauvres papa et maman, aussi. Je ne les avais jamais vus dans un état pareil. Les yeux de papa s'arrondirent comme des soucoupes, et maman ouvrait et fermait la bouche pour ne rien dire, plusieurs fois. Ron, crétin. Il aurait pu les ménager, non ? Ça leur avait sûrement fait un choc.

Bon, d'accord, je n'étais pas mieux. Complètement bluffée serait un euphémisme.

Quand l'information pénétra enfin dans mon cerveau, chose qui prit deux ou trois minutes de ma courte existence, je poussai un soupir de soulagement. Puis, joignant mes mains en prière, je soufflai : « Alelluia. »

Comprenez-moi bien. Je n'ai jamais douté une seule seconde que mon frère soit capable d'avoir une fiancée. Nan, pas du tout.

Bon, d'accord, j'ai peut-être douté de ça une seconde ou deux.

Comme je disais, je n'en doute pas. Seulement, ces deux-là sont un cas assez spécial. Si, si. Ils se sont tourné autour pendant tellement longtemps que je me demande si je n'aurais pas fini par péter les plombs et déclencher une deuxième Guerre ou un truc du genre s'ils en étaient resté là.

Dire que j'aurais pu moi aussi être une psychopate déclencheuse de guerre.

Mon frère se tourna vers moi. Il avait entendu le coup du Alelluia. Super, heureuse de vous avoir connus. Remarque, c'était peut-être bien comme ça. J'allais mourir, certes. Mais je pourrais quitter la terre sans regrets. Le frangin avait enfin une fiancée, et cette fiancée, c'était Herm', ma meilleure amie, celle qui se plaignait toujours de mon crétin de frère. Comme ils étaient ensemble, je ne me serais sentie donc pas coupable en mourrant. A part peut-être pour un truc. Qui allait nourrir mon chat ?

Devinez quoi ? J'attendais une explosion. Et qu'est-ce que j'ai eu ? Un grand sourire. Ça m'a vraiment inquiétée. Hermione avait sûrement une bonne influence sur mon frère, je crois qu'elle commençait à lui déteindre dessus. Mince alors.

J'avoue que j'aurais peut-être préféré l'explosion. Me chamailler avec mon frère, c'était un de mes passe-temps favoris ; autant en profiter, tant qu'il était là.

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Ron, visiblement très pressé, passa en me bousculant. J'allais lui lancer une réplique cinglante ; il n'avait même pas daigné s'excuser ! Je stoppai net quand je vis qu'il rangeait ses quelques affaires en vitesse, marmonant des mots incompréhensibles. Du martien, sans doute.

En tout cas, il était énervé, et ça m'énervait de le voir énervé. N'y tenant plus, je lui demandai ce qu'il fabriquait. En guise de réponse, j'ai eu droit à un : « Harry a des problèmes. »

Et, avant que je ne puisse l'interroger sur quoi que ce soit, mon Screugneugneu de frère transplana, laissant derrière lui une moi très perplexe.

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Le lendemain, dans la soirée, Maman, papa et moi étions dans le salon. On écoutait la radio. Enfin, à cette heure-ci c'était Celestina qui chantait à tue-tête (et elle tuait vraiment ma tête), donc ce serait plus juste de dire que, pendant que maman radotait, papa et moi on essayait d'ignorer la voix qui emplissait toute la pièce.

Faîtes que ça s'arrête

Faîtes que ça s'arrête

Faîtesqueças'arrête.

Envoyez-moi n'importe quoi, mais faîtes que ça s'arrête

« POP ! »

Tout-à-coup, trois figures humaines (remarque, ça aurait très bien pu être des martiens... excusez-moi, je fais une fixation sur les extra-terrestres.) apparurent au milieu du salon. Maman poussa un cri.

Moi, j'étais au bord de l'attaque cardiaque.

Papa étégnit la radio.

J'inspirai profondément, plusieurs fois de suite. Dès que mon pouls se mit à battre plus ou moins, je dis bien plus ou moins normalement, j'analysai les trois apparitions.

La première chose que je remarquai, c'est qu'ils étaient couverts de sang.

Yeurk. Pas joli-joli à voir.

Ensuite, j'ai vu qu'un garçon roux et une fille aux cheveux châtains portaient bras dessus-dessous un deuxième garçon, brun, celui-là. Binoclard aussi.

Choc total. Ces trois E.T., c'était Ron, Herm' et Harry.

Ok. Inspire, expire. Inspire, expire. Surtout, ne pas...

-MAIS VOUS VOULEZ NOUS TUER OU QUOI ?

...leur hurler dessus.

Fichu caractère de rousse. Je m'en serais bien passée.

Un autre coup d'oeil et je compris que quelque chose n'allait pas. Ron et Hermione souriaient bizarrement. Harry, c'était pire. Il fixait le sol sans le voir vraiment. Il semblait hypnotisé. Un sourire tout aussi bizarre que les deux autres, mais serein aussi, presque dément. Et un regard vide. Sérieux. Ça m'a fait frissoner.

