Titre : Comme un frère
Auteur : Ange humain
Avertissement: R! Slash
Spoilers : Les cinq tomes
Disclaimer : Tout appartient à JK Rowling et l'histoire à Ange humain.
Résumé général : Un jeune garçon est présent lorsque Dumbledore dépose Harry chez son oncle et sa tante. Quel sera ça relation avec celui qui est déjà « Celui-qui-à-survecu ».
C'est ma première fic alors soyez indulgent s'il vous plait.
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Chapitre 1 : Une journée pas comme les autres
David Merckes, 6 ans, qui vivait chez ses parents au 5, Privet Drive, était un enfant comme tous les autres. Particulièrement gentil, il était apprécié par tout les monde et nourrissait une grande jalousie de la part de sa voisine Mrs Dursley. Pétunia Dursley avait un enfant de un an, Dudley, plus gras que large, qu'elle adorait plus que tout. Et son passe temps favori était de colporter tout les ragots qu'elle entendait ainsi que de critiquer ses voisins, surtout la famille Merckes qu'elle trouvait trop parfaite pour ne pas cacher de secret. Mais la famille Merckes n'avait rien à cacher à Mrs Dursley, aucun secret, enfin pas encore.
David était assis dans le jardin en mangeant les bonbons qu'il avait reçut pour Halloween, en repensant au fait que tout le monde lui en avait donner quand il avait fait sa tournée, la veille au soir, avec ses amis dans la rues sauf la famille Dursley, qu'il détestait plus que tout. Il était donc assis en regardant dans la rue quand il aperçut Mr Dursley partir au travail. Il aperçut aussi un chat tigré qui arrivait au coin de la rue. Ce qu'il vit ensuite le stupéfia, une carte routière venait d'apparaître devant le chat qui la lisait. Elle disparue rapidement et David se demanda s'il n'avait pas rêver. Le chat regarda ensuite la plaque de rue avant de venir se posé sur le muret du 4 Privet drive.David se dit qu'il avait du imaginer ce qui venait de se passer et se demanda si les chocolats pouvait produire ce genre de visions.
Dans la journée il alla faire des courses avec sa mère quand il aperçut plusieurs personnes vêtues de capes bizarres et de bottes à talon. Ils étaient tout content et parlaient d'un certain « Vous-savez-qui » qui serait mort et d'un jeune Harry Potter. En rentrant chez eux, David vu le chat qui était toujours assis sur le muret, droit comme un I. Il alla chercher une coupe de lait et la lui amena pour pouvoir regarder ce chat de plus près, mais il fut stoppé dans son élan par une Mrs Dursley de mauvaise humeur. Et il alla se coucher en se demandant d'où venait ce chat bizarre.
David dormit très mal ce soir là et fut réveillé peu avant minuit, il regarda dehors et aperçut le chat qui était toujours assis sur le muret. En regardant au bout de la rue il vit apparaître soudainement un vieil homme avec une longue barbe blanche et de drôle de lunettes. Il sortit quelque chose de sa poche et soudain une lumière du réverbère fut attirée vers lui et disparue.
David sortit rapidement de sa chambre pour voir ce qui se passait dehors en faisant attention de ne pas réveiller ses parents. Quand il fut dehors il n'y avait plus aucune lumière, il faisait si noir qu'il distingua à peine les deux personnes qui étaient devant lui. Il s'approcha sans bruit pour voir ce qu'elles se disaient et s'assis sans bruit sous un arbuste.
Il y avait le vieux monsieur avec la longue barbe blanche et une vieille dame. L'homme était habillé d'une longue robe noire et d'une cape violette balayant le sol. La femme, qui avait un air sévère portait aussi une robe noir et une cape de couleur vert émeraude.
En tendant l'oreille, David entendit une part de leur discussion.
« … Il n'a pas réussi à supprimer ce bambin. Personne ne sait pourquoi ni comment, mais tout le monde raconte que lorsqu'il a essayer de tuer Harry Potter sans y parvenir, le pouvoir de Voldemort s'est brisé, pour ainsi dire – et c'est pour ça qu'il a … disparu. » Dit la femme.
L'homme hocha la tête tristement.
