Voilà, un chapitre d'exposition destiné à vous familiariser avec le style "San-Antonien". Je sais, c'est court mais je ne sais pas si l'idée va plaire donc je me tâte encore pour savoir si je continue. En revanche, si les reviews suivent je poursuivrait l'histoire avec grand plaisir. ;)
Chapitre 1
De Bien Curieuses Révélations
Il est cinq heures et Paris s'éveille, enfin... surtoute moite en fait. Et ça, les amis, c'est pas par gaieté de cœur mais parce que ma tocante c'est mise et jouer Ding Dong avec ses roubignoles. Et si cette dernière c'est mise à sonner à cinq heure du mat, c'est parce que le chef ma demander de pointer visa au poste ce matin et que je l'ai réglée la veille. Du coup je doit être para six heure au commissariat. J'attrape l'importune de sur ma table de chevet, je la passe au poignet et je me transporte délicatement jusqu'à la salle de bain.
Un brève douche et deux trois fémineries plus tard je suis fin prêt à allé au bureau pour prendre connaissance de la mission spéciale que The Big Boss m'a préparé.
Et bien vous z'allez pô me croire mais le commissariat est aussi vide que l'anus d'un lavé de l'estomaque. C'est zarb', because généralement, à six heure du mat' on croise tout les ptits' jeunots du service de nuit qui se casses pour allés faire « pion sept » ou s'occuper de leur mégère.
En réalité, je les retrouve tous a la morgue, pas qui z'ont étés refroidis (Z'imaginez, la galère ?) mais que le cadavre qui y est entreposé aujourd'hui est assez bouleversifiant. La donzelle qui repose là, bien que pas particulièrement célestique, est tout de même à tomber. Son gabarit indescriptible, est encore plus imposant que celui de Béru et de la grosse Berthe réunit. Cette môdame là, doit bien faire dans les 2m20 et peser ça part de lictogramme. En toute évidence, elle a du recevoir une bonne dose de lait maternel concentré étant petite. Voir un cadavre comme ça, ça foutrai la pétoche à un fossoyeur aveugle. Sur son corps herculéen, les marques bleues, en provenance de contusions-land, prouve qu'un poids extrêmement lourd lui est tombée « in the face ». Rassurez-voute, Sir San-Antonio à déjà vu son lot de cadavre mais z'il n'est pas capable de faire un constat si redoutable d'un simple coup d'œil. C'est Mathias, notre apprenti docteur Frankenstein, qui à ausculté la donzelle et en a déduis la façon dont son âme c'est détaché de son corps pour rejoindre « the god » et tout le saint frusquin. Je bigle en direction du chef et lui fait signe qu'un peu d'air en cette matinée de septembre me ferait le plus grand bien. C'est un pote le boss. Il saisit au vole ce que j'lui signifiâte et il fait décarrer tous ces petits galopins qui se prennent pour des flics alors qu'ils ne sont encore que des bleus a peine sevrés.
Nous voilà tous trois seuls, Bibi, Mathias and the boss.
"Antonio, voilà des emmerdes pour vous, concède t'il immédiatement." Père Antonio n'a pas vraiment envie de faire durer le suspense. Du coup pour accélérer la chose j'en vient direct aux faits.
"Qui c'est la colossale morte ? Je demande.
- Elle se nomme Olympe Maxime. Elle est la directrice d'un de nos plus secret établissement privé." Secret ? Privé ? Voilà que ma curiosité s'en mêle maintenant.
"Quelle z'établissement chef ? Pas un de ceux qui font renoncer, à de merveilleuses souris, les plaisirs de la vie ?
- Non non, l'établissement en question forment des souris un peux spéciales voyez-vous ? Ils s'agit de Beauxbâtons."
Voilà un nom qui ne me dit rien. Je ne crois pas connaître. Et pourtant j'en ai couru des établissements privé. C'est dans ceux là qu'on trouve les plus girondes des gueuses.
"On ne les forment tout de même pas à la turlute j'espère ?
