O°O°O Have you ever O°O°O
Disclaimer : Comme tout le monde le sait j'espère (sinon je me demande de quel monde vous sortez ) tous les fabuleux persos du célébrissime Harry Potter (applaudissements svp ! lol) appartiennent à notre chère J.K Rowling qui ne s'est pas empêchée de tuer le beau Sirius Black (rrraaaah pk elle l'a fait !) et même l'histoire n'est pas de moi je ne fais que traduire… Elle appartient à Lady Moonglow si vous voulez aller voir l'histoire en vo il n'en tient qu'a vous !
NdT : Bon alors vous le savez je ne fais que traduire c'est la première fanfiction que je traduis et j'en ai écrit aucune (et oui je suis toute nouvelle ) mais alors ce qui me ferait le plus plaisir c'est que vous cliquiez sur le petit bouton violet « go » en bas à gauche (vous savez comment sa fonctionne j'espère…) pour m'écrire une gentille petite review pour m'encourager à traduire ce serait ADORABLE ! Merci d'avance… Donc pour parler de la fanfiction c'est une Herm/Tom que j'ai adoré et sa m'étonne que personne ne l'ait traduit pour l'instant ! Allez je vais arrêter mon blablatage et place à l'histoire !
O°O°O Chapitre 1 : A moins que O°O°O
Les yeux doux habituellement gais d'Hermione Granger brûlaient de larmes. Le réconfort habituel du bureau du directeur Albus Dumbledore avait depuis longtemps disparu, et Hermione se trouvait assise en face du directeur de Poudlard lui-même, mais en se sentant très seule. L'obtention du diplôme de sorcier d'un rouge et or vif de Gryffondor qui l'avait au départ enchantée au-delà de toutes ses espérances, complétée par son insigne spéciale de Préfète en Chef, reposait maintenant sous forme d'une boule froissée entre ses mains.
Elle ne pouvait pas croire que cela arrivait. Pas le jour de sa remise du diplôme de Poudlard. La guerre était supposée être en train de finir. Les forces des ténèbres étaient supposées s'éloigner.
Cette nuit ne pouvait pas exister.
« Hermione, » disait d'une voix profonde le vieil homme, « Tu sais, plus que je ne pourrais jamais l'exprimer, comment toi, Harry, et Ron avez été une part de notre famille, notre famille de Poudlard, pendant sept magnifiques et terribles années. »
Magnifiques, terribles. Les deux mots n'auraient pas pu être plus appropriés. Hermione se remémora affectueusement les aventures qu'elle avait eues avec ses deux meilleurs amis, des promenades à Pré-au-Lard, des farces sur les Serpentards (malgré ses protestations), de la façon dont elle pouvait juste s'asseoir, et d'être elle-même, et de se sentir on ne peut plus chez soi.
Et puis il y avait eu la guerre.
Hermione se raidit, redressant tellement sa colonne vertébrale qu'elle était voûtée contre le bois du dossier de sa chaise, se demandant pourquoi Dumbledore l'avait convoquée à son bureau, à cette heure-ci, ce jour-là, parmi tous les jours, et sans ses compagnons habituels. Elle sourit intérieurement, se détendant, en s'imaginant ce que mijotaient en ce moment Harry et Ron… littéralement. Serait-ce leur treizième ou quatorzième bouteille de Bièraubeurre ? Après tout, c'était leur dernière nuit pour réussir à briser le reste des règlements de l'école avant de faire leurs adieux et de quitter définitivement Poudlard.
Peut-être y'avait-il de la cohérence jusque dans la folie de Dumbledore.
Les pensées d'Hermione abandonnèrent Harry et Ron pour arriver à leur nuit tardive de fête. Elle avait besoin de savoir pourquoi le chef de l'Ordre du Phénix lui avait expliqué qu'absolument toutes les idées qu'avaient eues l'Ordre sur le déroulement de la guerre n'étaient pas infaillibles. Comment, au lieu de s'éloigner, Voldemort était simplement en train rassembler ses forces, en train de ressurgir, balayant le Royaume-Uni et Paris avec plus de férocité et de force que les combattants de la Lumière ne pouvaient donner en retour.
