Bonjour ! Me revoilà avec une nouvelle fiction ! Oui je sais, je n'ai pas donné signe de vie depuis un moment et je m'en excuse, néanmoins pendant cette période, je n'es pas chômer ! Voici donc un premier chapitre écrit en cours de math ! ( Oui je sais je suis désespérante pas la peine de me le répété, j'en suis consciente ! X3 ).
Titre : La malédiction du temps
Genre : UA/Romance/Mystère
Pairing : Harry Potter / Draco Malfoy
Raiting : M
Disclaimer : Non je vous assure qu'ils ne sont pas devenus les miens (Les mien, à moi, mon préccccciiiieeeuuuxxx...! ) entre temps !
Résumé : UA. Harry est un être immortel indépendant de son bon vouloir tandis que Draco est condamné à une mort certaine. Lequel sauvera l'autre...?
/ -"Dis Draco, est-ce que tu aurais aimé vivre? Et si je te dis que moi je peux t'aider... " /
Bonne lecture !
La Malédiction du Temps
Chapitre 1 : Le commencement d'une vie.
Le crépitement furieux des braises. Les flammes léchant mon visage. La chaleur oppressante du feu et les poils rugueux du tapis qui font rougir ma peau.
Je brûle. Ma chair calcinée tombe en morceaux. Mon souffle se stoppe, je m'étouffe. Je ne respire plus, je meurs. Je meurs mais pas de l'extérieur, non, de l'intérieur. Je pourris, mes organes se purifient, je souffre.
J'ai mal, horriblement mal. Je meurs, encore. Et encore. Je suis piégé, bloqué...
Bloqué dans ce cycle sans fin.
Xx HP xx
Une voix criarde, rauque et désagréable au réveil m'interpelle.
-"Harry ! ...Harry ! "
Ah je reconnais cette voix. Ron ? Oh doux Ron... Quel admirable meilleur ami tu fais en essayant de me sortir du sommeils en me secouant comme un sac de patates !
-" Harry ! ...HARRY ! "
-"Hum..."
Il en fait du bruit l'animal ! Si j'aurais été pleinement conscient et apte à exercer mes capacités il ne serait plus de ce monde depuis longtemps !
-"Ron ? Humm... Mais qu'est-ce que tu fais chez moi ? "
Je bouge légèrement pour vérifier si tout est opérationnel et me relève du...tapis ? Ah oui je vois.
Je jette un regard circulaire à la pièce, remarque l'heure sur la pendule du salon et m'exclame exaspéré :
-" Et tu n'as rien de mieux à faire que de me réveiller à trois heures du matin...? J'espère pour toi que tu as une bonne excuse ou tu pourras subitement perde ton statut de meilleur ami ! "
-"Désolé vieux mais je suis venu te dire qu'aujourd'hui est LE grand jour ! "
-"Quoi ? Le grand jour ? Mais de quoi tu parles enfin ! "
Il me fixe d'un œil torve et secoue la tête de gauche à droite, désappointé.
-" Olla t'es vraiment dans les vappes ce matin, t'as oublié ? Fleur accouche aujourd'hui ! " Annonce t-il, un énorme sourire aux lèvres.
-"Quoi ? Tu n'aurait pas pu me le dire plus tôt ? " Criai-je en sautant sur mes pieds.
Et comment j'étais censé le savoir moi ?
Je m'empresse d'attraper quelques vêtements que trainent ici et là dans le salon et les enfile rapidement tandis que Ron bougonnait dans son coin en murmurant des "C'était prévu" " Pas ma fautes" "Faim..." - comme le grand glouton qu'il est-.
-"Allons-y ! " M'écriai-je en passant le pas de la porte.
Je fonçais tête baissée et bousculaient au passage quelques veilleurs qui se promenaient tandis que Ron me suivait tant bien que mal à travers les diverses ruelles qui menait à l'hôpital le plus proche.
