Titre : Je t'aime, moi non plus.

Rating: tous public (enfin je pense)

Genre: humour (avec du McKay)

Disclaimer : Depuis 2007 je posséde entiérement SGA et SG1 ainsi que tout les dérivés. Si si je vous assure...

Résumé: La limite entre l'amour et la haine est parfois flou.

Note: Je vous souhaite à tous une bonne année et une bonne santé, j'espére que vous aurez tous ce que vous voulez cette année, et je vous souhaite le meilleur. J'espere aussi que cette année, David Hewlett sera à nous. LOL.

Note2: ce n'est pas la suite d'Un Noël chez les Millers

BonneAnnéeBonneAnnéeBonneAnnéeBonneAnnéeBonneAnnéeBonneAnnéeBonneAnnéeBonneAnnée

"McKay !!!"

Cadman venait crier le nom du scientifique en entrant dans son laboratoire.

"Bonjour Cadman, c'est un vrai plaisir d'entendre votre douce voix." annonça ironiquement le canadien sans lacher des yeux son ordinateur portable.

"McKay" dit elle d'un ton plus calme, " Ou est mon ordinateur portable ?"

"Je suis entrain de m'en servir." expliqua calmement le scientifique.

"Ecoutez McKay, j'en ai besoin, j'étais en train d'écrire mon rapport de mission lorsque vous me l'avez ... Oh mon dieu McKay, dîtes moi que vous ne l'avez pas effacer..." supplia la jeune femme.

"Toutes ces lignes sur M3X-729 ? Je les ai effacé, votre rapport prenait trop de place sur la mémoire de l'ordinateur."

"McKay ! Ca faisait 3 pages ! " s'exclama la jeune lieutenante.

"Et ben vous n'aurez qu'a les réecrire... et puis c'est votre faute, vous n'aviez pas qu'à le laisser trainer."

"Comment ça laisser trainer ? Il était à sa place habituelle, et je l'ai laissé que quelques minutes pour aller aux toilettes."

"Qui va à la chasse perd sa place." se contenta de répondre le scientifique fixant toujours l'écran de l'ordinateur.

"Vous n'êtes qu'un gamin, doublé d'un enquiquineur, vous le savez ça !" dit elle en se retournant pour sortir du labo de ce satané scientifique.

Elle était vraiment en colére, en ce moment elle avait l'impression que Mckay le faisait exprès. C'était plein de petite chose qu'il "s'amusait à faire" rien que pour l'enquiquiner, ça aller de lui voler son dessert, en passant par l'obliger à lui apporter son café et bien sur à lui prendre son ordinateur.

"Et vous, vous n'êtes qu'une simple idiote."annonça calmement le scientifique.

Elle se raidit, et se retourna. Elle n'avez pas du tout apprecié ce que venez de lui dire Rodney

"Qu'est ce que vous venez de dire ?" s'enerva Laura.

Rodney daigna enfin lever son regard de l'ecran, et la regarda intensement avec ses yeux bleus.

"Vous - êtes - une - simple - idiote - et - en - plus - vous - êtes - sourde." Il avait dit ça en séparant chaque mot de la phrase comme si il expliquait quelque chose à une attardée, ou à un enfant en bas âge.

Elle se rapprocha de lui, le pointa du doigts et lui dit:

"Vous êtes l'homme le plus mesquin, pétochard, asocial et hypocondriaque que je n'ai jamais vu !"

Rodney se leva de sa chaise. A présent ils n'étaient qu'à quelques centimétres l'un de l'autre.

"Vous pensez peut être que l'uniforme que vous avez sur le dos me fais peur ? Moi, je vous le dit, ce n'est pas le cas. Et je tiends à vous dire que si le pétochard que je suis n'avait pas des idées brillantes, vous ne seriez pas là à m'engueler."

La tension entre les deux était plus que palpable. On pouvait presque voir les éclairs de haine que se lancer la lieutenante et le scientifique.

"Et si vous n'aviez pas un égo surdimmensionné, et que vous parliez moins, on aurait eu aucun problémes sur cette planéte ! " cria la jeune femme en serrant les poings.

