Cette fic est mon cadeau de Noël!
Il y aura une suite, le 31 décembre!
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Ca aurait pu être pire.
C'est-ce que je me répétais sans cesse en revêtant mon costume.
Jasper et moi nous étions fait surprendre par le shérif à fumer du hash au fond d'une impasse déserte le vendredi précédent.
Comme le shérif connaissait mon père il avait accepté de ne pas engager de poursuites contre nous contre la promesse de mes parents de se charger de nous remettre dans le droit chemin.
Nous n'étions pas des consommateurs importants ni même réguliers et mes parents avaient accepté de nous croire.
Mais ils avaient voulu marquer le coup.
J'avais 17 ans et demi et je devais me plier aux règles de mes parents.
J'avais de la chance, je le savais parfaitement. Mes parents étaient cools, aimants, sympas.
Ils n'avaient rien dit aux parents de Jasper.
Jazz était à la fois mon meilleur ami, le petit ami de ma sœur Alice et le frère de Rosalie, la petite amie de mon frère ainé Emmett.
Mes parents avaient décidé qu'un peu de bénévolat nous ferait le plus grand bien.
Je soupirais à nouveau.
Mon père connaissait bien le directeur de ce centre commercial, qui avait été ravi de l'aubaine.
C'est pourquoi, en ce 24 décembre Jazz et moi étions en train de revêtir chacun un costume de Père Noël, pour ensuite aller affronter une horde sauvage de gamins et poser avec eux sur les genoux pour de jolies photos…Gratuitement, bien entendu!
Il y avait deux stands de photos, et Jasper serait à celui de l'entrée nord, moi à celui de l'entrée sud.
Jasper avait de la chance dans son malheur. Alice s'était portée volontaire pour jouer le rôle de son petit lutin.
Quand nous sortîmes, Jasp' et moi du vestiaire homme, nous sourîmes en même temps.
Alice avait un peu revisité la traditionnelle tenue du lutin.
Elle portait un collant rouge, des bottes noires et une tunique verte qu'elle avait ceinturé.
Son petit bonnet rouge faisait ressortir ses mèches brunes et son sourire malicieux.
Jasper se colla contre elle et repoussa sa fausse barbe pour échanger un baiser.
Je levais les yeux au ciel.
J'étais célibataire et mon meilleur ami et ma sœur n'avaient pas pitié de moi, s'embrassant sans cesse devant moi.
J'entendis une petite toux et relevai la tête.
Un deuxième lutin du Père Noël se tenait devant moi.
Elle portait la même tenue qu'Alice et je compris que ma sœur était passée par là…
Je restais hypnotisé par ses longues boucles châtains, ses yeux couleur chocolat qui avaient une profondeur absolument intense, et surtout par l'ovale parfait de son visage. Elle était rouge et se mordillait la lèvre inférieure.
L'attitude passionnée de Jasper et Alice la gênait visiblement.
Je déglutis et réussis à ne pas fixer ,enfin, pas trop longtemps, son décolleté et ses jambes…
« euh, salut, moi c'est Edward, je pense que tu seras mon lutin! »
« oui je pense. C'est toi le frère d'Alice? Moi c'est Bella »
Je retirai ma barbe un instant ,parce que j'avais envie qu'elle voit à quoi je ressemblais.
Cette fille me faisait un sacré effet, et je savais ce que je voulais pour Noël.
Elle.
Nue, et entourée d'un joli nœud rouge.
Que je retirerai avec les dents…
Alice se décolla finalement de Jasper et fit les présentations:
« Bella, voilà donc ton Père Noël de cet après-midi, mon grand frère Edward, il est sympa mais ne fume pas ce qu'il te donnera, sauf si tu veux voir voler des éléphants! Edward ,c 'est amusant Bella a pile un mois de moins que moi! Elle a eu 16 ans le 13 septembre et »
« Lili, on devrait y aller là je crois »
La coupa gentiment Jasper.
Ils s'éloignèrent en se tenant par la main et je remis ma fausse barbe en soupirant.
Mais cette après-midi à jouer les Père Noël m'apparaissait beaucoup moins barbante maintenant que mon lutin était auprès de moi.
« ça te plait de faire le lutin? »
Demandais-je pour rompre le silence pendant que nous nous dirigions vers l'entrée sud, une meute d'enfant déjà à nos trousses.