Il s'exclama, essoufflé :
-"Ha-... Harry ! J'avais pris ma voiture tu sais ! "
Je m'arrête subitement et, dans son élan, Ron se cogne contre mon dos et tombe, fesses les premières, sur le trottoir. Il pousse une série de petits jurons étouffés mais je ne l'écoute déjà plus.
Il n'aurait pas pu le dire plus tôt ça aussi ? Enfin ce n'est pas si grave...
Je lui tends ma main et le relève en lui souriant malicieusement.
-"Tant pis pour la voiture, ça va te faire du bien de marcher, gros balourd ! "
Enfin il n'est pas vraiment gros mais avec tout ce qu'il ingurgite au repas aussi...
Ne voulant bien entendu pas me faire couper en rondelles par mon meilleur ami, je recommence à courir à vive allure, riant, tandis que Ron, rouge de honte, me poursuis en hurlant des insultes comme un charretier.
À faire la course comme ça on aurait dit des gamins... Des gamins heureux.
Je n'ai que très peu de souvenir de mon enfance, c'était il y a...tellement longtemps.
Arrivé à l'hôpital Saint-Mangouste, nous demandons le service maternité à la dame de l'accueil qui nous indique gentiment la direction à prendre pour y arriver. Nous la remercions chaleureusement et filons à la vitesse de l'éclair à l'endroit indiqué. Enfin arrivé nous cherchons la salle d'attente qui ne tarde pas à apparaitre, déjà rempli de la famille de Fleur, du clan Weasley et d'Hermione, la fiancée de Ron. Je jette un regard envieux à ce portrait de famille parfait. Aurais-je aussi de nouveau une famille ? Je soupire et regardent ensuite attentivement les personnes présentent dans la pièce.
La famille de fleur, toute constitués de blond sont aligné sur une rangée de chaise, il y a tout d'abord la petite soeur de Fleur, Gabrielle, que j'ai déjà rencontrés de nombreuse fois, c'est la copie conforme de sa grande soeur en plus petite et en moins développée. Ensuite les parents de Fleur, habillé de beaux vêtements, apparemment couteux, et de bijoux, ils ont l'air oisifs, néanmoins ce sont, d'après moi, des gens très bon et d'une gentillesse extrême.
Puis il y a toute la panoplie du clan Delacour, je n'en connais même pas le quart alors je ne pourrais dire qui est qui et qu'elle est son lien de parenté avec Fleur, mais il me semble apercevoir de vieilles personnes au fond, probablement les grands-parents - ou peut être arrière grands-parents... -. Tous parlaient entre eux avec de forts accents Français alors que les parents de Fleur, qui parlaient avec Mme. et M. Wealsey, discutaient dans un Anglais parfaits.
La deuxième partie de la salle était composé des Weasley, une famille possédant de flambante coiffure rousse qui pouvait vous faire mal aux yeux à force d'y regarder. Il y avait tout d'abord, Molly Weasley, une femme à fort caractère et aux sourires qui pourrait détruire la plus dure des convictions - après y avoir fait face, il faut dire que cette femme est impressionnante et quand elle vous dit qu'il faut prendre une autre louche de sont gratin de pomme de terre, il faut la prendre ! -, puis il y a Arthur Wealsey, son mari et le patriarche du clan.
Possédant un humour particulier, il travaille dans les affaires, où il a la réputation d'être un vrai requin, c'est un homme intéressé par tout ce qui trouve. Il peut par exemple ramasser une capsule de bouteille par terre, la ramené chez lui, et s'extasier le reste de la soirée dessus, ou encore éprouver un sentiment d'admiration pour son canard en plastique, qu'il voit d'ailleurs tous les jours mais qui ne s'en lasse pas.
Bref les manies étranges d'Arthur et l'effrayant pouvoir de persuasion de Molly n'en faisait pas d'eux des cas sociaux. En effet ce sont des gens charmants qui n'hésitent pas à dirent ce qu'ils trouvent injustes et à exprimer leurs avis sur telles ou telles choses, ce sont des fonceurs qui n'ont pas froid aux yeux.
