Titre: Le Labyrinthe pour les nuls
Auteur: MemoriesOf-Destiny
Disclaimer: James Dashner est celui qui a pu créer un chef-d'œuvre comme The Maze Runner! Et les paroles de quelques chansons ne sont pas de moi.
Rating: T/M (ça dépendra des moments)
Résumé: Prenez Le Labyrinthe, ajoutez du OOC à certains moments avec un certain nombre de vos OC et du self-insert sans accorder d'importance à ce thème, renverser deux consciences (une gamine et une obscure), mélangez le tout et vous obtiendrez Le Labyrinthe version comique, une idée sortant d'un cerveau sur sept milliards.
P'tit mot de l'auteur: Quand tu as vu le film plusieurs fois, quand tu es partie le voir une première fois avec ton père qui te dit que le Labyrinthe est ta chambre en bordel, quand ça devient un délire interminable avec une pote, quand tu lui expliques le film en entier à ta façon et quand tu le regardes en VOSTFR, je peux le dire: ça donne des idées farfelues. Je préviens d'avance, ceux qui n'ont pas vu le film ou lu le tome 1 peuvent partir, bon je l'avoue certains trucs vont changer MAIS ça reste une œuvre à lire et à voir (ou l'un des deux aussi, ça marche) sans être spoilé (oui c'est chiant de savoir des trucs qu'on veut voir). En revanche, ceux qui l'ont lu ou/et vu le film, je vous invite à lire. Pour ce qui concerne les OC et le self-insert, ne vous inquiétez pas, c'est un sujet à ne pas prendre à la légère, je vous rassure directement qu'il n'y aura pas de Mary-Sue ou Gary-Stu, je n'aime pas ça et vous non plus, nous partons sur de bonnes bases pour bien commencer. Par ailleurs, dans certains moments, vous assisterez à du OOC, mais léger. Nous allons partir avec celles qui sont restées cachées depuis longtemps (eh oui je ne suis pas la seule à avoir des minis-gens dans la tête), c'est parti!
Codes: Normal: narrateur.
Italique: paroles de chansons.
(Italique): Conscience gamine (nom à découvrir).
(Gras): Conscience obscure (nom à découvrir).
Thomas : Prends-moi, maintenant. : paroles des personnages. (Ceci est un exemple pervers, je dois dire.) Je ne vois pas de quoi tu parles.


Il était une fois, dans un… (Hééééé stop!) Quoi ? (Ce n'est pas un conte, imbécile!) Et alors ? Je n'ai pas de début ! (On s'en fiche, pas de début style conte de fées, ce qui va suivre... est flippant. DUN DUN DUUUUUN!) … Nan honnêtement, comme conscience, tu es flippante, TOI. (Oh merci beaucoup c'est trop d'honneur, vois-tu?) Je ne parlais pas à toi. Et arrête de faire de l'ironie ! (Il en faut bien, c'est tellement ennuyant de laisser cinquante pour cent à l'autre conscience stupide.) (Hé, j'ai un prénom, moi aussi!) (C'est quoi déjà ? Ah, oui... Sale cloche!) (Help!) Je ne suis pas là, je ne suis pas là. (On est tes consciences, et c'est tout ce que tu sais faire ? Dire "Je ne suis pas là." ? Honte à toi!) (Ouais ! Honte à toi!) (La ferme, gamine!) (Méchante!) … Envoyez le début. Hum-hum. Un jeune homme reprenait son souffle, comme s'il venait de se faire noyer. (Oh, le pauvre!) (Oh, le con!) Il regardait autour de lui avant de voir où il se trouvait : dans la Boîte avec plusieurs provisions et animaux, enfermés dans des cages. … Ce qui me semble logique sauf si on veut un acte de cannibalisme ! (Ce n'est pas sérieux! Lis ce qui EST ÉCRIT!) Oui bon, ça va ! Les quatre murs qui maintenaient "l'ascenseur" qui montait étaient munis de lumières blanches. Il agonisait dans d'atroces souffrances parce que la Boîte ne terminait jamais son chemin. Fin de l'histoire. (Mais non!) (Tu es sûre que c'est le texte original et pas TON texte que tu dois lire juste après?) … Démasquée. Bon, posons le texte écrit par mes soins et prenons le PUTAIN de texte original. (Ouaiiiiis!) (Oh la ferme, je suis juste à côté!) Essayant de se faire entendre, il criait pour sortir dans cet endroit où il se trouvait serré :

Thomas : Hé ! Aidez-moi !

Il n'avait pas le choix de se blottir dans un coin. L'appareil s'arrêtait brusquement, secouant le corps du brun qui… qui était toujours à l'intérieur oui. (Attends deux secondes!) Quoi encore ? (Il est mort?) Nan, pourquoi ? (… Une des cages pourrait s'ouvrir et l'animal, prit par la peur, lui sauterait à la gorge.) (À cause de ça, je vais faire des cauchemars, je veux mon Bisounours!) Laissez-moi LIRE ! (…) (Tss...) Les portes en acier s'ouvrirent, faisant entrer la lumière du soleil... (Pour le faire fondre.) (Je suis traumatisée!) … Je vous aime aussi. Son regard se tournait vers l'extérieur, des gens le regardaient, pas n'importe lesquels… (Des Bisounours!) On t'emmerde avec les Bisounours ! (Maiiiiis!) (Yes, elle va chialer.) Bon, je reprends la phrase. Son regard se tournait vers l'extérieur, des gens le regardaient, pas n'importe lesquels : des jeunes hommes. (Orgie.) Mais arrête de parler, fais comme l'autre gamine qui pleure ! (Montre cette orgie, merde!) Ah, on ne veut plus la version originale ? (… Attends, ils ne le font pas?) Nan. (… Balance ta version. Je veux voir!) (Voir quoi?) (Tu ne peux pas comprendre, tu es une simple gamine.)… Oui. Si vous voulez. Les grilles se levèrent, l'un deux prit la parole :

Alby : Remonte-le.

Un autre de ces garçons descendait dans la Boîte :

Gally : Premier jour, le nouveau. Il est l'heure de se lever.

Il le sortait pour le jeter par terre et le brun regardait tous les blocards qui l'entouraient. Certains parlaient, il ne comprenait pas ce qu'ils racontaient sauf quelques uns :

Frypan : Il pourrait nous aider un peu niveau cuisine.

(Alors il baissa son futal pour se laisser pécho!) (Mais tu es dégueulasse!) Honteux de ta part, je ne te félicite pas ! Bref. Thomas, prit de panique, se leva pour commencer à courir. Les autres jeunes hommes le regardaient faire, surpris :

Zart : On a un coureur !

Ces mots prononcés, le brun se cassait la gueule et cela déclenchait le rire de tous les garçons. Voilà la leçon qui s'intitule : "Comment se taper l'affiche en quelques secondes dès son arrivée ?" (Oh quel doué ! Félicitations!) (Je le plains.) En se levant, il se mit à regarder autour de lui en entendant les applaudissements, des murs aussi grands qu'un géant surplombaient l'endroit. Il était perdu. (C'est alors qu'il…) Shut the fuck up :

Thomas : Mais qui parle ?

C'est ta tête, mon enfant.


Bon, j'attends tout avis. Mais ne prenez pas cet écrit au sérieux, il faut rire! (Ou en pleurer, oui pleurez.) (Mais arrête d'être méchante!)