Tome 4 – Revenge
Auteur : Moi alias Kazuna-Rox
Pairing : Peter x OC puis Peter x …
Synopsis :Un an après les évènements de Pinehearst et Primatech, Peter tente de mener une vie normale. Mais des évènements encore perturbateurs vont bousculer toute sa nouvelle vie avec Daniel...
Note de l'auteur : frustrée de la fin du tome 4 Fugitifs, je décide de refaire le tome 4 à ma façon. Ici pas de traque, mais un tout autre point de vue de l'histoire, ou de comment j'aurais aimé la faire si j'avais pu xD
Chapter one – One year later
Peter ouvrit la porte de son appartement, une main occupée par son courrier, et l'autre prise avec les clés qui lui permirent d'ouvrir la porte. Il laissa son sac glisser de son épaule, et déposa la pile de lettres sur sa table de cuisine. Il garda seulement une lettre avec lui. Il l'examina sous toutes les coutures, et un claquement le fit sursauter. Son regard se posa sur sa fenêtre de salon, qui était ouverte. Il soupira : Dan avait encore oublier de la fermer avant de partir. Il se dirigea donc vers cette dernière, avec une idée en tête pour la suite des événements : une douche, puis direction le lit. Et alors qu'il la fermait, un véhicule en bas attira son attention. Il scruta la rue, et découvrit sa mère marchant vers l'entrée de son immeuble. Il soupira : elle avait fini par le retrouver... Cela faisait six mois qu'il évitait de trop côtoyer sa mère, et cette dernière essayait toujours de l'appeler. Il ferma la fenêtre d'un geste sec, et se dirigea vers la chambre, où il posa son sac et se débarrassa de sa veste d'infirmier. Depuis l'affaire Pinehearst et Primatech, il y a de cela un an, Peter s'efforçait de vivre une vie normale. Du moins, autant que possible. Avec son nouveau pouvoir, il se sentait impuissant face aux morts qu'il rencontrait dans son travail et ses interventions. Il grogna lorsque la sonnerie retentit, et il se dirigea vers la porte, en songeant que son envie de se laver était remise à plus tard. Il ouvrit la porte après quelques secondes d'hésitation.
-Maman...
-Bonjour Peter. Moi aussi je suis contente de te voir. Répondit-elle ironiquement
Peter soupira, et laissa sa mère entrer. Il referma la porte, en lui répondant :
-Je suis content de te voir, mais comme tu le vois, je suis épuisé.
-Oui je m'en doute. Mais tu dois savoir que dans deux semaines, nous faisons une réception. Une réunion de famille pour être plus précise. Et je veux que tu y sois.
-Et si je ne veux pas ? Rien ne me force à venir. Et tu le sais très bien.
-Je me doutais que tu allais dire cela. Mais tu verras Claire.
Peter se mordit la lèvre, une pointe d'énervement dans la voix quand il répondit :
-Ça c'est déloyal. Tu sais très bien que voir Claire me ferais plaisir. Mais il sera là aussi, et je ne veux pas le voir. Tu peux le comprendre ça ?
-Peter... soupira sa mère. Tu te fais du mal pour rien. Réfléchis avant de donner ta réponse définitive.
-Et toi, réfléchis bien à ce que tu fais. Et je t'interdis de lui donner ma nouvelle adresse. Compris ? Fit-il, de mauvaise humeur.
La porte d'entrée claquant coupa Angela dans sa réponse, et les deux Petrelli tournèrent leur regard vers l'entrée du salon, où un homme brun, grand et musclé venait de faire son apparition.
-Oh je déranges peut-être.
-Non Dan. Ma mère allait justement partir. Répondit Peter en lançant un regard insistant à sa mère.
Cette dernière leva les yeux au ciel, et répéta à Peter en prenant la direction de la porte :
-Réfléchis-y Peter. Si tu le désires, tu donneras ta réponse à Claire. Elle veut revoir son oncle.
