Merci à tous ceux qui prennent le temps de lire et de commenter ces fanfictions, les retours sont toujours agréables.

Je voudrais remercier tout particulièrement Hazell'd dont toutes les histoires sont une source d'inspiration ainsi que pour les échanges que l'on peut avoir.

Concernant cette histoire, pas d'enquête à l'horizon, mon imagination manquant d'originalité. Juste de la romance (je suis désolée mais je suis tellement fan de ce couple...)

Quelque part dans l'archipel de Zanzibar…

- Consuela Cutter, cela sonne divinement bien non ?

Positionné au-dessus de celle qui était depuis 72 heures sa femme, Mike déposait toute une série de tendres baisers sur sa peau nue.

- Hum à propos de ça…

Mike releva la tête pour la regarder d'un air interrogateur.

- Je pensais plutôt garder mon nom. Ton nom est connu et reconnu et je ne veux pas que l'on me considère comme étant « la femme de… ».

Mike ne répondit pas et son visage affichait une expression indéchiffrable. Il s'exprima finalement :

- Tu as raison, à près tout ce n'est pas juste que ce soit les femmes qui doivent abandonner leur nom. Tu as construit ta carrière avec ton nom. Tu as tous les droits de vouloir le garder et d'en être fière.

Il se pencha pour l'embrasser tendrement. Lui retournant son baiser, Connie ajouta en riant :

- Je ne te savais pas si enclin à défendre le droit des femmes. Mon mari est décidément une perle rare… Hum j'adore pouvoir dire que tu es mon mari.

- Ton mari est actuellement l'homme le plus heureux de la terre.

Et Mike reprit l'une de ses activités favorites, laissant une traînée de doux baisers sur le corps de sa compagne. Elle gémit de plaisir, sentant le désir l'envahir une énième fois…

- Mike… souffla-t-elle, ce n'est pas que je n'apprécie pas ce que l'on est en train de faire mais on devrait sortir de ce lit… Mike la fit taire d'un exquis baiser. Je suis sérieuse, Mike. On ne peut pas passer toute notre lune de miel dans ce lit.

- Hummm les lunes de miel sont faites pour cela… protesta Mike, absolument non disposé à arrêter.

- Nous sommes dans un endroit paradisiaque Mike ! Il faut qu'on aille le découvrir !

- Toi et moi dans un lit, c'est ma définition du paradis…

- Oh non Mike, tes flatteries ne suffiront pas cette fois. Et puis cela ferait tellement cliché si dans 9 mois, un petit Cutter pointe le bout de son nez…

A ces paroles, Mike s'arrêta immédiatement mais un large sourire éclairait son visage.

- Quoi ?

- Rien… Enfin si. Je pensais… Et si dans peu de temps tu arrêtais de prendre la pilule ?

En entendant son mari prononcer ces paroles, les yeux de Connie se remplirent de larmes de joie, elle balbutia…

- Mike, tu es sérieux ?

- Oui. Je me sens prêt à devenir père. Je pense que c'est le bon moment. Je veux dire, on a tout pour rendre notre enfant heureux et notre maison serait parfaite pour l'élever.

Connie irradiait littéralement de bonheur. Ses rêves se concrétisaient : elle avait une carrière professionnelle qui la rendait fière d'elle-même, Mike et elle avaient finalement pris la décision de déménager et de s'acheter une maison. Et plus que toute autre chose, elle avait un mari qu'elle aimait éperdument, qui en retour l'aimait tout autant et qui comme il lui avait dit le jour de sa demande en mariage voulait l'aider à réaliser ses rêves, notamment celui de fonder une famille et d'avoir des enfants.

- Je t'aime Michael Cutter. Plus que tout.

L'attirant à elle, Connie l'embrassa profondément.

- Et je t'aime Consuela Rubirosa.

Malgré sa volonté de quitter les bras de son mari, Connie s'abandonna une nouvelle fois à lui…