Titre : Give me that back !

Disclaimer : Je ne possède pas Hetalia …(So kill me now…)

Pairings : USUK, GerIta, SuFin, Spamano, LietPol et PruCan. Une pointe de DenNor et de GrePan possible. Je n'aime pas FrUk en tant que couple, mais j'adore leur amitié.

Rating : M

WARNING : Sexe, grossièreté, et Yaoi (Mon plaisir quoi)

Résumé : Que faire quand la chose la plus précieuse que tu n'es jamais possédé vient à disparaitre sous ton nez ? Pleurer sur ton sort, ou te battre pour la récupérer ? Nations vont tenter l'impossible afin d'assurer le retour de la plus précieuse de leur chose… À moins que quelque chose de plus précieux encore ne soit à trouver en cours de route…

Give me that back !

Chapitre 1

/ En Italie /

Ce serait bien trop classique de commencer cette histoire en vous informant qu'Italie faisait des pâtes le jour où c'est arrivé… Et pourtant, c'est bien ce qu'il faisait. Sa sauce à la tomate bouillonnait sans bruit, alors que la nation fredonnait un air italien bien connu, celui des pubs pour pizza ou mozzarella à la télé. Ajoutant des champignons à sa sauce, il appela son frère qui était allongé sur le divan du salon.

- Romano ! Nii-Chan, j'ai besoin de toi !

La voix de Romano ne tarda pas à répondre :

- Bordel, fous-moi la paix, connard ! Il y en a qui regarde la télé, merde !

- Ve~ ! Nii-Chan est de bonne humeur ! s'exclama Italie en souriant.

Grognant et jurant, Romano se leva et rejoignit la cuisine.

- Qu'est-ce que tu veux, connard ?

- J'ai besoin que tu ailles chez Espagne pour aller chercher des tomates pour la salade.

- Huh ?! réagit immédiatement l'ainé en rougissant légèrement, pourquoi j'irai chez ce connard-aux-tomates à ta place, ducon !?

- Je dois m'occuper de la cuisine et Allemagne sera là d'une minute à l'autre et…

- Quoi ?! Le connard-aux-patates vient ce soir ?

- Ve, Fratello, dit Italie en hochant la tête, je te l'ai dit tout à l'heure…

La boucle dans les cheveux de Romano se mit à trembler dangereusement. Italie eut un regard inquiet… Cette boucle lui permettait de voir l'humeur de son frère depuis toujours. Elle venait de passer du stade « un enfoiré en colère quotidien » à « un enfoiré qui va latter les couilles du premier bâtard qu'il croise ». Italie frémit en espérant qu'Allemagne ne passe pas maintenant … Il intima gentiment à son frère de se calmer et d'aller voir Espagne …

Ce nom le fit passer au stade « si ce connard me touche… » avec un mélange de « Il est mign… chiant ! », on pouvait le voir au petit cœur qui apparaissait dans sa boucle, alors que la mèche pendait mollement vers la bas, avec de petite vague comme des éclairs.

Il tourna les talons et quitta la cuisine. Italie entendit la porte d'entrée claquer et le moteur de la Maserati de Romano ronronner virilement alors que la voiture démarra aussitôt.

- J'espère qu'il a mit sa ceinture …

Italie et Romano ne remarquèrent pas la paire d'yeux fixée sur eux…

/ Au Canada /

- Hey, Birdie…

Fit une voix dans l'oreille de Canada, juste derrière lui. Il frissonna en reconnaissant la voix et se retourna en tremblant.

- S-Salut Prusse…

- Qu'est-ce que tu fais là ? demanda-t-il en s'asseyant dans le divan à côté de lui. Gilbird, son oiseau, était comme à son habitude posé dans les cheveux gris presque blancs de son maître.

- Euh… Bah … C'est que … C'est ma maison alors…

- Kesesese ! ria Prusse. Je rigole Birdie, il faut te détendre un peu…

- Euh … O-oui …

Mon Dieu ce que Prusse était intimidant ! Il était l'exact opposé de Canada, bruyant et vantard. L'albinos attrapa Canada par le col de sa chemise et le fit s'assoir à ses côtés. Le blondinet tomba sur le divan tel un sac de farine. Il se mit à trembler comme une feuille.