Comme ce crétin de Ron n'avait toujours pas compris que le regard insistant que je lui vouais depuis quelques minutes réclamait des explications, j'ai tâché d'être plus explicite.

-OK. Est-ce que vous POURRIEZ me DIRE ce qui vous a pris d'appararaître comme ça, tous dégoulinants de sang, en plein MILIEU DU SALON ? Je vous signale que j'ai failli crier à l'invasion des martiens ! ALORS VOUS NOUS EXPLIQUEZ OU PAS ?

Vous vous demandez sûrement où sont passés mes parents. Ils étaient carrément paralysés. Je suppose qu'ils ont cru à l'invasion de mangemorts, eux. Quand on est tétanisé, on prend quelque temps à se récupérer du choc. J'ai juste récupéré plus vite qu'eux.

Ron réagit enfin. Il sursauta, ainsi que Mione. Harry ne bougea pas d'un pouce. Le sourire ne se décolla pas non plus de leurs faces. Ils étaient vraiment très bizarre. Ça fait peur.

-La guerre est finie, articula enfin le frangin. Tout est fini. Il est mort.

Hein ? Tu peux répéter un peu ?

-Raconte-leur, Harry, fit Mione en regardant ledit Harry.

Celui-ci se réveilla soudain, et regarda chacun des membres du clan Weasley dans les yeux. J'ai eu à cet instant un léger problème. Rien de bien grave. Ou plutôt, si, pour moi c'est grave. Le fait est que, quand il planta son regard dans le mien, je ressentis... hmmm... une petite secousse à l'estomac.

Oh non.

Très mauvais, effectivement. C'était surtout pas le moment.

Notre Harry national se releva. En boîtant, il se dirigea vers le canapé du salon. Après un soupir, il commença son récit.

Avec l'aide de Ron et Herm', il nous raconta tout en détail. Vraiment tout. RAB. Le dernier Horcruxe. Le repère du psychopate. La bataille finale. Sa victoire. Tout.

A la fin de l'histoire, Harry s'endormit. Il était épuisé, et personne n'allait le blâmer. Un grand silence s'abattit sur nous. Je n'osai dire quoique ce soit.

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Bien sûr, on était extrêmement heureux que la Guerre soit finie. On n'y croyait presque plus. Le problème, c'est que cette joie fut de très courte durée.

En effet, notre Survivant était, comme qui dirait, endormi depuis deux jours. Aucun sort, potion ou quoique ce soit n'avait pu le réveiller. Et nous craignions pour sa vie.

On l'avait installé dans l'ancienne chambre de Fred et Georges. Maman avait réussi à changer ses habits. Maintenant, il reposait torse nu sous les draps de son lit.

Je ne sais pas pourquoi, mais... n'allez rien penser de déplacé... j'avais tenu à m'occuper des blessures, pansements, etc. Mine de rien, il était couvert d'hématomes. En plus, c'était la seule chose que je pouvais faire pour lui, et on doit faire ce qu'on peut. Surtout que je me sentais très concernée. C'était simple. Je restais à son chevet le jour pour le soigner, et la nuit je veillais pour changer les bandages. On ne songea pas à m'en empêcher, et c'est tant mieux pour moi.

La deuxième nuit, alors qu'une petite bougie blanche, posée sur la table de nuit, se consommait lentement, laissant une faible lueur tremblotante à m'éclairer, je réflechissais en regardant l' « Élu » endormi. Sa respiration, lente et sacadée, et son air si paisible me troublaient. Il ne savait certainement pas qu'un débat animé se déroulait dans ma tête.

J'avais juré... J'avais juré. Juré de ne plus l'aimer. Je ne peux pas l'aimer ! Lui, il ne m'aime pas... , pensai-je avec une certaine tristesse.

Ne me regardez pas comme si ma tête était dévenue verte et rose comme un ET. Fallait bien que ça arrive un jour ou l'autre, non ? Je m'étais dite que, si j'étais là, le coeur y était peut-être pour quelque chose.

Je dis bien peut-être.

Une petite voix vint me répliquer à ce moment-là :

'Pourquoi pas ?'

Tu casses tout, là.

'Vous avez déjà été ensemble. Qui te dit qu'il ne t'aime plus ?'

Écoute, c'est bien beau de rêver, mais... c'était il y a deux ans. Deux ans, Ginny. Ce n'est pas rien ! Il m'a sûrement... remplacée.

'Je ne suis pas d'accord.'

(Ne me prenez pas pour une folle. On peut bien faire la conversation avec soi-même de temps en temps, non ?)

'Il t'a quittée, oui, mais parce qu'il voulait te protéger. Pas parce qu'il ne t'aimait pas, non. Et puis, la guerre est finie ; maintenant que tu ne crains rien, tu as une chance.'

Bien sûr ! Comme si c'était aussi simple que ça. Je voudrais bien, moi.

Il ne m'a fait AUCUNE promesse. Il ne m'aime peut-être plus. Comment peux-tu savoir ?

Et paf !