« ce n'est pas très bien payé mais c'est toujours ça, et ça va rendre des enfants heureux, alors oui, ça me fait plaisir! »
Je n'avais pas envisagé les choses sous cet angle…
« c'est Alice qui t'a fait habiller comme ça? »
« oui, normalement il y a un pantalon à la tenue mais elle m'a dit que ce serait mieux sans »
J'étais complètement d'accord avec ma sœur…
« j'espère que ma sœur ne t'a pas trop traumatisée, elle peut-être terrifiante quand il s'agit de mode! »
Elle me sourit:
« oui j'ai vu ça! Mais non elle a été sympa! »
Je m'installais sur le banc du traineau du Père Noël et tentais de survivre au premier gosse qu'on me colla sur les genoux, un petit blondinet qui essaya de me retirer ma barbe avec beaucoup d'obstination.
Bella vint à ma rescousse et je jetai un œil dans son joli décolleté quand elle tenta de raisonner le diablotin.
Je remarquai que plusieurs pères de famille aurait volontiers confié leurs gosses au photographe et à moi le restant de l'après-midi, pour aller s'amuser un peu avec mon petit lutin.
Mais pas touche! C'était MON petit lutin.
L'après-midi fut éprouvante à bien des égards.
D'abord je crevais de chaleur sous mon costume, la barbe me grattait et j'avais affreusement soif.
Les gamins étaient soit terrorisés soit un peu trop entreprenants et je reçus force de coups de pied.
Mais le plus dur fut de cacher l'effet que Bella faisait sur ma virilité…
Elle aussi devait avoir chaud, elle était de plus en plus rouge et la transpiration faisait coller sa blouse verte contre sa poitrine.
Je remarquai que plusieurs hommes sans enfants restaient un long moment à nous regarder, ou plutôt à regarder Bella s'occuper de calmer les gosses dans la file d'attente, de distribuer des bonbons et d'asseoir le petits sur mes genoux.
J'étais coincé sur ce traineau et j'aurais tout donné pour que Bella s'assied sur mes genoux à son tour.
A 20h00 le centre commercial ferma ses portes et je poussais un soupir de soulagement.
Bella et moi nous dirigeâmes vers les vestiaires, en retard car le photographe ne retrouvait plus ses clés et nous l'avons aidé à les chercher,avant qu'il ne se souvienne qu'il ne les avait pas prise puisque c'était sa femme qui l'avait déposé en voiture...
Jasper et Alice en sortaient, main dans la main, déjà revêtus de leurs costumes civils.
Jasper me sourit:
« on se retrouve chez toi Ed, ne sois pas en retard, ta mère a fait du saumon en croute! »
J'adorais le saumon en croute.
Mais Bella me faisait plus envie encore que le saumon…
Je décidais de jouer le tout pour le tout et passais ma main sur sa joue.
J'en avais envie depuis le début de l'après-midi et sa peau était aussi douce, chaude et élastique que je l'avais imaginé.
Elle rougit encore plus sous la caresse et baissa les yeux.
Je prit son menton entre deux doigts et lui souleva la tête.
« Bella…tu me fais craquer! Tu es aussi tentante que du chocolat…et je peux te dire que j'adore le chocolat »
Je me penchai pour aller trouver ses lèvres et elle gémit quand ma langue caressa sa lèvre inférieure.
Elle répondit au baiser et je la plaquais contre le mur le plus proche.
Ses lèvres étaient terriblement douces et sa langue était tout simplement érotique.
J'appuyais volontairement ma virilité tendue contre son ventre et elle se colla encore plus à moi en grognant.
J'allais enfin trouver ses seins et je les caressais tendrement par-dessus la blouse de lutin.
Ce bout de tissu était agaçant et je poussais Bella dans le vestiaire des hommes, qui était désert.
Elle me fixa, l'air à la fois gêné et excité.
Je lui défis sa ceinture avec impatience et la balançais par terre en lui souriant d'un air carnassier.
« tu sais qu'on est le soir de Noël, tu es censé avoir beaucoup de travail »
Me murmura-t-elle d'un ton faussement innocent que je trouvais particulièrement érotique…
« rien à faire des cadeaux et des rennes, là tout ce que je veux c'est me taper mon adorable petit lutin… »
Elle se mit à rire et je commençais à défaire les boutons de sa blouse.
Elle leva les bras quand je la soulevais pour la lui enlever et je gémis en découvrant ses seins magnifiques dans un soutien gorge en dentelle noire.
Je laissais ma langue courir le long de sa mâchoire puis de son cou, avant de gouter la douceur de sa peau dans le sillon entre ses seins.
Je la regardais dégrafer son soutien gorge, et quand il tomba à ses pieds je sus que j'avais sous les yeux le plus beau des cadeaux de Noël.
Ses seins étaient sublimes, parfaits, à me faire perdre la tête.
Je les pris dans mes mains et elle haleta sous la caresse.
Je brusquais alors un peu les choses parce que j'avais peur d'exploser dans mon pantalon…
Je fis glisser ses collants le long de sas hanches, elle se tortilla pour les enlever en même temps que ses bottes.