Ensuite vient le tour de Bill, qui n'est d'ailleurs pas dans la pièce puisque c'est le mari de Fleur. Bill est un homme des plus sympathique, qui sait sourire à toutes occasions qu'elle soit et qui possèdent un don pour la musique. Pianiste professionnel, c'est lors d'un de ces concerts en Europe et plus particulièrement en France que Bill avait rencontré la jeune et sublime Fleur Delacour. Fille d'aristocrate, elle était envié pour sa beauté et son argent qui dépassait l'entendement, et Bill, subjugué, n'avait pas hésité à lui faire la cour. Et c'est ainsi que, quelque mois plus tard, Fleur se retrouvait la bague au doigt et un adorable bébé en route.
Puis il y a Charlie, il n'est pas souvent à la demeure familiale à cause de son métier d'archéologue et ne peut donc pas faire à chaque fois d'aller-retour à l'autre bout du monde. Je n'ai rencontré Charlie que quelques fois et pourtant je peux affirmer qu'il aime vraiment son travail. Il est passionné par la mythologie, et l'histoire fantastique qu'on raconte dans les pays lointains, et lui et Arthur font la paire de chercheurs, même si, comparer à son père, Charlie s'intéresse aux choses avec plus de valeur ancestrale qu'a un vulgaire canard en plastique.
Alors vint le tour des jumeaux, Fred et George, de véritable démon des affaires. Ils peuvent vous convaincre d'acheter un aspirateur cassé qui ne vous sert totalement à rien, juste pour la décoration. Ce sont de vrai maniaque des affaires et ils ont hérité du pouvoir de persuasion de leur mère et de la facilité en affaire de leur père, donc, comme ils le diront surement : " tout bénef' quoi ! ".
Puis, notre adorable petit couple en herbe Ron et Hermione. Ces deux-là sont inséparables ! Et je peux vous le confirmer - puisque j'ai déjà testé - qu'ils ne se décolleront pas de sitôt. Ron a demandé la main d'Hermione alors qu'ils étaient encore aux lycées, comme quoi il n'a pas perdu son temps, et la jeune femme c'était fait une joie d'accepter. À présent qu'ils ont tous deux finis leurs études ils vont pouvoirs organiser les préparatifs de leur mariage. Bien sûr, les familles des mariés vont aider et tout faire pour que tous soient près l'heure venu. Et moi je serais le témoin de Ron. Si je ne suis pas parti avant.
Je ferme douloureusement les yeux. Ne pense pas à la séparation, ne pense pas à la séparation, ne pense pas à...
-"Harry ? Tu vas bien ? " Me parvint la voix inquiète d'Hermione.
J'acquiesce et lui fait un faible sourire, qui ne la rassure pas pour autant. Elle me fixe avec suspicion, puis finalement hausse les épaules et retourne à sa séance d'embrassade avec Ron. Je soupire, à quoi bon m'apitoyer sur mon sort, ce sera fait. Comme toutes les autres fois.
Avec tout ça j'ai failli oublier la petite dernière ! J'avise Ginny au fond de la salle, en pleine discussion avec un bel homme aux cheveux blond cendré. Bon je crois que ce n'est pas la peine de dire que Ginny est une femme-cougard, enfin façon de parler bien entendu. La jeune fille, tout juste sortit d'une grande université, avait, de ce que j'en sais, ouvert un salon de coiffure avec une de ces amies dans une grande rue de Londres et apparemment son commerce se portait bien vu son air réjouit - à moins que ce ne soit sa discution passionnante avec le jeune homme, qui sait ? - .
Je passe le bonjour à mes connaissances présentes dans la pièce, leur sourit, les enlacent, leur fait la bise, leur serre la main ou encore les salue dans simple geste de tête. Tous avait l'air vraisemblablement heureux qu'un nouveau membre rejoigne les familles et tous attendait avec impatience de voir la " petite merveille ".
J'attendais aussi dans cette cacophonie joyeuse, j'étais à ma place, parmi des gens simples, une situation simple, des émotions simples, je vis une vie normale. Ou presque.