Lorsque la porte d'entrée fut fermée, Peter s'appuya dessus, tapant sa tête sur le bois. Dan émit un léger rire, et posa sa main sur la joue de Peter, lui murmurant :
-Qu'est-ce qu'elle voulait ?
-Réunion de famille. Elle veut que j'y sois...
-Elle te lâchera pas hein ?
-Non. Mais moi si. Dis Daniel, tu es pour une douche ?
-Quand tu veux. Surtout si c'est avec toi, nu contre moi. En approchant son visage de Peter.
Ce dernier rigola, et laissa ses lèvres épouser celles du plus grand, qui le tira avec lui vers leur salle de bains. Ils se débarrassèrent rapidement de leurs vêtements, et s'engouffrèrent dans la cabine. Daniel dévora des yeux le corps de Peter, et alors qu'il s'approchait de lui, plaquant son torse au dos du Petrelli, ce dernier lui murmura :
-Dan... Je suis crevé...
Dan rigola dans la chevelure trempée de Peter, et lui murmura à l'oreille en lui en mordillant tendrement le lobe :
-Ok mais dès que t'as ton jour de congé, je te saute dessus.
Phrase qui fit sourire le jeune homme, qui déposa un baiser sur la mâchoire de son amant, qui s'occupa de savonner son corps et celui de son homologue. Lorsqu'ils furent tous deux lavés, Daniel emmitoufla un Peter seulement vêtu d'un boxer dans son peignoir, et le prit dans ses bras, sous un cri surpris de celui-ci. Il lança un regard étonné, et la seule réponse qu'il eu fût un sourire attendri et amoureux, avant qu'il ne glisse son visage dans le cou de son homme. Homme qui le guidait jusque dans leur chambre. Il déposa Peter sous la couette, et se débarrassa de son peignoir pour le rejoindre. Il sourit lorsque le corps fin de son petit ami se colla au sien, et que Peter posa son visage et sa main sur son torse. Dan joint leurs mains, et entrelaça leurs doigts avant de murmurer quelques mots qui firent soupirer Peter dans son sommeil avant que Dan ne le rejoigne au pays de Morphée.
-Je suis là. Tu veux quoi ? Peter ?
Alors qu'il parle, l'homme vit un téléphone chuter et s'écraser au sol à côté de lui. Son regard remontait jusqu'au toit de l'immeuble, et il découvrait Peter debout sur le parapet de béton.
-J'ai passé toute la nuit ici, à y penser. A penser à mon destin ! Hurlait-il à l'adresse de l'homme.
-Qu'est-ce que tu fais Pete ?
-C'est à mon tour d'être quelqu'un Nathan ! Répliquait-il.
-Arrêtes tes conneries !
Peter se voyait fixer devant lui, lever les bras tendus autour de son corps et avancer un pied dans le vide. Son regard se levait vers le ciel et il avançait un pied dans le vide. Peter se laissait ensuite chuter vers l'avant, entamant une chute de quinze étages. Alors qu'il restait seulement trois étages, Peter était retenu rapidement par Nathan qui se mettait à voler.
-Accroches-toi Peter !
-Comment tu peux... ? Tu voles ! Fit-il avec un regard choqué.
-Je ne sais pas. Répliquait l'aîné.
Soudain, Peter faisait un sourire à son frère et sa prise sur son bras s'était faite plus légère avant qu'il ne lâche totalement son frère, qui tendait un bras vers lui en hurlant son prénom :
-Peter !
Peter se redressa vivement, en sueur. Un bruit de drap le fit tourner le regard vers sa gauche, et il vit Daniel sortir du sommeil, en murmurant d'une voix encore pâteuse :
-Pete ? Ça va ?
Ce dernier secoua la tête de droite à gauche, avant de répondre à son amant :
-O-oui... Ça va aller. C'est rien.
-Hum... Me prend pas pour un con. T'as encore vu... un moment de ton passé ?
Peter acquiesça, fixant sa main d'un air absent. Dan soupira, et déposa sa main sur l'épaule de Peter, déposant un baiser sur sa tempe, avant de lui annoncer :
-Je vais te chercher un verre d'eau.
-Merci.