« S'il vous plaît, Mr le Directeur, je ne voudrais pas être trop directe, mais passons les formalités. Pourquoi me dites-vous cela ? Qu'est-ce que je –nous– pourrais faire ? »
Dumbledore abandonna son énorme chaise en bois poli et commença à faire les cents pas, examinant les diverses peintures, sa main tapant sur son dos, sa longue barbe grise balayant les bords de sa ceinture bordeaux et sa robe assortie. Hermione, bien qu'elle essayait du mieux qu'elle put, n'arrivait pas à effacer la vision qui traversa son esprit lorsqu'elle vit son visage : l'étincelle qui ornait ses yeux bleus malicieux avait été absente depuis des mois, et Hermione craignait qu'elle avait été remplacée définitivement par une expression perdue et défaitiste.
Plus que d'affronter des Mangemorts, plus que se battre en duel pour sa vie, plus que de résister à Lord Voldemort avec Harry, le visage de Dumbledore envoyait des frissons de pure terreur aux nerfs d'Hermione.
Ils allaient perdre cette guerre.
Si le seul homme –le seul homme que Voldemort aurait craint- avait peur, non pas pour lui-même, mais pour le sort de ceux de son entourage, quoi d'autre Hermione était-elle supposée en déduire ?
« Je crains que le résultat de la prochaine contre-attaque de Lord Voldemort mette fin à nos vies comme nous le savons. » dit Dumbledore d'une voix profonde, les yeux encore rivés sur un portrait d'enfants riants et habillés de vêtements d'époque. Le petit garçon de la peinture était en train de tirer la langue et de rigoler. « Je n'ai pas fait part de mes opinions aux élèves parce que, dans ce cas, ce qu'ils ne connaîtront pas ne les blessera pas. » Il se retourna, effectuant les derniers pas le ramenant à son siège et l'énorme bureau.
Quelle pensée amusante. Quelles autres choses « ne nous ont pas blessées parce qu'on ne les connaissait pas » tout au long de l'année ? Hermione fit disparaître le nœud de son estomac et sa vive peur pour sourire joyeusement à Dumbledore. « Alors… Quelles brillantes options n'avons-nous pas mises en pratique ? » Une pensée, bien que négative, traversa soudainement son esprit. « Et la prophétie ? Harry peut encore tuer Voldemort ! »
« Oui, ou vice-versa. » soupira Dumbledore. « Mais réfléchissez, Mlle Granger. Réfléchissez aux pertes. Lord Voldemort a amassé une armée bien plus grande qu'aucune que ne pourra jamais être regroupée par les forces de la Lumière. Les géants, les gobelins, les Détraqueurs, les créatures des ténèbres des forêts transylvaniennes… Vous les avez vus, Mlle Granger, vous connaissez leurs énormes effectifs et leur penchant pour tuer. Vous pensez vraiment qu'ils cesseront leurs combats si Harry vainquait Voldemort ?
Les TIC TOC TIC TOC bruyants et exécrables de l'horloge moldue de grand-père de Dumbledore poussaient Hermione au bord de la folie, et pendant un moment elle pensait à ramasser sa baguette et de faire exploser l'horloge en question à l'autre bout du château avec un Reducto.
Après tout, c'était la nuit de remise des diplômes.
Et elle allait mourir, de toute manière.
Si Dumbledore pensait que tout était perdu, alors tout était perdu. Pourquoi ne pas continuer en utilisant un sort illégal ? Pourquoi il leur avait été appris si ce n'était pour l'utiliser par la suite ?
« A moins que… » ajouta Dumbledore sérieusement, solennellement.
Etrangement, toutefois, Hermione sentit l'humeur menaçante et morne de la salle entière s'adoucir considérablement avec ces trois petits mots. A moins que. Cela voulait dire qu'il restait une chance, même mince. A moins que, à moins que, à moins que. Il y avait de l'espoir !
« A moins que… ? »
« A moins que, » Dumbledore étendit le bras vers un tiroir invisible et en sortit un livre ancien, poussiéreux, usé, relié en cuir et le posa sur son bureau avec un BOUM ! La reliure d'un gris délavé avait l'air prête à se détacher, et plusieurs bords du parchemin jauni avaient brûlé et noirci jusqu'à rendre impossible le déchiffrage, « nous arrêtions le problème à sa racine »
La curiosité d'Hermione fut piquée, toute peur de mourir s'envola comme une plume, et elle se pencha au-dessus du bureau malgré-elle, sa cape de Gryffondor de remise de diplômes tomba sans que sa propriétaire ne s'en rende compte. Hermione pencha légèrement sa tête vers la droite, essayant de lire la calligraphie estompée imprimée sur la couverture du livre.
