Le chaotique destructeur…

infini

Dans la forêt d'arbres

Ils étaient tous de marbre,

Et le gris merle

Chantait à sa perle.

Traqué comme une souris grise

Le prédateur en était devenu la proie

Ainsi l'homme tenait sa prise

Et le loup en perdrait son toit.

L'homme tout ravageant,

Sans se soucier

D'aucun l'entourant

Dans une perte pour l'éternité.

Et la déchéance s'en suivit

En y bannissant la vie

Pour nous punir même dans la mort

Ainsi nous aurons mérité notre sort.

Il est dit que la rédemption

Ne s'obtiens que par le passage dans ces lieux sacrés,

Dit enfer, plein de déception…

Mais ceux qui en sont devenus, s'en sont nos prés…

La vérité en est,

Que les dit havres de paix

Ne sont qu'absurdités

Créés pour nous faire croire en une fausse sérénité…

La peur en est la vie,

Le repos en est la mort,

Jadis les étoiles vivaient dans la nuit,

Maintenant elles subissent nos torts.

Le sang doit être versé

Pour que notre salut nous soit accordé,

Pour que les âmes soient réunies

Dans la tranquillité

infini…

La destruction,

Doit précéder la réunification

Pour ainsi reconstruire,

Un monde impossible à détruire.

La création,

Nécessitera l'absolution

Sans quoi se sera la mélodie,

Celle d'un chaos

infini…

Si par malheur,

Par faute, l'équilibre est brisé,

L'espoir se sera envolé,

Et tout ne sera que peur.

Ainsi il aura eu sa vengeance

Lui tout en haut qui reçoit nos louanges,

Ainsi nous aurons eu notre chance

D'être parmi les anges.

Qui donc sera à la fin?

Pour suffire à sa faim,

Malheur, terreur, ironie

Conspiration, annihilation, trahison... souffrance, qu'il en soit ainsi…

MAVQuintin