« C'est … c'est vrai ? » bredouilla t'elle, « après tout ce qu'il a fait … tous les gens qu'il a tué … il n'a pas réussi à tuer un petit garçon ? C'est stupéfiant … rien d'autre n'avait pu l'arrêter …mais au nom du ciel, comment se fait-il que Harry ait pu survivre ? »
« On ne peut faire que des suppositions, » répondit le vieil homme. On ne saura peut être jamais »
Pendant que la femme sortit un mouchoir et que l'homme regardait une montre, David se demandait s'il avait eu une bonne idée de venir les espionner.
Soudain l'homme repris la parole :
« Hagrid est en retard. Au fait, j'imagine que c'est lui qui vous a dit que je serais ici ? »
« Oui, admit le femme en esquissant un sourire, et je suppose que vous n'avez pas l'intention de me dire pour quelle raison vous êtes venu dans cet endroit précis ? »
« Je suis venu confier Harry à sa tante et à son oncle. C'est la seule famille qui lui reste désormais. »
« Vous voulez dire … non, ce n'est pas possible ! Pas les gens qui habitent dans cette maison ! s'écria le femme bouleversée en montrant le 4 de la rue. Dumbledore … vous ne pouvez pas faire une chose pareille ! Je les ai observés toute la journée. On ne peut pas imaginer des gens plus différents de nous. En plus, ils ont un fils … je l'ai vu donner des coups de pieds à sa mère tout au long de la rue en hurlant pour réclamer des bonbons. Harry Potter, venir vivre ici ! »
David eu envie de bondir de sa cachette pour raconter à ce Dumbledore comment étaient les gens qui vivaient dans cette maison mais se retint pour ne pas se faire remarquer.
« C'est le meilleur endroit pour lui, répliqua le nommé Dumbledore d'un ton sec. Son oncle et sa tante lui expliqueront tout quand il sera plus grand. Je leur ai écrit une lettre. »
« Une lettre ? Répéta la femme d'un air incrédule. Dumbledore, vous croyez vraiment qu'il est possible d'expliquer tout cela dans une lettre ? Des gens pareils seront incapables de comprendre ce garçon ! Il va devenir célèbre une véritable légende vivante-, je ne serais pas étonnée que la date d'aujourd'hui devienne dans l'avenir la fête de Harry Potter. On écrira des livres sur lui. Tous les enfants de notre monde connaîtront son nom ! »
« C'est vrai, dit Dumbledore. Il y aurait de quoi tourner la tête de n'importe quel enfant. Être célèbre avant même d'avoir appris à marcher et à parler ! Célèbre pour quelque chose dont il ne sera même pas capable de se souvenir ! Ne comprenez vous pas qu'il vaut beaucoup mieux pour lui qu'il grandisse à l'écart de tout cela jusqu'à ce qu'il soit près à l'assumer ? »
David fut perdu, une enfant qui ne savait pas marcher ni parler avait réussit à tuer quelqu'un que personne n'avait put le faire avant. Il ne comprenait pas qui était ces gens, cet enfant ni d'où ils venaient mais il sut qu'ils étaient spéciaux. Il se rendit compte qu'il avait pas écouter la suite, et tendit l'oreille pour reprendre la discussion :
« Et vous croyez qu'il est … sage de confier une tâche aussi importante à Hagrid ? demanda la femme »
« Je confirais ma propre vis à Hagrid, assura Dumbledore »
« Je ne dis pas qu'il manque de cœur, se défendit la femme, mais reconnaissez qu'il est passablement négligent. Il a tendance à … Qu'est-ce que c'est que ça ? »
Un grondement assourdissant avait brisé le silence de la nuit, et David aperçut dans le ciel une lumière qui se rapprochait avant de remarquer que c'était une sorte de moto volante. Mais se qu'il le surpris le plus c'était la personne qui conduisait la moto. Il était immense. Bien plus grand que toutes les personnes que David avait vu, un géant. David fut sortit de ses remarques en entendant que la discussion avait repris :
« Hagird, dit Dumbledore. Vous voilà enfin. Où avez-vous déniché cette moto ? »
« L'ai empruntée, professeur Dumbledore, répondit le géant en descendant de la moto avec précaution. C'est le jeune Sirius Black qui me l'a prêté.Ca y est, j'ai réussi à vous l'amener, Monsieur. »
« Vous n'avez pas eu de problème ? Demanda le professeur »
« Non, Monsieur. La maison était presque entièrement détruite mais je me suis débrouillé pour le sortir de là avant que les moldus ne commencent à rappliquer. Il c'est endormi quand on a survolé Bristol. »
David se souvent alors que les gens vêtus de capes qu'il avait rencontré pendant l'après-midi avaient aussi parler de moldu. David ce demanda ce que ça pouvait être. Il supposa que c'était des animaux vus qu'ils étaient sensés rappliquer ou alors une nouvelle façon de nommer la police.