Peter se laissa tomber vers l'arrière, une main sur son torse, sentant les battements de son cœur se calmer. Il ferma les yeux, et ce fut un affaissement du matelas qui le fit les rouvrir pour tomber sur le visage souriant de son amant. Il se redressa un peu, et récupéra le verre, le vidant d'une traite. Il le posa ensuite sur sa table de chevet, et attira Daniel contre lui. Il s'allongea de tout son long sur son amant, qui lui demanda :
-T'as réfléchis à l'invitation de ta mère ?
-Hm... Je sais pas.
-Tu sais, ça fait une semaine qu'elle t'en a parlé. Je vois bien que des fois tu fixe ton téléphone avec insistance. T'es prêt à envoyer un message à ta nièce à tout moment.
-Oui, mais je sais pas. Je sens que y'a un truc qui me retient de l'appeler.
-Et je pense savoir. Tu as peur de le revoir.
-Hm... Je repense encore aux derniers mots qu'il m'a dit il y a un an. Je sais que je devrais pas me faire du mal comme ça. Mais j'y peux rien.
-C'est normal tu sais. Tu tiens à lui. C'est ton frère alors c'est normal. Mais ne te prive pas de voir ta nièce à cause de lui.
-Oui mais seul j'y arriverais pas. Je pourrais pas lui faire face toute une soirée...
-Je sais. Si tu veux, tu peux demander à ce que je vienne avec toi... A moins que ça pose problème...
Peter releva son visage vers son amant, le fixant avec incrédulité. Daniel avait de très bonnes idées parfois. Il déposa un baiser passionné sur les lèvres aimantes, et se saisit de son téléphone, démarrant déjà la composition du numéro de Claire. Une main sur la sienne stoppa ses gestes, et il releva un visage interrogateur vers celui amusé de Daniel.
-Je ne crois pas que ce soit judicieux d'appeler ta nièce à quatre heures du matin.
Peter rougit de sa bêtise et reposa son téléphone sur le matelas, pendant que Daniel s'allongeait sur lui, caressant sa joue rougie :
-T'es adorable des fois.
-Que des fois ?
-Hum... T'es plus souvent sexy que adorable. Si bien que j'ai envie de te violer tout le temps.
Peter émit un rire franc, avant de répliquer :
-Ce n'est pas du viol, puisque je suis consentant.
Avant de prendre ses lèvres en un baiser amoureux et sage. Le bijoutier se fit un plaisir de l'approfondir, et ses mains glissèrent sur les hanches de Peter, qui gémit dans le baiser vorace, et son corps fut parcouru de frissons au toucher si léger sur son flan. Il murmura à Dan lorsque celui-ci eu lâché ses lèvres :
-Dan...
-Oui ?
-Je t'aime.
Le visage de Daniel se tordit en un sourire attendri et il répondit en plaçant son visage au creux du cou de Peter :
-Je t'aime aussi.
Ils restèrent immobiles quelques minutes, la main de Dan effectuant de légères caresses dans les cheveux de Peter. Le silence fut brisé par Daniel, qui proposa :
-Bon ! Puisqu'on est pas fatigués. Et qu'on bosse pas – enfin pour ma part - demain, ça te dit de regarder une émission stupide à la télé ?
-Ok.
Ils déménagèrent donc dans le salon, et Dan récupéra une couverture traînant sur le fauteuil avant de rejoindre Peter sur le canapé. Il colla son torse au dos de Peter, et s'empara de la télécommande, cherchant une chaîne plus ou moins intéressante avant de se concentrer sur l'écran, sa main libre jointe à celle de Peter sur la couette dans laquelle ils étaient emmitouflés.
Ce fut une sonnerie de bipper qui sortit les deux amants de leur sommeil. Peter émergea le premier, et en se redressant, il provoqua un grognement chez son amant qui le ramena contre lui. Peter murmura dans le cou de son amant :
-Dan, laisse-moi me lever. C'est mon bipper.
-Je m'en fiche. Le monde peut bien se passer de toi une journée. Grogna-t-il d'une voix toujours endormie.