- Hey, du calme, Birdie… Je vais pas t'manger …

- Euh je…

Un ours polaire descendit les escalier et vint s'assoir sur les genoux de son propriétaire. L'animal le regarda avec un air curieux, puis demanda :

- T'es qui ?

- Je suis Canada, ton maître … dit-il en soufflant.

- Qui ?

- Ca-na-da ! Vraiment Kumagorou, depuis le temps…

- Euh… fit Prusse ne se grattant le menton, je croyais que c'était Kumajirou son nom…

- N-non … C'est Kumadoni … Kumafimo ? Kumadalo ? … E-enfin, Kumaquelquechose…

- Oh…

Fixant Prusse, Kumajirou sourit, enfin il sourit comme sourirait un ours polaire… Pointant sa tête de sa patte, il dit.

- Gilbird.

L'oiseau sifflota en entendant son nom, et vint se poser sur la tête de Kumajirou. L'ours retourna à l'étage, avec l'oiseau.

Après quelques secondes de silence, Prusse prit la parole.

- Alors ?

- A-alors quoi ? demanda Canada.

- Bah tu ne vas pas demander au génialissime moi se qu'il fait ici ?

- Oh … Euh … Q-qu'est-ce que tu fait ici, P-Prusse ?

- Oh, excellente question Birdie !

Il lui fit un clin d'œil et Canada sentit son visage chauffer légèrement. Prusse sortit une bouteille de bière allemande de sa poche et la tendit à son hôte.

- J'étais venu pour tester les rumeurs …

- Euh… Les rumeurs ?

- Il parait que tu es un bon buveur …

Le regard de Canada changea en un instant alors qu'il prit la bouteille, la décapsula depuis le coin de sa table en bois en murmurant :

- Oh, t'as pas idée …

Les observant avec attention, un paire d'yeux se cachait dans l'obscurité.

/ En Suède /

- Sealand ! cria Finlande depuis la cuisine, je t'en pris chéri, baisse le son de la télévision, on ne s'entend plus penser.

- Oui maman ! répondit la petite nation en attrapant la télécommande et en baissant le son de Bob l'éponge.

Finlande soupira à ce nom… « Maman »… Pourquoi ne pouvait-il pas être « Papa » ? Oh mais oui, parce que Suède l'avait désigné ainsi… Il avait horreur de ce statut de femme… Ça ne lui plaisait pas de savoir que Suède le désignait ainsi. Cela faisait 5 ans qu'ils vivaient ensemble et pourtant, le finlandais ne parvenait pas à se faire à cette idée…

Suède descendit dans la cuisine, les cheveux encore humide de la douche qu'il venait de prendre. Il déposa un petit baiser sur les lèvres de sa femme, comme chaque soir. Finlande trembla alors que les lèvres du grand blond touchèrent les siennes, comme chaque soir.

Ce n'était pas que Finlande n'appréciait pas vivre avec Suède. Su-san était une personne très gentille et aimante, une fois habitué à cette « aura intimidante ». Il faisait se sentir Finlande en sécurité. Mais, la nation sentait qu'il aurait préféré avoir eut son mot à dire dans cette histoire.

Après s'être échappé de chez Danemark, Finlande s'était retrouvé ici, chez et avec Suède. Puis, les choses se sont améliorées, et Finlande avait la possibilité de repartir. Parlant de cela avec son colocataire (il se refusait d'appeler Suède son « mari ») il vit le regard triste et le cœur brisé que celui-ci lui renvoyait et c'est ainsi qu'il réalisa que peut-être Suède l'aimait vraiment. Cependant, Finlande ne savait toujours pas comment il se sentait vis-à-vis de l'autre et il décida de rester.

Et ensuite est arrivé Hanatamago, le chiot dont ils étaient tous les deux propriétaires. Cela les faisait ressembler à une famille : un mari, une femme, un chien et une maison qu'ils partageaient. Tout ce qui leur manquait, c'était un enfant.