Pendant que David était plongé dans ses réflexions, les trois personnes c'étaient penchés au dessus d'un tas de couvertures.
« C'est là que ? … murmura la femme »
« Oui, répondit le professeur Dumbledore. Il gardera cette cicatrice à tout jamais »
« Vous ne pourriez pas arranger ça. Dumbledore ? »
« Même si je le pouvais, je ne le ferais pas. Les cicatrices sont parfois utiles. Moi-même, j'en ai une au-dessus du genou gauche, qui représente le plan exact du métro de Londres. Donnez-le-moi, Hagrid, il est temps de faire ce qu'il faut. »
Dumbledore pris les couvertures et David vit un petit enfant blottit dedans. Il supposait qu'il s'agissait du fameux Harry Potter. David aperçut le géant nommé Hagrid donner un baiser à Hagrid avant de pousser une sorte de hurlement qui surpris tous le monde.
« Chut ! Siffla la femme. Vous allez réveiller les Moldus ! »
« Dé …désolé, sanglota Hagrid en sortant de sa poche un mouchoir grand comme un drap dans lequel il enfuit son visage, mais je … je n'arrive pas à m'y faire … Lily et James qui meurent et ce pauvre petit Harry qui va aller vivre chez les moldus … »
« Oui je sais, c'est très triste, mais ressaisissez-vous, Hagrid, sinon nous allons nous faire repérer, chuchota la femme en tapotant le bras du géant pendant que Dumbledore enjambait le muret du jardin et s'avançait vers l'entrée de la maison. »
Avec précaution, il déposa Harry devant la porte, sortit une lettre de sa cape, la glissa dans les couvertures, puis revint vers les deux autres. Pendant un long moment, tous trois restèrent immobiles, côte à côte, à contempler le petit tas de couvertures.
« Eh bien voila, dit enfin le professeur Dumbledore. Il est inutile de rester ici. Autant rejoindre les autres pour faire la fête. »
« Oui, dit Hagrid d'une voix étouffée. Je vais aller rendre sa moto à Sirius. Bonne nuit professeur McGonagall, bonne nuit professeur Dumbledore, Monsieur. »
Hagrid enfourcha la moto et mis le moteur en route. Dans un vrombissement, la moto s'éleva dans les airs et disparut dans la nuit.
« A bientôt, j'imagine, professeur McGonagall, dit le professeur Dumbledore avec un signe de tête.
Pour toute réponse, le professeur McGonagall se moucha.
Dumbledore fit volte-face et s'éloigna le long de la rue. Il s'arrêta au coin et repris dans sa poche un objet en argent. Il l'actionna une seule fois et une douzaine de boules lumineuses regagnèrent aussitôt les réverbères. David eu juste le temps de voir le professeur McGonagall se transformer en chat, que Privet Drive fut soudain baigné d'une lumière orangée.
« Bonne chance Harry, murmura le professeur Dumbledore avant de disparaître. »
David était maintenant sur d'une chose, la magie existe et il venait de rencontrer des magiciens ou quelque chose comme ça.
Quand il fut sur que tout le monde était partit, il sortit de sa cachette et s'approcha du tas de couverture. Il trouva le petit Harry irrésistible et se retint de le prendre dans ses bras. Sa curiosité le poussa quand même à prendre l'enveloppe qu'avait déposée le professeur Dumbledore pour la lire.
En le décachetant, il vit plusieurs feuilles de papier et se dit qu'il n'aurait pas le temps de tout lire maintenant surtout qu'il ne savait pas encore bien lire. Il pris alors les feuilles et alla chez lui pour utiliser le photocopieur de son père et sans bruit copia tout le message avant d'aller le remettre dans les couvertures et d'aller se coucher.
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