-Non justement. Allez. Laisse-moi partir.
Peter soupira avant de murmurer à l'oreille de son amant une phrase qui lui permit de se lever en toute sérénité. Il se prépara avec un sourire amusé aux lèvres : Dan était vraiment un pervers parfois ! Insatiable ! Il accéléra le pas, récupérant vivement son sac et sa veste, lançant un « A tout à l'heure » à son amant toujours affalé dans le canapé. Un simple grognement lui répondit et il rigola en claquant la porte. Durant la route jusqu'à l'hôpital, il songea tristement à ce que serait sa vie s'il n'avait pas rencontré Daniel... Il se sentirait désespérément seul, et tenterait en vain de sauver des vies, à s'en ruiner la santé. Il se connaissait, il savait qu'il avait des limites... Et il était proche de les atteindre. Depuis les actes de Pinehearst, depuis que son frère lui avait avoué... qu'il ne l'aurait pas sauvé de l'explosion causé par Flint. Il secoua la tête, chassant ses sombres pensées, et se dirigea directement vers les vestiaires, où son collègue Thomas l'attendait.
-Salut Peter. Prêt pour un nouveau sauvetage ?
-Toujours. Il le faut bien.
-Allez. On est parti.
Ils s'engouffrèrent tous deux dans l'ambulance, qui prit la direction de l'accident. Arrivé sur place, Peter ouvrit grands les yeux, choqué de l'endroit des incidents : il s'agissait de l'ancien QG de campagne de son frère... Il soupira et se dépêcha de rejoindre Thomas près du corps d'une jeune adolescente qui avait un bras bloqué par les décombres. Rapidement, le chef de chantier leur expliqua :
-On fait des travaux de rénovation en haut de l'immeuble. L'une de nos grues a perdu le contrôle... On a tapé dans la bâtisse, et des gravas sont tombés.
Peter se concentra sur la jeune femme, et constata que si sa jambe restait encore bloquée cinq minutes de plus sous ce gros bloc, elle serait totalement récupérable. Il s'empressa de passer ses mains sous une fente du gravas, et usa de la force récupérée de Suresh pour soulever de gravas. Afin que ça ne paraisse pas totalement étrange, Peter appela son collègue :
-Thomas. Aide-moi !
L'autre homme s'empressa de l'aider et l'homme de chantier aussi. Ils parvinrent à soulever l'obstacle, et Peter le jeta plus loin sur le côté, s'accroupissant rapidement à côté de la jeune femme.
-Comment vous vous appeler ? Demanda l'infirmier en commençant à l'ausculter.
-Ma-Marie.
-D'accord Marie. On va s'occuper de toi. Tu as quel âge ?
-Quinze ans.
Peter continua d'occuper Marie, alors qu'il la soignait. Il délogea un bout de gravas bloqué dans sa jambe, et elle fut ensuite transférée sur un brancard, en direction de l'hôpital. Peter remarqua ensuite des traînés de sang par terre, et ces dernières conduisaient vers une ruelle. Peter s'y précipita avec son sac, et alors qu'il arrivait sur les lieux, il vit l'homme passer en travers d'un mur. Il se frotta les yeux, croyant avoir rêver alors que Thomas le rejoignait.
-Peter ? Qu'est-ce que tu fais ?
-J'ai vu des traces de sang sur le sol. Et elles conduisent ici... Mais y'a personne.
-Trop bizarre... Bon allez viens. On a encore du boulot.
Ce fut vers dix huit heures que Peter put enfin prendre la direction de chez lui. Il appela un taxi, et le véhicule s'arrêta juste devant lui. Il s'engouffra à l'intérieur et donna le nom de la rue où Daniel l'attendait, sûrement encore bien au chaud dans la couette sur le canapé. Il était encore épuisé de sa journée. Et avait encore dû faire face à de nouveaux morts, de nouvelles vies qu'il n'avait pas pu sauver... Tout aurait été si simple un an auparavant. Il aurait pu sauver de nombreuses vies, aider beaucoup de personnes. Il se sentait faible avec son pouvoir, mais Daniel, avec qui il en avait parlé, faisait toujours en sorte de lui remonter le moral. Tout dans ses pensées qu'il fut, il ne sentit pas le véhicule s'arrêter à destination. Le chauffeur l'apellant le sortit de ses pensées :
-Peter ? Peter ?