Quand Sealand est arrivé, Finlande se mit à ressembler de plus en plus à une femme au foyer, faisant le ménage, la cuisine … Suède et lui élevaient Sealand comme ils se le devaient. Pourtant … Finlande sentait qu'il y avait quelque chose d'étrange dans cette relation familiale.

Aujourd'hui, après cinq années, il y pense encore. Finlande n'a jamais dit à Suède qu'il l'aimait. Il ne pouvait pas le lui dire, parce qu'il ne le savait pas lui même… Bien sûr, Su-san l'emplissait d'affection et de câlin, mais honnêtement, il le trouvait terrifiant. Finlande ne savait pas si Suède le faisait exprès ou si c'était juste son aura menaçante.

Parce qu'il vivait dans la maison de Suède, Finlande se sentait en sécurité du reste du monde. Mais il ne se sentait pas en sécurité de Suède.

Finlande se rendit dans le salon et demanda à Sealand de monter dormir. Sealand soupira et obéit.

- Bonne nuit … dit il à ses parents, avant de monter se coucher.

Finlande et Suède montèrent également et rejoignirent leur chambre. Ils partageait la pièce, mais dormaient dans des lits séparés, à la demande de Finlande, évidemment.

- J't'aim'… fit la voix de Suède dans le noir.

Finlande se figea, comme à chaque fois qu'il entendait ses mots avec tant de passion et de signification.

- Bonne nuit, Su-san … souffla-t-il dans son oreiller.

- T'es heureux ici, F'nl'nd' ?

Son souffle se bloqua dans sa gorge, alors qu'il tentait en vain de trouvé une bonne réponse qui ne serait pas un mensonge. Il choisit de faire semblant de dormir.

Je n'avais jamais pensé qu'il me demanderait quelque chose comme ça … Je suppose que j'aurai du …

- J'sais qu't'es rév'lllé …

La voix de Suède était tintée d'une tristesse profonde. Finlande sentit quelque chose se briser au fond de lui. On entendit le bruit de drap que l'on enlevait, puis le son que fond deux pieds se posant sur le sol. Il l'entendit reniflé, comme on le faisait après avoir pleurer, alors que Suède mettait ses vêtements.

- Où vas-tu ? demanda Finlande apeuré.

- J'm'en vais.

- Pourquoi ? demanda-t-il alors qu'il connaissait déjà la réponse.

- J't'aim'. Sa voix était brisé et un octave plus haut qu'habituellement. Et j'n'veux pa' t'rendr' malheureux ou t'mettr' mal à l'aise. Al'rs, j'vais te donner un peu d'esp'ce' pour l'moment. Bon' nui'.

Il marcha jusqu'à la porte et s'arrêta, en espérant que Finlande dirait quelque chose pour l'empêcher de partir. Mais il resta silencieux. En soupirant, il franchit la porte.

Finlande regrettait déjà son silence.

Pendu à la fenêtre une paire d'yeux avait bien observé…

/ En Angleterre /

Le vent ne soufflait pas, le soleil brillait et il faisait bon. Bref, un miracle. Angleterre s'était donc mit à lire dans son jardin, heureux et insouciant, la raison du beau temps d'ailleurs. Il rigola en pensant qu'il allait certainement se passer une catastrophe d'ici très peu de temps, car tout cela était trop beau pour être vrai.

Il entendit des pas précipités se rapprocher de lui et se crispa. Qui pouvait bien venir le déranger ?

- Bonjour mon cher Angleterre…

- France, qu'est-ce que tu veux ?

- Oh, ne puis-je donc pas venir passer une si belle après-midi en ta compagnie ?

- Fous moi la paix… grogna l'anglais.

- Appelle la comme tu veux, je te la fous quand tu veux … répondit France en lui adressant un clin d'œil coquin.

- Oh my … dit Angleterre en se frottant le coin des yeux. T'es vraiment dégoutant tu le sais ça ?

- Je sais que je peux être un vrai cochon quand je m'y met … Mais toi, une vraie tigresse … Miaou … dit-il en faisant un geste de la main, comme s'il s'agissait d'une patte de félin munie de griffes.