- Ecoutez San-A, Vous ne devrez rien dévoiler de tout ça ni vous moquer de moi. Prépare t'il. Les matières enseignées traites toutes de magie."
Pour le coup, il me fout sur le cul le boss, lui qui d'habitude est plutôt boulimique de rationalité. Malheureusement pour lui, je suis un béotien du sujet moi, alors il va devoir m'expliquer. Il se lance dans le récit de tous ce qu'il me faut savoir concernant l'école. J'en suis comme deux ronds de flans et je vois que lui, ça lui fait mal de continuer. Pourtant, faire des confidences de ce genre ça ferait mouiller une concierge.
"Et qu'est ce que les services de police classiques viennent faire la-dedans ? Je demande une fois qu'il a finish. Vos gus n'ont pas une assoce spéciale pour s'occuper de ça ?
- Ils ne veulent pas leur faire confiance, l'affaire est trop grave, ils demandent le meilleur des enquêteurs français. Qu'il soit sorcier ou... moldu."
Je suis flatté mais bon... J'assurerai bien au boss que la mienne n'est aucunement molle du quoi que ce soit.
"Et le pire Sana, c'est que vous allez devoir partir en Angleterre."
Putain, j'en ai les jambes qui flageoles. C'est pas que l'Angleterre ça fasse découvrir la pluie, y'en a aussi à Paris et même de la bien plus belle, mais plutôt parce que je ne vois guère le rapport. Le boss capte aussitôt et poursuit.
"Le meurtre s'est déroulé à Poudlard, c'est une école similaire à Beauxbâton mais en Angleterre. Ces écoles sont fréquemment misent en rivalité voyez-vous ? Et le meurtre de la directrice de Beauxbâton commis à Poudlard soulève la théorie de la conspiration. Hors Poudlard, veut se discréditer. C'est pourquoi, le directeur de l'école demande notre meilleur agent pour dénoué l'affaire.
- Mais s'il me demande, c'est qu'il n'ont rien à se reprocher ?
- Vous me décevez San-Antonio, c'est peu être une ruse. Quoi qu'il en soit vous devez y aller. Dumbledore, le directeur est prévenu de votre visite. Il a déjà prévu une couverture pour vous. Seul quelques professeurs seront au courant de votre véritable venu a Poudlard.
- Ah, fit-je bêtement."
C'est qu'il est pas trop habitué à tous ça le bibi. Déjouer une cabale dans un lycée magique. Voilà qui vous flanche de la tourniquette des méninges pendant un bon bout de temps. Pendant que je réfléchis, le patron ce fait la male et c'est Mathias qui me file le dossier. Pas grand chose pour m'aider. Comme dit précédemment, la greluche c'est faite écraser par un gros machin que l'on n'a pas pu identifier. Le reste c'est que du banale. Avec le dossier on me file deux billets de train, y'a une correspondance à Londre, c'est bath ça me permettra de prendre contact avec le milieu rosbif et de m'accoutumer à la langue (mais rassurez-vous, le bouquin continue en french, merci à l'auteur). Comme j'ai pas trop le temps de traîner, je dit goodbye au rouquin, prénommé Mathias ceux qui connaisse pas, et par rejoindre le stand de tir ou l'armurier d'aujourd'hui me refile mon pote Tu-tues préféré. Le pote Tu-tues, comme je l'appelle, ces pas un giro-fard ultra-sophistiqué de la police parisienne. Dans c'est plutôt un petit Glock 9mm qui m'aide souvent a converser avec les méchant garnements. Ce sera ma petite baguette magique a moi pendant ce séjour (la grosse restant pour l'instant dans mon falzar). J'reprend visa ma Toto-mobile et je fonce direction de la gare para harponner le grand métro. C'est pas tous les jours que l'on apprend que la magie c'est pas que dans les livres pour enfants et chez Walt Disney, alors moi j'veux pas rater mon entrée.
Merci d'avoir lu. Si vous avez aimés, à vos clavier.
