Bien le bonjour amis du jour, bien le bonsoir amis du soir !

Alors comment vous allez mes haricots d'eau douce ? Moi super, bon je me présente, je m'appelle Pauline, ou Papuche pour les intimes (héhé); j'ai 19 ans depuis le 4 octobre 1994 (je suis une grande fifille hééééé FIFILLLLLLE !) Bon comme vous pouvez le constater, je suis légèrement (mais alors légèrement) déjantée. J'ai commencé à écrire i ans je crois, mais j'ai arrêté pendant un moment. J'ai décidé de me créer un nouveau profil pour redémarrer à zéro car je ne veux plus de cette étiquette "d'écriture de gamine" qui me colle à la peau. Je n'ai pas encore de Bêta, tout simplement par ce que je n'ai pas cherché, j'ai écrit ce prologue sur un coup de tête il y a une heure et je me suis dit... "POURQUOI PAS !". Donc si une Bêbêbêbêbêta traîne dans le coin et qu'elle se sent capable de corriger mes milliards de fautes, PAS DE PROBLÈMES, contactez-moi... J'ai un peu peur de l'effet qu'aura sur vous ce prologue, si je suis assez claire tout ça...

Vous savez quoi ? Lisez et dites-moi si ça vaut la peine que je continue.

REVIEWS FRIENDS !


CORALIE- PROLOGUE

Je m'appelle Coralie, j'ai dix-sept ans et demi, je vie dans une petite ville de 3120 habitants prénommée Forks. Je suis folle amoureuse de Démétri, le garçon le plus populaire de mon lycée, mais je suis bien trop banale pour lui, je ne suis même pas certaine qu'il se rappelle de mon prénom. Je suis de nature discrète, j'ai héritée cela de ma mère, Isabella Swan, selon mon grand père Charlie. En vérité, je suis le portrait craché de ma mère, si on ne prend pas en compte le fait que mes yeux sont d'une couleur moins terne. Mon grand-père ne cesse de me répéter que je suis le même parcourt que ma tendre mère, cela semble lui déplaire fortement. Je ne suis pourtant pas la plus difficile des adolescentes, loin de là. J'ai toujours été première de classe, je passe mon temps à lire des romans d'amour et à écouter de la musique classique. Ma mère ne sait d'ailleurs plus quoi faire pour ma vie sociale ! J'ai une seule et unique amie, Jane Volturi, et je vie au travers d'elle. C'est une jolie petite blonde qui plaît énormément aux garçons, et ceux depuis toujours. Et moi ? Eh bien je suis la copine muette. Ma mère pense que j'ai un problème pour m'intégrer, moi non, je n'en ai simplement pas l'envie. J'aime pouvoir rester dans ma bulle ou personne ne vient me déranger.

Il a suffit d'une journée pour que je change d'avis. Nous étions vendredi, ou peut être jeudi, je ne sais plus... Je suis rentrée des cours vers 17h30 et ma mère m'attendait en pleure assise sur le canapé. La boule au ventre je me suis approchée et me suis assise face à elle dans notre bon vieux canapé rouge. Face à ma mère, sur la petite table en fer forgé du salon, étaient éparpillées une vingtaine de photos et d'articles de journaux.

-Maman, tout vas bien ?

Elle leva les yeux vers moi, et ce que je vis me bouleversa. Ma mère semblait avoir pris dix ans, ses joues étaient creusées par des sillons de larmes, sa peau était grisonnante de tristesse. On l'aurait cru en deuil. La panique se propagea en moi comme une traînée de feu.

-Maman, c'est Charlie ?! Qu'est ce qu'il se passe bon sang !

Comme si mon haussement de voix l'avait réveillée, elle se mit à rassembler énergiquement l'ensemble des documents qui recouvraient la table basse en reniflant.

-Je... Je... Tout vas bien Coralie, je suis fatiguée, rien de plus.

Perturbée par ce changement soudain de comportement, j'entrepris de regarder les documents qu'elle tenait désormais fermement serrés contre son cœur. Elle eut un hoquet de stupeur quand je lui arrachait délicatement les feuilles des mains.

-NON ! Tu ne dois pas voir ça ! RENDS LES MOI !

Voyant qu'elle ne me laisserait pas les étudier convenablement, je me précipitai vers la salle de bain et m'y enfermait à double tour. Ma mère frappait à la porte, me suppliant de ne pas faire l'erreur de consulter ces documents. Intriguée et aussi complètement flippé, je me laissais glisser contre la porte et choisie un article de journal pour commencer ma lecture, ma mère s'était elle aussi laissée glissé contre la porte et laissée couler ses larmes, signe de son désespoir. Mon regard fut attiré par l'article qui faisait la première page du journal.

« L'enlèvement suspect de la petite Coralie

Une enfant de trois ans a été enlevée jeudi à Seattle, arrachée au véhicule de sa mère en plein centre ville. L'enfant prénommée Coralie a été kidnappé vers midi, alors que la voiture familiale était arrêtée à un feu rouge. Le ravisseur pourrait être le père de l'enfant. «Elle portait au moment du rapt un manteau bleu marine et bleu clair à capuche, un jean et des petites chaussures vernies bleues, ainsi qu'une petite bague en or autour du doigt. L'enfant pourrait être en compagnie de son père, identifié par sa mère lors de l'enlèvement», indique ainsi le journal régional. «Il s'agit de Mike Newton, un homme de 1,75 ou 1,80 m, aux cheveux blonds courts, au teint clair et aux yeux bleus». Les enquêteurs concentrent leurs recherches dans le quart Nord-Est du pays. De nombreux contrôles routiers ont été effectués. Deux voitures sont en effet recherchées : une Nissan X-trail et une Ford.

Toute personne disposant de renseignements utiles est invitée à composer le 17 ou le .22. »

J'étais là, assise dans ma petite salle de bain de Forks, à découvrir que ma vie n'était qu'un pur mensonge. J'ai toujours pensée avoir eut une enfance paisible et sans soucis, et j'apprends désormais que j'ai été enlevée. Comment prendre cette nouvelle ? Bonne question. Mes larmes coulaient le long de mes joues, venant inonder le journal que je serrais frénétiquement contre moi.

-Coralie, ma chérie, s'il te plaît, écoutes moi... j'allais t'en parler, j'attendais que ça soit moins difficile pour moi d'en parler... Mais je n'y arrivais pas, c'était beaucoup trop compliqué..

Je soupirai, posant ma tête sur mes genoux, je n'en voulais pas à ma mère, non, d'après les événements, il était évident qu'elle avait bien assez souffert. Je fermais les yeux, laissant glisser les souvenirs de ma mère sur le sol.

-Alors racontes moi Maman, raconte moi tout.


*yeuxtropmignonstupetitchatpottédansshrek*

Pitié dites-moi que je ne vous ai pas perdu...