Angleterre claqua son livre sur la table et lui lança un regard qui en aurait tué plus d'un, mais pas France, évidemment.

- Qu'est-ce que tu veux ? répéta l'anglais.

- J'ai reçu une lettre qui t'étais adressé ce matin … dit France en tendant une enveloppe.

Angleterre la saisit sans remercier le français. L'enveloppe était bleue Prusse et en lettre d'or, il était écrit « Angleterre ». Il n'y avait pas l'adresse de l'expéditeur. Il l'ouvrit et se mit à lire.

France observa le visage de l'anglais se décomposer au fur et à mesure de la lecture. Quant il eu finit, il claqua la lettre sur la table et saisit les clefs de sa voiture. Enragé, il hurla :

- I'm going to kill that son of a bitch !

Sur ce, il tourna les talons, et quitta sa maison, laissant France dans le jardin. Il se mit à pleuvoir, alors que France saisit la lettre :

Guten Tag Angleterre,

Kesesese, je t'ai pris la chose la plus précieuse que tu possèdes. Ne suis-je pas génial ? Je pari que tu ne t'en es pas encore rendu compte, mais ce matin, je t'ai pris t'as baguette magique ! Alors, bouffon, comment tu te sens ? Pas génial, huh ? Si tu veux la récupérer, rejoins-moi à la fête foraine de Varsovie ce week-end. Et tu dois venir avec Amérique, mais je sais qu'il sera de la partie de toute façon … Kesesese.

Cordialement et avec toute ma génialité,

M.

M ? se dit France, pourquoi Prusse aurait-il signé M ?

Derrière France, un sourire aux lèvres, une personne l'observait…

/ En Pologne/

- Et c'est pourquoi tu dois me laisser prendre ma douche le premier.

- Genre, Liet, c'est totalement stupide !

- Mais Pologne ! Tu prends toujours toute l'eau chaude !

Pologne croisa les bras sur sa poitrine nue, puisqu'il ne portait qu'une mini jupe bleue ciel. Cela faisait dix minute que Lituanie et Pologne se disputaient dans la salle de bain. Un quotidien plus que commun pour le couple marié. Dans des situations pareilles, Lituanie perdait sa timidité et son mal à l'aise et agissait comme son for intérieur le lui demandait.

- Mes douches ne durent que 5 minutes ! expliqua Lituanie à son conjoint.

- Genre, les miennes aussi !

- Pas du tout ! 5 minutes tu sais ce que ça fait ?

- Carrément que je le sais, c'est le temps que tu mets au lit ! répliqua Pologne.

Quand Pologne commençait à parler de sexe, c'est qu'il s'énervait… Et ce qui énervait Liet, c'était quand Po parlait de sexe…

- Qu-Quoi ?!

- Tu m'as totalement entendu monsieur « éjaculation précoce » !

- M'appelle pas comme ça ! râla Lituanie.

- Je t'appelle comme je veux, ma biche ! Tu ne dure jamais plus de dix minutes !

-Ah ouais ? Tu veux parier ?

- Ce que tu veux, ma biche !

- T'es au dessus trois nuit de suite si je perds !

- Oh, tu prends carrément les choses à cœur … Tu sais ce qu'on va faire, je vais te sucer dans la douche et on va te chronométrer …

Sur ce, Pologne fit couler l'eau de la douche. Et glissa sa main dans la poche du jean de Liet pour prendre son portable. Il regarda l'heure et sourit. Dans cinq minutes, t'es cuit mon poussin… pensa-t-il. Il sortit un chronomètre amphibie (si, si, ça existe) d'un tiroir, et l'accrocha au pommeau de la douche. Il enleva sa jupe, et … et c'est tout, puisqu'il n'avait rien en dessous…

Le brun enleva ses vêtements et entra sous la douche. Pologne sourit et entra à son tour.

- Je commence à chronométrer dès que t'es dur, ma poule…

Sur ce, il colla ses lèvres contre celles de Lituanie. Il plaça ses mains dans le dos de son partenaire et se colla à lui. Il l'embrassa langoureusement et passionnément, préférant lécher les lèvres avant de caresser sa langue de la sienne.