Près d'une heure après, les portes s'ouvrèrent et une petite infirmière se dirigea droite vers nous. Des cris de bébé se faisait entendre derrière et aussitôt des sourires s'affichèrent sur le visage rayonnant de tous, une nouvelle vie était née.
Une de plus. Une autre vie qui rejoint le monde. Ce bébé vivra, grandira et mourra. Ce sont le cours des choses. Malheureusement les choses ne sont pas faite ainsi pour tous. Ou plutôt pour moi. Je ne vieillit pas, je ne meurs pas. C'est ainsi mon cycle. Mon cycle sans fin.
Une vie, je suis en vie. Et je le regrette. J'ai top vécu, j'ai trop vu, j'ai trop regardé. J'aimerais vieillir auprès des personnes auquel je tiens, que je ne sois pas obligé à fuir comme un lâche pour cacher cet horrible secret. Imaginez la torture de voir mourir les personnes que l'on aime s'éteindre alors que vous, vous ne pouvons rien faire, rien faire de plus que de les regarder périr. Oh Sirius, Remus...
Les mouvements aux alentours interrompe le cours de mes pensées. Toute la famille s'empresse vers la chambre de Fleur et dans la cohue générale, je tombe à la renverse.
Mais par miracle Ron - grand, beau Ron - m'empêche de me faire défigurer en me rattrapant à tant puis, avec un énorme sourire et une pointe d'amusement, il me susurre :
-" Allons Harry, faut pas tomber dans les pommes maintenant ! "
Je grogne en guise de réponse et me dégage de sa poigne, légèrement vexé. Je suis le groupe jusqu'à la chambre de Fleur, quelque peu énervé.
Arrivé à la porte, j'entends, j'entends des "oh" et des "ah" réjouis, des soupirs de bonheur, des évanouissements - si, si je vous assure ! - et des remarques sur le "petit ange " .
Tous entouraient à présent la maman qui tenait contre elle un tout petit bout d'être, qui dormait paisiblement peloté contre la poitrine de sa mère. Non loin de se portrait de bonheur Bill, le nouveau papa, fixait avec tendresse sa femme et son enfant en caressant doucement les cheveux doré de Fleur qui s'étendaient gracieusement contre l'oreiller.
Perdu dans mes pensées je ne remarque Ron que quand il m'attrape subitement le bras, le compresse avec force comme un vulgaire chiffon et s'exclame bruyamment :
- " ÇA y est je suis Tonton ! Je suis Tonton Harry, tu te rends compte ? Tonton, Tonton,Tonton, ton... " sautilla-t-il, mué d'un bonheur pratiquement parfait.
-" Ron j'ai compris pas la peine du répété cent fois ! " Sifflai-je, en me dégagent de sa pseudo étreinte.
Il me fixe légèrement dubitatif, fronce les sourcils face à mes soudains éclats de voix puis hausse finalement les épaules en se tournant vers Hermione, qui regardait le couple et le bébé, les étoiles dans les yeux.
- " Dis Hermione c'est quand que nous aussi on a un bébé ? "
La jeune femme ouvrir la bouche, la referme, l'ouvre, la referme, et ainsi de suite comme un poisson hors de l'eau tandis que je pouffe discrètement, ne voulant pas vexée Ron qui regarde à présent Hermione comme si elle allait lui donner son premier cadeau de Noël. Après avoir repris ces esprits, Hermione plonge sur Ron - comme un prédateur sur sa proie - et démarre un baiser endiablé.
Je leur lance un regard torve et sort de la chambre légèrement écœuré par cette surcharge de niaiserie. N'ayant rien de mieux à faire, je décide de visité l'hôpital de fond en comble, après tout, pourquoi pas ?
Voilà, bon c'est vrai que la fin laisse à désiré je dois dire mais j'ai du couper alors ce n'est pas la chose la plus pratique.
Donc eh bien au revoir, n'hésiter pas à me poser des questions, je me ferais une joie d'y répondre !
