Hellooow ! Comment allez-vous? Moi super ^^ Mais nous ne sommes pas ici pour bavasser.

Alors juste quelques mots messieurs dames. Les personnages présents ne m'appartiennent pas. Les concernés se reconnaitrons sûrement !

Sooo... Enjoy, or not !

Extrait d'un petit journal de province française:

Le sinistre tueur en série court toujours...
La police n'arrive pas à l'attraper, ne trouvant aucuns indices. Juste des cadavres ensanglantés.
Le tueur parcourt toujours les routes, semant la mort.
Alors que rien ne semble vouloir le faire arrêter ou se montrer, une jeune fille raconte courageusement son histoire:
"J'avais mal à la tête... Et j'avais fais un rêve atroce... Je me suis réveillée vers une heure du matin, dit Kimi"
"J'ai vu que, pour une raison obscure, ma fenêtre était ouverte. Il faisait froid... Je l'avais pourtant fermée avant de me coucher. Les moustiques sont violents en été...
Je me suis levée pour la fermer, une fois de plus et, après avoir prit un cachet, je me suis juste glissée une fois de plus dans mes draps, essayant de me rendormir.
Mais... J'avais une étrange sensation. Comme si... Il y avait quelqu'un qui m'observait.
C'est ça.
Je sentais un regard intense sur moi.
Alors j'ai rouvert les yeux. Et j'ai regardé mes rideaux qui étaient agités d'un vent imaginaire.
Là, dans ce petit espace empli de la lueur lunaire, il y avait deux yeux.
Je me rappellerai toujours ce regard inhumain... Un regard fixe, ne semblant pas avoir de paupières.
Il était bleu comme la glace, empli d'une folie meurtrière.
C'est... quand j'ai vu sa bouche.
Un grand et horrible sourire qui me donnait la chair de poule.
La silhouette se tenait là, me regardant fixement.
Finalement après ce qui m'a semblé une monstrueuse éternité, elle m'a adressé ces simples mots.
Mots qui me glacent toujours maintenant.
Dits d'une manière aussi... Avides que seul un fou aurait pu parler.
Elle m'a dit... "Endors-toi".
J'ai hurlé.
Et elle s'est précipitée sur moi, hache à la main, visant ma gorge.
Elle a sauté au-dessus de mon lit, j'ai tenté de la repousser: Je l'ai poussée, je l'ai frappée, j'ai roulé à terre, essayant d'esquiver sa lame acérée.
Elle m'a éraflé la tempe et j'ai senti le sang couler le long de ma joue.
J'ai paniqué. Je me disais que j'allais mourir, que c'était la fin.
C'est alors que mon père est arrivé et s'est jeté sur la tueuse.
Elle a attrapé sa hache et l'a enfoncée dans l'épaule de mon père.
Elle l'aurait sans doute achevé si ma mère n'avait pas appelé la police..."
"Ils se sont battus, un policier est mort.
La femme, car s'en était une, s'est retourne et s'est enfuie dans le couloir.
Elle m'a regardé et elle a dit: Mon nom c'est Myfanwi, ne l'oublie pas, car moi je ne t'oublierai pas.
Puis elle a disparu.
J'ai entendu un fracas, comme des bruits de verre.
Je suis sortie de ma chambre et j'ai vu que la fenêtre de la cuisine avait été brisée.
Je me suis approchée pour la voir disparaître au loin... Je peux vous dire que je n'oublierai jamais ce visage.
Ces yeux froids et mauvais, et ce sourire psychotique.
Je donnerai n'importe quoi pour oublier ce que j'ai vu..."
Kimi s'est mise à sangloter et nôtre interview s'est arrêtée sur cette note horrifique.

Les policiers sont toujours à la recherche de cette femme. Si vous voyez quelqu'un qui correspond à la description dans cette histoire, s'il vous plaît, contactez votre service de police locale. Comme