-Hein ?
Son regard se posa sur le rétroviseur, dans lequel une tête bien connue le dévisageait, l'air inquiet.
-Oh Mohinder. Désolé. J'avais la tête ailleurs.
-C'est pas grave. Tu es arrivé.
-Merci. Tiens, garde la monnaie. Et prend soin de toi.
-Merci, mais je suis sûr qu'on sera amenés à se revoir. New York n'est pas si grand. Rigola l'indien
Peter lui répondit par un sourire en quittant l'habitacle. Il accéléra le pas, pressé de retrouver la chaleur de sa demeure, et des bras de Daniel. A peine la porte fut-elle ouverte qu'il soupira de soulagement. Il jeta négligemment sa veste et son sac dans l'entrée, se dirigeant directement vers le salon. Comme il le pensait, Daniel était encore là, et regardait distraitement la chaîne des informations. Peter croisa un instant le regard de la présentatrice, qui annonçait les informations sur l'incident de ce matin. Parmi les images, Daniel découvrit Peter en train de soulever le gravas, aidé de son collègue et du chef de chantier. Il lança à son compagnon :
-Tu as encore sauvé une vie. T'es le meilleur.
-J'en suis pas si sûr. Soupira Peter en s'affalant aux côtés de Dan qui passa son bras autour des épaules du Petrelli, rapprochant son visage du sien.
Il déposa un baiser sur sa joue en lui murmurant :
-Tu ne peux pas sauver tout le monde et tu le sais. Te fais pas du mal. Tu as déjà sauvé le monde deux fois, même trois. C'est suffisant tu ne crois pas ? Tu devrais penser à toi un peu...
-On croirait entendre ma mère.
-Elle déteint sur moi je crois !
-Ah non ! Je ne suis pas d'accord. Ça me donne une image... Brr ! Frissonna Peter, faisant rire son amant.
Alors que Peter somnolait déjà sur son épaule, Daniel le sortit de son état comateux en lui disant :
-Non tu t'endors pas. Pas tout de suite. T'as un appel à passer d'abord.
-Grmblr.
-Allez, appelle ta nièce, ça lui fera très plaisir.
-Oui oui...
Il s'empara de son téléphone, composa le numéro de Claire, et porta le combiné à son oreille.
-Allô ? Claire Benett à l'appareil ?
-Claire...
-Oh Peter ! Comment tu vas ?
-Ça va, ça va. Et toi ?
-Oui ça va. Alors... Tu m'apelles pour...
-Oui. Je viendrais. Mais tu pourras prévenir ma mère qu'il y aura un couvert en plus ?
-Pas de problèmes. Et merci.
-Merci de quoi ?
-Ben de venir. Je sais que c'est pour moi que tu viens...
-Tu me manques, petite Cheerleader. J'y peux rien ! Fit-il avec une voix amusée.
-Tu me manques aussi. On se voit dans une semaine alors.
-Oui à dans une semaine.
-Et passe le bonjour à Dani.
A côté de Peter, ledit « Dani » grogna, et répliqua à l'adolescente à travers le combiné :
-Arrêtes de m'appeler comme ça !
Un rire résonna dans le combiné, et Dan fit un air boudeur à son amant qui se moquait aussi de lui.
-Bon à plus tard, Claire. Prend soin de toi.
-Toi aussi !
Lorsque la conversation fut finie, Peter porta son attention sur Daniel et lui dit en mordillant le lobe de son oreille :
-Mais je t'aime moi mon Dan.
Son amant ne résista pas longtemps, et ses pseudo barrières protectrices tombèrent lorsque son regard croisa celui rempli d'espièglerie de son amant, et il le renversa sur le canapé sous un léger cri surpris de Peter...