A ce moment là, Radek Zelenka voulu rentrer dans le labo, mais qu'en il entendit les cris, il préféra faire un tour et repasser plus tard, le temps que tout se calme.

"Lorsqu'on a mon génie, on peut se permettre d'avoir une haute opinion de soi, contrairement à une jeune lieutenante qui doit se contenter de servir le café à ses supérieurs. Alors maintenant La Rouquine, on s'en va et on laisse travailler les grandes personnes."

"Je ne m'en irai que si vous vous excusiez, et que vous me rendiez mon ordinateur." expliqua la jeune femme qui essayer de se calmer.

"Fillette, si tu as un probléme, va le dire à ta mére." dit il en souriant visiblement fier de sa répartit.

"Handicapé de la vie !" cria la militaire

"Gamine !" répondit le canadien.

"Imcompétent !"

"Emmerdeuse !"

"Petite Nature !"

"Petite conne !"

"Trouillard ! "

"Ecervellée !"

"Gros lard !"

"Rouquine !"

"Naïf !"

"Manipulatrice !"

La haine qui s'était installé entre eux, s'était changée en un tout autre sentiment. Ils avaient arrété avec les noms d'oiseaux et maintenant ils se jaugaient d'un air malicieux avec un sourire sur les lévres.

Ce fut Rodney qui reprit.

" Attirante "

"Obsédé "

" Hot "

" Sexy "

"Alléchante"

Cadman n'eut pas le temps de répondre car ils s'étaient littéralement jeté l'un sur l'autre. A présent ils se dévoraient la bouche l'un l'autre, les mains de Rodney sur les hanches de Cadman, et les mains de cette derniére sur les fesses du scientifique.

Il se détacha d'elle, enleva sa radio et celle de Cadman et les jeta à travers la piéce. Puis il se dirigea vers la porte, la bricola en enlevant quelques cristaux pour qu'elle reste fermée. Il retourna vers la jeune femme, la prit par la main, et l'amena jusqu'à un des bureaux.

"Attends, je vais faire de la place." expliqua la jeune femme, en s'appretant à débarasser le bureau d'un coup de main.

"Deux secondes, il y a du matos cher la dessus..."(1)

Il débarassa les microscopes, les objets anciens, et l'ordinateur sujet de leur dispute/subite envie, pour ne laisser qu'une pile de dossier et de tasses de café.

"Maintenant tu peux !"

Elle ne se fit pas prier, et jeta tout d'un simple coup de main, faisant s'envoler dans toute la piéce les feuilles et en brisant les tasses de café.

Rodney la prit par les hanche et l'aida à monter sur le bureau. Il l'embrassa puis la fit basculer sur le bureau, ou ils se retrouvérent tout les deux couchés.

BonneAnnéeBonneAnnéeBonneAnnéeBonneAnnéeBonneAnnéeBonneAnnéeBonneAnnéeBonneAnnée

A l'extérieur du labo, Zelenka s'acharnait à essayer d'ouvrir la porte. Quand les cris avaient céssé, il s'était dit qu'il pouvait revenir en toute sécurité, mais la porte s'obstinait à vouloir rester fermée. Il avait essayer de contacter le scientifique et la militaire mais aucun des deux ne répondaient

"Colonel Sheppard, pouvez vous venir au laboratoire de Mckay. Le labo ne veut pas s'ouvrir et je m'inquiéte pour Rodney et Cadman, ils sont à l'intérieur mais ne répondent pas à mes appels radio. J 'ai aussi entendu quelque chose se briser puis plus rien.'"

// D'accord, j'arrive tout de suite.//

Quelques minutes après, le colonel Sheppard arriva et réussit à ouvrir la porte grâce à son géne ancien.

Le Tchéque et le Colonel furent totalement ébahi par ce qui se déroulait sous leurs yeux. Rodney, torse nu, se tenait au dessus de Cadman, qui elle était en sous vêtements, et apparament ils partagaient un baiser passionné. Ils n'avaient visiblement pas entendu les deux invités. Radek qui n'en croyait pas ses yeux ne cessait de nettoyer ses lunettes comme si il pensait que c'était à cause de lunettes sales qu'il voyait ça.