Étant plus petit que Liet, Pologne sentit l'érection naissante de son mari contre son ventre. Il sourit et commença à lécher le cou de Liet, le mordillant de temps en temps. Lituanie inclina sa tête vers l'arrière pour laissait le polonais faire son travail.

Après tant d'année de complicité, ils se connaissaient par cœur, et Pologne savait où se trouvaient les points qui faisaient frémir Lituanie.

Il se mit donc à lécher son téton gauche et le coinça entre ses dents tout en le caressant de sa langue. Lituanie gémit légèrement et Pologne fit descendre sa tête encore plus bas, léchant le bas ventre de son partenaire.

Il se releva et lui posa un baiser sur les lèvres.

- Je crois que t'es carrément dur maintenant… Assieds toi sur le banc.

Lituanie s'assit sur le banc de la douche, que Pologne avait installé pour avoir plus facile lorsqu'il devait enlever la cire d'épilation qui lui restait sur les jambes. Le blondinet saisit le chronomètre et l'activa. Un centième de seconde plus tard, il avait Lituanie en bouche.

Il commença par coincé son pénis entre ses lèvres, et à lui lécher délicatement le gland avec sa langue, comme s'il l'embrassait. Lituanie laissa échapper un gémissement de plaisir. De sa main droite, Pologne saisit la base de la virilité de son amant, et commença à masturber, en allant plus vite pour remonter que pour redescendre.

Lituanie se mordit la lèvre inférieure. Pologne savait très bien à quoi il était sensible et usait de ses avantages. Merde … Ce n'était pas juste, Liet sentait déjà qu'il était sur le point de venir.

Pologne se mit à sucer le gland, puis, quelque seconde plus tard, il fit entrer le pénis de son conjoint plus loin dans sa bouche, le prenant entièrement.

- Ah… Po…

Pologne savait que c'était gagné d'avance, d'ici quelques secondes, Liet allait jouir … Il accéléra le mouvement.

Lituanie essaya de se retenir, mais c'était peine perdue… Il éjacula en gémissent bruyamment.

Pologne s'empressa de recracher et se jeta sur le chronomètre. Lituanie respirait bruyamment et haletait pour de l'air qu'il avait du mal à trouver dans la douche remplie de vapeur.

Le blondinet ricana en montrant le chronomètre à son mari.

- 3 minutes 24 secondes, biatch ! On top pour trois nuits !

Il effectua ensuite une petite danse de la victoire.

Lituanie jura et serra les dents. Il avait vraiment des problèmes…

Ce que le joyeux couple ne sembla pas remarquer, c'était la paire d'yeux scotché sur eux…

A.N/ Voilà donc le premier chapitre de ma première fic Hetalia :D Je suis du genre à être le plus détaillée possible, mais j'ai du me retenir pour ce premier chapitre, puisqu'il y a plusieurs points de vue en même temps… Je ne voulais pas que cela termine en longue page… D'ailleurs, le plus long, c'est la partie SuFin, parce que je ne savais pas réduire cette partie à uniquement des dialogues …

Je crois que l'histoire n'est pas encore claire, mais elle s'éclaircira dès les prochains chapitres :) J'essaierai d'en poster un par semaine, puisque les vacances commence bientôt :D

Oh, et j'ai écrit ça en trois heures alors que j'attendais que mon copain passe me prendre …(littéralement).( Oui, je sais, je suis une obsédée, mais je le vis bien ! Haha.) Du coup, ce n'est pas mon meilleur mieux, ce qui est con pour un premier chapitre…

Comme c'est ma première fiction, j'attends de vous votre avis, et surtout, dites-moi si il y a des hors-personnages, parce que j'en ai peur … J'ai pleuré en écrivant Lituanie comme ça… Pas assez timide, mais précoce… (La deuxième partie de cette phrase me semble plausible.)

L'histoire de base ne se développe que pour Angleterre, qui a déjà perdu sa chose la plus précieuse…

Bon faut que je me taise parce que cet A.N devient plus longue que la partie sur Italie …

Review, s'il-vous-plait ?