Elle sentit ses cheveux, parfumés faiblement par son shampooing pomme cannelle de sa douche matinale, tomber légèrement sur sa joue, assombrissant partiellement la vision de son œil gauche, mais ça lui était égal. Pendant les deux dernières années, son bazar crépu s'était lentement estompé pour laisser place à des jolies boucles d'un brun sombre et sans frisettes, Hermione ne se battait plus chaque matin contre ses cheveux, à la place elle les laissait sécher directement après la douche, chaque boucle gardant un peu de son aspect mouillé.
Ce qui faisait, considérant le tout, une affaire plus maîtrisable, et c'était tout ce qui importait Hermione, bien que Lavande Brown ait commencé à se plaindre car elle voulait se boucler les cheveux « pour qu'ils soient aussi mignons que les tiens, Hermione. »
Hermione sourit intérieurement et se focalisa une fois de plus sur le titre, se renfrognant un petit peu en mettant les lettres ensemble. L-E-V-O-Y-A-G-E-D-A-N-S-L-E-T-E-M-P-S-E-T-D'-A-U-T-R-E-S-D-E-V-I-E-N-N-E-N-T-P-O-S-S-I-B-L-E-S-E-X-P-L-O-I-T-S-D'-A-N-C-I-E-N-N-E-M-A-G-I-E
Le voyage dans le temps ? Dumbledore avait-il finalement perdu la raison ? Tout élève qui se respectait savait que le voyage dans le temps n'était pas possible, mais Hermione tripotait malgré tout la reliure religieusement. « Ce livre doit dater de plusieurs siècles… » Son esprit intelligent commençait à mettre deux et deux ensemble, pourtant, elle ne se sentait pas entièrement rassurée. Elle abandonna à contrecœur son analyse du livre et, courageusement, accrocha son regard perçant couleur chocolat à Dumbledore. « Mr le Directeur, qu'est-ce que tout cela signifie ? »
Dumbledore fixa le visage mince et curieux d'Hermione à travers ses lunettes à demi-lune. Hermione était sûre que même les plus faibles bruissements des papiers du bureau du directeur se turent, à part la stupide horloge de grand-père.
TIC TOC TIC TOC TIC TOC
Hermione pouvait sentir les battements de son propre cœur s'accélérer en anticipation de n'importe quel incroyable plan – et il devait être incroyable, car l'acte de situations désespérées magiques et d'instabilité de 1781 avait interdit l'utilisation d'ancienne magie – que Dumbledore avait mis en place.
Bien qu'elle ne savait pas combien les dix prochains mots de Dumbledore pouvaient être absolument effrayants.
« Ca veut dire que vous ne pourriez plus jamais revenir. »
O°O°O
NdT : MDR je viens juste de m'apercevoir que j'ai complètement zappé les deux dernières phrases du premier chapitre ! Donc je viens de les remettre... En plus elles étaient plutôt importantes, je suis vraiment désolée, mais quelle idiote c'est incroyable !
Alors maintenant je suis prise dans un gros dilemme… En ce moment je n'ai pas tellement de reviews, et je sais qu'il y en a quand même pas mal qui ont vu ce premier chapitre (merci à la partie « stats » !) alors si vous pouvez répondre à cette question, ça m'arrangerait :
Est-ce que vous pensez que ma traduction est trop lourde ? Qu'il y a beaucoup trop de phrases très longues ? Parce que je ne sais pas si je dois tout reprendre quitte à modifier un chouia les phrases anglaises, car je peux vous assurer que ça donne ça en anglais !
Voilà si vous voulez m'aider, vous pouvez répondre à la question parce que ça m'énerve depuis pas mal de temps, je ne sais pas si c'est vraiment lourd, et que c'est pour ça que y'en a qui se découragent pour lire la suite… HELP SVP !
Gros bisouxxx !
Sarah