"On devrait peut être les laisser." murmura timidement Zelenka.

Mais le colonel ne l'écouta pas.

"Hum, hum"

Mais aucun des deux ne réagirent, toujours occupé à s'embrasser langoureusement.

"HUM, HUM !"

Toujours aucune réaction.

"LIEUTENANT, DR MCKAY, QU' EST CE QUE C' EST QUE CE CIRQUE ?" fit il en prenant sa grosse voix de militaire.

Cette fois ci, la réaction ne se fit pas attendre. Ils dégringolérent tout les deux du bureau, surpris par l'arrivé de Sheppard. Rodney attrapa son blouson et le passa sur les épaules de Laura, alors que lui cherchait son tee shirt.

Sheppard avait du mal à ne pas rigoler, le regard de Rodney complétement affolé en valait la peine.

"Euh... Colonel, qu'est ce que vous faîtes là ?" demanda Rodney le plus innocemment possible, comme si rien ne s'était passé.

"Et bien, Zelenka m'a appellé car il y avait un probléme avec la porte, alors je suis venu l'aider."

"Oh bien, très bien tout ça." répondit Rodney toujours en train de chercher son tee shirt.

"Radek, vous pouvez nous laisser s'il vous plaît ?"

"Hein..." Radek avait les yeux rivés sur Laura, le blouson ne cachant pas grand chose, " Euh, oui bien sûr..." en remettant une éniéme fois ces lunettes, plus que propre, sur les yeux.

Sheppard attendit quelques secondes avant de reprendre.

Rodney craignait le pire de la part de Sheppard. Oh mon dieu si il faisait une annonce publique sur ce qui venait de se passer, il allait en entendre parler pendant des lustres. Par contre Cadman de son côté, était partagée entre le fou rire, la honte, et la peur de la réaction de son supérieur.

"Asseyez vous." demanda Sheppard.

Laura s'executa, alors qur Rodney ne bougea pas.

"Je vais rester debout."

Rodney était géné, il n'avait pas réussit à trouver son tee shirt et essayait de se cacher le torse avec ses mains et ses bras, ce qui n'était pas vraiment utile.

"Je vais faire court." Il n'était pas contre le fait que des couples se fassent sur Atlantis, mais en temps que chef militaire il devait mettre les points sur les i. "je n'accepte pas ce genre de comportements, dans les salles publiques de la Cité, vous faîtes ce que vous voulez en privée, dans vos quartiers, mais en publique je ne l'autorise pas. Est ce que c'est clair?"

"Oui, Sheppard." répondit Rodney en baissant les yeux.

"Oui, monsieur." répliqua Cadman au bord du fou rire.

"Maintenant habillez vous, et sortez de là." ordonna le colonel.

"Oui, monsieur."

Ils ramassérent leurs affaires, et s'habillérent en 4éme vitesse. Cadman sortit. Rodney qui la suivait fut arreter par Sheppard, qui lui dit "Bien joué." en lui mettant une claque sur le dos.

"Comment ça?"

"Rien, je suis juste fier de vous."

"Vous êtes fier de moi, après tout le barratin que vous nous avez fait."

"Laissez tomber. Dêpechez vous, elle doit vous attendre dans ses quartiers."

"Quoi ?!... Ah oui c'est bon ça..." dit il en sortant rapidemment du laboratoire. Sheppard n'avait jamais vu McKay se dépechait de sortir de labo.

"Ah! la! la, les jeunes de nos jours." dit il en souriant et en sortant du laboratoire. (2)

BonneAnnéeBonneAnnéeBonneAnnéeBonneAnnéeBonneAnnéeBonneAnnéeBonneAnnéeBonneAnnée

(1) Oh! le tue l'amour.

(2) la fin est un peu nulle mais je ne savais pas quoi fairecalors voilà.

Si vous vous voulez avoir une Bonne Année, la review est recommandée.