Elle resta debout devant moi, seulement vêtue d'un string noir qui me rendait fou.
Ses hanches, son ventre, ses cuisses…Tout me plaisait , tout me rendait dingue.
Elle me sourit et commença à dégrafer mon costume.
Je m'en débarrassais rapidement et bientôt je fut debout face à elle, portant seulement mon boxer, qui ne cachait rien de l'érection monstrueuse qu'elle me déclenchait et qui devenait douloureuse…
Je fis rouler son string le long de ses hanches et m'accroupis pour le lui ôter.
Je contemplais son pubis, caressais la douce toison et glissais deux doigts en elle, la faisant gémir à nouveau. Elle était très mouillée et je retirai mes deux doigt couverts de son désir.
Plantant mon regard dans le sien je léchais consciencieusement mes doigts et vint ensuite reprendre ses lèvres, pour qu'elle puisse gouter son désir sur ma langue.
Elle baissa mon boxer tout en m'embrassant et je gémis à mon tour en sentant ses doigts venir enfin enserrer ma queue dure come un roc.
Elle quitta ma bouche pour regarder ce qu'elle faisait et je la vis faire tournoyer son pouce sur mon gland, pour en faire sortit le liquide séminal. Ensuite elle porta son pouce à sa bouche et le téta longuement ,ses yeux encrés aux miens.
Je l'attrapais alors et la déposais sur l'étagère la plus basse, qui m'arrivait à la taille.
Elle écarta largement les jambes, posant ses pieds de chaque coté de mes hanches sur l'étroite étagère.
J'avais une vue parfaite sur sa féminité et je glissais à nouveau deux doigts dans son minou brulant.
« Edward! Ne me fais pas languir! »
Je m'approchais d'elle, la queue tendue mais elle me souffla:
« tu as un préservatif? »
« oui »
Je fouillais dans la poche de mon jean et enfilais le préservatif à une allure record et ma plaça à nouveau entre ses cuisses.
La position dans laquelle elle se trouvait était très érotique, elle était totalement offerte à moi.
Je posais mes lèvres sur les siennes et présentais mon sexe devant le sien. Une première poussée me fit la pénétrer à moitié, et une deuxième me fit buter au fond de son ventre.
Nous grognâmes ensemble et elle s'accrocha à mes épaules.
Je serrais ses hanches entre mes mains et je donnais un rythme rapide.
Nos bouches toujours soudées nous nous offrions l'un à l'autre, avides d'atteindre le plaisir.
Elle était étroite et je me contrôlais pour ne pas jouir trop tôt.
Je la sentis glisser une main entre nos corps pour aller se caresser, mais je tenais à la faire jouir moi-même et j'humectais mon index pour aller stimuler son clitoris gonflé de désir.
Elle quitta ma bouche pour pleurnicher de plaisir et j'accentuais mes coups de reins, m'enfonçant toujours plus profondément en elle.
Elle cria quand le plaisir s'empara d'elle et je la regardais jouir longuement, les joues en feu, la bouche entrouverte, les yeux fermés, elle était le plus sexy de tous les petits lutins…
Je ne lui laissais pas le temps de reprendre ses esprits et la fis positionner en levrette, la soutenant d'un main, et je la pénétrais d'emblée très profondément.
Elle sa cambra et gémit un long « oui » de plaisir qui acheva de me mettre en transe.
Je poussais en elle vivement et je partis très vite dans les profondeurs abyssales d'un plaisir rarement atteint tant il était intense.
Je me retirais d'elle après avoir joui et nous nous serrâmes l'un contre l'autre, en sueur, haletants, riants et heureux.
Nous nous rhabillâmes rapidement et nous sortîmes main dans la main.
Le centre commercial était désert et c'est le vigile de nuit qui nous ouvrit la porte.
J'allais lui demander comment elle allait rentrer chez elle quand je vis une voiture de patrouille s'arrêter à notre hauteur.
Bella rougit instantanément:
« c'est mon père, il est shérif ».
Je restais figé et regardais le shérif qui nous avait arrêté, Jasper et moi, la semaine précédente, me dévisager d'un air incrédule tandis que Bella me déposait un bisou sur la joue en me disant d'un ton enjoué:
« Joyeux Noël Edward! »
Je me ressaisis et lui offris un grand sourire:
« Joyeux Noël ma puce! Je t'appelle demain! »
Elle rosit et je me hâtais vers ma voiture.
J'adorais le Père Noël.
Il avait une ironie qui me plaisait particulièrement…
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Je vous souhaite à tous un trés bon Noël avec tous vos proches, plein de cadeau et de chocolat!
Moi je sais ce qui aurait été bien: un Rob en chocolat! miam!