'Je ne sais pas s'il t'aime, et je ne peux pas le savoir, me répondit doucement la petite voix. Mais il y a bien une chose que je sais : toi, tu l'aimes encore...'

Je hais cette petite voix.

Je décidai donc de l'ignorer et de penser à autre chose.

Hmmm... quel jour serait-on, le lendemain ? Le lendemain... ce serait mon anniversaire. J'aurais dix-huit ans.

Super. Comme si, avec tout ça, on était en condition de fêter mon anniversaire.

Je suis maudite.

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On était le matin. Je me réveillai à genoux sur le sol, la tête reposant sur mes bras croisés sur le lit. En tournant ladite tête, j'aperçus entre mes cheveux en pétard un visage qui me fixait de ses beaux yeux verts.

« Hello, la Belle au bois dormant... », fit-il, un sourire goguenard aux lèvres.

Il était réveillé.

Au diable les rougissements.

« Bonjour », répondis-je, me levant et essayant d'arranger un peu mes cheveux, ce qui marcha plus ou moins.

Quand je vous disais que je suis maudite.

Je poussai un soupir.

« Ex... excuse-moi, bredouillai-je. J'étais... vraiment... très... euh... fatiguée, hier soir.

-C'est ce qu'il me semblait. »

Maieuuuuhhh ! Il pouvait pas arrêter de se fiche de moi un peu ?

Aïe. Un blanc. Je ne savais absolument pas quoi dire. Ce fut sûrement pous cela que je sortis cette phrase, la plus intelligente qui soit :

« T'as faim ? »

Oui, je sais. C'est nul.

« Je veux dire, tu veux que je t'apporte ton petit déj', ou quelque chose du genre ? »

L'agent P (j'adore ce surnom... il vient de Ron.) fronça les sourcils.

« Je peux y aller tout seul, ça ira. »

Ah, c'est bien un garçon, ça ! Cette manie de dire « Je peux faire tout seul. » En tant que fille perdue au milieu des mecs à la maison, je peux vous en donner une de psy : les mecs disent ça soit pour prouver leur indépendance, soit pour prouver qu'ils sont forts. Je m'y connais pas mal là-dessus, j'peux vous le garantir.

Toujours est-il que cette manie est on ne peut plus énervante.

« Tu ne devrais pas, répliquai-je. Tu n'es pas complètement guéri.

-On dirait ta mère », me taquina-t-il.

Harry :1, Ginny :0.

Je suis sûre qu'à ce moment-là, on aurait pu me confondre avec une énorme tomate ambulante.

Je suis à plaindre.

« Allez, laisse-moi me lever. »

Et, sans attendre de réponse, Mr Indépendance se leva.

Il était... craquant. Très craquant. Trop craquant.

J'avais passé 48 heures à côté de lui sans le remarquer, mais il avait encore grandi. Des cheveux noirs rebelles, un sourire parfait, et ses yeux... oh, ses yeux. Verts comme jamais.

Juste un truc qu'il n'avait pas prévu. Il était torse nu.

Je ne suis pas perverse, loin de là. Mais, je veux dire, impossible de ne pas remarquer.

La température avait considérablement augmenté. J'avais chaud, très chaud, horriblement chaud. Je détournai le regard. Il sembla comprendre et se couvrit du T-shirt plié sur la commode. Je préfère ne pas faire plus de commentaires.

« Au fait, demanda-t-il, pensif, j'ai dormi combien de temps ?

-Deux jours », répondis-je, encore un peu gênée.

Pendant quelques secondes, Harry réfléchit. Après une intense concentration, il se tourna vers moi, et dit simplement :

« Joyeux anniversaire, alors. On y va ? »

Cela va sûrement vous paraître étrange, mais tout à coup, je me suis sentie très, mais vraiment trèèèèèèèèès heureuse. Comme si le monde était plus beau qu'avant. C'est avec mon plus grand sourire sur le visage que je suivis le jeune homme vers la cuisine.

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Oui, oui, et voici...

Maintenant, pour vous faire baver un peu plus, et si je parviens à l'écrire :

Prochain chapitre : Surprises pour mes dix-huit ans

(Je tiens à vous préciser que, comme c'est ma première fanfic, je ne suis pas censée trouver des titres captivants et intelligents pour mes chapitres.)

Et dans le prochain épisode : Heu... y a quoi déjà ? Ah oui ! (hum, hum) Vous saurez enfin quel est le rapport avec le titre ! Si, si ! D'accord, j'avoue que cette fanfic n'est pas l'idée du siècle, mais autant continuer ma folie... bref, Anniv' de Gin', et pis un petit problème avec Harry... vous verrez bien !

Normalement, je devrais mettre ici un extrait du prochain chapitre. Je ne l'ai malheureusement pas encore écrit. Enfin, si, mais il faut que je le réécrive, parce qu'en principe, au début, ce n'était pas Ginny qui racontait l'histoire. Or, le point de vue omniscient/externe n'est pas mon point fort... désolée !

Biz, Darky !

(Heu... Reviews ?)